Audit sco7305 Flashcards

1
Q

Critères relatifs à l’ACCEPTATION / RECONDUCTION DE MANDAT

A

Le référentiel d’information financière à appliquer aux fins de la préparation des états financiers est-il approprié?

Existe-t-il des interdictions ou des menaces relatives à l’indépendance, ou des conflits d’intérêts entre le professionnel en exercice et le client?

Le professionnel en exercice est-il en mesure d’atténuer ou d’accepter les facteurs de risque de mission? A-t-il une compréhension claire des exigences de l’utilisateur pour cette mission?

Existe-t-il des textes légaux ou réglementaires régissant le secteur d’activité qui ont une incidence sur les exigences en matière d’information financière pour l’entité cliente?

La direction de l’entité cliente a-t-elle convenu de ses responsabilités par écrit?

Existe-t-il des limitations connues de l’étendue des travaux susceptibles de restreindre la capacité du professionnel en exercice d’exprimer une opinion?

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2
Q

Nommer les principes fondamentaux des règles

A

-Objectivité
-Intégrité et diligence
-Compétence professionnelles
-Confidentialité
-Comportement professionnel

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3
Q

Objectivité

A

Les membres de CPA Canada doivent faire preuve d’indépendance et d’objectivité lorsqu’ils fournissent des services de certification.

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4
Q

Intégrité et diligence

A

Les membres de CPA Canada doivent agir avec intégrité et diligence lorsqu’ils exercent leurs activités professionnelles.

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5
Q

Compétence professionnelle

A

Les membres de CPA Canada doivent maintenir leurs connaissances et leurs compétences au niveau requis par les organismes professionnels et ne doivent pas entreprendre de travaux pour lesquels ils ne possèdent pas les compétences nécessaires.

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6
Q

Confidentialité

A

Les membres de CPA Canada doivent protéger la confidentialité des affaires et des activités du client.

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7
Q

Comportement professionnel

A

Les membres de CPA Canada doivent agir avec professionnalisme afin que la profession conserve sa bonne réputation et sa capacité à servir l’intérêt public. On s’attend à ce que les membres ne posent aucun acte qui serait de nature à jeter le discrédit sur la profession.

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8
Q

Autres règles -honoraires

A

Avant de fournir une proposition d’honoraires relativement à l’exécution d’un service professionnel, les membres de CPA Canada doivent obtenir l’information dont ils ont besoin quant à la nature des travaux à effectuer. La facturation des services professionnels doit être juste et raisonnable, et fournir des explications (au besoin) au sujet des sommes facturées.

Les honoraires conditionnels sont expressément interdits s’ils sont de nature à porter atteinte au jugement professionnel ou à l’objectivité du membre de CPA Canada

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9
Q

Autres règles- Publicité

A

Les membres de CPA Canada ne doivent pas diffuser de publicité fausse ou trompeuse ou faire des allégations non fondées, ni solliciter une mission de services professionnels de façon insistante, en usant de contrainte ou en recourant au harcèlement.

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10
Q

Autres règles-Prédécesseur

A

Les membres de CPA Canada sont tenus de communiquer avec le prédécesseur avant d’accepter toute mission relative à l’exercice de l’expertise comptable / la comptabilité publique. Ils doivent lui demander s’il existe des raisons pour lesquelles ils ne devraient pas accepter cette mission. Le prédécesseur doit répondre rapidement à ce type de demande. Et à moins que le client ait consenti à ce qu’il fournisse de plus amples informations, il doit limiter sa réponse à un « oui » ou à un « non ».

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11
Q

Menaces à l’indépendance

A

La menace liée à l’intérêt personnel se pose lorsque le professionnel en exercice (ou son cabinet) détient des intérêts financiers dans un client.

La menace liée à l’autocontrôle se pose lorsque le professionnel en exercice se trouve dans une situation où il doit se former une opinion sur son propre travail.

La menace liée à la représentation se pose lorsque le professionnel en exercice (ou son cabinet) défend ou peut sembler défendre la position d’un client.

La menace liée à la familiarité se pose lorsque le professionnel en exercice, en raison de ses relations étroites avec un client, se trouve dans une situation où il lui est difficile de faire preuve d’esprit critique.

La menace liée à l’intimidation se pose lorsque le client a recours à l’intimidation à l’endroit du professionnel en exercice (ou de son cabinet).

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12
Q

RAS

A

le risque inhérent (RI) et le risque lié au contrôle (RLC) constituent le risque d’anomalies significatives (RAS).

Le RAS s’entend du risque existant dans les ÉF avant l’audit en raison du RI et du RLC de l’entité cliente. L’auditeur n’a aucun contrôle sur ce risque; il ne peut que l’évaluer.

