Cours 15 MALADIES RESPIRATOIRES PROFESSIONNELLES 1 Flashcards
Concernant les maladies respiratoires professionnelles, lequel ou lesquels de ces énoncés sont VRAIS ?
a) La silice, le fer, le baryum, l’amiante et le charbon sont des particules inorganiques inertes alors que le manganèse, le bismuth et le béryllium sont des particules inorganiques non-inertes.
b) L’inhalation de particules inorganiques non-inertes conduit à des pneumopathies fibrosantes.
c) L’inhalation de particules inorganiques inertes conduit à des pneumopathies de surcharge.
d) La forme chronique de la silicose est la plus fréquente et survient habituellement moins de 20 ans après le début de l’exposition.
b) L’inhalation de particules inorganiques non-inertes conduit à des pneumopathies fibrosantes.
c) L’inhalation de particules inorganiques inertes conduit à des pneumopathies de surcharge.
Concernant les maladies respiratoires professionnelles, lequel ou lesquels de ces énoncés sont VRAIS ?
a) Le quartz est la forme cristalline la plus abondante de silice.
b) L’incidence de tuberculose est accrue jusqu’à 10 fois chez les gens souffrant de silicose comparativement à la population normale.
c) Il n’existe aucun traitement pharmacologique efficace contre la silicose.
d) On diagnostique de moins en moins de cancer du poumon relié à l’exposition à l’amiante.
a) Le quartz est la forme cristalline la plus abondante de silice.
c) Il n’existe aucun traitement efficace contre la silicose.
Concernant les maladies respiratoires professionnelles, lequel ou lesquels de ces énoncés sont VRAIS ?
a) La présence d’hémosidérine dans le parenchyme pulmonaire signe une exposition antérieure à l’amiante.
b) Le risque de développer l’amiantose est proportionnel au degré d’exposition qui prend en compte tant la concentration de fibres que la durée du contact.
c) Les fibres serpentines, incurvées et souples, sont plus toxiques que les fibres amphiboles, droites et rigides.
d) L’utilisation de l’amiante a été très importante jusqu’en 1970. Depuis ce temps, son usage a considérablement diminué.
b) Le risque de développer l’amiantose est proportionnel au degré d’exposition qui prend en compte tant la concentration de fibres que la durée du contact.
d) L’utilisation de l’amiante a été très importante jusqu’en 1970. Depuis ce temps, son usage a considérablement diminué.
Concernant l’exposition à l’amiante, lequel ou lesquels de ces énoncés sont VRAIS ?
a) Le mésothéliome malin survient le plus fréquemment au niveau de la plèvre pariétale et plus rarement au niveau du péritoine.
b) Il existe une forte synergie entre le tabac et l’amiante dans le risque de développer un mésothéliome malin.
c) Le mésothéliome malin peut survenir sans qu’aucune exposition à l’amiante ne soit identifiable.
d) Pour le mésothéliome malin, le type histologique épithélial est pus fréquent et confère un meilleur pronostic que le type sarcomateux.
a) Le mésothéliome malin survient le plus fréquemment au niveau de la plèvre pariétale et plus rarement au niveau du péritoine.
c) Le mésothéliome malin peut survenir sans qu’aucune exposition à l’amiante ne soit identifiable.
d) Pour le mésothéliome malin, le type histologique épithélial est pus fréquent et confère un meilleur pronostic que le type sarcomateux.
Concernant l’exposition à l’amiante, lequel ou lesquels de ces énoncés sont VRAIS ?
a) Il existe une synergie entre le tabac et l’amiante dans le risque de développer un cancer du poumon.
b) L’amiantose est induite par une exposition prolongée aux fibres d’amiante et survient après une période de latence de 20 à 40 ans.
c) L’atélectasie ronde survient lorsque la fibrose pleurale progresse et englobe des zones de parenchyme pulmonaire.
d) Les plaques pleurales sont des zones de fibrose localisées et circonscrites de la plèvre pariétale. Le nombre de plaques pleurales est proportionnel avec le risque de développer un mésothéliome.
a) Il existe une synergie entre le tabac et l’amiante dans le risque de développer un cancer du poumon.
b) L’amiantose est induite par une exposition prolongée aux fibres d’amiante et survient après une période de latence de 20 à 40 ans.
c) L’atélectasie ronde survient lorsque la fibrose pleurale progresse et englobe des zones de parenchyme pulmonaire.
