291- Traitements des cancers Flashcards

1
Q

Modalités thérapeutiques possibles de ttt des cancers : (4)

A
  • Chirurgie
  • Radiothérapie
  • Traitements médicaux
  • Soins oncologiques de support : pas uniquement en palliatif mais tout le long de la prise en charge.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

4 grands domaines de la chirurge des cancers :

A
  • Préventioin = éviter
  • Dagnostic et bilan d’extension =affirmer et préciser
  • Traitement = guerr et soulager
  • Réhabilitation = réparer
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Définition de la chirurgie prophylactique :

A

= l’objectif est l’exérèse d’un organe apparemment sain, mais ayant un très fort risque de développement d’un cancer lié à l’identification d’une mutationn génétique constitutionnelle.

Ex : mastectomies et ovarectomies prophylactiques chez des patients jeunes porteuses d’une mutation BRACA 1 ou 2

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Définition de la chirurgie préventive :

A

= L’objectif est l’exérèse complète d’état précancéreux assurant ainsi une prévention secondaire. La guérison est de 100%.

En principe les ggestes sont limités, mais ce n’est pas toujours le cas.

Ex : Conisation en cas de carcinome in situ du col utérin, colectomie totale en cas de polupose recto-colique.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Toutes les lésions précancéreuses justifient un geste d’exérèse ?

A

= VRAI

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Définition des marges :

A

= distance entre la dernière cellule cancéreuse et le trait de coupe chirurgical. Elle se mesure macroscopiquement et mmicroscopiquemment.

=> La notion de berge décrit une surface sur la pièce opératoire.

  • Si Berge envahie, le chirurgien est passé dans la tumeur
  • Si marge nulle = la tumeur touche la berge, le risque que des cellules résiduelles soient restées en place est important
  • Si berge saine = marge correcte = geste probablement efficace.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

3 niveaux de qualité de l’exérèse selon la présence ou non de foyers tumoraux résiduels après la chirurgie :

A
  • R0 = Il n’y a pas de résidu microscopique
  • R1 = il n’y a pas de résidu macroscopique, mais un très fort risque de résidu microscopique
  • R2 = Il persiste un résidu macroscopique
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

3 différentes stratégies de curage gonglionnaire :

A
  • Curage de nécessité : si il existe une atteinte macroscopique prouvée qui justifie l’exérèse réglée des sites de drainage anatomique
  • Curage de principe : il existe un risque d’atteinte ganglionaire qui insiste à faire un curage réglé s celui-ci a une valeur thérapeutique ou si l’information obtenue peut être décisive pour le choix du traitement à suivre.
  • Technique du ganglon sentinelle : a pour but de limmiter le prélévement au premier relai ganglionnnaire (1 à 3 ganglionsà et n’élargr le curage que si ce premier relai est envahi.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

2 types d’associations thérapeutiques + indication et définintionn :

A
  • Juxtaposition = si les cibles sont différentes = la chirurgie se limite à l’exérèse du site tumorale et la radiothérapie complète le traitementn loco-régional sur les extensions locales et/ou sur les ganglions potentiellement atteints. La chimiothérapie à pour objectif de réduire le risque lié à la malade générale
  • La superposition = si les cibles sont identifques. Les traitements se suivront. On parle de chimio d’induction (ou néo-adjuvante) si c’est la 1ere séquence du traitement. La radiothérapie externe peut éfalement précéder ou suivre l’acte chirurgical.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

2 types de traitemments combinés per-opératoires :

A
  • Irradiation per-opératoire = Consiste à irradier avec des électrons un site anatomique défini, en protégeant les organes sensibles adjacents.

Ex : Radiothérapie per-opératoire du cancer du sein

- Chimiothréapie loco-régionnale = associe l’administration d’une très forte dose de chimiorthérapie dans un commpartiment limité à une hyperthrermie potentialisatrice

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

La chimiothérape et la radothérapie permettent, dans certens cas, d’obtenir une réponse histologique complète ou une surve globale équiivalente à la chirurgie avec une morbi-mortalité moindre ?

A

= VRAI : Alternative à la chirurgie

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Définition de la chirurgie des masses rédiduelles :

A

= elle vise à enlever ce qui reste après les premieres phases du traitement pour gérer un temps suivant.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Définition de la chirurgie de rattrapage :

A

= l’echec d’un premier traitement non chirurgical, sans intervalle libre, peut parfois être rattrapé par la chirurgie.

