46. Fièvre chez les adultes Flashcards
Quelle est la différence entre les bactéries à gram + et gram -
Gram +: seule membrane, couche épaisse de peptidoglycane (mauve)
Exotoxines
Gram- : Double membrane= endotoxine (LPS)
Couche mince de peptidoglycane ( rose)
CONFIRMER LA PRÉSENCE DE FIÈVRE ET SON PROFIL DE RÉCURRENCE (PATRON DE FIÈVRE)
· ÉVALUER LES DIFFÉRENTES HYPOTHÈSES DIAGNOSTIQUES EN FONCTION DES FACTEURS DE RISQUE (IMMUNOSUPPRESSION, VIH, COMORBIDITÉS), DES VOYAGES, DES CONTACTS, ETC.
· ÉVALUER LA GRAVITÉ DE LA CONDITION DU PATIENT OU DE LA PATIENTE, SON ÉTAT VOLÉMIQUE ET HÉMODYNAMIQUE
VÉRIFIER LE STATUT VACCINAL
ENCOURAGER LES PATIENTS ET LES PATIENTES À RISQUE À SE FAIRE VACCINER CONTRE L’INFLUENZA ET LE PNEUMOCOQUE ; SAISIR L’OPPORTUNITÉ DE LES ENCOURAGER À METTRE À JOUR LEUR CALENDRIER VACCINAL
PROMOUVOIR LES MESURES D’HYGIÈNE POUR PRÉVENIR LA TRANSMISSION D’AGENTS INFECTIEUX (LAVAGE DES MAINS, PORT DU MASQUE, ISOLEMENT PRÉVENTIF, DISTANCIATION SOCIALE, ETC.)
DISCUTER DES RISQUES LIÉS AUX VOYAGES ET DES MOYENS DE PROTECTION.
ISOLER LA PATIENTE OU LE PATIENT AU BESOIN
DDx de fièvre de courte durée
VIH
Mononucléose
CMV
Pneumonie
Asplénie et hyposplénie
Cellulite
Ostéomyélite
Maladie de Lyme
Rx
Coup de chaleur
Factice
Épidémio de VIH
+ à risque sont les HARSAH
VIH-1 car transmission + facile
Certaines personnes sont séronégatives pour CCR5: lymphocytes et macrophage résistants au VIH
Mode de transmission du VIH
Fluide organique: sang, sperme, liquide pré-éjaculatoire et sc vaginales
Quel est le mode de transmission qui monte le risque à 100%
Transfusion sanguine
Drogue IV et VIH
90%, moins pire avec les programmes
Quel est le mode de transmission du VIH le + fréquent
Relation sexuelle
Pas/peu de risque par relation orale.
H ® F (pays développés) et rarement F ® H. Aux É-U, + fréquemment H à H §
Détermination du risque · Niveau de virémie à nb de virus dans les sécrétions génitales · Présences de lésions : le risque de 10x · Présence d’inflammation locale (ITSS) attire les lymphocytes, ce qui l’excrétion virale par le porteur du VIH et offre un réservoir de cellules vulnérables chez le récepteur. · Relation répétée dans un couple sérodiscordant o Risque + élevé au début, car développement d’une possible réponse immunitaire cellulaire chez l’individu séronégatif · Relations anales > vaginales (+ de cellules dendritiques) · Circoncision ¯ le risque de 60% o Par réduction de la masse de cellules dendritiques au niveau des muqueuses. §
Prévention : Utilisation du condom et relations monogames
Risuqe de transmission verticale (mère-enfant)
Risque de 30% si non-tx inon diminue à 1%
Pour les professionnel de la santé et le VIH, il y a eu diminution avec protection post-exposition
Chronologie des sx de VIH
Survient généralement 1-4 semaines (jusqu’à 10) après l’infection (incubation 2-4 semaine). · Dure 2-6 semaines (moyenne de 2 semaines) · Fatigue et léthargie peuvent persister plus longtemps (mois)
Sx dU vih
Surviennent chez 50-90% des patients · Syndrome d’allure mononucléosique/influenza o Fièvre légère (début soudain) o Céphalées empirées par les mouvements oculaires. § Peut donner une méningite aseptique chez 25% des patients avec trouvailles caractéristiques au LCR · Lymphocytes, glucose N et protéines légèrement augmentées. o Myalgies et arthralgies