Concernant les maladies respiratoires professionnelles, lequel ou lesquels de ces énoncés sont VRAIS ?
a) La bérylliose ne survient qu’après une exposition prolongée à des concentrations élevées de béryllium.
b) Il n’y a pas de relation entre la présence de plaques pleurales et le développement d’une amiantose ou d’un mésothéliome.
c) Dans une pleurésie bénigne de l’amiante, le liquide pleural est un exsudat, le plus souvent séro-sanquin et le plus souvent du côté gauche.
d) Les manifestations principales de la toxicité du béryllium sont dues à une réaction immunitaire conduisant à la formation de granulomes non caséeux semblables à ceux de la sarcoïdose.
b) Il n’y a pas de relation entre la présence de plaques pleurales et le développement d’une amiantose ou d’un mésothéliome.
c) Dans une pleurésie bénigne de l’amiante, le liquide pleural est un exsudat, le plus souvent séro-sanquin et le plus souvent du côté gauche.
d) Les manifestations principales de la toxicité du béryllium sont dues à une réaction immunitaire conduisant à la formation de granulomes non caséeux semblables à ceux de la sarcoïdose.
Concernant le béryllium, lequel ou lesquels de ces énoncés sont VRAIS ?
a) La forme chronique de la bérylliose suit une exposition à faibles concentrations de béryllium.
b) Chez un patient atteint de bérylliose, les tests de fonction respiratoire soulignent un syndrome obstructif avec une baisse des volumes pulmonaires et de la diffusion.
c) D’autres organes peuvent être touchés par la bérylliose comme les glandes salivaires, le cœur, le foie, la rate, les reins, la peau, les os et les ganglions lymphatiques.
d) Les manifestations principales de la toxicité de la silice sont dues à une réaction immunitaire conduisant à la formation de granulomes caséeux semblables à ceux de la sarcoïdose.
a) La forme chronique de la bérylliose suit une exposition à faibles concentrations de béryllium.
c) D’autres organes peuvent être touchés par la bérylliose comme les glandes salivaires, le cœur, le foie, la rate, les reins, la peau, les os et les ganglions lymphatiques.
Concernant les maladies respiratoires professionnelles, lequel ou lesquels de ces énoncés sont VRAIS ?
a) L’asthme professionnel avec période de latence survient après une période de latence nécessaire au développement d’une sensibilisation à un agent obligatoirement de haut poids moléculaire.
b) On parle d’asthme professionnel seulement si le travailleur ne souffrait pas d’asthme auparavant.
c) L’asthme professionnel sans période de latence survient en dedans de 12 heures suivant l’inhalation en grande concentration d’une substance irritante tel un gaz, de la vapeur, de la fumée ou un aérosol.
d) L’alvéolite allergique extrinsèque est une maladie inflammatoire du poumon résultant habituellement de la sensibilisation à une substance organique à laquelle un individu est exposé de façon répétée.
c) L’asthme professionnel sans période de latence survient en dedans de 12 heures suivant l’inhalation en grande concentration d’une substance irritante tel un gaz, de la vapeur, de la fumée ou un aérosol.
d) L’alvéolite allergique extrinsèque est une maladie inflammatoire du poumon résultant habituellement de la sensibilisation à une substance organique à laquelle un individu est exposé de façon répétée.
Concernant les maladies respiratoires professionnelles, lequel ou lesquels de ces énoncés sont VRAIS ?
a) Dans l’alvéolite allergique extrinsèque, la réaction immunologique est de nature retardée, survenant 3 à 8 jours après l’exposition.
b) Au niveau du lavage broncho-alvéolaire chez un patient atteint d’une amiantose, on retrouve une forte lymphocytose.
c) Parmi les agents responsables de l’alvéolite allergique extrinsèque, on retrouve principalement des substances inertes.
d) L’industrie du textile est surtout associé à l’amiantose.
c) Parmi les agents responsables de l’alvéolite allergique extrinsèque, on retrouve principalement des substances inertes.
d) L’industrie du textile est surtout associé à l’amiantose.
Pour chaque contexte professionnel, dire quelle maladie respiratoire professionnelle est la plus probable.
- Céramique :
- Salons de coiffure :
- Soudeurs :
- Industrie pharmaceutique :
- Céramique : Silicose
- Salons de coiffure : asthme prof.
- Soudeurs : asthme prof.
- Industrie pharmaceutique : asthme prof.
Pour chaque contexte professionnel, dire quelle maladie respiratoire professionnelle est la plus probable.
