6. Reconnaissance d'objets partie 2 Flashcards

1
Q

Que lest le cas typique d’agnosie associative ?

A

Le patient perçoit le contour et les éléments d’un objet
(même visuellement dégradé) mais il ne peut pas nommer l’objet où dire à quoi il sert uniquement à partir de la vision.

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2
Q

Dans quelle situation le patient agnostique peut reconnaître l’objet ?

A

quand il est présenté par d’autres modalité (e.g., le touché ou l’audition pour l’agnosie
visuelle par exemple)

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3
Q

L’agnosie associative, c’est un peu comme voir quoi ?

A

des objets totalement nouveaux.

Objets très bien défini mais on a aucune idée de ce que c’est.
On sait pas quel est la fonction, comment le prendre, on a aucune idée des propriétés de l’objet.

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4
Q

Qu’est-ce que l’alexie ?

A

problème de vision, de reconnaissance des lettres et pbs de lecture

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5
Q

Qu’est-ce qui nous montre que l’agnosie associative n’est pas un problème perceptif ?

A
FRA sait colorer 
des objets qui se 
superposent
donc il sait 
délimiter les 
contours des 
objets (« parser »)
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6
Q

Quel est l’hypothèse de l’agnosie visuelle ?

A
L’agnosie visuelle associative 
reflèterait un trouble de 
reconnaissance de la signification
d’objets présentés visuellement (i.e., 
« trouble sémantique visuel »).
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7
Q

Qu’est-ce que les patients atteints ne peuvent pas faire ?

A

Les patients qui en sont atteint peuvent former des représentations
perceptives adéquates mais il ne peuvent pas les lier à des connaissances conceptuelles

Trouble de l’accès à la signification de l’objet.
Pas de pb de l’extraction du pattern mais plus de lien être ça et la représentation qui est en mémoire, qui ne peut plus être accédée par la vision.

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8
Q

Tâche du matching by function test :
: choisir les deux objets qui se ressemblent le plus du
point de vue de leur fonction

Il y a une canne, un parapluie fermé et un parapluie ouvert. Quels objet le patient va associer ?

A

Si on a compris que c’est un parapluie, on va dire que les 2 parapluies ont la même fonctions.

Les patients vont plutôt regrouper la canne et le parapluie fermée car d’un pdv perceptif c’est plus similaire.

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9
Q

En conclusion, pour reconnaître un objet, quelles sont les 2 étapes ?

A
  • après le processus de « construction » où
    des parties d’images sont intégrées pour
    former un percept complet
  • demande d’associer cette représentation
    perceptuelle avec une trace
    mnésique/représentation conceptuelle
    (nom, fonction, propriété etc – connaissance
    du monde).
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10
Q

L’étape d’association de la représentation perceptuelle avec la trace mnésique est associées à des lésions dans quelle région ?

A

des lésions occipito-temporales gauches

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11
Q

Chez des sujets sains, quand on demande de reconnaître des objets, on voit un pic d’activité dans quelle région ?

A

Chez des sujets sain, quand on demande de reconnaître des objets, premier pic d’activité dans le cortex gauche orbito-frontal, vers 50ms.
AVANT le pic d’activité dans le gyruse fusiforme/cortex visuel postérieur

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12
Q

Qu’y a-t-il au niveau frontal pour la reconnaissance d’objets ‘

A

Il y a une coordination au niveau frontal pour la reconnaissance d’objet, qui est extrêmement rapide et arrive très tôt, avant même que ça s’active ds les zones qui font les extractions des propriétés de l’objets.

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13
Q

Qu’est-ce que le MEG ?

A

Magneto-encéphalographie

On met la tête du participant dans un espèce de séchoir à cheveux. Il y a des récepteurs qui captent les changements électrique via les changement magnétiques.
Qd on a un champ électrique, ça induit un champ magnétique orthogonal.

Ts les champs électriques vont être orientés de la même manière ce qui fait un champ magnétique plus fort, qui est orthogonal au champ électrique.

Ici on voit l’activation en ms, c’est très précis. Mais moins bonne précision spatiale.

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14
Q

Que fait la voie ventrale ?

A

– Former une representation perceptive et la lier à

des représentation conceptuelles possibles – Boucles reccurentes.

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15
Q

Que fait le cortex orbitofrontal ?

A

predit objets possibles avant même qu’il n’y
ait une activation dans les aires les plus specialisées de la voie
ventrale

Au début de la perception, n a certainement une décomposition dans v1,v2,v3 en parallèle à droite et à gauche, mais rapidement l’info de basse fréquence est relayée via la voie dorsale au cortex orbito-frontal, qui renvoie un feedback dans les aires plus avancées p.ex. gyruse fusiforme, qui codent pour différentes sortent d’objet.

