306- Tumeurs du poumon primitives et secondaires Flashcards

1
Q

Epidémiologie du cancer du poumon :

  • rang en terme de mortalité
  • Rand en terme de fréquence dans le monde et en France
  • incidence en France
  • motalité en France
  • taux de cancer localisé et métastatique au diagnostic
  • sex ratio + dynamique
  • age médian au diagnostic
  • survie nette à 10 ans
A

- 1ere cause de mortalité par cancer en France et dans le monde

  • 1er cancer disagostiqué dans le monde
  • incidence = 46 000/an en France => 3eme cancer par fréquence en France (12%)
  • mortalité en France : 33 000/an => 1er en terme de mortalité (21%)

- 40% localisés au diagnostic (ttt curatif) et 60% métastatiques

- Sex ratio : majoritairement masculine mais augmentatioin chez la femme et stabilisation/diminution de l’incidence chez l’homme => Figure 1 page 324

- Age médian au diagnostic : 66 chez l’homme et 65 chez la femme, mais en diminution car tabagisme précoce.

- Survie nette à 10 ans : 10%

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2
Q

Facteurs de risque du cancer du poumon : (6)

A
  • Le tabac ++ est le principal facteur de risque : surtout la durée d’exposition (plus que la quantité consommée)

=> la fumée de tabac contient >7000 composés chimiques dont >60 reconnus cancérigènes.

=> RR = 10 à 20 chez les fumeurs (RR=1,25 chez les fumeurs passifs)

+ il n’y a pas de seuil en desous dequel le tabagisme serait sans risque

+ le sevrage est bénéfique à tout age mais le risque de revient jamais a niveau de celui des non-fumeurs.

- Expositions professionnelles : 10% des K du poumon chez l’homme et 5% chez la femme

- Expositions environnementales : radon, pollution atmosphétique.

- Facteurs diététiques : faible consommation de fruit et de légume et forte consommation de viande

- Facteurs de risque personnels :

  • ATCD au 1er degré
  • ATCD personnel de maladie respiratoire (BPCO, emphysème, pneumonie, tuberculose)
  • Faible activité physique et surpoids.

- Génétique : susceptibilité génétique (15q, 5p et 6p)

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3
Q

Classification anatomo-pathologie :

+ prévalence

A
  • Cancers bronchiques non à petites cellules = 85%
  • Adénocarcinomes = 50%
  • cancers épidermoides = 25%
  • Tumeurs neuros-endocrines :
  • Cancers bronchiques à petites cellules (neuroendocrines) = 15%
  • Carcinome bronchiques neuro-endocrine à grandes cellules = 1 à 2%
  • Tumeurs carcinoïdes = 1%
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4
Q

Définition des carcinomes à grandes cellules :

A

= doit être réservée aux pièces opératoires où la tumeur est suffisamment échantillonnée pour exclure toute différenciation (en adénocarcinome ou carcinome épidermoide)

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5
Q

Différences imminohistochimiques entre adénocarcinome et carcinome épidermoïde :

+ résulstats de immunohistochimie

A

- Adénocarcinome bronchique = marquage TTF1

- Cancer épidermoïde = marquage par p40 (p63 et cytokératine 5/6 sont moins spécifiques).

=> En pratique :

  • Si TTF1 + et p40 - = cancer bronchique non à petite cellule en faveur d’un adénocarcinome
  • Si TTF1 - et p40 + = cancer bronchique non à petite cellule en faveur d’une carcinome épidermoïde
  • Si TTF1 + et p40 + = cancer adénosquameux
  • Si TTF1 - et p40 - = carcinome à grande cellule
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6
Q

Indication de la recherche immunohistochimique de l’expression du PDL-1 :

A

= Systématique pour les cancers non à petites cellules (épidermoïdes et adénocarcinomes) de stage avancé ou métastatique.

