Cours 18 APNÉES DU SOMMEIL ET HYPOPNÉE Flashcards
Lequel ou lesquels des énoncés suivants sont VRAIS ?
a) Dans la forme classique du SAHS, les patients souffrent d’hypersomnolence diurne qui se manifeste comme un besoin irrépressible d’aller dormir survenant de façon brutale.
b) On note parfois chez les patients atteints du SAHS des changements de la personnalité, des troubles de la mémoire récente et une baisse des facultés de concentration.
c) Les patients atteints du SAHS n’ont pas l’impression que la qualité de leur sommeil est compromise.
d) L’index d’apnée et d’hypopnée définit le nombre de ces anomalies par heure de sommeil. Un index etre 5 et 14 par heure est défini comme léger, entre 15 et 29 par heure comme modéré et de 30 et plus comme sévère.
b) On note parfois chez les patients atteints du SAHS des changements de la personnalité, des troubles de la mémoire récente et une baisse des facultés de concentration.
d) L’index d’apnée et d’hypopnée définit le nombre de ces anomalies par heure de sommeil. Un index etre 5 et 14 par heure est défini comme léger, entre 15 et 29 par heure comme modéré et de 30 et plus comme sévère.
Lequel ou lesquels des énoncés suivants sont VRAIS ?
a) Le diagnostic de SAHS doit être évoqué devant des manifestations cardiovasculaires comme l’hypertension artérielle systémique, le cœur pulmonaire chronique et l’angine chez un ronfleur ou le caractère réfractaire au traitement antihypertenseur de l’hypertension artérielle.
b) La surcharge pondérale, les anomalies crânio-mandibulaires et une circonférence de cou diminuée sont toutes des observations cliniques associées à une probabilité élevée de SAHS.
c) Les 3 types d’apnées sont le plus souvent présents chez un même patient.
d) Les événements d’apnées ‘‘mixtes’’ s’accompagnent des effets secondaires les plus marqués, soit la chute de la saturation en oxygène et les troubles du rythme cardiaque.
a) Le diagnostic de SAHS doit être évoqué devant des manifestations cardiovasculaires comme l’hypertension artérielle systémique, le cœur pulmonaire chronique et l’angine chez un ronfleur ou le caractère réfractaire au traitement antihypertenseur de l’hypertension artérielle.
c) Les 3 types d’apnées sont le plus souvent présents chez un même patient.
Lequel ou lesquels des énoncés suivants sont VRAIS ?
a) La sévérité des désaturations post-apnéiques dépend de la longueur des apnées, de la saturation en oxygène initiale et du volume de réserve expiratoire.
b) L’enregistrement polysomnographique complet en laboratoire est l’examen de référence qui permet de poser un diagnostic de SAHS avec certitude en quantifiant les événements anormaux et en précisant leurs conséquences.
c) Les mouvements des jambes sont enregistrés par électromyogramme ou par capteurs de mouvements peu importe le niveau du système d’enregistrement sommeil et respiratoire.
d) Dans les enregistrements de niveau III et IV, le nombre de paramètres enregistrés est moins important qu’au cours de l’étude polysomnographique complète, mais ils comprennent tout de même toujours un enregistrement de l’électroencéphalogramme.
a) La sévérité des désaturations post-apnéiques dépend de la longueur des apnées, de la saturation en oxygène initiale et du volume de réserve expiratoire.
b) L’enregistrement polysomnographique complet en laboratoire est l’examen de référence qui permet de poser un diagnostic de SAHS avec certitude en quantifiant les événements anormaux et en précisant leurs conséquences.
Lequel ou lesquels des énoncés suivants sont VRAIS ?
a) Les patients apnéiques sont fréquemment porteurs d’un syndrome métabolique, d’intolérance au glucose et de diabète de type II. Ceci est expliqué principalement pas le fait que ces patients sont en grande majorité obèses.
b) Dans la majorité des cas, le diagnostic de SAHS nécessite un enregistrement polysomnographique complet en laboratoire.
c) Seul le système d’enregistrement sommeil et respiratoire de niveau I implique une surveillance constante qui permet des interventions lorsque nécessaire.
d) La perte de poids a un effet négligeable sur la sévérité des apnées.
c) Seul le système d’enregistrement sommeil et respiratoire de niveau I implique une surveillance constante qui permet des interventions lorsque nécessaire.
Lequel ou lesquels des énoncés suivants sont VRAIS ?
a) Le taux d’hémoglobine glycolysée est inversement proportionnel à la sévérité des anomalies respiratoires
b) L’exposition à des désaturations périodiques induit des perturbations de l’homéostasie glucidique chez le sujet sain.
c) La correction des anomalies respiratoires a des effets maigres sur le profil métabolique et le contrôle du diabète chez les sujets non-obèses.
d) L’absorption d’alcool diminue la sévérité des problèmes respiratoires nocturnes alors que le manque de sommeil en augmente la sévérité.
b) L’exposition à des désaturations périodiques induit des perturbations de l’homéostasie glucidique chez le sujet sain.
Lequel ou lesquels des énoncés suivants sont VRAIS ?
a) Les orthèses d’avancement mandibulaires préviennent le recul postérieur de la mâchoire et sont indiquées dans les cas d’apnée sévère.
b) La trachéotomie doit parfois être envisagée lorsque le pronostic vital est en jeu et en cas d’échec au traitement par pression positive continue nasale.
c) La pression positive continue nasale constitue un traitement efficace et adapté à tous les patients.
d) L’enregistrement de type IV est fréquemment utilisé en clinique et il est facilement disponible.
b) La trachéotomie doit parfois être envisagée lorsque le pronostic vital est en jeu et en cas d’échec au traitement par pression positive continue nasale.
d) L’enregistrement de type IV est fréquemment utilisé en clinique et il est facilement disponible.