Dans tous les cas une évolution métastatique doit faire reconsidérer la chirurgie qui pourrait ) la rigeur se justifier à titre de “propreté”

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

2 types de chirurgie des métastases :

A
  • A visée curative : pour métastases synchrones ou métachrones de la tumeur primitive.
  • A visé paliative : pour prévenir les complications et pour le traitement des symptomes.
  • Ex : Laminectomie décompressive de la mmoelle épinière pour éviter unue paraplégie ou ostéosynthèse en prévention d’une fracture pathologique.*
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Définition d’une rechute

A

= la récidive se définit comme une reprise évolutive du cacner après un intervalle libre.

=> Les indications chirurgicales sont peu fréquentes. Il faut préalablement s’assurer de l’absence de métastase.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

3 types de chirurgie de réabilitation :

A
  • Chirurgie des complications et des sequelles des ttt :
  • De la radiothérapie : ulcération, dibrose, fistule, nécrose… plus fréquent avec les rayons y (cobalthérapie)
  • De la chimiothérpaie : brulure ou nécrose mandnibulaire des bisphosphonates.
  • Reconstructions immédiates : courant pour restauraer une fonction essentielle
  • Reconstitutions différées = pour corriger des séquelles fonctionnelles ou esthértiques
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

4 différents types de chirurgie palliative + indications :

A

= Les seules bonnes indications sontn celles dont l’objectif est de soulager et d’améliorer la qualité de vie avec une efficacité immédiate et durable :

  • Dérivation :
  • Des urines : en cas urétéro-hydronéphrose ou fistule
  • Des matières ; si occlusion
  • De l’alimentation
  • Exérèses :
  • Pour perforation d’orgae creux
  • Pour saignement important
  • Pour nue occlusion
  • Ligature vasculaire :
  • Pour rupture carotidienne dans l’évolution d’un K du pharynx
  • Trachéotomie :
  • Pour K larynx
  • Ostéosynthèses :
  • Pour fracture pathologique ayant un impact donctionnel majeur.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

Principe et indication de la chirurgie de recours :

A

= chirurgie qui s’adresse aux situations les plus difficiles, souvent après chimiothérpaie et/ou radiothérapie préalable.

  • Tumeurs rares pour lesquelles il est recommandé de faire appel à des centres de référence
  • Rattrapage des récidives
  • Zones anatomiques frontières : thorax/abdomen, pelvis/racine des membres inf
  • Chirurgie lourde
  • Participation à la recherche clinique.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

Principe de l’aide à la navigation :

A

= possibilité de fusionner une image tomodensitométrique et la position en temps réel des instruments donne une meilleure prévision au geste chirurgical. il peut s’agir de repérer une structure anatomique à préserver, de repérer la position de la tumeur pour assurer des marges correctes, d’implanter une antenne d’ablathermie.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

Principe de la télé-coeliochirurgie :

A

= chirurgie dite “robotique” => Amélioration de la chirurgie mini-invasive.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

Découverte de la radiothérapie :

A

Les rayons X ont été découvert en 1895 par W-C Roentgen, mais ce n’est que vers l es années 1920-1930 qui l a radiothérapie va devenir un discipline de traitement anticancéreux.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

Définition de la radiobologie :

A

= étude des effets des radiations sur les cellules normales e t tumorales.

=> Son but ultime, en clinique, est de permettre l’amélioration de l’efficacité des radiations sur les tumeurs et de minimiser les effets secondaires sur les tissus sains traversésp ar les radiations ionisantes.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q

Définition des radiations ionisantes :

A

= ce sont des radiations capables de créer des ionisations dans la matière qu’elles traversent par “arrachement” d’électrons aux atomes des molécules du milieu.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q

Définition des photons :

A

= correspondent à des “grains” d’énergie sans masse, se déplacant à la vitesse de la lumière et transportés p ar une onde électromagnétique.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
Q

2 types de photons :

A
  • Photons gamma : produit lors de la désintégration d’atomes radioactifs naturels ou artificiels
  • Les photons X : produit lors des interactions électrons-matière. => utilisés en radiothérapie

=> Propriétés indentiques à dose égal, seul leurs modes de production les différenties.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
26
Q

Défintion des électrons :

A

= pzrticules élémentaires de matière chargée négativemennt. la masse d’un électron est envuron deux mille fois plus petite que velle des particules constituant le noyau de l’atome (neutrons et protons). En radiothérapie, on utilise essentiellement des électrons produits par les accélérateurs linéiares.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
27
Q

Définition du Gray (Gy) :

A

= unité de dose en radiothérapie.