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7
Q

Caractéristiques des adénocarcinomes :

  • localisation préférentielle
  • caractériqituqes morphologiques de l’adénome in situ
  • caractérsitiques morphologiques de l’adénocarcinome avec invasion minime
  • caractérsitiques morphologiques de l’adénocarcinome invasif
A
  • Localisé préférentiellement en périphérie du poumon => souvent inaccessibles à l’exploration par fibroscopie bronchique (faire ponction sous scanner)

- Adénome in situ = < 3cm, croissance lépidique (le long de la parois alvéolaires) avec image en verre dépolu pur au scanner

=> Figure 3 page 327 haut

- Adénocarcinome avec invasion minime : aspect en verre dépoli < 3cm mais avec composant solide < 5mm

=> Figure 4 page 328 bas

- Adénocarcinome invasif : dès qu’il existe au moins une zone solide > 5mm, meilleurs pronostic si lépidique, intermédiaire si acinaire et papillaire et péjoratif si micro-papillaire et solide.

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8
Q

Classificaiton des adénocarcinomes :

A

=> tableau 1 page 327

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9
Q

Marquages aidant à faire la différence entre un adénocarcinome bronique primitif ou une métastase digestive :

A

- Adénocarcinome bronchique primitif = CK7 + et CK20 -

- Métastase bronchique d’une tumeur digestive = CK 7 - et CK 20 +

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10
Q

Carctésitqiues des carcinomes épidermoides :

  • localisation préférentielle
  • caractérisitques morphologiques
A

- Localisés le plus souvent en zone centrale, dans les grosses bronches et accessibles à la fibroscopie bronchique.

  • Se traduit morphologiquement par des points inter-cellulaires et des foyers de kératinisation (avec parfois l’aspect de globes cornés).
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11
Q

Caractéristiques des tumeurs neuro-endocrines à petites cellules :

  • localisation
  • aspect morphologique
  • capacité de diffusion locorégionale et métastatiques
  • histologie
  • index mitotique
  • index de prolifération
A
  • Localisation habituelle proximale
  • Mal limitées, infiltrant la sous-muqueuse et les structures avoisinantes
  • Diffusion locorégionnale et métastatique précoce (75% lors du diagnostic initial)
  • Histologiquement elles présentent des granules neurosécrétoires intracytoplasmiques en microscopie éléectronique + zone de nécrose étendues
  • index mitotique élevé
  • index de prolifération élevé = élévation de l’antigène Ki-67
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12
Q

Caractéristiques en immunochistochimie des tumeurs neuroendocrines à petites cellules :

A
  • CD 56 ( ou N-CAM)
  • Chromogranine A
  • Synaptophysine

+ Ki-67 dans 80% des cas car index de prolifération élevé

+/- la majorité des cacners à petites cellules expriment également TTF1

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13
Q

Carctéristiques des carcinome bronchique neuro-endocrine à grandes cellules :

  • fréquence
  • caractéristiques histologiques et immunohistochimiques
  • index mitotique
  • index prolifératif
  • caractéristiques biologiques et évolutif
A
  • rare = 1 à 2% des cancers des poumons
  • Cancers bronchiques non à petties cellules qui ont une morphologie neuro-endocrine mais des caractérisitques cytologiques de cancer non à petites cellules avec zone de nécrose étendues.

=> ils expriment des marqueurs immunohistochimiques de tumeur neuro-endocrine +

  • Index mitotique élevé
  • Index de prolifération élevé

=> ils partagent les caractérisitques biologiques et évolutives agressives des tumeurs à petite cellule.

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14
Q

Caractérisitques des tumeurs carcinoïdes :

  • fréqeunce
  • 2 types
A
  • rare, < 1% des cancers bronchiques
  • 2 types :
  • typiques : < 2 mitoses, pas de nécrose et > 5mm
  • atypiques : > 2 mitoses et/ou foyer de nécrose.
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15
Q

indication de la recherche génétique :

+ résusltats
+ CAT

A

= Tous les cancers bronchiques non à petites cellules, non épidermoïdes (la majorité des adénocarcinnomes), métastatiques.

=> au miminum : recherche de translocalition EGFR, ALK, ROS1, K-RAS, B-RAF, HER2, PIK3CA et MET.

