app2 Flashcards
Quelles substances prises en excès entraînent activation DIRECTE du système de récompense?
Au lieu de quelle activation?
Activation tellement intense que quoi?
TOUTES
au lieu de l’Activation normale via comportements adaptés
tellement intense que les activités usuelles peuvent être négligées au dépit de la substance
Quelles sont les 2 catégories de troublés liés à une substance dans le DMS-5?
- Trouble lié à usage de substance : dépendante ou abus
- Trouble induit par une substance :
a. intoxication
b. sevrage
c. autre trouble mental induit par substance (ex : psychotique, bipolaire, anxieux, dépressif, etc)
Définition de trouble lié à l”usage d’une substance?
Utilisation problématique d’une substance psychoactive conduisant à une altération du fonctionnement et/ou souffrance cliniquement significative, caractérisée par présence d’au moins 2 critères parmi 11 de la prochaine question, sur période de 12 mois
11 critères liés à un trouble d’usage d’une substance?
rappel app1
- substance consommée pendant période + importante/longue que prévu
- Désir persistant/efforts infructueux pour diminuer/contrôler consommation
- Bcp temps consacré aux activités nécessaires l’obtention substance, son utilisation ou récupération de ces effets
- CRAVING de consommer substance
- Consommation répétée mène à incapacité à accomplir obligations majeures (travail, école ou maison)
- Consommation substance continue malgré prob interpersonnels ou sociaux, causés ou exacerbés par effets substance
- Abandon/diminution activités sociales/professionnelles ou loisirs importants à cause de l’usage substance
8, Consommation dans des situations où ça peut être potentiellement dangereux
- Poursuite consommation même si personne reconnaît son problème
- Tolérance : vu par qtés augmentées ou effets diminuées pour une même qté
- Sevrage
a. Présence sx caractéristiques sevrage substance
b. prise substance ou substance proche pour soulager ou éviter sx sevrage substance
Quelles sont les 3 caractéristiques qui définissent INTOXICATION à une substance comme trouble induit par usage substance?
- Développement d’un SYNDROME réversible spécifique à une substance, en raison d’une ingestion récente/exposition à la substance
- Changements psychotiques ou comportementaux PROBLÉMATIQUES, cliniquement significatifs, attribuables à l’effet de la substance sur le SNC pendant ou après la consommation substance
- Sx pas du à une autre condition médicale/trouble mental
V ou F
Une substance qui provoque une tachycardie comme sx –> on considère que c’est une intoxication
FAUX : il faut que le sx soit PROBLÉMATIQUE : si la substance induit un sx non-problématique comme tachycardie, ce n’est pas une intoxication
Quelles sont les caractéristiques qui définissent UN SEVRAGE comme trouble induit par une substance?
- Arrêt (ou réduction) de l’utilisation d’une substance qui a été massive ou prolongée
- Développement d’un syndrome spécifique à la substance après arrêt/réduction de son utilisation
- SYNDROME provoque une souffrance clinique significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines
- Sx ne sont pas dus à autre affection médicale/problème mental
TROUBLE MENTAL induit par une substance : sont attribuables à quoi?
Sont attribuables aux effets de la substance consommée et aux toxines produites
Quelles sont les caractéristiques d’un TROUBLE MENTAL INDUIT PAR UNE SUBSTANCE?
- Tableau sx caractéristique d’un trouble mental
- Mise en évidence par anamnèse/examen physique des 2 éléments suivants
a. Trouble s’est développé pendant ou dans le mois qui a suivi
intoxication/sevrage/prise de médicaments
ET
b. Substance/médicament PEUT induire le trouble mental - Trouble mental pas mieux expliqué par autre trouble mental indépendant pas lié à la substance
Critères suivants permettent identifier trouble mental INDÉPENDANT :
A. Trouble a précédé début intox/sevrage/prise médicaments
B. Trouble mental a persisté longtemps (min 1 mois) après fin intox/sevrage
intense/prise médicaments
**** ne s’applique pas aux troubles neurocognitifs induits par substance ni
aux troubles persistants dus aux hallucinogènes - Trouble ne survient pas en contexte de délirium
- Trouble cause souffrance cliniquement signification et/ou altération du fonctionnement social, professionnel ou dans autres domaines importants
Quel est le modèle le plus utilisé pour expliquer toxicomanie?