L’évaluation du RAS tant au niveau des ÉFPDLE qu’au niveau des assertions ne se limite pas à la phase de la planification. Au cours de la réalisation de son audit, le professionnel en exercice peut obtenir des informations ayant une incidence sur l’évaluation des risques qu’il a effectuée au cours de la phase de la planification. Dans ce cas, il devra réévaluer ces risques et y répondre de façon appropriée. Toutefois, la majeure partie de l’évaluation des risques a lieu pendant la planification.

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13
Q

Première étape de l’évaluation du RAS au niveau des ÉFPDLE

A

La première étape de l’évaluation du RAS comporte une évaluation des risques généralisés. De tels risques ne peuvent être associés à un solde de compte, à une catégorie d’opérations, à une présentation ou à des informations à fournir spécifiques; par conséquent, ils existent au niveau des ÉFPDLE.

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14
Q

Exemples de facteurs de risque inhérent qui font augmenter le RAS au niveau des ÉFPDLE

A

Une entreprise éprouvant des difficultés financières. L’entreprise peut ne plus avoir la capacité de poursuivre son exploitation, ce qui aura une incidence sur la présentation des ÉFPDLE

Vive concurrence sur le marché, créant des pressions à la baisse sur les prix et ayant une incidence sur les structures de coûts. Une concurrence vive dans le marché peut donner lieu à une comptabilisation des produits audacieuse. La direction peut avoir un parti pris la portant à surévaluer les bénéfices afin de maintenir sa capacité d’obtenir du financement.

L’entité n’a jamais fait l’objet d’un audit. Les soldes d’ouverture et les soldes comparatifs peuvent ne pas être fiables.

Acquisition ou cession prochaine de l’entreprise. Les vendeurs de l’entreprise auront un parti pris inhérent à faire en sorte que les états financiers semblent plus favorables. Les acquéreurs de l’entreprise s’appuieront sur le rapport d’audit pour prendre une décision.

Imposition de règlements plus sévères touchant le secteur d’activité et l’entité cliente. Étant donné que les organismes de réglementation sont susceptibles d’examiner et de scruter les états financiers de l’entité cliente, ils seront considérés comme de nouveaux utilisateurs des états financiers.

PAPE, émission de nouveaux titres d’emprunt ou existence de clauses restrictives. Le fait que des utilisateurs supplémentaires s’appuient sur le rapport d’audit augmente le risque, puisque les préparateurs des états financiers ont un parti pris inhérent à faire en sorte que les états financiers semblent plus favorables à leurs nouveaux utilisateurs.

Les employés s’appuient sur le bénéfice net à des fins de rémunération (primes). Les employés auront un parti pris inhérent à faire en sorte que les états financiers semblent plus favorables.

Risque d’erreur pour le traitement de transactions complexes

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15
Q

Exemples de facteurs de risque lié au contrôle qui font augmenter le RAS au niveau des ÉFPDLE (ÉF pris dans leur ensemble)

A

Utilisation d’un système de grand livre dépassé qui n’est plus soutenu par le système logiciel. Un système de grand livre dépassé utilisé aux fins de l’information financière peut ne pas être en mesure de compiler de façon fiable l’information des états financiers.

Absence de séparation des tâches. Le personnel peut avoir accès à l’intégralité du cycle comptable des opérations, ce qui augmente le risque qu’une fraude ou une erreur survienne et ne soit pas détectée.

L’entité cliente n’a pas de fonction d’audit interne. La direction et le conseil d’administration peuvent ne pas être conscients des déficiences de contrôle de l’entité.

Manque de contrôles généraux informatiques, comme des mots de passe, des pare-feu, le chiffrement des données, la protection contre les virus, les systèmes de sauvegarde, etc. Ces risques font en sorte que le système pourrait subir une perte de données ou être victime d’une intrusion par des parties indésirables.

La direction a une piètre attitude à l’égard des contrôles ou attache peu d’importance aux systèmes de contrôle. Il se peut que des contrôles appropriés ne soient pas en place ou que les employés suivent/exécutent plus ou moins les contrôles.

Contournement des contrôles par la direction. Établit le ton donné par la direction qui encourage à passer outre aux contrôles.

Absence de politiques. Les employés sont susceptibles d’agir de façon inappropriée et non uniforme, et il pourrait y avoir des lacunes sur le plan de la reddition de comptes.

Absence de documentation des systèmes. Une telle absence peut rendre difficile l’évaluation des processus et des contrôles des systèmes. Il se peut que les employés ne suivent pas entièrement les processus relatifs aux systèmes.