  • la mutation EGFR : 12% des adénoK (44% si non fumeur) = ttt par inhibiteur de la tyrosine kinase de l’EGFR.
  • mutation ALK : 5% des AdénnoK (14% si non fumeur) = ttt par inhibiteur de la tyrosine kinase de ALK

=> Figure 5 page 330

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16
Q

signes cliniques à la découverte d’un cancer du poumon :

A

=> tableau 2 page 331

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17
Q

Signes cliniques du syndrome médiastinal :

A
  • syndrome cave supérieur = circulation veineuse collatérale thoracique, complement des creux sus-claviculaires et oedème en pèlerine, turgescence jugulaire, cyanose
  • dysphonie par compression du nerf récurrent gauche
  • dysphagie par compression oesophagienne
  • hoquet ou paralysie phrénique
  • péricardite avec tamponnade ou arythmie récente.
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18
Q

Signes cliniques du syndrome de Pancoast-Tobias :

A

=> spécifique des tumeurs de l’apex

  • douleurs thoraco-scapulaires par lyse des 2 premiers arcs costaux
  • névralgie cervico-brachiale C8 et D1 par envahissement du plexus brachial
  • syndrome de Claude Bernard-Horner homolatéral : ptosis, myossis, énophtalmie

=> diagnsotic tardif car douleur souvent attribuée à une hernie discale cervicale ou périarthrite scapulo-humérale.

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19
Q

Spécificité de la prise en charge thérapeutique des cancers entrainant des symtomes en rapport avec une xtension loco-régionale :

A

= éliminent d’emblée un recours chirurgical, à l’exception pardois de l’envahissement pariétal.

20
Q

Syndromes paranéoplasiques plus fréquent dans les cancers bronchiques non à petites cellules : (3)

A

- hippocratisme digital d’apparition récente ou, plus rarement, tableau complet de l’ostéoarthropathie hypertrophiante pneumoqie (OAHP de Pierre Marie)

- Hypercalcémie par PTHlike ou secondaire à une lyse osseuse

- dermato-polymyosite

21
Q

Syndromes paranéoplasiques plus fréquent dans les cancers à petites cellules :

A
  • Syndrome de sécrétion inappropriée de l’horomone anti-diurétique = SIADH

- Syndrome de Cushing

- Syndrome neurologiques auto-immuns : pseudo-myasténie de Lambert-Eaton, neuropathie périphérique sensitivo motrice, syndrome anti-Hu avec dégénérescence cérébelleuse et neuropathie périphérique

- Gynécomastie

22
Q

Dépistage du cancer broncho-pulmonaire en France :

A

= Pas de dépistage de masse.

=> Scanner faible dose d’irradiation, sans injection, chez des sujets à risque : age entre 55 et 74ans, à 30PA +/- sevrés depuis moins de 15ans, s’engageant à arreter si toujorus fumeur.

23
Q

Bilan biologique minimum devant la suspicion du cancer pulmonaire :

A
  • bilan de la fonction rénale pour permettre l’infection de produit de contraste
  • bilan de l’hémostase (NFS, TP, TCA) pour permettre les prélévements biopsiques
  • AUCUN dosage des marqueurs tumoraux n’est indiqué pour le diagnsotic (seulement pronostic)

+/- bilan hépatique, calcémie, albuminémie.

24
Q

examens d’imagerie si suspicion d’un cancer pulmonaire :

+ résusltats

A

- Radiogrpahie thoracique : TOUJOURS demandée de face et de profil.

=> rarement normale si carcinome bronchique.

  • opacité hilaire oou péri-hilaire dense, homogène, irrégulieres, spiculée
  • => Figure 6 page 334 haut*
  • opacité périphétique arrondie non systématisée, dense à limites irréfuliers, aprfois excavée par la nécrose centrale
  • => Figure 7 page 334 bas*
  • +/- image indirect : trouble de la ventilation, épanchement, adénopathie, lyse csotale ou vertébrale, ascension de la coupole diahragmatique par paralysie phrénique.
  • TDM : si forte suspicion = examen de référence, pratiqué avant la fibroscopie bronchique qu’il va guider.