Bio-psycho-social
Conditions BIOLOGIQUES prédisposantes au développement d’un trouble d’usage d’une substance?
- lien avec parents?
- épigénétique?
- conditions prénatales?
- âge?
- autres conditions?
- 40-60% de la vulnérabilité à la toxicomanie est de nature génétique : enfants de parents toxicomanes sont + susceptibles de l’être eux aussi
- épigénétique : exposition aux drogues : modifications des histones et modulation expression de certaines protéines, ce qui peut ALTÉRER FONCTIONNEMENT SNC
Réponses au stress peuvent aussi induire ces changements - Conditions prénatales et périnatales : peuvent altérer développement foetal des structures et des circuits neuronaux
a. Infections pendant la grossesse
b. stress périnataux : prématurité, anoxie
c. Exposition prénatale à des drogues via maman : traversent barrière placentaire et bb est exposé à ces substances - Âge : + exposition est tôt dans la vie, plus le risque de trouble d’usage est élevé, car le cerveau (principalement lobe frontal) n’a pas eu le temps d’atteindre maturité de son développement
- Gens avec troubles concommitants : troubles humeur, anxieux, personnalité (surtout TPL et TPA) sont + à risques
Conditions PSYCHOLOGIQUES qui prédisposent au développement d’un trouble d’usage?
- Certaines caractéristiques du TEMPÉRAMENT
a. hyperactivité physique
b. faible capacité d’autocontrôle
c. recherche de sensations fortes - Certaines conditions prééxistantes comportent les mêmes facteurs génétiques/sociaux prédisposants que la toxicomanie
a. TDAH
b. Dépression
c. Troubles de conduite - Drogue elle-même peut favoriser sa propre utilisation
a. effets + provoqués (physiques/psychologiques)
b. effets + associés à la consommation (partenaires consommation, lieu agréable) - Stress : peut induire rechute après période abstinence
Conditions SOCIALES prédisposant aux troubles d’usage d’une substance?
- Fcts sociodémographiques
a. Hommes
b. Célibataires
c. Bas niveau de revenus
d. Faible niveau éducation
e. Prison/sous-probation
f. dans la rue
g. Être traité pour autre problème de santé mentale - Chez les adolescents :
a. Environnement familial : attitude vs substances, qualité des relations familiales, communication
b. milieu scolaire : réussite scolaire = fct protecteur, vs échec = fct précipitant
c. réseau social : pairs peuvent encourager/décourager la consommation
d. fcts contextuels et populationnels : prix des drogues, disponibilité des drogues, façon dont les médias en parlent, niveau acceptation sociale et législation
e. milieu socio-économique : influence évolution toxicomanie –> instabilité sociale, manque de ressources financières, manque cohésion au sein de la communauté
3. capacité individuelle des individus à faire preuve de résilience : gens réagissent différement à l,exposition àc es fcts de risque
Condition ENVIRONNEMENTALE qui prédispose au développement trouble usage?
Substance est nécessaire au développement d’un TU –> mais pas suffisante : besoin d’autres caractéristiques qui permettent le développement du trouble
Quelles sont les substances psycholeptiques (dépresseurs)?
- Alcool
- Sédatifs/hypnotiques/anxiolytiques
- GHB
- Solvants
- Opioïdes
Quels sont les effets sur le SNC de l’alcool (4)?
- Agoniste GABA
- Antagonistes récepteurs NMDA
- Potentialise (augmente) transmission sérotoninergique
- Potentialise endorphines
Effets sur le SNC des hypnotiques/anxiolytiques/sédatifs?
Modulateurs des récepteurs GABA
Effets sur le SNC de GHB?
Agoniste de GABA (comme alcool, donc a les mêmes effets)
Effets sur le SNC des solvants?
Agonistes GABA
Antagonistes récepteurs NMDA
Effets sur le SNC des opioïdes?
- Agonistes récepteurs à opioïdes mu
2. Modulateur système dopaminergique (récompense)
Quelles sont les substances antileptiques (stimulants)?
- Caféïne
- Cocaïne
- Amphétamines et autres stimulants
Quels sont les effets sur le SNC des 3 antileptiques (caféine, cocaïne et amphétamine)?