= Il s’agit d’unne unité de dose absorbée, correspondant à une abdorptionn d’énergie d’1 jourle par Kg

  • 1 Gy = 1 J.Kg-1
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
28
Q

4 phases successives d’action des radiations ionisantes :

A

1) Physique
2) Chimique
3) Cellulaire
4) Tissulaire

=> Figure 3 page 87

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
29
Q

Caractéristiques de la phase physique des radiations ionisantes :

  • Définition
  • Rapidité
  • 2 types
A

= événements physiques initiaux (ionisations, excitations) déclenchés par l’interaction des rayonnements avec les atomes des milécules cellulaires.

  • Très rapide = 10^-15 à 10^-16 seconde.
  • interaction photons-matière ; dans la gamme d’énergie des photons utilisés en radiothérapie : 2 effets prédominent :
  • Effet Compton = L’energie d’unn photon incident est transmise à une electron arraché à une couche périphérique d’un atome et à un photon dit diffusé.
  • Effet photoélectrique = intégralité de l’énergie du photon incident est transférée à un électron arraché à une couche interne d’un atome. Entrainant l’émission d’un photon dit de fluoresence.

- Interaction électrons matières ; Soit électrons primmaires, produits directement par les appareils de traitement, soit des électronns “secondaires”, produits au cours des i ntereactions photons-matières.

=> FIgure 4 page 88

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
30
Q

Caractéristiques de la phase chimique des rayonnemennts ionisants :

A

= correspond aux réactions chimiques consécutives aux réarrangements moléculaires produits lors de la phase physique.

  • Se situe de 10^-5 à 1 seconde après l’irradiation.
  • Conduisent à la rupture de liaisons de covalence et donc à des scissions au sein des molécules. => création de radicaux libres
  • La radiolyse de l’eau cellulaire jour un role majeur : 2/3 des effets desr adiations ionisantes sont liés à l’actionn d es raidcaux libres libérés par radiolyse de l’eau.
  • L’irradiation agit sur la perméabiilité de la membrane cellulaire
    • Lésions de l’ADN nucléaire responsable des effets biologiques des radiations ionisantes
  • Direct liées à l’interaction d’un électrons ionisant avec la molécule d’ADN
  • indirectes : le plus souvent par l’intermédiaire des radicaus libres.

=> Les lésions double brin sont les plus grave et les plus difficiles à répérer pour la cellules. => effets cellulaire létal principal des radiationns ionisantes.

=> Figure 5 page 89

31
Q

Caractéristiques de la phase cellulaire des radiations ionisantes :

A
  • Dans les heures qui suivent l’irradiation
  • Les lésions cellulaire sosnt la conséquence principales des lésions de l’ADN nucléaire. = Elles dépendent des capacités et des mmodalités de réparation des l’ADN lésé :
  • Réparation complète : possible quelque soit le type de lésion (meme double brin)
  • Réparation fautive : enzyme de réparation laisse une mutation, souvent récessives sans pact biologique
  • Mort cellulaire : des cellules tumorales qui se réparent mals. Par mort immmédiates (rare), mort mitotique diffétée le plus souvent, par apoptose.
32
Q

Caractéristiques de la phase tissulaire des radiations ionisantes :

A

= Conséquence des lésions cellulaires au nivreau des tissus ou organes.

  • Elle s’étale de plusieurs jours à plusieurs années après l’irradiation.
  • On distingue ;
  • Les effets précoces : dans les 6 premiers mois, au niveau des tissus se renouvelant activement.
  • Effets tardifs : au niveau des tissus proliférantl entement.
33
Q

Facteurs i nfluencant l’effet des radiation : (5)

A

- Radiosensibilité intrinséque : capacité qu’a une cellule de réparer ou non les radiolésions, ce qui la rend radiosensible ou radiorésistante

  • Cycle cellulaire : radiosensibilité macimmale durant les phases G2 et M et minimale en phase S
  • L’effet oxygène : présence de l’oxygène indispensable à l’action biologique des radiations. Il faut 3 fis plus de dose d’irradation si cellule hypoxique.
  • Le facteur temps = fractionnement (augmentation du nombre de scéance) et étalement (augmentation de la durée totale du traitement) des irradiations : permet d’améliorer l’efficacité et de réduire les effets sur les tissus sains
  • Effet dose : L’aumgentation de la dose améliore l’efficacité mais augmente les effets indésirables sur les tissus sains.
34
Q

3 différents types de radiothérapie : + caractéristqiues

A
  • Radiothérapie externe : La plus utilisée, source à distance de la tumeur.
  • Curiethérapie : sources radioactives mmises en place à l’interieur de l’organisme. intertitielles ou endo-cavitaire = intraluminale. irradiation continue tout le temps ou les sourves sont à l’interieur de l’oganisme (quelques minutes à quelques jours)
  • Radio-immunothérapie ou radiothérapie interne vectorisée : développement récent, utilise comme vecteur d’un agent irradiant un anticorps monoclonal dirigé contre une structure sépcifiquement protée par une cellule tumorale.
35
Q

Dose d’irradiation tolérée par les moelle épiniere et le parenchyme pulmonaire :

A
  • 45 Gy pour la moelle
  • 20 Gy pour le poumon

=> Toujours considéré la dose tolérée et la dose efficace.