=> permet de préciser l’aspect, la taille, la densité, la localisation + bilan d’extension locorégional ++

=> FIgure 8 page 335

=>

25
Q

DIagnsotic du cancer du poumon :

A

= repose sur l’examen anatomopathologique

Pas la cytologie par cytoponction

26
Q

Méthode de prélévement anatomo-pathologique :

A

- Fibroscopie bronchique : systématique si suspicion de cancer bronchique meme si périphérique, pour rechercher d’autre lésion radio-occultes + biopsie si lésion proximale + biopsie systématique de l’éperon sus-jacent et de la carène.

=> prélévements histologiques fixés dans le Formol.

- Echo-endoscopie bronchique ou oesophagienne : sous AG, ponction directe d’une tumeur centrale soous-muqueuse oou péri-bronchique ou d’une adénopathies médiastinales.

- Ponction-biopsie transpariétale à l’aiguille : si négativité des procédure endoscopiques, pour les tumeurs périfériques proche de la paroie.

- Autres : si négativité des autres examens :

  • biopsie pleurale si épanchement
  • biopsie des adénopathies sus-claviculaires
  • biopsie d’une localisation métastatiques (hépatique ou osseuse)
  • voire abord chirurgical direct par médiastinoscopie ou thoracoscopie vidéo-assistée.

=> pas d’indication des analyse cytologique des expectoration

27
Q

Bilan d’extention loco-régionale :

A

- Bronchoscopie souple

- Scanner thoracique avec injection (évaluation du T) +/- PET-FDG

=> Figure 9 page 337

+/- TEP-TDM (évaluation du N) : si ttt potentiellement curatif, pas en 1ere intention

+/- IRM thoracique : pas en 1ere intention

28
Q

Bilan d’extension métastatique :

+ indication

A
  • TEP-TDM
  • IRM cerébrale ou TDM cérébrale avec injection

=> FIgure 11 page 339

=> non indiqiué si tumeur d’embllée métastatique au TDM.

29
Q

Toute image métastatique apparement isolée doit faire l’object d’une preuve histologique ?

A

= VRAI : toute image métastatique apparement isolée doit faire l’object d’une preuve histologique.

30
Q

Bilan général pré-thérapeutique :

A

- chiffrer l’‘amaigrissement

- indice d’activité (grade OMS)

- bilan fonctionnel respiratoire : spirométrie avec mesure de la DLCO +/- mesuree de la VO2 max, +/- scintigraphie de perfusion pour calculer la fonnction repsiraoire post-opératoire préviisible

- Bilan cardiovasculaire : ECG, ETT +/- scintigrpahie myocardiique, coronarographiie, échographie des TSA

- Evaluation gériatrique si >70 ans

31
Q

Classification cTNM après le bilan d’‘extension :

A

=> c’est le meme pour cance rà petites cellules et non petites cellules.

=> tableau 4 page 340

+ tableau 5 page 341 pour les stades

32
Q

Particularité évolutive du cancer bronchique à petites cellules :

  • taux des cancers bronchiques
  • évlutivité locale et métastatique
  • présentatio nclinque
  • réponse au traitement
A
  • 15% des cancers du poumon
  • très grande évolutivité locale et métastatique
  • présentation clinique souvent explosive : volumineuse masses ganglio-tumorales médiastinales = syndrome de compresion + syndrome parao-néoplasqiues fréquents

=> Figure 12 page 341

  • Grande chimiosensnibilité initiale mais évolution rapide avec risque élevé de rechute précoce, notamment cérébrale.
33
Q

Principe de ttt des tumeurs localisée au thorax :

A

= toute tumeur localisée au thorax peut bénéficier d’un traitement à visée curatrice, que ce soiti par chirurgie ou association radio-chimiothérapie concommitante.

=> les cancer non à petite seulles peuvent relever d’un traitement chirurgical dans 20% des cas.
Les cancers à petites cellules ne sont qu’exceptionnellement opérable.

