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Psychologie - L3 S5 > DIF3 (1/3) > Flashcards

DIF3 (1/3) Flashcards

1
Q

CM01 : LA VICARIANCE (1/2)

Quel est le concept central théorisé par Maurice Reuchlin en 1978 ?

A

La vicariance

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2
Q

CM01 : LA VICARIANCE (1/2)

Quels sont les trois auteurs principaux associés au modèle de la vicariance ?

A

Maurice Reuchlin, Jacques Lautrey, Théophile Ohlmann

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3
Q

CM01 : LA VICARIANCE (1/2)

Quelles sont les deux formes principales de variabilité dans le modèle de la vicariance ?

A

Variabilité interindividuelle et intra-individuelle

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4
Q

CM02 : LA VICARIANCE (2/2)

Quelle est la différence principale entre variabilité interindividuelle et intra-individuelle dans ce modèle ?

A

Interindividuelle : différences de stratégies entre individus
Intra-individuelle : variations de stratégies chez un même individu en fonction des situations

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5
Q

CM01 : LA VICARIANCE (1/2)

Qu’est-ce que le principe d’équivalence dans le modèle de Reuchlin ?

A

Plusieurs processus ou stratégies peuvent remplir la même fonction adaptative

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6
Q

CM01 : LA VICARIANCE (1/2)

Qu’est-ce que le principe de substitution selon Reuchlin ?

A

Un processus inefficace peut être remplacé par un autre pour remplir la même fonction

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7
Q

CM01 : LA VICARIANCE (1/2)

Quels facteurs influencent la hiérarchie d’évocabilité d’un processus ? (5)

A

Probabilité de réussite
Temps de mise en place
Degré d’automatisation
Renforcement positif ou négatif
Apprentissages

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8
Q

CM01 : LA VICARIANCE (1/2)

Quelles sont les trois dimensions du répertoire stratégique selon Reuchlin ?

A

Contenu du répertoire
Etendue du répertoire
Hiérarchie d’évocabilité

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9
Q

CM01 : LA VICARIANCE (1/2)

Quelle difficulté existe dans l’identification des stratégies cognitives ?

A

Elles ne sont pas toujours observables directement

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10
Q

CM01 : LA VICARIANCE (1/2)

Quels outils peuvent être utilisés pour mesurer les stratégies cognitives ? (3)

A

Contraintes expérimentales
Indices quantitatifs
Verbalisations

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11
Q

CM01 : LA VICARIANCE (1/2)

Comment Gibson définit-il les affordances ?

A

Comme les possibilités d’action établies à partir des relations entre un organisme et son environnement

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12
Q

CM01 : LA VICARIANCE (1/2)

Qu’est-ce que la sérendipité selon Ohlmann ?

A

La découverte inattendue d’une solution ou d’une stratégie grâce à des circonstances fortuites

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13
Q

CM01 : LA VICARIANCE (1/2)

Quels sont les 3 référentiels impliqués dans la perception de la verticale selon Marendaz (1989) ?

A

Référentiel visuel
Référentiel proprioceptif
Référentiel gravitaire

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14
Q

CM01 : LA VICARIANCE (1/2)

Quels sont les résultats des sujets DC et IC dans l’expérience de Marendaz (1989) en position normale ?

A

Sujets DC : nombreuses erreurs avec une hiérarchie priorisant les référentiels visuels
Sujets IC : peu ou pas d’erreurs, avec une priorité au référentiel gravitaire

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15
Q

CM01 : LA VICARIANCE (1/2)

Quels domaines pratiques illustrent l’organisation vicariante des référentiels spatiaux ?

A

Conduite automobile, activité posturale, stratégies des danseurs

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16
Q

CM01 : LA VICARIANCE (1/2)

Quelles sont les six stratégies de navigation décrites par Berthoz ?

A

Égocentrée, allocentrée, hétérocentrée, maquette 3D, taxis, praxique

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17
Q

CM01 : LA VICARIANCE (1/2)

Comment Logie et al. (1996) ont-ils étudié les stratégies mnésiques ?