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16
Q

RAS au niveau des assertions

A

Au niveau des assertions, le professionnel en exercice évalue le RAS pour les catégories d’opérations, les soldes de comptes, la présentation et les informations fournies.

Les risques pouvant être expressément associés à un compte (ou à un cycle de comptes) sont désignés comme des RAS au niveau des assertions. Si un risque ne peut être associé à un compte (ou à un cycle de comptes), il s’agit d’un RAS au niveau des ÉFPDLE.

Le RAS au niveau des assertions est classé en deux catégories, à savoir les facteurs de risque inhérent et les facteurs de risque lié au contrôle.

17
Q

Exemples de facteurs susceptibles d’avoir une incidence sur le risque inhérent au niveau des assertions

A

Le secteur d’activité
-évolution technologique du secteur d’activité – par exemple, des stocks qui sont facilement rendus obsolètes en raison d’un changement de tendance (p. ex., des stocks de téléphones cellulaires)

La nature des activités de l’entreprise
-concentration de clients dans un secteur d’activité touché par une récession - par exemple, il se peut que les créances clients ne soient pas recouvrables
-type de stocks détenus – par exemple, les stocks d’un détaillant de produits électroniques deviendront probablement obsolètes plus rapidement que les stocks d’un fabricant d’acier

Les caractéristiques d’un solde de compte ou d’une catégorie d’opérations
-stocks ou immobilisations corporelles susceptibles d’être volés – par exemple, stocks de grande valeur qui peuvent être facilement détournés (p. ex., des bijoux), immobilisations corporelles de grande valeur et de petite taille qui peuvent être facilement volées (p. ex., de petits outils)
-incertitude importante relative à la mesure – par exemple, produits relatifs à des projets de grande envergure pour lesquels il est difficile de déterminer le degré d’avancement
-opérations ou calculs complexes – par exemple, dérivés ou autres instruments financiers difficiles à comptabiliser et qui, par conséquent, peuvent donner lieu à des erreurs
-opérations inhabituelles ou non courantes – par exemple, événements ponctuels qui ne sont pas familiers pour l’entité ou opérations pour lesquelles l’entité n’a aucune expérience en matière de comptabilisation

18
Q

Exemples de facteurs susceptibles d’avoir une incidence sur le risque lié au contrôle au niveau des assertions :

A

Les évaluations des performances comprennent la comparaison de deux différents ensembles de données, avec investigation des résultats inattendus. Les évaluations des performances comprennent notamment les évaluations des performances réelles par rapport aux budgets, aux prévisions et aux performances des périodes antérieures.

Les contrôles relatifs au traitement de l’information sont exercés dans l’environnement de traitement de l’information pour vérifier l’exactitude, l’exhaustivité et l’autorisation des opérations. Ces contrôles se divisent en deux grandes catégories : les contrôles des applications et les contrôles généraux. Les contrôles des applications sont effectués sur les traitements exécutés au moyen d’applications individuelles, tandis que les contrôles généraux s’appliquent à l’ensemble du système informatique de l’entité.

Les contrôles physiques assurent la sécurité physique des actifs. Par exemple, les contrôles physiques comprennent la protection des installations, l’autorisation des accès aux programmes informatiques et aux fichiers de données, ainsi que le dénombrement périodique des biens et la comparaison des montants comptabilisés dans le grand livre général aux montants figurant dans les comptes de contrôle.

La séparation des tâches réduit les occasions de commettre et de dissimuler des erreurs ou des fraudes grâce à l’attribution des principales tâches incompatibles à différentes personnes ou à différents groupes. Ces tâches comprennent la garde des actifs, l’autorisation ou l’approbation des opérations ayant des répercussions sur les actifs, ainsi que les processus de comptabilisation, de rapprochement et de présentation relatifs aux comptes contenant les actifs.

19
Q

SS Étape 1

A

Étape 1 : Identifier les principaux utilisateurs des états financiers ainsi que leurs objectifs et besoins
Selon les faits énoncés dans le cas, on compte habituellement parmi les utilisateurs :

les prêteurs actuels/potentiels : ratios…
les actionnaires actuels/potentiels : maximiser rentabilité…
la direction (si la rémunération est fondée sur des postes des états financiers).

20
Q

SS Étape 2

A

Étape 2 : Déterminer la base du seuil de signification global (SSG) - % à appliquer
On s’appuiera sur sa compréhensiondes objectifs/besoins des utilisateurs afin de déterminer la base qui est la plus appropriée.

