20. Contrôle cognitif partie 3 Flashcards
Pourquoi peut-on dire que le cortex pre-frontal est un filtre dynamique ?
Sélectioner + inhiber information étant donné la tâche à accomplir
Expérience :
TACHE :
Stimuli – Points colorés en mouvement
Conditions – Attention direction du mouvement ou Attention Couleur
rTMS vs Sham sur cortex frontal inferieur AVANT la tâche
La TMS va limiter les capacités de contrôle de l’individu.
Sham = le sujet pense qu’on a stimulé le cortex préfrontal mais en fait non
Résultats ?
Résultat 1 : Performance sur la tâche couleur est meilleure apres Sham que apres rTMS
Effet visible que sur la première moitié des essais – au plus pres de la stimulation
Même expé, quel est le résultat au niveau de P100 ?
P100 : on l’enregistre sur le cortex visuel, il correspond à un indice de traitement de la couleur et notamment de l’attention à la couleur.
P100 amplitude qui mesure le traitement de la couleur au niveau du cortex visuel
est reduite apres rTMS par rapport à Sham
Le P100 est d’une grande amplitude sous Sham, mais avec la vraie rTMS, l’amplitude a diminué. L’effet attentionnel est pas aussi faire et ça semble venir du LPFC qui ne peut pas guider le cortex visuel
Effet plus marqué dans la première moitié des essais
Le LPFC est important pour guider les cortex sensoriels ou moteur pour guider à quelle dimension il faut faire attention pour prendre le décision.
Quel est la différence des réponses à des clics auditifs qui ne font pas partie de la tâche, chez des patients avec lésion pariétale, temporopariétal et frontal ?
Pas de différence chez les patients avec lésion pariétale
Déficit perceptuel chez les patients avec lésion temporopariétale : la réponse du cortex auditif est plus petit car il y a une lésion.
Chez des sujets frontaux, plus grande réponse à ces clicks auxquels ont devrait pas faire attention -> le cortex auditif reçoit moins d’inhibition. Donc des infos moins pertinants vont devenir plus saillantes.
Expérience :
On dit de faire attention au visage ou au paysage.
Ensuite on montre 4 stimuli, ensuite délai, après on présente 1 stimuli et on demande s’il a été présenté avant.
Résultats ?
Pendant le délai il y a déjà un codage biaisé par les instruction.
Dans la FFA il y a plus d’activation quand le sujet est en train de se souvenir des visages que qd il regarde de façon passive ou qu’il fait attention aux paysages.
La PPA code pour les scènes visuelles de paysages ou d’immeubles. Si les sujets devaient se souvenir des paysages, activation de la PPA plus que si regarder passivement ou se souvenir des visage.
Cela montre qu’il y a une modulation des cortex sensoriels en fonction de la tâche.
Que voit-on avec l’âge ?
Avec l’âge, augmentation de l’activation quand se souvenir des paysages mais pas de différence entre passif et visages -> inhibition qui devient moins efficace alors que mécanisme d’augmentation garde son efficacité.
Donc quels sont les 2 mécanismes ?
sélection et inhibition. Le mécanisme d’inhibition est vulnérable lors du vieillissement.
Expérience :
Tâche où on demande au sujet de faire une tâche de go-no go -> appuyer sur le bouton si point rouge, ne pas appuyer si c’est noir
Comment est l’activation dans le cortex frontal inferieur et dans le cortex moteur ?
FC repond quand inhibition est nécessaire, même si pas réussie$
IFC activation est la plus soutenue quand l’inhibition est réussie
Dans le cortex moteur -> anticipation de l’action pour ‘failed stop
Cortex pre-frontal inferior est important pour l’inhibition
Si c’est un go, le sujet appuyi, pratiquement pas d’activation dans les cortex inférieur préfrontal.
Qd c’est un no go correct ou un no go `il a pas réussi à inhiber, activation plus fort
Ds le cortex moteur, pour les réponses correct de go, activation. Pour les réponses incorrectes, aussi une activation. Pour les correctes no-go, inhibition efficace, pas d’activation.
Couplage entre cortex frontal et cortex moteur pour gérer l’inhibition.