o Adénopathies généralisées o Pharyngite : érythème pharyngé mais non-exsudatif, amygdale ne sont pas enflées o Symptômes GI : No, anorexie, diarrhée o Fatigue et léthargie (peut persister plusieurs semaines) o Perte de poids et diaphorèse nocturne o Rash maculopapulaire (petites macules roses-rouges ® surtout sur le visage, le cou et le torse) · Ulcérations orales et génitales · Guillain-Barré ou paralysie du nerf facial VII (Bell)
PP du VIH avec la virémie
Période de réplication virale intense · Virémie à son plus haut (= haut risque de transmission) · CD4+ chutent de manière temporaire · Cette phase finit par être partiellement contrôlée par le début de la réponse immunitaire. o Séroconversion : Apparition d’anticorps anti-VIH dans le sérum. o LT CD8+ cytotoxiques , car réponse dirigée contre les cellules hôtes infectées.
Qcq on pourrait voir à la FSC de qqn qui a le VIH
Lymphoopénie= moins de cd4 à long terme
Thrombocyopénie: pcq la MO est occupé à compenser ++ pour les lymphocytes
Élévation des transaminase hépatique
Quel est le test initial (dépitage) fait pour le VIH?
ELISA pour détecter anticorps anti-VIH ± antigène p24 o Anticorps anti-VIH sont négatifs durant la période fenêtre (avant séroconversion) o Antigène p24 peut être positif durant une partie de la période de fenêtre · Sensibilité > 99,5 % · Ces anticorps apparaissent (séroconversion) quelques semaines après infection juste avant ou après manifestations (5% en 1 semaine, 50% en 3 semaines, 95% en 3 mois). Il existe donc une période fenêtre où le patient est infecté, mais les anticorps ne sont pas détectés.
On peut utiliser la détection de l’ARN-VIH (si négatif= exclut infx au VIH)
Quel est le test de confirmation (Dx) pour le VIH
Fait sur tous les spécimens positifs à l’ELISA (permet d’éliminer les faux positifs)
· Par Western blot · D’abord séparation des protéines virales par électrophorèse, puis incubation avec sérum du patient · Fixation des anticorps sur des protéines virales spécifiques · Réaction de coloration à position des bandes = déduction si réaction non-spécifique ou spécifique à VIH · Permet de confirmer la présence d’anticorps contre les antigènes (p24, p31) et les glycoprotéines (gp120, gp41) viraux · Spécificité > 99,99% Étant donné l’importance du dx, on teste 2 échantillons!!!
test oralquick
Bof, plein de faux positifs et faux négatifs, + utilisés dans les pays non dvlp
Indications du tx du VIH
CD4 + < 350 cellules/mL., infections opportunistes, grossesse, haut risque de transmission à partenaires sexuels
Pk il est impossible d’éradiquer le VIH
Réservoir latent de cellules CD4 + infectées au VIH ® Impossible à détecter par notre système immunitaire, elles peuvent s’activer et commencer à produire de nouvelles particules de VIH infectieuses n’importe quand. o Mutations fréquentes du virus à résistance au traitement. § Souvent : Résistance induite par modification du site actif de l’enzyme viral
Tx du VIH inclut quoi
2 INTI + 1 EP
Couverture de la variabilité génétique du VIH o Prévention des mécanismes de résistance
Mis à part les INTI et IP c’est quoi les autres classes de Rx pour le VIH
Inhibiteur de la fusion virale: inhibe la fusion de la membrane virale avec la membrane des lymphocytes (empêche changement de la conformation de Gp41, ce qui empêche rapprochement des membranes)
Antagonistes CCR5 (bloque liaison de Gp120 au récepteur CCR5)
Inhibiteur des intégrases (s’attache à l’intégrase et empêche entré de l’ADN viral dans le noyau donc moins de mort de cellule CD4 qui autrement serait détruite
Inhibiteurs de la trasncriptase inverse (INTI)
Mécanisme général : diminue de la synthèse d’ADN proviral en empêchant la transcription de l’ARN viral en ADN proviral.
