DIP Flashcards
Traces du dip
dans l’époque des grands empires (Perse et Mesopotamie) traité de paix 3010 av JC développement du droit de la guerre
traces grece antique, époque romaine
Développement par l’activité des cités grecques
- distinction entre un ensemble de règles applicables entre les cités grecques et un
ensemble de règles applicables aux relations entre cités grecques et barbares
- développement des traités d’alliance entre cités = Ligues de cité
Puis traces à l’époque Romaine :
- traités internationaux renforcés par la création du droit international imposé aux
autres
- distinction entre un ensemble de règles applicables aux les relations entre les citoyens
de Rome (soit “jus civile”) et un ensemble de règles applicables entre les citoyens de
Rome et les autres (soit “jus genetium” ou “droit des gens”)
Puis traces au Moyen-Age :
- jusqu au XIème siècle : période de guerre incessante / période sombre avec
presque pas de droit international MAIS développement du droit commercial et donc
du commerce international - après XIème siècle : relations diplomatiques et consulaires / droit de légation (des
ambassades)
Puis au XVIIème siècle :
apparition de la forme juridique de l’Etat grâce aux Traités de
Westphalie (1648) qui créent un système d’Etat souverain.
2 grands principes qui le composent : principe de souveraineté + principe d’égalité
DONC le droit international régit les rapports entre Etats et devient inter-étatique + régit les
relations des nombreux autres sujets du droit
Finalement le DI est
est le droit qui régit les relations entre sujets dès qu’il y a un élément
d’extranéité.
CIJ présentation
La CIJ est l’organe judiciaire principal des Nations Unies dont le statut est annexé à la
Charte des NU dont il fait partie intégrante.
Elle est créée en 1945 avec la création des NU et reprend le statut de la juridiction de la SDN
soit la CPJI (Cour Permanente de Justice Internationale).
Elle siège aux Pays-Bas et est composée de 15 juges élus par l’AG des NU et le Conseil de
Sécurité. Les juges doivent représenter les principaux systèmes juridiques du monde.
2 fonctions principales de la cour
contentieuse : elle tranche les différends entre Etats MAIS uniquement entre les Etats
qui ont accepté sa compétence
- consultative : elle rend des avis à la demande d’organes de l’ONU ou d’autres
organisations internationales
principe du consentement de la juridiction
4 modalités d’acceptation de la compétence de la Cour par un Etat :
- d’une façon générale pour ts ses différends internationaux en souscrivant à la clause
facultative de juridiction obligatoire de la Cour (1/3 des Etats de la planète
l’ont accepté)
MAIS parmi les 5 membres permanents du Conseil de Sécurité seul le Royaume-Uni
accepte la compétence et a souscrit à la clause
- dune façon ponctuelle à l’occasion d’un différend et uniquement pour celui-ci
- certains traités prévoient une clause par laquelle les Etats parties au traité acceptent
sa compétence pour ts les différends qui concernent l’application de ce traité =
clause compromissoire MAIS il s’agit en réalité d’une clause attributive de
compétence
- forum prorogatum (nest pas prévue dans le statut de la Cour contrairement aux 3
autres modalités) = l’Etat n’a pas consentie à la juridiction MAIS on pourrait en
déduire de part son comportement
procédure de la Cour
Phase écrite :
- mémoire en demande : Etat A
- mémoire en défense : Etat B
- mémoire en réplique : réponse aux arguments / défense
- mémoire en duplique : réponse à la réplique
Phase orale :
- plaidoirie : chq Etat choisit ses représentants (ex : agents de l’Etat, prof, avocats,…)
- est publique : ts les docs + suivi en ligne des procès
- 2 langues officielles : anglais + français
les arrêts
- Comportent l’indication de chq juge sur ts les points
- ont une force obligatoire envers leur destinataire
- comportent l’exposé des opinions séparées de certains juges :
o opinion dissidente = vote contre le dispositif de l’arrêt
o opinion individuelle = vote pour le dispositif de l’arrêt mais avec un
raisonnement différent de celui de la Cour
o déclarations
En cas de non respect de la force obligatoire de l’arrêt, il y a une possibilité de demander
l’exécution forcée au Conseil des NU
domaine varié des arrêts
- différends territoriaux (ex : frontière entre Argentine et Chili,…)
- différends maritimes (ex : Amérique Latine, Caraïbes,…)
- différends sur l’utilisation de la force (ex : Affaire des activités armées au Nicaragua)
- différends sur les relations diplomatiques et consulaires (ex : Affaire des otages
américains à Téhéran)
les procédures complémentaires
Procédure en indication de mesures conservatoires : appliquée en cas de mesures
d’urgence par le biais d’une demande supplémentaire en + du dépôt d’une requête que la
Cour peut ordonner à titre conservatoire MAIS elle doit prouver que la mesure est nécessaire
le temps que la Cour statue au fond
Alors la Cour rend une ordonnance obligatoire pour l’Etat MAIS celles-ci sont peu
respectées.