A

En mesurant l’empan mnésique et les stratégies comme la répétition, le chunking, et la visualisation

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18
Q

CM01 : LA VICARIANCE (1/2)

Quels types de mots sont mieux rappelés selon Logie et al. (1996) ?

A

Les mots courts et phonologiquement différents

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19
Q

CM01 : LA VICARIANCE (1/2)

Quels résultats Baddeley et al. (1975) ont-ils observé sur le rappel des mots longs ?

A

Ils sont moins bien rappelés car la vitesse de lecture est plus faible

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20
Q

CM01 : LA VICARIANCE (1/2)

Quels sont les quatre types de stratégies identifiées par Eme et Marquer (1999) dans les tâches de rotation spatiale ?

A

Rotation mentale, rotation partielle, stratégie verbale, projection

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21
Q

CM01 : LA VICARIANCE (1/2)

Quelle est la caractéristique principale de la stratégie de rotation mentale ?

A

Imaginer la figure entière en mouvement

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22
Q

CM02 : LA VICARIANCE (2/2)

Comment Berthoz relie-t-il la vicariance à la flexibilité fonctionnelle ?

A

Il décrit la vicariance comme un outil de création permettant l’adaptation et la simplexité

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23
Q

CM02 : LA VICARIANCE (2/2)

Quels mécanismes sous-tendent les stratégies selon Berthoz ?

A

Les mécanismes cérébraux, décrits comme des « bibliothèques de modules fonctionnels »

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24
Q

CM02 : LA VICARIANCE (2/2)

Comment la flexibilité cognitive est-elle définie par Evelyne Clément ?

A

Comme la capacité à changer de stratégie ou de point de vue pour résoudre un problème

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25
Q

CM02 : LA VICARIANCE (2/2)

Quelle différence existe entre la flexibilité réactive et la flexibilité spontanée ?

A

Réactive : changement de stratégie en réponse à une impasse
Spontanée : adaptation proactive sans contrainte immédiate

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26
Q

CM02 : LA VICARIANCE (2/2)

Qu’est-ce que la vicariance créative selon Berthoz ?

A

La capacité à générer de nouvelles solutions face à une situation imprévue

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27
Q

CM02 : LA VICARIANCE (2/2)

Quels sont les facteurs influençant l’évocabilité des stratégies selon Berthoz ? (6)

A

Tâche, contexte, genre, âge, culture, expérience individuelle

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28
Q

CM02 : LA VICARIANCE (2/2)

Quelles différences individuelles Sternberg et Weil (1980) ont-ils observées dans les tâches de raisonnement ?

A

Corrélations entre temps de réponse et capacités verbales ou spatiales

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29
Q

CM02 : LA VICARIANCE (2/2)

Quels résultats ont été obtenus par Logie et al. (1996) sur l’apprentissage de listes de mots ?

A

La présentation auditive favorise un meilleur rappel que la présentation visuelle

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30
Q

CM02 : LA VICARIANCE (2/2)

Quels sont les résultats de l’étude de Marendaz (1989) en position instable ?

A

Tous les sujets utilisent le référentiel gravitaire, réduisant les différences individuelles

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31
Q

CM02 : LA VICARIANCE (2/2)

Quels sont les déterminants de l’organisation du répertoire stratégique ? (5)

A

Automatisation, apprentissage, renforcement, temps d’utilisation, succès attendu

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32
Q

CM02 : LA VICARIANCE (2/2)

Comment Ohlmann relie-t-il les affordances à la vicariance ?

A

Les affordances enrichissent le répertoire des possibilités adaptatives d’un individu

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33
Q

CM02 : LA VICARIANCE (2/2)

Quels sont les avantages d’une approche dynamique des interactions PxS selon Fleeson ?

A

Elle met en évidence la variabilité intra-individuelle en fonction des indices environnementaux

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34
Q

CM02 : LA VICARIANCE (2/2)

Quels processus sont impliqués dans la perception de la verticale selon Marendaz ?

