Emotions Flashcards

1
Q

Paradigme du Marshmallow

A

Walter Mischel (1988)

Expérimentateurs pose bonbons sur la table avec enfant puis le dit de ne pas le prendre. Si il revient et que le bonbon est toujours la il le donne un deuxième.

Enfants qui attendent le plus sont mieux ajustés sur le plan émotionnel et réussissent mieux à l’école

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2
Q

Intelligence émotionnelle, caractéristiques

A
  1. Être capable de se motiver et de persister en face d’une frustration
  2. Contrôler les impulsions et retarder la gratification
  3. Identifier et comprendre ses propres sentiments et ceux des autres
  4. Réguler son humeur
  5. Réguler ses expressions émotionnelles dans les interactions sociales
  6. Comprendre les émotions des autres
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3
Q

Intelligence emotionelle et QI

A

L’intelligence émotionnelle peut être un meilleur prédicteur que le QI pour prédire ce que les gens vont faire dans la vie, en particulier dans leur vie sociale

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4
Q

Émotion

A

Caractérisé par une force de motivation ou une tendance à l’action et par des changements physiologiques, des sentiments subjectifs et des comportements

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5
Q

Types de théories sur la nature et l’émergence des émotions

A
  1. Théorie des émotions distinctes
  2. L’approche fonctionnaliste

La recherche appuie les deux perspectives et aucune théorie n’a émergé comme définitive.

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6
Q

Théorie des émotions distinctes

A
  1. Les émotions sont innées
  2. Chaque émotion est livré avec un ensemble spécifique et distinct de réactions corporelles et faciales.
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7
Q

L’approche fonctionnaliste

A
  1. Rôle de l’environnement
  2. La fonction de base: promouvoir l’action en vue d’atteindre un objectif
  3. Les émotions varient un peu en fonction de l’environnement social
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8
Q

L’expression des émotions est-elle innée?
(experience)

A

Paul Ekman (Ekman & Friesen, 1971

Peuples devait sélectionner correctement émotions liés aux visages

Peu importe la culture, les émotions restent similaires. Ca prouve qu’une certaine part des émotions est innée

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9
Q

Est ce que les nouveaux-nés sont capables de détecter des émotions ? (experience )

A

Les nouveaux-nés sont capables d’imiter des émotions !

Field, Woodson, Greenberg, et Cohen (1982)

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10
Q

Caractéristiques de certaines familles d’émotions

A
  1. Les émotions primaires
  2. Degout
  3. Peur
  4. Colère
  5. Tristesse
  6. Emotions qui arrivent plus tard dans le développement :
  7. Honte
  8. Culpabilité
  9. Emotions liées à la conscience de soi :
  10. Embarras : 15-24 mois
  11. Fierté : 3 ans la fierté est lié a leur niveau de performance (plus les parents encouragent l’enfant, plus ils développent la fierté)
  12. Culpabilité (associé avec l’empathie pour les autres, envie de réparer sa faute)
  13. Honte (pas lié a la préoccupation des autres)
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11
Q

Les émotions positives

A

Sourire

Le sourire est le premier signe clair de bonheur.

La signification des sourires infantiles semble changer avec l’âge.

  1. Les sourires sociaux sont dirigées vers les gens dès 6 à 7 semaines.
  2. Au bout d’environ 3 ou 4 mois :

Les nourrissons peuvent rire et sourire pendant des activités variées.

  1. À environ 7 mois :

L’enfant commence à sourire principalement à des personnes familières, plutôt qu’à la population en général.

  1. Au cours de la deuxième année de vie :

Les enfants commencent à faire le clown et sont ravis quand ils peuvent faire rire les autres. (dimension sociale émerge)

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12
Q

Les émotions négatives types

A
  1. Détresse
  2. Peur
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13
Q

détresse

A

Détresse généralisée :

Première émotion négative discernable

  1. Vers les 2 mois :

Les expressions faciales de la colère ou de la tristesse peuvent être différenciés de la détresse / douleur dans certains contextes.

  1. Dès la deuxième année :

La différenciation entre les nourrissons en colère et d’autres émotions négatives est plus facile.

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14
Q

Peur

A
  1. Les premiers signes évidents de la peur :

Apparaissent à environ 6 ou 7 mois

Les personnes peu familières ne fournissent pas le confort et le plaisir comme les personnes familières

  1. Peur des étrangers :

S’intensifie et dure jusqu’à environ 2 ans
Est très variable selon les individus et les contextes

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15
Q

Falaise virtuelle

A

Sorce, Emde, Campos et Klinnert (1985)

Les bébés de 12 mois utilisent l’émotion manifestée par leur mère pour évaluer la dangerosité de la situation :

  • Lorsque la mère affiche un visage effrayé, aucun bébé ne traverse
  • Lorsque la mère affiche un visage joyeux, 3/4 des bébés le font !