- Industrie du textile :
- Mines et carrières :
- Fabrication de tubes fluorescents :
- Polissage de pierre et traitement des minerais :
- Industrie du textile : Amiantose
- Mines et carrières : Silicose
- Fabrication de tubes fluorescents : Bérylliose
- Polissage de pierre et traitement des minerais : Silicose
Pour chaque contexte professionnel, dire quelle maladie respiratoire professionnelle est la plus probable.
- Fermiers :
- Isolation :
- Industrie spatiale :
- Industrie de la climatisation :
- Fermiers : Alvéolite allergique extrinsèque
- Isolation : Amiantose
- Industrie spatiale : Bérylliose
- Industrie de la climatisation : asthme prof.
Pour chaque contexte professionnel, dire quelle maladie respiratoire professionnelle est la plus probable.
- Soigneurs et éleveurs d’oiseaux :
- Construction navale :
- Boulangers :
- Industrie des réacteurs nucléaires :
- Soigneurs et éleveurs d’oiseaux : Alvéolite allergique extrinsèque
- Construction navale : Amiantose
- Boulangers : asthme prof.
- Industrie des réacteurs nucléaires : Bérylliose
Lequel de ces énoncés est le plus approprié ?
A. Il n’y a pas de relation entre la présence de plaques pleurales et le développement d’une amiantose ou d’un mésothéliome.
B. Le nombre de plaques pleurales est proportionnel avec le risque de développer un mésothéliome.
A. Il n’y a pas de relation entre la présence de plaques pleurales et le développement d’une amiantose ou d’un mésothéliome.
Dans les maladies pulmonaires professionnelles, les substances inhalées peuvent être des poussières
___, des ___ ___ ou des gaz.
Les ___ ___ conduisent à
des pneumopathies que l’on nomme 𝗽𝗻𝗲𝘂𝗺𝗼𝗰𝗼𝗻𝗶𝗼𝘀𝗲𝘀.
inorganiques
particules organiques
particules inorganiques
Les maladies pulmonaires professionnelles
______
Q1 : Quelle est la conséquence pathologique pulmonaire de l’inhalation de particules INERTES ?
Q2 : Énumérer 4 particules inertes.
Q1 : pneumopathies de surcharge
Q2 :
- baryum
- manganèse
- bismuth
- charbon
Les maladies pulmonaires professionnelles
______
Q1 : Quelle est la conséquence pathologique pulmonaire de l’inhalation de particules NON-INERTES ?
Q2 : Énumérer 4 particules non-inertes fréquemment impliquées dans les maladies professionnelles.
Q1 : pneumopathies fibrosantes (fibrose)
Q2 :
- silice
- amiante
- béryllium
- fer
Quelle est généralement la conséquence de l’inhalation de poussières INORGANIQUES ?
a) dyspnée au travail
b) anomalies visibles à la radiographie
b) anomalies visibles à la radiographie
Lequel ou lesquels de ces énoncés sont VRAIS ?
a) Tout patient qui consulte pour problèmes respiratoires devrait être questionné sur son occupation.
b) L’inhalation de particules organiques mènent généralement à des pneumoconioses.
c) La silice est associée à une atteinte granulomateuse.
d) Les champignons sont des particules organiques.
a) Tout patient qui consulte pour problèmes respiratoires devrait être questionné sur son occupation.
d) Les champignons sont des particules organiques.
La CNESST
_____
Q1 : Que signifie ‘‘CNESST’’ ?
Q2 : Pour quel type d’entreprise la CNESST est-elle obligatoire ?
Q1 : Commission des Normes de l’Équité, de la Santé et la Sécurité au Travail
Q2 : entreprise avec 1 employé et plus
La 𝘀𝗶𝗹𝗶𝗰𝗼𝘀𝗲 est une maladie pulmonaire chronique due à l’inhalation de silice ___ et
caractérisée à la radiographie par des nodules et une ___ souvent progressive.
cristalline
fibrose
Concernant les maladies respiratoires professionnelles, lequel ou lesquels de ces énoncés sont VRAIS ?
a) L’asthme professionnel est aussi appelée pneumonite d’hypersensibilité.
b) L’alvéolite allergique extrinsèque est associée à une atteinte granulomateuse.
c) Les IgE ne sont pas impliqués dans la physiopathologie des alvéolites allergiques extrinsèques.
d) Les agents de haut poids moléculaire ne peuvent pas mener à une alvéolite all. extrinsèque.
b) L’alvéolite allergique extrinsèque est associée à une atteinte granulomateuse.
c) Les IgE ne sont pas impliqués dans la physiopathologie des alvéolites allergiques extrinsèques.
d) Les agents de haut poids moléculaire ne peuvent pas mener à une alvéolite all. extrinsèque.