la compétence et le fond deux procès différents
Dans le cas de dépôt dune requête, le premier moyen de défense de l’Etat défendeur est de
contester.
Affaire sur les exceptions préliminaires = premier procès qui donne lieu à un arrêt et
qui porte sur la compétence et la recevabilité de la requête
PUIS c’est seulement si la Cour se déclare compétente que le deuxième procès a lieu sur le
fond
compétence consultative
à la demande d’une organisation internationale
peuvent demander un avis a la cour
-les organes principaux de l’onu
-les organisations internationales si la question relève de la compétence et que la demande est autorisée par l’AG
procédure
Réception de la demande - ouverture de la procédure écrite et orale - invite les
organisation internationales, les entreprises et les experts qui le souhaitent à présenter des
observations par écrit
les avis
Les avis se présentent comme des arrêts (opinions séparées,…) mais ne sont pas obligatoires.
MAIS ils ont tt de mm 2 effets :
- effet juridique indirect : car la Cour dit le droit
- politique (ex : arme nucléaire, décolonisation,…)
Avis de 1975 : statut du Sahara occidental
article issu du statut du la CIJ
article 38 : “la cour applique : a) des conventions internationales soit générales soit spéciales établissant des règles expressement reconnues par les etats en litige
b) la coutume internationale comme preuve d’une pratique générale acceptée comme étant le droit c) les principes généraux de droit reconnus par les nations civilisées
D) les décisions judiciaires et la doctrine des publicistes les plus importants comme moyen auxiliaire de formation des regles de droit
coutume
elle fait appel à des processus juridiques processus qui réuni 2 éléments un élément matériel répétition d’un fait et un élément psychologique sentiment de droit opinio juris
PGD
principes issus des différents droits internes et qui en raison des généralités sont internationalisés
deux omissions article 38
ne mentionne pas les actes unilatéraux des états ni les actes unilatéraux des organisations internationales pourtant les deux sont des modes de formation de droit
hiérarchie entre les sources ou les normes
l’article 38 n’indique aucune hiérarchie
on parle de mécanismes
Cass 1ere civile 2006
la cour applique la conv de viennes à l’égard de la france et disent “la convention prise en tant que coutume internationale”
Article 2 paragraphe 1 a)
défini le traité de la façon suivante : “l’expression traité s’entend d’un accord international conclu par écrit et régi par le droit international qu’il soit concilié dans un ou plusieurs connexes et quel que soit sa dénomination”
Un avis consultatif du 28 mai 1951
’est l’avis rendu dans l’affaire des réserves à la convention sur le crime de génocide (juridiction en premier, nom de l’affaire, avis consultatif du 28 mai 1951) et lorsque cest un arret meme chose mais on rajoute le nom des parties
“un etat ne peut dans ses rapports conventionnels etre lié sans son consentement”
La terminologie n’a pas d’importance pour qualifier un traité ça signifie que ont la même valeur et rentrent dans la meme categorie de traités des actes comme traités accords conv protocoles pactes même catégorie juridique
différentes formes d’actes écrits
Un traité peut être constitué simplement de deux actes unilatéraux tel qu’un échange de lettres entre deux etats
Un traité peut être constitué du traitement proprement dit mais encore de plusieurs actes qui s’y rapportent ou le complètent on va considérer l’ensemble comme un traité
1er juillet 1952 ambatielos differend qui oppose grece et royaume uni la cour a reconnu comme un document conventionnel unique un traité non seulement le traité mais encore une déclaration faite par les deux etats à propos du traité