A

Vision périphérique, oreille interne, direction de la gravité

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35
Q

CM02 : LA VICARIANCE (2/2)

Comment les stratégies mnésiques influencent-elles la performance cognitive ?

A

Elles permettent d’améliorer l’efficience en regroupant ou en verbalisant les informations

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36
Q

CM02 : LA VICARIANCE (2/2)

Quels facteurs peuvent expliquer la variabilité intra-individuelle selon Fleeson ?

A

Moments de la journée, nombre de personnes présentes, indices environnementaux

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37
Q

CM02 : LA VICARIANCE (2/2)

Quelles implications pratiques les recherches sur la vicariance ont-elles ?

A

Elles aident à développer des interventions adaptées aux individus et aux situations

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38
Q

CM02 : LA VICARIANCE (2/2)

Comment les différences interindividuelles influencent-elles la hiérarchie d’évocabilité ?

A

Chaque individu a un ordre de priorité unique dans son répertoire stratégique

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39
Q

CM02 : LA VICARIANCE (2/2)

Quels outils peuvent être utilisés pour analyser les stratégies dans des tâches complexes ?

A

Tests expérimentaux, mesures quantitatives, verbalisation des stratégies

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40
Q

CM02 : LA VICARIANCE (2/2)

Comment Berthoz lie-t-il la navigation spatiale à la vicariance ?

A

En décrivant les stratégies comme des outils flexibles adaptés aux contraintes environnementales

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41
Q

TD01 : INTERACTIONNISME

Quel est l’objectif principal de DIF3 ?

A

Comprendre comment les différences individuelles s’expriment dans l’interaction avec l’environnement, notamment dans l’interaction Personne x Situation (PxS)

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42
Q

TD01 : INTERACTIONNISME

Quelles formes de variabilité sont étudiées en psychologie différentielle ?

A

Variabilité interindividuelle, intergroupe, et intra-individuelle

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43
Q

TD01 : INTERACTIONNISME

Quels sont les deux termes essentiels du débat Personne x Situation ?

A

Disposition et Situation

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44
Q

TD01 : INTERACTIONNISME

Comment Kurt Lewin décrit-il le comportement dans son modèle ?

A

B = (P, S) où le comportement (Behavior) est fonction de la personne (Person) et de la situation (Situation)

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45
Q

TD01 : INTERACTIONNISME

Quelles sont les trois approches principales de l’interaction PxS ?

A

Approche statistique
Transactions Personne - Situation
Modèle de la vicariance

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46
Q

TD01 : INTERACTIONNISME

En quoi consiste une approche PxS « statistique » interindividuelle ?

A

Comparer les réactions de personnes différentes dans une même situation

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47
Q

TD01 : INTERACTIONNISME

Quels sont les deux types de groupes contrastés utilisés dans les études de l’interaction PxS ?

A

Groupes basés sur les dispositions (extraversion faible vs élevée) et sur les situations (amis vs inconnus)

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48
Q

TD01 : INTERACTIONNISME

Quelle est la variable dépendante dans l’étude sur le temps de parole et l’extraversion ?

A

Le temps de parole

49
Q

TD01 : INTERACTIONNISME

Quels sont les principaux résultats concernant l’effet de l’extraversion dans l’étude sur le temps de parole ?

A

Les individus très extravertis parlent plus, et l’effet de la situation est plus marqué chez les individus moins extravertis

50
Q

TD01 : INTERACTIONNISME

Quelles limites l’approche statistique PxS présente-t-elle ?

A

Elle ne prend pas en compte comment une personne influence ou crée une situation, ni comment une situation modifie une personne

51
Q

TD01 : INTERACTIONNISME

Comment Yao & Moskowitz (2015) étudient-ils la correspondance interpersonnelle dans les interactions professionnelles ?

A

En mesurant l’agréabilité des participants et en évaluant leur comportement pendant 20 jours face à des collègues chaleureux ou froids

52
Q

TD01 : INTERACTIONNISME

Quelle conclusion Fleeson (2001) tire-t-il de ses travaux sur la variabilité intra-individuelle ?