Les bases les plus courantes, qu’on appelle aussi « éléments de référence du seuil de signification », sont les suivantes :
* bénéfice normalisé avant impôts (le plus fréquent dans le cas des entreprises à but lucratif – 5 %)
* total de l’actif – ½ à 1 %
* total des produits – ½ à 1 %

En règle générale, la sensibilité des utilisateurs aux anomalies, dans leur prise de décisions, influe sur la détermination du pourcentage.

21
Q

SS Étape 3

A

Étape 3 : Déterminer le seuil de signification global – (SSG)
Déterminer s’il y a des éléments inhabituels ou non récurrents qui devront être normalisés ou nécessiteront un ajustement (produits ou charges inhabituels ou non récurrents)

Il faut également corriger les chiffres pour les erreurs de traitement comptable identifiées.
Une fois la base normalisée déterminée, le pourcentage est appliqué.

22
Q

SS Étape 4

A

Étape 4 : Déterminer le seuil de signification pour les travaux – (SST)
La détermination du seuil de signification pour les travaux n’est pas un simple calcul mécanique; elle nécessite l’exercice du jugement professionnel. Elle est influencée par la compréhension de l’entité qu’a l’auditeur — et qu’il actualise lors de la mise en œuvre des procédures d’évaluation des risques — ainsi que par la nature et l’étendue des anomalies relevées lors des audits antérieurs et, en conséquence, par les attentes de l’auditeur en ce qui concerne les anomalies pour la période considérée.

23
Q

Types de stratégie en audit

A

Corroborative ou mixte

24
Q

Stratégie de corroboration

A

Une stratégie de corroboration ne s’appuie aucunement sur l’efficacité du fonctionnement des contrôles.

Dans le cadre de cette stratégie, seules des procédures de corroboration, y compris des tests de détail et des procédures analytiques de corroboration, sont mises en œuvre.

Habituellement, cette stratégie est choisie et appliquée lorsque le système d’information financière ou le contrôle interne à l’égard de l’information financière ne sont pas fiables ou qu’ils n’ont pas encore été établis et mis en œuvre. Autrement dit, cette stratégie est couramment choisie lorsque le risque lié au contrôle a été évalué comme étant élevé. S’il a été déterminé que les contrôles internes du client sont mal conçus, comportent des faiblesses ou ne sont pas mis en place adéquatement, il ne sert pas à grand-chose de tester l’efficacité de leur fonctionnement, étant donné qu’il sera impossible de s’appuyer sur ces contrôles.

25
Q

Stratégie mixte

A

Une stratégie d’audit mixte tient compte de l’efficacité du fonctionnement des contrôles et de la question de savoir s’il est possible ou non de s’appuyer sur l’efficacité du fonctionnement des contrôles pour ramener le risque de non-détection à un niveau suffisamment faible pour être acceptable. Dans le cadre de cette stratégie, le professionnel en exercice met en œuvre à la fois des tests des contrôles et des procédures de corroboration.

L’auditeur doit mettre en œuvre des tests des contrôles de manière à obtenir des éléments probants suffisants et appropriés dans l’un ou l’autre des cas suivants :

a) son évaluation des risques d’anomalies significatives au niveau des assertions repose sur l’attente d’un fonctionnement efficace des contrôles (c’est-à-dire qu’il a l’intention de s’appuyer sur l’efficacité du fonctionnement des contrôles pour déterminer la nature, le calendrier et l’étendue des procédures de corroboration);

b)les procédures de corroboration ne permettent pas à elles seules de réunir des éléments probants suffisants et appropriés au niveau des assertions.

26
Q

Stratégie dans le cadre d’une mission d’examen

A

Selon le paragrapheNCME 2400.46, pour obtenir des éléments probants suffisants et appropriés, le professionnel en exercice doit concevoir des procédures de demande d’informations et des procédures analytiques, lesquelles procédures doivent porter sur tous les éléments significatifs des états financiers et mettre l’accent sur les secteurs des états financiers les plus susceptibles de comporter des anomalies significatives.

27
Q

Rapport si les ÉF ne comporte pas d’AS

A

Exprimer une opinion sans réserve

28
Q

Rapport si les ÉF comporte une AS- L’AS n’a pas une incidence généralisé

A

Exprimer une opinion avec réserve

29
Q

Rapport si les ÉF comporte une AS- L’AS a une incidence généralisé

A

Exprimer une opinion défavorable

30
Q

Appréciation impossible en raison de la limitation de l’étendue des travaux- La limitation de l’étendue des travaux a une incidence généralisée

A

Formuler l’impossibilité d’exprimer une opinion

31
Q

Appréciation impossible en raison de la limitation de l’étendue des travaux- La limitation de l’étendue des travaux n’a pas une incidence généralisée

A

Exprimer une opinion avec réserve