Qu’est-ce que le stop-inhibit ?
\: Cortex prefrontal doit génerer une commande pour inhiber une action -> Active le STN -> active le GPi/SNr -> inhibe le thalamus -> moins de facilitation de l’action
Qd on fait une inhibition, il y a des données qui montre que ça passe par une activation de ce noyau subthalamique, qui excite le GP qui est une structure inhibitrice du thalamus, et ça calme l’excitabilité du cortex.
Que se passe-t-il pour les patients parkinsoniens ?
- > dysfunctionement du STN
- > reduction de l’activité dans le GP/SNr
- > moins d’inhibition sur le thalamus, plus impulsif
Expérience :
Tâche:
Choisir entre les 2 lettres présentées
Apprendre celle qui maximize la récompense
Low conflict : a high and a low -> clear which one to choose
High conflict: two highs or two lows
La proba de récompense associé à chaque caractère est fixe : les sujets apprennent qu’il est préférables d’avoir certains caractères.
Différence entre patients parkinsoniens et séniors ?
Qd on présente des choix à haut conflit (valeur relativement similaire), le choix est plus long.
Ds les patients parkinsoniens, quand ils ont pas la stimulation du noyau subthalamique ils ont le même pattern de performance que les personne âgées.
Mais qd on stimule on inverse l’effet ils sont bcp plus rapides -> on augmente un contrôle d’excitabilité sur le cortex. Et ils vont devenir aussi plus impulsifs.
Donc rétablissement de la stimulation, mais de manière malsaine, les participants n’ont pas forcément les meilleurs choix.
Qu’est-ce que le modèle de sélection de la réponse de norman et shallice ?
Le monde exté nous informe sur les possibilités de choix.
Le contexte d’habitudes, de mémoire, va aussi réguler le choix.
Il y a aussi besoin d’une sélection parmi les choix et d’inhibition si conflit-
Ce système de supervision semble être dans le cortex latéral préfrontal et régule.
Quel aire est importante pour détecter la présence de conflits ?
cortex cingulaire antérieur
Expérience :
Les participants sont testé sur une tâche de discrimination de lettres (2 choix) dans laquelle ils font des réponses avec la main gauche ou la main droite.
Résultats ?
Qd on enregiste l’activation, il y a un signal d’erreur, ERN
Qd personne répond correctement, pas de négativité
Medial et Lateral PFC – plus grande activation après la présentation du stimulus (participant est “on-task” – part of monitoring network). Cette activité decroit avantles essais avec une erreur.
A l’inverse, activité dans le default mode network s’accroit avant les essais avec une erreur; comme au fur et à mesure que le mind-wandering augmente, la possibilité d’erreurs aussi augmente
Au début des essais, activation de le cortex préfrontal.
Dans le default mode network, l’activation diminue quand il faut faire la tâche et ça remonte quand la personne a fait le choix.
Au cours du temps, essai après essai, si on se fixe sur une erreur, on voit que les essais d’avant, l’activation diminue de plus en plus dans pMFC et LFC, alors que l’activation augmente de plus en plus dans PC.
Après ça, ça réaugmente dans le rouge comme pour dire : oups je dois faire attention, et ça rediminue dans le PC.
Expérience :
On demande au sujet de presser un boutant 2.5 secondes après un stimulus : dur pour les gens.
Si les gens bcp trop lents ou trop rapiddes, on leur dit qu’ils ont fait une erreur, pour ceux dans la bonne marge, on dit oui c’est bon, et pour ceux entre deux, on dit que c’était un essai neutre.
On a des TR avec lesquels ont peut jouer.
Le but c’est d’avoir 60% neutre.
3 conditions de feedback (ajusté par sujet pour garder ces proportions
Too slow – 20%
Correct – 20%
Neutral – 60%
Résultats ?
Feedback Related Negativity ne depend Pas de la valence (erreur vs correct) Mais surprise!
ll y a un signal d’erreur moins marqué pour le neutre que qd on est correct ou incorrect.
Donc c’est pas vrm une erreur négativity. C’est plutôt une attente, si le feedback correspond à l’attente on a pas de déviation et si c’est en dehors il y a une plus grosse déviation.