Lequel de ces énoncés est le plus approprié ?
A. Le diabète de type II augmente le risque de faire de l’apnée du sommeil.
B. L’apnée du sommeil augmente le risque de faire du diabète de type II.
B. L’apnée du sommeil augmente le risque de faire du diabète de type II.
Lequel ou lesquels des énoncés suivants sont VRAIS ?
a) Les patients avec apnée du sommeil sont plus à risque de faire de la défaillance cardiaque.
b) L’hypersomnie se manifeste généralement lorsque le patient reçoit un trop plein de stimulis.
c) Généralement avec la narcolepsie, le patient se réveille totalement reposé.
d) Les épisodes de cataplexie sont un signe d’hypersomnolence, et non de narcolepsie.
a) Les patients avec apnée du sommeil sont plus à risque de faire de la défaillance cardiaque.
c) Généralement avec la narcolepsie, le patient se réveille totalement reposé.
Concernant l’apnée du sommeil, l’hypersomnolence et l’hypopnée, lequel ou lesquels de ces énoncés sont VRAIS ?
a) Les troubles de mémoire récente et la baisse des facultés de concentration sont des signes de l’hypersomnolence.
b) Le plus souvent, les épisodes nocturnes anormaux sont rapportés par le patient lui-même.
c) Les patients aux prises de troubles du sommeil font preuve de mouvements brusques durant la nuit.
d) L’hypersomnie se manifeste lorsque le patient n’est pas suffisamment stimulé.
a) Les troubles de mémoire récente et la baisse des facultés de concentration sont des signes de l’hypersomnolence.
c) Les patients aux prises de troubles du sommeil font preuve de mouvements brusques durant la nuit.
d) L’hypersomnie se manifeste lorsque le patient n’est pas suffisamment stimulé.
Clinique
______
Q1 : Qu’est-ce que la narcolepsie ?
Q2 : Nommer un 𝗾𝘂𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗮𝗶𝗿𝗲 utilisé pour évaluer l’hypersomnolence.
Q1 : besoin irrépressible d’aller dormir (urgence de sommeil)
Q2 : questionnaires Epworth
L’obésité a un grand rôle dans les troubles respiratoires du sommeil.
L’accentuation de la prise de poids est souvent associée aux premières manifestations de ___.
On dit donc que la perte de poids constitue en soi une voie de traitement pour l’apnée constructive. La perte de poids s’accompagne d’une réduction de la ___ des voies aériennes supérieures.
Néanmoins, la perte
de poids est plus efficace chez le sexe ___ que chez le sexe ___.
l’hypersomnolence
collapsibilité
masculin
féminin
Concernant l’apnée du sommeil, l’hypersomnolence et l’hypopnée, lequel ou lesquels de ces énoncés sont VRAIS ?
a) L’absence d’excès de poids (obésité) exclut le diagnostic d’apnée du sommeil.
b) Le diagnostic repose uniquement sur la polysomnographie.
c) Une rétrognathie est un signe à rechercher à l’examen physique.
d) On peut observer chez ces patients une atrophie de la langue.
c) Une rétrognathie est un signe à rechercher à l’examen physique
Manifestations cliniques
_____
Q1 : Qu’est-ce que la rétrognathie ?
Q2 : Que doit-on rechercher à la circonférence du cou ?
Q1 : déviation anormale de la mâchoire vers l’arrière
Q2 : une augmentation de sa circonférence
Quels sont les principaux signes et symptômes nocturnes des SAHS ? (6)
- ronflement
- sommeil agité
- mouvements brusques
- sudations nocturnes
- nycturie
- impotence
🛑Diagnostic
_____
Q1 : Le diagnostic de SAHS doit être évoqué devant des manifestations 𝗰𝗮𝗿𝗱𝗶𝗼𝘃𝗮𝘀𝗰𝘂𝗹𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀. Lesquelles ? (4)
Q2 : Quel est le score Epworth normal chez un sujet sain ?
Q1 :
- HTA
- réfractaire au traitement antihypertenseur
- coeur pulmonaire chronique
- angor
Q2 : < 10
Le 𝗦𝗔𝗢𝗦 doit être envisagé au cours d’une maladie pulmonaire obstructive chronique lorsque
___ et ___ sont disproportionnées par rapport aux anomalies fonctionnelles
respiratoires.
l’hypoxémie
l’hypercapnie
L’examen clinique des SAOS
_______
Q1 : Qu’est-ce que la macroglossie ?
Q2 : Comment se présente la mqueuse pharyngée des patients avec SAOS ?
Q1 : augmentation anormale du volume de la langue
Q2 : aspect flasque de la muqueuse pharyngée
Mme Dumoulin est votre patiente. Elle est obèse.
Elle vous raconte qu’elle se sent de plus en plus fatiguée durant le jour, si bien qu’elle s’endort à son travail de bibliothécaire.
Son conjoint affirme qu’elle ronfle beaucoup et qu’elle a des réveils brefs la nuit.
Vous décidez de faire un examen physique.
Q1 : Que recherchez-vous au niveau de sa luette et de ses amygdales ?
Q2 : Serait-ce pertinent d’observer dans son nez ? Justifiez.
Q1 : hypertrophie de la luette ou des amygdales
Q2 : oui, très pertinent. On recherchera des signes d’obstruction nasale