o Nucléosidiques (NRTI) ® Analogues nucléosidiques ou nucléotides qui exercent une inhibition compétitive de la transcriptase inverse en s’incorporant dans la chaîne d’ADN ce qui interrompt l’élongation.
o Non-nucléosidiques (NNRTI) ® Inhibition non-compétitive de la transcriptase inverse qui entraîne un changement de conformation
Inhiteurs des protéases (IP)
Liaison au site actif de la protéase ® Inhibe son action.
o Inhibe la maturation des protéines du virion en inhibant le clivage des polypeptides viraux en protéines structurelles requises pour la réplication virale
C’est quoi le SIDA
Patient VIH positif qui présente des « maladies définissant le SIDA » ET CD4 < 200/mm3
infx opportuniste du VIH
Infections opportunistes : Pneumonie à Pneumocystis jiroveci, candidose œsophagienne, bronchique, trachéale ou pulmonaire, toxoplasmose, sarcome de Kaposi, tuberculose, infection disséminée à mycobactéries atypiques (MAC, etc.), rétinite à CMV, cryptosporidiose chronique, herpès simplex persistant, septicémie à Salmonella, histoplasmose, pneumonie bactérienne récurrente, zona avec > 1 dermatome atteint o Cancer : Cancer du col invasif, lymphomes
Effets directs du VIH: Encéphalopathie liée au VIH et démence. § Perte de poids, diarrhée chronique, faiblesse chronique
Quelles sont les atteintes pulmoaires pouvant survenir avec SIDA
Pneumonie bactérienne
Pneumonie à Pneumocystis jiroveci
Tuberculose
VIH: PC de penumonie bactérienne et quel pathogène
Pneumonie lobaire avec présentation typique aigue
Tx: amox-clav, céphalo ou quinolone
Fièvre, toux s`che, dyspnée, fatigue, perte de poids
LDH up dans 90 % des cas
RXP: infiltrat interstitiel en papillon avec atteinte classique en verre dépoli qui peut devenir dense avec la sévérité, + centrale que périphérique
PenC?
Dx: Penocystis jiroveci
Tx et prévention: TMP-SMX
Quelles sont les atteintes du SIDA
Pulmonaire
Candidose (muguet)=arrive au niveau de l’oesophage, peut être orale et on tx vec fluconaxzole peut être résistant
Atteinte neuro: lymphome cérébral, encéphalopathie, toxoplasmose cérébrale
Triade classique et autres sx en lien avec l’EBV
Triade classique:
o Fièvre o Mal de gorge (possibilité de pharyngite sévère et exsudative) o Adénopathies non-douloureuses
Autres: · Fatigue, malaise, myalgies, hépatosplénomégalie, hépatite, rash et jaunisse
Sx mononucléose chez les pts immunosupp
Réactivation du virus (infection opportuniste) · Leucoplasie chevelue orale o Manifestation d’infection lytique incontrôlée dans l’oropharynx · Leucémie, lymphome.