A

Les individus ont un niveau typique d’extraversion, mais ce niveau varie en fonction de la situation

53
Q

TD01 : INTERACTIONNISME

Comment les transactions Personne - Situation se distinguent-elles des approches statistiques ?

A

Elles prennent en compte que la personne peut modifier la situation (sélection, évocation, perception) et que la situation peut modifier la personne

54
Q

TD01 : INTERACTIONNISME

Quelles sont les trois façons dont une personne peut « construire » une situation, selon le modèle des transactions ?

A

Par la sélection, l’évocation et la perception de la situation

55
Q

TD01 : INTERACTIONNISME

Donnez un exemple d’effet de la situation sur la personne dans une interaction PxS

A

La variabilité intra-individuelle du niveau d’extraversion en fonction du moment de la journée ou du nombre de personnes présentes

56
Q

TD01 : INTERACTIONNISME

Qu’est-ce que le modèle de Lewin apporte au débat Personne – Situation ?

A

Une approche interactionniste qui considère conjointement les influences de la personne et de la situation

57
Q

TD01 : INTERACTIONNISME

Pourquoi est-il important d’étudier l’interaction PxS dans les interventions sur le terrain ?

A

Pour adapter les interventions en fonction des caractéristiques des individus et des situations spécifiques

58
Q

TD01 : INTERACTIONNISME

Quelles implications pratiques les recherches sur l’interaction PxS peuvent-elles avoir ?

A

Elles permettent de mieux comprendre et d’intervenir sur les comportements en considérant à la fois les dispositions personnelles et les contraintes situationnelles

59
Q

TD01 : INTERACTIONNISME

En quoi la flexibilité peut-elle être considérée comme un trait de personnalité ?

A

Elle reflète la capacité des individus à adapter leurs comportements aux indices présents dans leur environnement

60
Q

TD01 : INTERACTIONNISME

Quel point clé résume la différence entre les approches statique et dynamique de l’interaction PxS ?

A

L’approche statique analyse les effets isolés de P et S, tandis que l’approche dynamique explore leur interaction et leur influence mutuelle

61
Q

TD02 : LE MODELE DE LA VICARIANCE

Qu’est-ce que le modèle de la vicariance met en avant concernant les stratégies utilisées par les individus ?

A

Plusieurs processus substituables permettent d’atteindre le même résultat

62
Q

TD02 : LE MODELE DE LA VICARIANCE

Qu’est-ce que la “tête de catalogue” dans le modèle de la vicariance ?

A

La stratégie la plus accessible pour un individu dans une situation donnée

63
Q

TD02 : LE MODELE DE LA VICARIANCE

Quelle est la différence principale entre variabilité interindividuelle et intra-individuelle dans ce modèle ?

A

Interindividuelle : différences de stratégies entre individus
Intra-individuelle : variations de stratégies chez un même individu en fonction des situations

64
Q

TD02 : LE MODELE DE LA VICARIANCE

Quels sont les deux types de situations décrites dans ce modèle ?

A

Situations clémentes (faible contrainte) et situations contraignantes

65
Q

TD02 : LE MODELE DE LA VICARIANCE

Comment se caractérise une situation clémente dans le modèle de la vicariance ?

A

Toutes les stratégies ont une probabilité d’efficacité similaire et élevée

66
Q

TD02 : LE MODELE DE LA VICARIANCE

Quelle est la particularité des situations contraignantes dans le modèle ?

A

Une stratégie a une probabilité d’efficacité nettement supérieure aux autres

67
Q

TD02 : LE MODELE DE LA VICARIANCE

Comment s’appelle le changement de stratégie dans une situation selon ce modèle ?

A

Rotation de la tête de catalogue

68
Q

TD02 : LE MODELE DE LA VICARIANCE

Quels sont les trois types de stratégies possibles dans la tâche des cubes de Kohs ?

