291- Traitements des cancers Flashcards
Modalités thérapeutiques possibles de ttt des cancers : (4)
- Chirurgie
- Radiothérapie
- Traitements médicaux
- Soins oncologiques de support : pas uniquement en palliatif mais tout le long de la prise en charge.
4 grands domaines de la chirurge des cancers :
- Préventioin = éviter
- Dagnostic et bilan d’extension =affirmer et préciser
- Traitement = guerr et soulager
- Réhabilitation = réparer
Définition de la chirurgie prophylactique :
= l’objectif est l’exérèse d’un organe apparemment sain, mais ayant un très fort risque de développement d’un cancer lié à l’identification d’une mutationn génétique constitutionnelle.
Ex : mastectomies et ovarectomies prophylactiques chez des patients jeunes porteuses d’une mutation BRACA 1 ou 2
Définition de la chirurgie préventive :
= L’objectif est l’exérèse complète d’état précancéreux assurant ainsi une prévention secondaire. La guérison est de 100%.
En principe les ggestes sont limités, mais ce n’est pas toujours le cas.
Ex : Conisation en cas de carcinome in situ du col utérin, colectomie totale en cas de polupose recto-colique.
Toutes les lésions précancéreuses justifient un geste d’exérèse ?
= VRAI
Définition des marges :
= distance entre la dernière cellule cancéreuse et le trait de coupe chirurgical. Elle se mesure macroscopiquement et mmicroscopiquemment.
=> La notion de berge décrit une surface sur la pièce opératoire.
- Si Berge envahie, le chirurgien est passé dans la tumeur
- Si marge nulle = la tumeur touche la berge, le risque que des cellules résiduelles soient restées en place est important
- Si berge saine = marge correcte = geste probablement efficace.
3 niveaux de qualité de l’exérèse selon la présence ou non de foyers tumoraux résiduels après la chirurgie :
- R0 = Il n’y a pas de résidu microscopique
- R1 = il n’y a pas de résidu macroscopique, mais un très fort risque de résidu microscopique
- R2 = Il persiste un résidu macroscopique
3 différentes stratégies de curage gonglionnaire :
- Curage de nécessité : si il existe une atteinte macroscopique prouvée qui justifie l’exérèse réglée des sites de drainage anatomique
- Curage de principe : il existe un risque d’atteinte ganglionaire qui insiste à faire un curage réglé s celui-ci a une valeur thérapeutique ou si l’information obtenue peut être décisive pour le choix du traitement à suivre.
- Technique du ganglon sentinelle : a pour but de limmiter le prélévement au premier relai ganglionnnaire (1 à 3 ganglionsà et n’élargr le curage que si ce premier relai est envahi.
2 types d’associations thérapeutiques + indication et définintionn :
- Juxtaposition = si les cibles sont différentes = la chirurgie se limite à l’exérèse du site tumorale et la radiothérapie complète le traitementn loco-régional sur les extensions locales et/ou sur les ganglions potentiellement atteints. La chimiothérapie à pour objectif de réduire le risque lié à la malade générale
- La superposition = si les cibles sont identifques. Les traitements se suivront. On parle de chimio d’induction (ou néo-adjuvante) si c’est la 1ere séquence du traitement. La radiothérapie externe peut éfalement précéder ou suivre l’acte chirurgical.
2 types de traitemments combinés per-opératoires :
- Irradiation per-opératoire = Consiste à irradier avec des électrons un site anatomique défini, en protégeant les organes sensibles adjacents.
Ex : Radiothérapie per-opératoire du cancer du sein
- Chimiothréapie loco-régionnale = associe l’administration d’une très forte dose de chimiorthérapie dans un commpartiment limité à une hyperthrermie potentialisatrice
La chimiothérape et la radothérapie permettent, dans certens cas, d’obtenir une réponse histologique complète ou une surve globale équiivalente à la chirurgie avec une morbi-mortalité moindre ?
= VRAI : Alternative à la chirurgie
Définition de la chirurgie des masses rédiduelles :
= elle vise à enlever ce qui reste après les premieres phases du traitement pour gérer un temps suivant.
Définition de la chirurgie de rattrapage :
= l’echec d’un premier traitement non chirurgical, sans intervalle libre, peut parfois être rattrapé par la chirurgie.
Dans tous les cas une évolution métastatique doit faire reconsidérer la chirurgie qui pourrait ) la rigeur se justifier à titre de “propreté”
2 types de chirurgie des métastases :
- A visée curative : pour métastases synchrones ou métachrones de la tumeur primitive.
- A visé paliative : pour prévenir les complications et pour le traitement des symptomes.
- Ex : Laminectomie décompressive de la mmoelle épinière pour éviter unue paraplégie ou ostéosynthèse en prévention d’une fracture pathologique.*
Définition d’une rechute
= la récidive se définit comme une reprise évolutive du cacner après un intervalle libre.
=> Les indications chirurgicales sont peu fréquentes. Il faut préalablement s’assurer de l’absence de métastase.