Vers 2 ans, tout les bébés ont peur de la situation !

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16
Q

Anxiété de séparation

A

Fait référence à des sentiments de tristesse que les enfants, en particulier les nourrissons et les tout-petits, éprouvent lorsqu’ils sont séparés, ou attendent d’être séparés, des individus à qui ils sont attachés

Les chinois ont plus peur d’être söpare de leur figure d’attachement

A partir de 8 mois

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17
Q

Développement émotionnel pendant l’enfance

A
  1. Les années préscolaires et premières années d’école :

Les émotions deviennent moins intenses et moins négatives

  1. Premières années d’école :

Détermination de la colère en rapport avec perceptions des motivations et intentions des autres

  1. Du début au milieu de la petite enfance :

L’acceptation par les pairs et réalisation des buts

  1. Enfant d’âge scolaire :

Craintes liés à la vie réelle

18
Q

Adolescence, quels types d’émotions ?

A
  1. Augmentation des émotions négatives
  2. Diminution des émotions positives
19
Q

Les émotions négatives: Dépression

A

Le taux de dépression majeure (clinique), est inférieure à 3% avant l’adolescence, est d’environ 6% à l’âge de 15-18 ans.

Plus de 10% des jeunes éprouvent des symptômes dépressifs qui ne sont pas assez graves et persistants pour être classés comme clinique.

20
Q

Differences entre genres dans la dépression

A

12-15 ans : filles plus dépressive cliniquement

Causes :
- plus de rumination
- Souci de l’image corporelle
-puberté précoce
- Souci de l’acceptation par les pairs

21
Q

Causes possibles de la dépression

A
  1. Les causes possibles :

-Les facteurs génétiques
-Symptômes de croyance inadaptés
-Sentiments d’impuissance
-Les croyances négatives et les perceptions de soi
-Le manque de compétences sociales

  1. Les facteurs familiaux contribuent également à la dépression :
  • La dépression est souvent le résultat d’une combinaison de vulnérabilité personnelle et de facteurs externes stressants
22
Q

Régulation émotionnelle

A

Processus d’initier, d’inhiber, ou de moduler son état interne et les processus physiologiques et les cognitions ou les comportements liés à cet état

L’émergence de la régulation émotionnel chez l’enfant est un processus lent et long

23
Q

Passage de la régulation par les parents à l’autorégulation

A

Les jeunes enfants ont tendance à s’apaiser par eux-mêmes en frottant leur corps, suçant leur pouce, ou en s’accrochant aux objets bien-aimés, tels que leur couverture favorite, qui donnent un sens de sécurité.

  1. Dans les premiers mois de vie :
  • Aide des parents.
  1. A 6 mois :
  • Les enfants peuvent réduire leur détresse.
  1. Entre 1 et 2 ans :
  • Les enfants se détournent de plus en plus des sources de détresse.
  1. Au cours des premières années :
  • Augmentation de la capacité à compter sur eux-mêmes
  • Augmentation de la capacité à compter sur le langage pour gérer leur excitation émotionnelle
  • Maturation du système neurologique
  • Augmentation des attentes des adultes pour les enfants
24
Q

Utilisation de stratégies cognitives pour contrôler les émotions négatives

A
  1. Distraction par le jeu
  2. Capacité à faire la distinction entre les facteurs de stress qui peuvent être contrôlés et ceux qui ne peuvent pas
  3. Capacité à choisir les stratégies les plus efficaces pour gérer leurs réactions face aux facteurs de stress
25
Q

Régulation émotionelle et compétences sociales

A

La régulation émotionnelle a des conséquences importantes pour les compétences sociales.

Les enfants qui présentent des affects positifs ont tendance à être bien aimé par les pairs.

26
Q

Tempérament

A

Il est basé sur les différences de réaction individuelles et d’auto-régulation (au niveau émotionnel, moteur, attentionnel) vis-à-vis d’une situation.

Les réactions étant cohérentes entre les situations et relativement stables dans le temps

26
Q

Tempérament

A

Il est basé sur les différences de réaction individuelles et d’auto-régulation (au niveau émotionnel, moteur, attentionnel) vis-à-vis d’une situation.

Les réactions étant cohérentes entre les situations et relativement stables dans le temps

27
Q

Tempérament du nourrisson : Chess et Thomas

A

Stella Chess et Alexander Thomas (1977) menée une recherche longitudinale pionnière sur le tempérament du nourrisson.