A

Globale, analytique, synthétique

69
Q

TD02 : LE MODELE DE LA VICARIANCE

Pourquoi un individu flexible a-t-il une meilleure probabilité de réussite en situation complexe ?

A

Il peut adapter ses stratégies et privilégier celles qui sont les plus efficaces

70
Q

TD02 : LE MODELE DE LA VICARIANCE

Quelles implications pratiques le modèle de la vicariance peut-il avoir en pédagogie ?

A

Élargir le répertoire d’actions, améliorer l’évocabilité des stratégies, adapter les stratégies à la situation

71
Q

TD02 : LE MODELE DE LA VICARIANCE

Quels facteurs influencent l’évocabilité des stratégies selon ce modèle ?

A

Apprentissages, renforcement, temps de mise en place, degré d’automatisation

72
Q

TD02 : LE MODELE DE LA VICARIANCE

Comment se traduit la flexibilité cognitive dans le cadre du modèle de la vicariance ?

A

Par la capacité à adapter sa stratégie à une situation spécifique en changeant de processus

73
Q

TD02 : LE MODELE DE LA VICARIANCE

Qu’est-ce qu’un individu vicariant ?

A

Un individu capable de mobiliser différents processus substituables selon les situations

74
Q

TD02 : LE MODELE DE LA VICARIANCE

En quoi le modèle de la vicariance est-il une approche interactionniste ?

A

Il prend en compte à la fois les caractéristiques de l’individu et celles de la situation

75
Q

TD02 : LE MODELE DE LA VICARIANCE

Pourquoi la hiérarchie d’évocabilité n’est-elle valide que pour une classe donnée de situations ?

A

Parce qu’elle dépend des contraintes spécifiques à chaque situation

76
Q

TD02 : LE MODELE DE LA VICARIANCE

Qu’est-ce qui peut limiter la flexibilité d’un individu dans le modèle ?

A

Une forte dépendance à une seule stratégie (peu de rotation de la tête de catalogue)

77
Q

TD02 : LE MODELE DE LA VICARIANCE

Quelles stratégies ont une probabilité d’efficacité élevée en situation complexe dans la tâche des cubes de Kohs ?

A

Les stratégies analytique et synthétique

78
Q

TD02 : LE MODELE DE LA VICARIANCE

Quels sont les objectifs principaux pour développer la flexibilité selon ce modèle ?

A

Acquérir un répertoire large de stratégies et apprendre à utiliser la bonne stratégie dans la bonne situation

79
Q

TD02 : LE MODELE DE LA VICARIANCE

En quoi consiste l’interprétation pratique du modèle dans un contexte éducatif ?

A

Adapter les méthodes pédagogiques pour aider les apprenants à élargir leur répertoire stratégique

80
Q

TD02 : LE MODELE DE LA VICARIANCE

Quelle est la conclusion centrale du modèle de la vicariance ?

A

La flexibilité stratégique permet d’utiliser les processus les plus adaptés pour maximiser la réussite en fonction des situations

81
Q

CM03 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (1/2)

Quels sont les trois enjeux scientifiques majeurs dans l’étude des influences génétiques et environnementales ?

A

Déterminer l’influence de chaque facteur, comprendre la variabilité individuelle, et analyser les interactions entre gènes et environnement

82
Q

CM03 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (1/2)

Quels sont les deux principaux facteurs influençant la variance phénotypique ?

A

Facteurs génétiques et environnementaux

83
Q

CM03 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (1/2)

Qu’est-ce que le débat inné vs. acquis cherche à identifier ?

A

La part d’inné et d’acquis dans chaque caractéristique psychologique

84
Q

CM03 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (1/2)

Quelles sont les méthodes principales pour étudier les influences génétiques ? (5)

A

Modèle animal, méthode du risque familial, méthode des jumeaux, méthode des adoptions, études de liaisons génétiques et d’associations pangénomiques

85
Q

CM03 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (1/2)

Quelle conclusion principale ressort de l’étude de Tryon (1942) sur les rats dans un labyrinthe ?