34
Q

Méthodes thérapeutiques applicables aux cancers du poumon :

A
  • Chirurgie
  • radiothérapie
  • chimiothérapie
  • thérapie biologique ciblée
  • immunothérapiie
  • traitement symptomatique
35
Q

Ttt des cancers non à petites cellules opérables :

A

= exérèse chirurgicale = ttt de référence à condition que le patient soit fonctionnellement opérable.

+ curage gonglionnaire hilaire et médiastinal homolatéral systématiquement associé.

=> suivant le pTNM post chirugiie :

  • si pN0 et si T<4cm = surveillance
  • si N1 ou N2 et/ou T>4cm : chimiothérpaie adjuvante
  • +/- radiothérapie si N2 (CI si N0 ou N1)

=> Figure 14 page 343

36
Q

3 types de cancers non à petites cellules localisé au thorax mais non opérable :

+ ttt

A

- Essensiellement cancer cN2 par adénopathie médiastinale homolatérale à la tumeur :

=> ttt par association radiio-chimio suivi par une immunothérapie adjuvante par durvalimab pendant 1 an.

+/- intervention chirurgical précéfée d’une chimiothérapie d’induction si potentiellement opérable.

- Tumeur T4 : chirurgie exceptionnemeent possible

- Tumeur apicale avec syndrome de Pancoast-Tobias : radio-chimiothérpaie d’induction précédant une exérèse chirurgcale ou chimio-radio si CI opératoire.

37
Q

Ttt des cancers non à petites cellules métastatiques (stade IV) :

A

=> Figure 15 page 344

- Si expression de l’EGFR, ALK ou de ROS1 = inhbiteur de EGFR ou de ALK/ROS1

- Si expressioin de PDL-1 (30%) = anticorps anti PD-1 (pembrolizumab)

- Chimiothérpaie : double base platine (cisplatine + carboplatiine) + vinorelbine, gemcitabine, pémétrxed (k épidemroide), paclitaxel ou docétaxel.

+ Bévacizumab (anti-VEGF) si pas de CI (k épidemroide)

38
Q

Ttt symptomatiques :

A
  • kiné respir, oxygénothérapie, prise en charge de la douleur, de l’anémie, phsyphologique, diététique
  • Radiotéhrapie à visée antalgique ou symptomatique si métastase osseuse ou cérébrale
  • endoscopie interventionnelle à visée crative sur de petites liésions obstructives ou hémorragiques
39
Q

ttt des cancer bronchique à petites cellules :

  • si forme limitée
  • si forme diffuse
A

- si forme limitée : chimiothérpaie + radiothérpaie thoracique concomittante

- si forme diffuse : chimiothérpaie associée à l’immunothérpaie (ajout de l’atézolizumab) +/- irradiation prophylactique cérébrale

40
Q

indicaitno du dosage des maqueurs tumiraux sanguin dans la surveillance post-traitement :

A

= AUCUN, ni pour le diagnostic ou le dépistage

41
Q

Tumeurs primitives les plus fréquemment en cause des localisations pulmonaires secondaires :

A
  • poumon
  • sein
  • colon-rectum
  • thyroide
  • mélanome.

=> Figure 16 page 346

42
Q

Point clé :

CI de la radiothérapie médiastinale adjuvante :

A

= formellement contre-indiquée si tumeur pN0 ou pN1

43
Q

Durée de la surveillance post ttt :

A

= définitive

=> pas de surveillance strandardisée

=> max des récidives dans les 2 ans.

44
Q

Point clé :

Un TEP-TDM ne se demande jamais en premiere intention ?

A

= VRAI : Un TEP-TDM ne se demande jamais en premiere intention

45
Q

Point clé :

un scanner cérébral sans infjeciton permet d’éliminer une métastase cérébrale ?

A

= FAUX : il faut un scanner injecté ou une iRM pour éliminer les métastases cérébrales

46
Q

point clé :

Un cancer du poumon localisé peut guérir ?

A

= VRAI : un cancer localisé au thorax peut guérir par chirurgie ou association radio-chimiothérpaie concommitante.