Transmission de l’EBV
Salive, sang, don d’organe et de MO
Monotest
Détection d’anticorps hétérophiles par test d’agglutination o Anticorps non spécifiques produits par lymphocytes infectés o Dirigés contre des antigènes non reliés au EBV (globules rouges de moutons) o Positifs dans 90% des cas durant la maladie primaire § Détectés à partir de la fin de la première semaine de l’infection (négatif si fait trop tôt) § 40% durant première semaine, 90% après 3 semaines
Différence entre l’ELISA anti-VCA et anti-EBNA
Anti-VCA (antigène de la capside virale) § Détectable en phase précoce de l’infection § IgM présents seulement durant les 4-8 semaines suivant l’infection (sensible et spécifique ++) § IgG persistent toute la vie o Anti-EBNA (antigène nucléaire EBV) § IgG à Se développe 4-6 semaines après le début des symptômes, car libéré par la lyse cellulaire § Séroconversion indiqu
tx mono
Généralement auto-résolutif · Traitement de support o Antipyrétique pour ¯ la fièvre o ATB si pharyngite à prudence car beaucoup de réactions allergiques aux ATB durant mono aigue o Corticostéroïdes § Pour ¯ fièvre + inflammation et prévenir complications dans les cas + à risque § Indications · Obstruction des VR · Thrombocytopénie sévère ou anémie hémolytique o Acyclovir chez les immunosupprimés pour ¯ la réplication virale. § Mécanisme : Inactive l’ADN polymérase virale, inhibe l’élongation de l’ADN nécessaire à la réplication virale (inhibe réplication virale) § Pas de bénéfice clinique observable · Éviter les sports avec contact ou activités qui ↑ pression
Cx mono
Anémie hémolytique, thrombocytopénie et neutropénie, hépatite, syndrome érythrophagocytique, rupture de la rate (+ H), syndromes neurologiques (Syndrome de Guillain-Barré, encéphalite (rare et généralement bénigne)), obstruction des voies respiratoires par inflammation
transmission cmv
Tous les liquides corporels : Salive, sang, urine, selles, lait maternel, sécrétions vaginales, sperme Transmission possible par contact sexuel, transfusion sanguine et transplantation d’organe.
Différence de PC de CMV vs EBV
Sx peuvent durer 32 semaines, rémissions et rechutes § Syndrome moins sévère que EBV · Pharyngite et adénopathies cervicales peu communes · Fièvre prolongée (> 3 semaines) · Anomalies des enzymes hépatiques possibles (rarement hépatite et jaunisse) · Rash dans 30% des cas (parfois provoqué par ampicilline) § Absence d’anticorps hétérophiles ® Monotest négatif § Complications : Pneumonie, hépatite, encéphalite et Guillain-Barré.
Quelle est la cause virale la + commune de malformations congéitale et d’insulte foetale
Infx CMV congénitale
Pire si infection primaire chez la mère et en début de grossesse. o Transmission transplacentaire (50% de chance, surtout premier trimestre) o Infection sévère chez nouveau-né (cause virale la + commune de malformations congénitales et d’insulte fœtale) § Jaunisse, pétéchies, hépatosplénomégalie, microcéphalie, léthargie, convulsions et atteinte viscérale. § Haut taux de mortalité (20-30%) et chez les survivants ® Retard mental et surdité. o Possibilité d’infection lors de l’accouchement ou via le lait maternel ® Moins grave, mais risque de retard mental léger et de surdit
Dx du CMV
Monotest négatif
Augmentation des IgG anti-CMV
PCR quantitative de l’ADN viral
Tx de CMV
Auto-résolutif : Ganciclovir chez les immunosupprimés. CS pour prévenir les complications auto-immunes ou hématologiques
Quelles sont les étios de la pneumonie du + fréquent au moins fréquent
- Strep pneumoniae
- H.influenzae
- Autre bacilles gram négatif
- Legionella pneumophila
Chlamydophila pneumoniae → 6-12% Mycoplasma pneumoniae → 1-10% Staphylocoque aureus
Virus : Influenza A et B, para-influenza et VRS
FDR de pneumonie: ATCD d’IVRS
Endommage l’épithélium bronchique et les cils § Production d’exsudat séreux stagnant dans les alvéoles ® Milieu propice à la culture bactérienne § Infection au virus influenza prédispose aux infections à S. pneumoniae et S. aureus.