3 types de chirurgie de réabilitation :
- Chirurgie des complications et des sequelles des ttt :
- De la radiothérapie : ulcération, dibrose, fistule, nécrose… plus fréquent avec les rayons y (cobalthérapie)
- De la chimiothérpaie : brulure ou nécrose mandnibulaire des bisphosphonates.
- Reconstructions immédiates : courant pour restauraer une fonction essentielle
- Reconstitutions différées = pour corriger des séquelles fonctionnelles ou esthértiques
4 différents types de chirurgie palliative + indications :
= Les seules bonnes indications sontn celles dont l’objectif est de soulager et d’améliorer la qualité de vie avec une efficacité immédiate et durable :
- Dérivation :
- Des urines : en cas urétéro-hydronéphrose ou fistule
- Des matières ; si occlusion
- De l’alimentation
- Exérèses :
- Pour perforation d’orgae creux
- Pour saignement important
- Pour nue occlusion
- Ligature vasculaire :
- Pour rupture carotidienne dans l’évolution d’un K du pharynx
- Trachéotomie :
- Pour K larynx
- Ostéosynthèses :
- Pour fracture pathologique ayant un impact donctionnel majeur.
Principe et indication de la chirurgie de recours :
= chirurgie qui s’adresse aux situations les plus difficiles, souvent après chimiothérpaie et/ou radiothérapie préalable.
- Tumeurs rares pour lesquelles il est recommandé de faire appel à des centres de référence
- Rattrapage des récidives
- Zones anatomiques frontières : thorax/abdomen, pelvis/racine des membres inf
- Chirurgie lourde
- Participation à la recherche clinique.
Principe de l’aide à la navigation :
= possibilité de fusionner une image tomodensitométrique et la position en temps réel des instruments donne une meilleure prévision au geste chirurgical. il peut s’agir de repérer une structure anatomique à préserver, de repérer la position de la tumeur pour assurer des marges correctes, d’implanter une antenne d’ablathermie.
Principe de la télé-coeliochirurgie :
= chirurgie dite “robotique” => Amélioration de la chirurgie mini-invasive.
Découverte de la radiothérapie :
Les rayons X ont été découvert en 1895 par W-C Roentgen, mais ce n’est que vers l es années 1920-1930 qui l a radiothérapie va devenir un discipline de traitement anticancéreux.
Définition de la radiobologie :
= étude des effets des radiations sur les cellules normales e t tumorales.
=> Son but ultime, en clinique, est de permettre l’amélioration de l’efficacité des radiations sur les tumeurs et de minimiser les effets secondaires sur les tissus sains traversésp ar les radiations ionisantes.
Définition des radiations ionisantes :
= ce sont des radiations capables de créer des ionisations dans la matière qu’elles traversent par “arrachement” d’électrons aux atomes des molécules du milieu.
Définition des photons :
= correspondent à des “grains” d’énergie sans masse, se déplacant à la vitesse de la lumière et transportés p ar une onde électromagnétique.
2 types de photons :
- Photons gamma : produit lors de la désintégration d’atomes radioactifs naturels ou artificiels
- Les photons X : produit lors des interactions électrons-matière. => utilisés en radiothérapie
=> Propriétés indentiques à dose égal, seul leurs modes de production les différenties.
Défintion des électrons :
= pzrticules élémentaires de matière chargée négativemennt. la masse d’un électron est envuron deux mille fois plus petite que velle des particules constituant le noyau de l’atome (neutrons et protons). En radiothérapie, on utilise essentiellement des électrons produits par les accélérateurs linéiares.
Définition du Gray (Gy) :
= unité de dose en radiothérapie.
= Il s’agit d’unne unité de dose absorbée, correspondant à une abdorptionn d’énergie d’1 jourle par Kg
- 1 Gy = 1 J.Kg-1
4 phases successives d’action des radiations ionisantes :
1) Physique
2) Chimique
3) Cellulaire
4) Tissulaire
=> Figure 3 page 87
Caractéristiques de la phase physique des radiations ionisantes :
- Définition
- Rapidité
- 2 types
= événements physiques initiaux (ionisations, excitations) déclenchés par l’interaction des rayonnements avec les atomes des milécules cellulaires.
- Très rapide = 10^-15 à 10^-16 seconde.
- interaction photons-matière ; dans la gamme d’énergie des photons utilisés en radiothérapie : 2 effets prédominent :
- Effet Compton = L’energie d’unn photon incident est transmise à une electron arraché à une couche périphérique d’un atome et à un photon dit diffusé.
- Effet photoélectrique = intégralité de l’énergie du photon incident est transférée à un électron arraché à une couche interne d’un atome. Entrainant l’émission d’un photon dit de fluoresence.
- Interaction électrons matières ; Soit électrons primmaires, produits directement par les appareils de traitement, soit des électronns “secondaires”, produits au cours des i ntereactions photons-matières.
=> FIgure 4 page 88