- Caféine: Antagonistes récepteurs à adénosine : AUGMENTE libération de dopamine et d’adrénaline : agit dans les minutes après ingestion (1/2 vie de 4,5h)
- Cocaïne : inhibiteur recapture dopamine
- Amphétamines :
a. Inhibition recapture dopamine
b. Augmente libération dopamine dans la fente synaptique
Quelles sont les substances psychodysleptiques (perturbateurs)?
- Cannabis
- Hallucinogènes
- Kétamine (et PCP)
Quels sont les effets sur le SNC des 3 psychodysleptiques (perturbateurs) ?
- Cannabis : Agonistes récepteurs cannabinoides
a) CB1 : responsables des effets psychoactifs
b. CB2 : diminution relâche de ACh, GABA, glutamate et dopamine
- Hallucinogènes : plusieurs mécanismes selon la molécule, dont :
Agonistes récepteurs sérotoninergiques de type 5-HT2A - Kétamine (et PCP) : Antagonistes récepteurs NMDA : augmente dopamine, sérotonine, noradrénaline ????, glutamate et aspartate
Autre substance qui n’entre pas dans les 3 catégories?
Effets sur le SNC?
Nicotine : agoniste récepteurs cholinergiques nicotiniques : augmente libération adrénaline
Quelles sont les 3 structures du cerveau responsables de l’instauration d’une consommation répétée de drogues, et du passage de l’utilisation sociale à une utilisation compulsive marquée par la perte de contrôle?
- Cortex préfrontal
- NGC
- Système limbique
Quels sont les systèmes modifiés par les substances psychoactives pour provoquer dépendance?
- Dopaminergique
- Glutaminergique
- GABAergique
Comment les subst psychoactives modifient-elles le système dopaminergique pour entraîner dépendance?
- Hausse [] dopamine au noyau accumbens dans le striatum —-> Striatum est responsable du plaisir + anticipation de la récompense et attention portée à certains stimulis
DONC HAUSSE DE L’ACTIVITÉ DE CES RÉGIONS PAR LA CONSOMMATION DE LA DROGUE - Module à + long terme les voies dopaminergiques vers le cortex préfrontal, le système limbique et le striatum dorsal : régions responsables de l’apprentissage, régulation émotive et comportementale et motivation = ATTRAIT POUR LA SUBSTANCE ET BAISSE CAPACITÉ À CONTRÔLER ADDICTION
Comment la modulation du système glutaminergique par les subst psychoactives entraînent addiction?
Responsable de persistance de la toxicomanie et vulnérabilité à la rechute
Quels aspects des drogues/de leur consommation entraînent des problèmes de santé physique?
- Effets toxiques des substances
- Mode administration
- Corrélats sociaux de la toxicomanie
Les groupes à hauts risques (utilisateurs drogues IV) ont quel impact physique?
Diminution espérance de vie : surdoses, transmission maladies via le sang (injections : VIH, hépatite C)
Quels sont des effets possibles des drogues sur le système
- Neuro
- Cardio
- Hépatique
- Rénal
- Endocrinien
- Hémato
- Infectieux
- AVC, convulsions, encéphalites
- Arythmie, tachycardie, infarctus myocarde
- Hépatite toxique, cirrhose
- Insuffisance rénale
- Diabète mal contrôlé, hypogonadisme
- Anémie, septicémie
- Cellulite, abcès, arthrite septique, ostéomyélite, septicémie, ITSS (VIH, hép B et C)
Selon quels fcts varient les comorbidités cognitives et psychologiques de l’usage de drogues?
- Subst consommée, durée, dose et fréquence d’utilisation
- Fonctionnement cognitif avant le début de la consommation
- Délai entre dernière consommation et évaluation cognitive
- Âge début consommation et âge lors de l’évaluation
- Expérience du patient avec la substance
- Présence de comorbidités physiques ou psychiatriques
Quels sont les principales comorbidités causées par les drogues a/n psychologique et cognitif?
Déficit de : 1
- Mémoire
- Attention
- Fonctions exécutives (prises de décision, inhibition réponse et impulsivité)
Paradoxe du lien entre altérations cognitives et utilisation de substances?
Altérations cognitives = fct de risque de présenter une consommation problématique, mais sont aussi une conséquence de l’utilisation d’une substance
Cannabis, stimulants et autres substances sont associées à quels troubles psychiatriques?