FDR pneumonie: Autre qu’IVRS
Tabac
Âge avancé (toux inefficace et moins d’immunité)
Immunosuppression
Défaut mucocillaire congénital
ROH, sédatif et anesthésiant
Mucus hypervisqueux
Air froid: assèchement des membranes de la muqueuse
Défaut dans la production d’immunoglobuline et fct des LT, LB et neutrophiles et macrophages
Tout ce qui up risque d’aspiration:
Altération de la déglutition/dysphagie : Altération de l’état de conscience, maladie neurologique o Maladies chroniques : Myélome multiple, db, insuffisance rénale chronique et hémoglobinopathies (anémie falciforme).
Associer la couleur d’expecto à l’agent pathog`ne: rouille, verdâtre, absence d’expecto
Rouille : S. pneumoniae o Verdâtres : H. influenzae et P. aeruginosa o Absence d’expectoras oriente vers pneumonie atypique.
Quels sont les indices cliniques qui orientent vers une pneumonie
Toux
IVRS récemment
DLR thoracique pleurétique
Dyspnée, tachypnée /tachycardie
Mauvaise saturation
Frisson solennel
Atteinte de la l’ÉG
Forte fièvre > 38,5 oC
Strep pneumoniae fait la destruction tissulaire non permanente dans une pneumonie
Vrai, nécrose minimale et peu de formation de tissus cicatricielle
Quels sont les pathogènes qui font une destruction tissulaire permanente
S.aureus, bacille gram - et bactéries anaérobes= fibrose, cicatrisation= par libération ++ de protéases
Qcq l’hépatisation rouge
Lorsqu’il y a une zone d’infection plus récente + en distal: prédominance d’oedème, d’érythrocyte et de PMN
Dans quel zone on retrouve + de macrophages
Dans la zone + ancienne d’infx au centre, ou il y a + de macrophage et de PMN avec hépatisation grise
Quelles sont les étapes de la PP de la pneumoie
- Entrée de pathogènes dans le prenchyme pulmonaire via les VRS au VRI
- Invasion des alvéole= rxn inflammatoire (oedème intra-alvéolaire qui s’étend ailleurs par les pores de Kohn
- Propagation de l’infx
- Destruction tissulaire
Quoi questionner pour la pneumonie
Facteur environnementaux, contacts avec animaux, contact avec unité d’air climatisé ou site de contruction, ATCD de voyage, entourage
Indice à l’examen pulmonaire qu’on a une pneumonie
a. Asymétrie des mouvements du thorax (¯ du côté atteint) b. Évidence de consolidation i. Matité à la percussion ii. Souffle tubaire iii. Égophonie (chevrotement de la voix entendu à l’auscultation du poumon lorsque le patient parle) iv. Crépitants, ronchis c. Parfois signes d’épanchement pleural i. Matité à la percussion ii. moins Murmure vésiculaire
peut avoir rigidité nucale et AÉC en lien avec une méningite
Si pt jeune et en bon état de santé, on demande qu’un seul test paraclinique lequel
RXP
Quels sont les critères de Light
- Ratio protéine épanchement / protéine sérum > 0,5 2.
Ratio LDH épanchement / LDH sérum > 0,6 3.