Accords d’alger du 19 janvier 1981 crise des ottages américains à teheran contentieux demarre en 81 revolution islamique en iran et instauration d’une republique islamique ce qui va entrainer une prise d’ottage du personnel diplomatique a teheran ça crée un différend très fort très tendu entre usa et iran rupture relations diplomatiques pour regler cette crise le conseil de securité est saisi il y a une sorte de médiation qui est menée par l’algerie elle concerne les relations entre les deux etats le plus visible etait la crise des ottages il y a une difficulté qui était que aucun des deux ne voulaient signer sur le meme document donc on a un premier ensemble un accord signé d’un cote par les usa de l’autre par l’algerie dans cet accord, les usa s’engagent à un certain nombre de choses à l’égard de l’iran se portent garant d’obtenir telles et telles obligations de l’iran vis a vis de l’algerie
Autre accord entre l’algerie et l’iran la jeune republique islamique d’iran qui s’engage à liberer ottages regler contentieux economique et l’algerie se porte garant à l’egard de l’iran
L’ensemble des accords constitue un seul ensemble conventionnel, l’accord est aussi très important tribunal des différends irano américain qui siège a la haye aux pays bas qui va avoir en charge tout le respect des accords d’alger qui va avoir en charge tous les contentieux économiques entre les deux etats et va etre compétent pour recevoir des plaintes des deux etats, de particuliers
CIJ 1er juillet 1994 dans l’affaire de la délimitation maritime territoriale entre quatar et baragne ?? Dans cet arrêt la cour a considéré qu’un simple procès-verbal signé par deux ministres de chacun des deux etats était équivalent à un traité international
S’il a affaire à un traité, le juge utilisera un faisceau d’indices qui lui permettra de déterminer la volonté des parties de créer un lien conventionnel mais c’est toujours la volonté tel qu’elle est identifiée par le droit donc pas la volonté au sens psycho
classification doctrinale des traités
on oppose les traités contrats aux traités lois traité qui contient des obligations réciproques entre les parties ex extradition
traités lois : visent à établir un régime général par les grandes conventions multilatérales des espaces entre les etats parties
opposition entre traité normatif et constitutif d’organisation internationale
normatif définissent des normes de comportement
constitutif dimension institutionnelle visant à créer des institutions et distribuer les compétences entre les organes
distinction pas absolue
même les traités constitutifs contiennent tjrs des dispositions normatives et pas simplement institutionnelles comme la charte des nations unies
traités bilatéraux multilatéraux plurilatéraux
plurilatéraux = nombre restreint d’etats parties comme certains traités régionaux
multilatéraux = charte des nations unies
traités en forme simplifiée ou solennelle
la différence tient à la procédure par laquelle les états doivent exprimer leur consentement à être liés
simplifiée : traités dans lesquels l’expression de ce consentement se fait par un seul acte : la signature
l’expression du consentement à être lié se fait par deux actes une signature acte international et ensuite il faut une ratification par l’etat acte interne
valeur traités
tous les traités ont la même force obligatoire pour les etats partie et la meme valeur
article 6
tout etat a la capacité de conclure des traités
(il n’y a pas de lien automatique entre la capacité à conclure un traité et le fait d’etre reconnu comme un etat
ex de deux entités qui peuvent ne pas se reconnaitre comme etat mais ils sont partis d’un traité
entre iran et israel ils sont tous deux parties à un traité
etat federal et personnalité juridique
en principe seul un état fédéral a la personnalité juridique, les entités fédérées ne peuvent pas conclure de traités internationaux mais ce principe n’est pas absolu car chaque état peut accorder à ces coll fédérées des compétences en la matière
ex : usa ils le peuvent mais sous controle tres strict
en allemagne il faut une approbation
si état unitaire
la compétence appartient à l’etat mais régime graduel qui fait que des collectivités de droit commun n’ont pas de compétence en la matière
cas de la nouvelle calédonie
elle a des compétences spécifiques mais le président du gouvernement ne peut jamais signer un traité à la place de la france il va être associé aux négociation il va parfois pouvoir avoir un vpr de négocier
les organisations internationales peuvent elles conclure des traités internationaux ?