- Troubles humeur
- Psychoses
- Trouble anxieux
- Suicide
Quelles sont les comorbidités sociales causées des troubles de consommation de substances?
- Plus à risques de vivre dans un contexte socio-économique difficile
- marginalisation sociale
ces comorbidités sont à la fois une conséquence et une cause des troubles de consommation
V ou F
Caféine est une des substances qui cause les + gros troubles d’usage
FAUX : ne cause pas de forte dépendance psychologique, donc ne cause pas de troubles d’usages
La tolérance se développe graduellement avec consommation soutenue, mais pas une grosse dépendance psychologique
Quels sont les sx d’intoxication à la caféine?
- Consommation récente de caféine (>250mg - grosse qté)
- 5+ critères suivants
a. Fébrilité
b. Nervosité
c. Excitation
d. Insomnie
e. Faciès vultueux
f. Augmentation diurèse
g. Troubles GI
h. Soubresauts musculaires
i. Pensée-discours décousu
j. Tachycardie/arythmie
k. Périodes infatiguabilité
l. Agitation psychomotrice - Les sx du critère #2 causent souffrance cliniquement marquée et/ou altération du fonctionnement social/professionnel ou autre
- Sx pas mieux expliqués par une autre condition ou par une intoxication à une autre substance
Sevrage de caféine dure combien de temps?
Quels sont les critères dx de sevrage de caféine?
1 semaine
- Arrêt consommation après période longue de consommation dans les 24 dernières heures et présente 3+ sx suivants :
a. Céphalées
b. Fatigue
c. Humeur dépressive/dysphorique ou irritabilité
d. Difficulté de concentration
e. Sx pseudo-grippaux (no-vo et/ou raideur mx) - Sx #1 causent souffrance clinique importante et/ou altération fonctionnement dans sphère professionnelle, sociale ou autre
Ex de substances hallucinogènes?
Ergot de seigle LSD (acide) Mescaline DOM MDMA (ecstasy) champignons DMT
V ou F
Il est fréquent de voir une véritable dépendance aux hallucinogènes
FAUX : on voit une tolérance, mais rare de voir une vraie dépendance
Définition du trouble de l’usage des hallucinogènes correspond à celle des substances en général (11 critères) sauf pour 1 critère : lequel et quelle différence?
Critère du sevrage : les sx et signes de sevrage des hallucinogènes ne sont pas établis (il n’y en a pas?) - donc pas de ce critère dans le dx de trouble d’usage
Crtières d’une intoxication aux hallucinogènes?
- Consommation récente d’hallucinogènes
- Changements comportementaux/psychologiques PROBLÉMATIQUES et cliniquement significatifs (anxiété/dépression, idées de référence, peur de devenir fou, mode de pensée paranoïde, altération jugement) développés peu après/pendant consommation hallucinogènes
- Altération des perceptions en pleine conscience pendant/après utilisation : intensification subjective des perceptions, dépersonnalisation, déréalisation, illusions-hallucinations, synesthésies)
- 2+ signes suivants pendant/après consommation :
a. Mydriase
b. Tachycardie
c. Transpiration
d. Palpitations
e. Diplopie
f. Vision trouble
g. Incoordination motrice
h. TRemblements - Sx pas mieux expliqués par autre chose
Critères du TROUBLE PERSISTANT des hallucinogènes?
- Après cessation consommation, 1+ sx ressentis pendant intoxication est à nouveau éprouvé (hallucinations géométriques, fausses perceptions de mouvement, flashs de couleur, trainée d’images lors de la vision d’objets en mouvement, persistance images après disparition des objets, halos, macroscopie et microscopie)
- Sx entraîne souffrance cliniquement significative et//ou altération du fonctionnement social/professionnel ou autre
- Sx pas dus à autre affection médicale ou autre substance, ni par hallucinations hypnopompiques (au réveil)
PCP - phénylcyclidine (hallucinogène)
Caractéristiques des troubles d’usage?
Mêmes critères que ceux des substances normales sauf le 11 : pas de sevrage
Sx d’intoxication au PCP?