Concentration absolue de LDH pleural > 2/3 de la normale sérique
Quel est le bilan de base pour pneumonie
FSC et différentielle
Gaz artériel si désaturation
Créatinine, urée et électrolytes
Quels sont les tests sur les expecto qu’on peut faire pour la pneumonie
Gram et culture pour savoir sensibilité des ATB
Pneumonie et suspicion de Coxiella Burnetti
Bilan hépatique
Pneumonie et pt hospitalisé ou ++ comorbidités
Hémocultures x2 avant ATB
Pneumonie: Quel contexte on fait antigène urinaire
Pneumocoque, Legionella
Pneumonie autre test qu’on peut faire
ECG, scinti si EP
si épanchement: thoracocentèse
Comment on détermine le besoin d’hospitaliser un pt pour pneumonie
SCORE CRB65
- Confusion
- RR (+ 30)
- Basse pression ((Systolique < 90 mmHg ou diastolique £ 60 mmHg)
65 : Âge (+ ou = 65 ans)
0-1 : Traitement ambulatoire (retour à la maison) · 2-4 : Traitement hospitalier · 3-4 : Soins intensifs
Si CRB65+ou = 2 on fait quoi comme prise en charge (pas tx mais évaluation)
2 cultures sanguines avant ATB o Échantillon d’expectoration
o Prélèvement de gorge à S. pneumoniae et H. influenzae
o Antigène urinaire à Legionella et S. pneumoniae o PCR des expectorations à virus respiratoire, Mycoplasma
ATB empirique par la suite et réajuster PRN
Pt en santé tx en communauté: quel atb
MACROLIDE OU B-LACTAMINE
Clarithromycine, azithromycine, doxycycline, amoxicilline haute dose
Pt ambulatoire, utilisé ATB dans les 3 derniers mois ou comorbidités ++
MACROLIDES ET B-LACTAMINE
o Amoxicilline haute dose ou amoxicilline + clavulanate ET
o Clarithromycine, azithromycine ou doxycycline
Pt penumonie, en ambulatoire atb n’a pas fait effet après 72-96h
En santé: changer de classe ou opter pour bithérapie
Comorbidités: FLUOROQUINOLONES (lévofloxacine ou moxifloxacine)
Pt hospitalisé et pneumonie
CÉPHALOSPORINE+ MACROLIDE
Ceftriaxone + azithro ou clarithro (couvrir le + bactéries possibles)
Chronologie de la disparition des sx de pneumonie
Fièvre : disparaît en 3 jours o Douleur pleurale et expectorations : disparaissent ou diminuent en 1 semaine. o Toux et dyspnée : ¯ considérable en 1 mois. o 3 mois : plupart des Sx ont disparu, mais la fatigue peut être encore présente o 6 mois : retour à la no
Chez qui on fait une radio de contrôle et quand
fumeurs, anciens fumeurs, diabétiques, IR et alcooliques
8 semaines post
prévention de la pneumonie
Lavage des mains, éradication du tabagisme, vaccination (pneumocoque et influenza + 65 ans)
Quels sont les 3 signes de pneumonie à la radio (à réviser les images)
Signe du bronchogramme aérien
Signe de la silhouette
Spine sign
À quel moment on parle de pneumonie nosocomiale
Commence au moins 48h post hospit
Quels sont les 2 types de pneumonie nosocomiale
Pneumonie acquise à l’hopital et sous ventilateur (48 h min après intubation)
Tx pour pneumonie nosocomiale
PIp-tazo et si FDR de SARM on ajoute la vancomycine
Quels sont les pathogènes pour la PAH
Précoce: < 5 j ⇒ S. pneumoniae, H. influenzae, S. aureus
Tardive: > 5 j ⇒ comme PAV + Legionella
Pathogène pour PAV
Entérobactéries, Pseudomonas, S. aureus (dont SARM), Acinetobacter baumannii
PC de mycoplasma pneumoniae
Mal de gorge = Sx proéminent.
· Possibilité de myringite bulleuse (5% des cas) ® Forme d’OMA
· Fièvre de bas grade, céphalées et malaises (< 2 semaines)
· Trachéobronchite associée = Infiltrats irréguliers des lobes inférieurs a/n des divisions bronchiques unilatérale ou bilatérale visibles à la radiographie.
· Toux sèche persistant 3-4 semaines et pire la nuit
RXP du mycoplasma pneimoniae
Infiltrats inégaux unilatéraux ou bilatéraux dans une distribution bronchique
Tx Mycoplasma pnuemoniae
Macrolides (azithromycine) ou tétracyclines.
PCR permet d’identifier m.pneumonaie et clamydophila pneumoniae