conv 1986 article 6 cette capacité est régie par les règles pertinentes de cette organisation
Article 2 de la même conv donné liste de ce qui est considéré comme des règles pertinentes de l’organisation les décisions et résolutions adoptées conformément à l’acte constitutif la pratique bien établie de l’organisation
Les ambitions peuvent conclure des traités internationaux
Cette capacité juridique ne fait plus de doutes et ça n’a pas tjrs été le cas même en droit positif et que il existe aussi une autre possibilité qui est que cette capacité résulte non pas de dispositions mais de pouvoir implicites de l’organisation
théorie des pouvoirs implicites
avis rendu le 11 avril 1949 affaire des réparations des dommages subis aux services des nations unies affaire bernadotte
La cour dit d’abord que les organisations ont déjà une personnalité juridique internationale mais il ne découle pas de cette personnalité juridique la même capacité que les états
La cour dit « l’organisation doit être considérée comme possédant des pouvoirs qui s’ils ne sont pas expressément énoncés dans la charte sont par conséquence nécessaires conféré à l’organisation en tant que essentiels à l’exercice de fonctions de celle-ci »
elle a été énoncée par la cour dans un avis consultatif du 8 juillet 96 à la demande de l’oms dans l’affaire de la licéité de l’arme nucléaire en droit international
arrêt 31 mars 1971 AETR
capacité juridique théorise pouvoirs implicites a considéré que les communautés doivent avoir à l’extérieur de l’ordre juridique européen des capacités dans toute l’étendue de leur champ de compétences interne
EXEMPLES DE mouvements de libération nationale
accords d’evian et le FLM en 1962
accords de washington en 1993
contrat passé entre un état et une personne privée étrangère
contrats d’Etat dans un domaine particulier en vue de la réalisation d’une opération économique d’une certaine importance le plus souvent en matière d’investissement ou encore les contrats de travaux publics ou encore des contrats d’exploitation de ressources naturelles ou des contrats pour la fourniture de certains biens, services, assistance technique mais tjrs de grande ampleur.
de tels contrats sont soumis au droit international ou au droit interne
à l’origine, au droit interne, CBJI 12 juillet 1929 affaire des emprunts serbes et brésiliens brésil vs yougoslavie
“tout contrat qui n’est pas un contrat entre des états en tant que sujet de droit international a son fondement dans une loi nationale”
internationalisation qui donne naissance au droit transnational droit applicable à des contrats qu’on appelle aussi contrats d’etat
affaire texaco contre lybie sentence 19 janvier 1977 rené jean dupuy le tribunal admet que de tels contrats peuvent être soumis au droit international si tel est la volonté des parties autonomie de la volonté des parties
sentence arbitrale rendue dans l’affaire société aminoil contre etat du koweit 24 mars 1982
le tribunal admet que de tels contrats peuvent être soumis au droit international si tel est la volonté des parties mais le tribunal ajoute ou si cela résulte de coutumes en la matière.
arrêt hect CA Paris 1970
même évolution en droit interne français ça peut être soumis au droit international si c’est la volonté des parties
menicucci 1975
le CA admet que le contrat peut être soumis au droit international si tel est la volonté des parties
article 42 p1 convention sur les investissements internationaux conv de Washington
e droit applicable de ce type de contrat est le droit de l’Etat contractant combiné avec les principes du droit international en la matière.”