A

La sélection génétique influence les comportements

86
Q

CM03 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (1/2)

Comment l’étude de Cooper et Zubeck (1958) illustre-t-elle l’interaction entre gènes et environnement ?

A

Les rats élevés dans un milieu enrichi montrent de meilleures performances, indépendamment de leur génétique

87
Q

CM03 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (1/2)

Quels résultats sont obtenus dans l’étude de l’autisme via la méthode du risque familial ?

A

Taux de concordance de 70 % pour les jumeaux monozygotes (MZ) et de 10 % pour les dizygotes (DZ)

88
Q

CM03 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (1/2)

Pourquoi la méthode des jumeaux est-elle utile pour évaluer l’héritabilité ?

A

Elle compare les similarités entre jumeaux monozygotes et dizygotes pour isoler l’effet des gènes

89
Q

CM03 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (1/2)

Quels résultats Skodak et Skeels (1945) ont-ils obtenus sur l’impact des parents biologiques et adoptifs ?

A

L’éducation des parents adoptifs a une influence sur le QI des enfants, mais moins que le QI des parents biologiques

90
Q

CM03 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (1/2)

Quels gènes sont associés aux troubles addictifs selon Gorwood et al. (2008) ?

A

DRD2, DAT, et OPRM1

91
Q

CM03 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (1/2)

Quelles sont les deux principales composantes de l’environnement décrites dans ce cours ?

A

Environnement partagé et environnement non partagé

92
Q

CM03 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (1/2)

Quels résultats Zajonc et Markus (1975) ont-ils obtenus sur l’influence de la taille de la fratrie ?

A

Une taille de fratrie plus élevée est associée à une diminution du facteur g (intelligence générale)

93
Q

CM03 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (1/2)

Pourquoi les résultats des jumeaux élevés ensemble et séparément sont-ils importants pour l’étude des influences génétiques ?

A

Ils permettent d’isoler les effets de l’environnement partagé et non partagé

94
Q

CM03 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (1/2)

Qu’est-ce que l’environnement partagé dans le cadre familial ?

A

Les expériences communes aux membres de la famille, comme le niveau socio-économique

95
Q

CM03 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (1/2)

Qu’est-ce que l’environnement non partagé dans le cadre familial ?

A

Les expériences uniques à chaque individu, comme les relations singulières parent-enfant

96
Q

CM03 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (1/2)

Comment l’environnement partagé influence-t-il les performances cognitives, selon l’étude de Laugier et al. (1939) ?

A

Un régime alimentaire enrichi et de bonnes conditions de vie améliorent les performances cognitives

97
Q

CM03 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (1/2)

Quels résultats Laugier et al. (1939) ont-ils obtenus sur l’alimentation et les performances cognitives ?

A

Un régime enrichi améliore les performances cognitives, mais des carences peuvent entraîner des pertes significatives

98
Q

CM03 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (1/2)

Quels résultats ressortent de l’étude de Caspi et al. (2005) sur le gène COMT et la consommation de cannabis ?

A

Une interaction entre un allèle spécifique (Val) et la consommation de cannabis augmente le risque de troubles psychotiques

99
Q

CM03 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (1/2)

Quelles sont les trois formes d’interaction gènes-environnement selon Scarr et McCartney (1983) ?

A

Passive, évocatrice, et active

100
Q

CM03 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (1/2)

Quel est le principal résultat de la méta-analyse de Polderman et al. (2015) sur l’héritabilité ?

A

L’héritabilité varie entre 30 et 40 % selon les caractéristiques étudiées

101
Q

CM04 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (2/2)

Comment la méthode des adoptions permet-elle d’étudier les influences génétiques et environnementales ?

A

En comparant les caractéristiques des enfants avec celles de leurs parents biologiques et adoptifs

102
Q

CM04 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (2/2)

Quels résultats Fox et al. (2005) ont-ils obtenus sur l’interaction entre le gène 5-HTTLPR et le soutien maternel ?