Il y a une coordination importante et faite grâce à un signal qui voyage relativement vite par rapport aux étapes de la voie visuelle ventrale.

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16
Q

Qu’est-ce que l’agnosie spécifique à une catégorie ?

A
Exemples de troubles de 
reconnaissance spécifiques aux:
– Objets vivants
– Visages (prosopagnosie)
– Objets manufacturés
– Fruits et légumes
17
Q

Comment sont structurées
nos connaissances sémantiques
sur les objets visuels?
Quelle est l’explication intuitive/classique?

A

« Il y a une aire spécifique pour traiter les objets
de type ____*. »
*insérer nom de la catégorie d’objet pour lequel on observe des troubles spécifiques

18
Q

Quelles sont sont les autres explications possibles ?

A

Ces troubles de reconnaissances spécifiques à certaines
catégories d’objet peuvent s’expliquer par le fait que ces
catégories sémantiques font appel à des …
1. Représentations/catégories différentes
2. calculs (traitements de l’information) différents :La manière dont l’info est calculée peut être due au fait que la reconnaissance d’objet est dépendante de différents types d’informations.
P.ex. ciseaux ont une fonctionnalités et les monde animal qui n’a pas de fonctionnalité.

  1. aspect différents de l’information

Options qui ne sont pas mutuellement exclusives

19
Q

Il y a une dissociation dans la reconnaissances des objets de quelles catégories ?

A

objets manufacturés vs objets vivants

20
Q

Quelles sont les faits qui montrent cette dissociation ?

A

– Il existe des déficits spécifiques à une catégorie :
Certains reconnaissent tous les objets sauf les objets
vivants;
D’autres reconnaissent tous les objets sauf les objets
manufacturés;
– Ces deux types de patients ne s’observent pas avec la
même fréquence :
Il est beaucoup plus fréquent et plus facile d’observer
des troubles spécifiques pour les objets vivants que pour
des objets manufacturés

21
Q

Comment peuvent être les différences entre les objets manufacturés et les êtres vivants ?

A
  • Différences en termes de traitements de
    l’information
  • Différences en terme
    d’information visuelle pour la reconnaissance
22
Q

Que peut-on dire sur la différence en ternes de traitemetn de l’info ?

A
Les objets manufacturés 
font appel à des 
représentations 
sensorimotrices; ceci est 
moins le cas avec les objets vivants.

Il y a plus de voie possibles pour les objets manufacturés. Ils ont une fonction, on peut penser à leur fonction, ce qu’on ne peut pas faire avec l’animal -> donc redondance d’accès qui n’est pas possible avec les animaux.

23
Q

Que peut-on dire sur les différences en terme d’info visuelle pour la reconnaissance ?

A

Il y a plus de voie possibles pour les objets manufacturés. Ils ont une fonction, on peut penser à leur fonction, ce qu’on ne peut pas faire avec l’animal -> donc redondance d’accès qui n’est pas possible avec les animaux.

Visuellement, les objets du vivants sont plus similaires que les objets manufacturés.
On dérive tous d’une évolution commune.

24
Q

Comment l’information est-elle structurée

en mémoire sémantique?

A

Il y a deux modèles :

  • Codage par catégorie sémantique
  • Codage par propriété
25
Q

Ils ont fait une simulation du modèle de codage par propriété et on vu deux contraintes du modèle, lesquelles ?

A

1) Ratio 3:1 obtenu par des personnes qui
classifient les descriptions de mots du
dictionnaire en « visuel » ou « fonctionnel »
2) Le ratio de neurones visuels/fonctionnels
pour les objets vivants et non vivant est
différent (vivant:7.6, non-vivant:1.4)

On a plus d’unités visuelles que d’unitls fonctionnelles.
fur et à mesure qu’on entraîne avec des techniques de renforcement
On va voir qu’il y a une organisation qui prend forme.
va étudier comment les réseaux s’auto-organisent pour faire cette tâche.

On peut jouer avec le ratio et s’apercevoir que qd on prend des objets non living la plupart on des fcts donc on recrute à la fois les unités visuelles et fonctionnels. Alors que pr les vivants c’est surtout les unités visuelles

26
Q

On fait des lésions dans les unités visuelles et dans les unités fonctionnelles de la mémoire sémantique, que voit-on ensuite qd ils doivent reconnaître des objets vivants ou non vivants ?

A

Déficits plus fort ds une lésion visuelle pr les objets vivants.

Ds les lésions d’ unités fonctionnelles, ça change rien pour les objets vivants mais baisse de performance pour objets non vivants.