Trois catégories :

  1. Bébés facile (40%)
  2. Bébés difficiles (10%)
  3. Bébés difficiles uniquement au début (15%)

Le nourrissons restants ne cadraient pas dans ces catégories.

Certaines dimensions du tempérament ont montré une stabilité temporelle

28
Q

Dimensions du tempérament

A

Roth et Bates (1988)

6 dimensions :

  1. Détresse irritable
  2. Détresse terrible
  3. Durée d’attention et de persévérance
  4. Niveau d’activité
  5. Les affects et approches positives
  6. La rythmicité
29
Q

les échelles de tempérament de Mary Rothbart

A

Les cinq premières dimensions sont utilisées pour classifier les tempéraments et prédire les comportements.

Chaque enfant a un score sur chaque composante de l’échelle et sur les 5 dimensions

les enfants montrent souvent des réactions très différentes pour une même situation.

30
Q

Mesure du tempérament

A
  1. Les questionnaire :

Remplit par les parents ou d’autres adultes sur la peur, la colère / frustration, et les affects positifs.

  1. Les observations en laboratoire :

Pour évaluer l’inhibition du comportement, l’émotivité et les capacités de régulation

  1. Les mesures physiologiques (fréquence cardiaque, EEG, le niveau de cortisol) :

Pour mesurer les aspects du tempérament

31
Q

Niveau d’activité du fœtus et tempérament

A

Le niveau d’activité du fœtus dans l’utérus semble être lié à certains aspects du tempérament postnatale.

32
Q

Rôle du tempérament des enfant sur compétences sociales et adaptation

A

L’inhibition comportementale pendant l’enfance est associée avec des problèmes tels que l’anxiété, la dépression et le retrait social.

Les jeunes enfants qui étaient négatifs, impulsifs et non régulés avaient plus de problèmes d’adaptation lorsqu’ils étaient des jeunes adultes.

L’ajustement des enfants dépend de la façon dont leur tempérament correspond aux exigences et aux attentes de leur milieu social.

33
Q

Qualité des relations enfant-parents

A
  1. Influence le sentiment de sécurité et la perception de soi.
  2. La perception de soi et des autres :

Affecte l’émotivité des enfants, la compréhension des émotions, régulation émotionnelle et la régulation des réponses émotionnelles vis-à-vis des autres et des événements.

34
Q

Socialisation definition

A

Compétences qui permettent d’être adapté

35
Q

Socialisateurs importants

A
  1. Les parents, les enseignants et les autres adultes et enfants
  2. Les médias et les institutions sociales
  3. Ils dirigent :

Les émotions auxquelles les enfants sont exposées

Les réactions vis-à-vis des expressions émotionnelles de l’enfant

Les conversations familiales à propos des émotions

36
Q

Le rôle de la culture

A

Le degré avec lequel les différentes émotions sont exprimées varie considérablement entre les cultures.

  1. Les personnes de différents groupes raciaux ou ethniques peuvent avoir différents tempéraments.
  2. Les différences culturelles dans les pratiques parentales peuvent contribuer aux différences inter-culturelles dans l’expression des émotions des bébés.

Les cultures diffèrent aussi sur le fait qu’elles favorisent ou découragent des émotions spécifiques.

Exemple : les Tamang au Népal dont les parents ignorent les enfants des qu’ils montrent des affects négatifs

A Harlem on incite les enfants à être agressifs et montrer signes d’intimidation pour se protéger

37
Q

Développement de l’identification des émotions des autres

A
  1. De 4 à 7 mois, les nourrissons distinguent certaines expressions émotionnelles.
  2. De 8 à 12 mois, les enfants démontrent un référencement social
  3. A 3 ans, les enfants nomment les expressions émotionnelles.
  4. Années préscolaires et début des années scolaires :

Nommer le bonheur (et pas simplement le ressentir)

Distinguer différentes émotions négatives

38
Q

Développement de l’indentification des émotions

A
  1. Années pré-scolaires et scolaires
  • Situations différentes évoquent émotions différentes
  1. A deux ans :

Identification de situations heureuses dans les histoires

  1. 4 à 6 ans :

Explication des emotions négatives sont semblables à celles des adultes

  1. Avec l’âge :

On comprend que gens peuvent sentir des émotions basés sur des souvenirs

39
Q

La compréhension des émotionsréelles ou fausses

A
  1. La différenciation des émotions réelles et fausses s’améliore considérablement de 3 ans à 5 ans.
  2. Le développement cognitif, les facteurs sociaux (le genre et les croyances et comportements des parents) contribuent à la compréhension et à l’utilisation des règles.
  3. Petit à petit leur compréhension des émotions et des situations qui causent les émotions se développe. Ils se rendent compte de plus en plus que les émotions visibles peuvent ne pas refléter les vrais sentiments.