A

Une combinaison d’un faible soutien maternel et d’un allèle court du gène est associée à un risque accru de troubles psychopathologiques

103
Q

CM04 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (2/2)

Quels sont les principaux résultats de l’étude de Wellcome Trust Case Control Consortium (2007) sur les maladies courantes ?

A

Des associations faibles entre des marqueurs génétiques et des maladies courantes, avec un rôle significatif de l’environnement

104
Q

CM04 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (2/2)

Pourquoi l’analyse des interactions est-elle essentielle pour comprendre les troubles psychopathologiques ?

A

Parce qu’elle met en évidence comment les facteurs génétiques et environnementaux se combinent pour influencer les comportements

105
Q

CM04 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (2/2)

Quelles implications pratiques découlent des interactions gènes-environnement ?

A

Adapter les interventions psychologiques en fonction des facteurs génétiques et environnementaux spécifiques

106
Q

CM04 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (2/2)

Pourquoi les données des études génétiques et environnementales sont-elles parfois contradictoires ?

A

À cause de la complexité des interactions, des méthodes utilisées et des échantillons étudiés

107
Q

CM04 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (2/2)

Quels résultats Plomin et Spinath (2004) ont-ils obtenus sur l’héritabilité du quotient intellectuel ?

A

Une part génétique importante mais influencée par les interactions avec l’environnement

108
Q

CM04 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (2/2)

Quels sont les principaux objectifs des études en psychologie différentielle sur les influences génétiques et environnementales ?

A

Comprendre les interactions, expliquer la variabilité individuelle, et informer les interventions psychologiques

109
Q

CM04 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (2/2)

Quels résultats Matarazzo et Herman (1984) ont-ils obtenus sur le niveau d’étude et les capacités cognitives ?

A

Un niveau d’éducation élevé est associé à de meilleures performances cognitives

110
Q

CM04 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (2/2)

Comment les approches méthodologiques modernes enrichissent-elles l’étude des influences génétiques ?

A

En combinant l’analyse de grandes bases de données avec des modèles statistiques avancés

111
Q

CM04 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (2/2)

Quels résultats ressortent de l’étude de Butcher et al. (2008) sur le facteur g ?

A

Chaque gène n’explique qu’une faible part de la variance, souvent moins de 0.4 %

112
Q

CM04 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (2/2)

Quels facteurs influencent les différences observées dans les traits de personnalité selon la méthode des jumeaux ?

A

Une combinaison d’héritabilité et d’influences environnementales

113
Q

CM04 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (2/2)

Quels sont les enjeux des modèles interactionnistes dans l’étude des influences gènes-environnement ?

A

Comprendre comment les gènes et l’environnement interagissent pour influencer les comportements

114
Q

CM04 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (2/2)

Comment les résultats des études sur les jumeaux contribuent-ils à la compréhension des traits de personnalité ?

A

Ils montrent une héritabilité significative pour de nombreux traits, mais aussi une influence importante de l’environnement non partagé

115
Q

CM04 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (2/2)

Quels résultats les études pangénomiques ont-elles obtenus concernant le bien-être subjectif ?

A

Elles expliquent une part plus faible de la variance (12 à 18 %) comparée aux études sur les jumeaux

116
Q

CM04 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (2/2)

Quels sont les défis principaux des recherches sur les interactions gènes-environnement ?

A

L’hétérogénéité des résultats, les limites méthodologiques et la complexité des interactions

117
Q

CM04 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (2/2)

Quel est l’enjeu principal de l’analyse des interactions gènes-environnement dans le domaine de la psychologie ?

A

Développer des interventions plus efficaces et adaptées à la variabilité individuelle

118
Q

CM04 : INFLUENCES GENETIQUES ET ENVIR. (2/2)

Comment les résultats des études sur les rats illustrent-ils les influences combinées des gènes et de l’environnement ?

A

Un environnement enrichi peut compenser des prédispositions génétiques défavorables

Psychologie - L3 S5 (14 decks)

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