article 7 p2 convention de viennes
énumère toutes les autorités étatiques qui peuvent représenter un Etat pour négocier un traité cela peut être 3 catégories : le chef d’Etat de gouvernement et le ministre des affaires étrangères chef des relations diplomatiques des représentants accrédités par un etat
article 52 constit
cest le PDR qui négocie et ratifie les traités
exceptions article 52
il délègue souvent ce pouvoir et donne une lettre de plein pouvoirs à une personne PLENI POTENTIERE
article 7 p1 convention de viennes
def des pleins pouvoirs lorsque débute une conférence de négociation d’un traité, tjrs l’examen des pleins pouvoirs les pleni potentiere viennent et déposent au secrétariat leur lettre purement protocolaire la plupart du temps
assemblée générale des nations unies 1974
cas où les pouvoirs de représentant d’un etat ont été contestés c’est la qualité de gouv légal qui a donné les plein pouvoirs le gouv applique un régime d’appartheid puis de décolonisation, ils disent que le gouv n’est pas légitime, n’est pas élu par l’ensemble des sud africains, l’afrique du sud a été empêché de participer à l’ag privée de son droit de vote
package deal
négocier sur un ensemble de dispositions, si un etat est opposé sur des dispositions mettant en cause des droits fondamentaux, on lui donne raisons sur des dispositions moins importantes et on garde celles-ci
adoption du texte généralement par consensus
procédure de non-objection, à la fin d’une négociation de plusieurs années on demande qui est contre donc pression sur celui qui est contre
cas dans lequel norme officielle peut être imposée par un traité
sauf si le traité est imposé par les nations unies dans ce cas il est nécessairement rédigé dans les 6 langues des nations unies
27 aout 1952 CIJ
droit des ressortissants américains au Maroc différend qui opposait la France aux usa le dispositif contient le corps de la convention et il contient aussi des annexes en droit des traités, elles font partie du dispositif, elles ont une force obligatoire
Il existe une obligation de négocier mais elle empreinte une forme particulière, tout d’abord, il n’existe pas n’obligation de négocier qui aurait une portée générale ce qui signifie qu’un Etat qui ne veut pas aller négocier un traité, rien ne l’y oblige, Cette obligation de négocier ne joue qu’en matière de règlement des différends internationaux elle signifie que lorsqu’il y a un différend entre deux états ils doivent les règles pacifiquement, c’est une conséquence de l’interdiction du recours à la force entre Etats.
Cette obligation est une obligation de négocier de bonne foi ce qui signifie
CPJI avis consultatif du 15 octobre 1931 affaire du trafic feroviaire entre la lituanie et la pologne
“il n’y a pas seulement obligation d’entamer des négociations, mais encore de les poursuivre autant que possible en vue d’arriver à des accords”
CJ 1969 plateau continental de la mer du nord RFA contre pays bas et danemark
les parties sont tenus d’engager une négociation en vue de réaliser un accord et non pas simplement de procéder à une négociation formelle” et elle ajoute “ils ont l’obligation de se comporter de telle manière que la négociation ait un sens ce qui n’est pas le cas quand l’une d’elle insiste sur sa propre position sans envisager aucune modification”
la cour a transformé cette obligation de négocier en obligation de résultat dans un avis consultatif du 8 juillet 1996 affaire de légalité de la menace de l’emploi de l’arme nucléaire
en matière de traité de désarmement nucléaire, les états n’ont pas seulement d’obligation de négocier mais aussi une obligation de conclure les traités, avis très critiqué depuis lors la cour a tjrs indiqué que l’obligation de négocier n’impliquait pas d’obligation de s’entendre
Arrêt 20 avril 2010 CIJ affaire des usines de pâte à papier argentine c/ Uruguay en matière de pollution
Cij 1er octobre 2018 affaire de l’obligation de négocier un accès à l’océan Pacifique Bolivie c/ Chili
consentement à être lié
signature ratification acceptation approbation adhésion
signature et ratification pour les traités en forme simplifiée
il s’agit d’un acte international que l’Etat accompli il signe le texte auprès d’une autorité, le dépositaire du traité la signature peut avoir deux effets juridiques différents si on est dans le cas d’un traité en forme simplifiée, la signature équivaut à l’expression du consentement à être lié