- Utilisation récente PCP
- Changements comportementaux problématiques : bagarres, agressivité, impulsivité, agitation psychomotrice, altération jugement) développés pendant/après utilisation
- 2+ signes suivants, qui se développent dans l’heure qui suit (si la substance a été injectée - reniflée - fumée : début + rapide)
a. Nystagmus horizontal-vertical
b. Hypertension - tachycardie
c. Engourdissement - baisse sensibilité à la douleur
d. ataxie
e. dysarthrie
f. rigidité musculaire - Sx pas mieux expliqués par autre cause
g. crises covulsives/coma
h. hyperacousie
Ex de substances inhalées (solvants - dépresseurs)
Ces substances causent-elles des dépendances?
HYDROCARBURES
- Essence
- colle
- diluant peinture
- peinture en aérosol
- liquide correcteur
- produits de nettoyage
ESTERS
CÉTONES
OUI créent dépendance et peuvent mener à détériorations neurologiques importantes
Critères trouble usage substances inhalées (solvants)?
Comme les critères généraux TU substance sauf le critère 11 : pas de sevrage
Critères dx d’intoxication aux substances inhalées?
- Usage récent ou exposition accidentelle aux substances inhalées de forte dose (essence ou toluène)
- Changements comportementaux/psychologiques problématiques (bagarre, apathie, agressivité, altération jugement)
- 2+ sx se développent :
a. Étourdissements
b. Nystagmus
c. Incoordination motrice
d. Démarche ébrieuse
e. Discours bredouillant
f. Léthargie
g. Baisse réflexes
h. Ralentissement moteur
j. Tremblements
k. Faiblesse mx
l. Diplopie
m. Stupeur/coma
n. Euphorie - Sx pas dus à autre chose
Stéroïdes anabolisants : sx de trouble usage?
Critères généraux de troubles d’usage des substances
DIfférence entre traits et troubles de personnalité?
TRAITS : patterns habituels de cognition, comportement et affectivité assez stables pendant la vie
NE CAUSE PAS DE SOUFFRANCE CLINIQUEMENT SIGNIFICATIVE OU D’ALTÉRATION DU FONCTIONNEMENT
TROUBLES : expériences et comportements qui dévient des standards culturels, sont durables/rigides/envahissants, apparaissent adolescence ou tôt âge adulte, entraînent détresse/atteinte fonctionnelle
DONC quand traits de personnalité rigides, mal adaptés et mènent à un handicap fonctionnel - détresse subjective : trouble de personnalité
Dans les troubles de personnalité en général, il faut une déviation de la modalité durable de l’expérience vécue de ce qui est attendu dans la culture de la personne dans au moins 2+ domaines suivants :
- Cognition (perception de soi et des autres, et des évènements)
- Affectivité (diversité, intensité, labilité et adéquation de la réponse émotionnelle)
- Fonctionnement interpersonnel
- Contrôle des impulsions
Comment sont les modalités anormales dans les troubles de personnalité?
- Rigides, envahissantes dans les situations personnelles et sociales
- Entraînent souffrance et altération du fonctionnement
- Attitudes stables et prolongées, et 1ères apparition adolescence - âge adulte
- Tableau pas mieux expliqué par autre chose
(substance, trouble mental, traumatisme crânien)
Quels sont les 3 groupes des troubles de la personnalité, avec caractéristiques et troubles qu’ils regroupent?
Gr A : Bizarre, excentrique (PSS)
- Paranoïaque
- Schizoïde
- Schizotypique
Gr B : Intense, dramatique (ALNH)
- Antisociale
- Limite
- Narcissique
- Histrionique
Gr C : Anxieux, craintifs (ODÉ)
- Obsessionnel-compulsif
- Dépendante
- Évitante
Épidémio des troubles de la personnalité
- % des personnes qui ont TP?
- hommes ou femmes selon certains tp?
- risque suicide pire chez qui?
- 10% population ont un TP
- Antisociaux H > F
- Dépendants F > H
Suicide : surtout chez limite et antisociaux
- Histrioniques : moins fréquents mais moyens employés + létaux
Lien entre troubles personnalité et troubles psychiatriques?
Quels sont les troubles psychiatriques associés aux groupes de TP?
Personnes avec un même TP ont souvent les mêmes troubles psychiatriques aussi, parce qu’ils partagent un même spectre ou parce qu’ils ont des causes communes
Gr A : troubles psychotiques
Gr B : troubles humeur, trouble contrôle des impulsions ou troubles liés aux substances
Gr C : troubles anxieux ou dépressifs