36
Q

2 types d’effets secondaires des radiations ionisantes : + caractéristiques

A
  • Effets secondaires stochastique = probabiliste : la probabilité d’apparition de l’effet augmente avec la dose.
  • Effets carcinogènes : risque faible de cancer secondaire après radiothérapie
  • Effets génétiques : reste théorique, seulement si dose >0,5-1 Gy sur ovaires ou testicules.

- Effets secondaires déterminiestes : apparaisent à une dose seuil et sont d’autant plus sévères que la dose est élevée.

  • Précoce : transitoires et réversibles : dans les 6 premiers mois
  • Tradifs : après 6 mois, le plus souvent définitif.
37
Q

Effets indésirables déterminestes précoces et tardifs de la radiothérapie :

A

=> Tableau 1 Page 93 et 94

38
Q

4 différents traitements mémdicaux des cancers ;

A
  • Chimiothérapie
  • Thérapies ciblées
  • Hormonothérapie
  • Immunnothérpaie
39
Q

Principes de la chimiothérapie :

A

= utilise des médicaments qui entrainent un arret du cycle céllulaire (effets cytostatique) et/ou une mort cellulaire (effet cytotoxique), principalement par apoptose.

3 principes régissent son utilisation :

  • Une fraction constante de cellules tumorales est tuée à chaque cycle thérapeutique
  • Les cellules néoplasiques sont supposées répondre au traitement suivant une ralation linéaire entre la dose et son efficacité, ce qui justifie l’emploi de doses les plus élevées possibles, administrées aux intervalles de temps les plus courts.
  • L’hypothèse de Goldie-Coldman suggère que les tumeurs ont un taux spontané de mutation d’environ une cellule pour 10000 et par gène.
40
Q

Indications de la chimiothérapie :

A
  • En phase curative :
  • Traitement néo-adjuvant : avant le traitment chirurgical de la tumeur.
  • Traitement adjuvant : au décours de la chirurgie. Il diminue le risque de rechute et augmente la survie
  • En phase métastatique : objectif palliatif, pour améliorée la qualité de vie ou rarement curatif
  • De facon concomitante ou séquentiielle à la radiothérpaie : coopération ttemporo-spatiale entre chimio et radiothérapie.
41
Q

Mesures à mettre en oeuvre avant de débuter une chimiothérpaie :

A
  • Demande de la prise en charge en ALD 30 par le médecin généraliste
  • Pose d’une voie d’abord centrale : chambre implantable le plus souvent, ou PICC line si ttt inférieur à 3 mois
  • Bilan des grandes fonctions vitales :
  • Bilan nutritionnel : poids, albuinémie, pré-albuminémie
  • Ionoogramme sannguin, créat, bilan hépatique
  • EFR si bléomycine
  • HCG chez les femmes non ménopausées
  • Bilan thrombose si nécessaire
  • Consultation fertilité, conservation des gamètes (CECOS)
  • Calcule de la surface corporelle (poids, taille) et avoir la clairance de la créatinine pour calculer la dose
42
Q

Principales contre-indications à la chimiothérapie :

A
  • Polynéculaires neutrophiles < 1G/L
  • Plaquettes < 100 G/L => préférer les traitement non hémotoxique (ex : bléommycine)
  • Syndrome infectieux
  • Indice d’activité > 2
  • 1er trimestre de la grossesse ou allaitement
  • CLairance de la créatinine <60ml/mm pour le cisplatine
43
Q

Préventiion des effets secondaires de la chimiothérpaie : (4)

A
  • Anti-émétique à adapter selon le potentiel émétisant : anti-NK1, antagosnites sérotoninergiques, corticoides et anti-dopaminergiques
  • Injection de facteurs de croissance hématopoiétiques après certeines chimiothérapie : si fort risque de neutropénie fébrile ou si épisode de neutropénie fébrile lors du cycle de chimiothérapie précédent
  • Prévention et traitement de l’anémie : fer intra-veineux si carence martiale, EPO si Hb<10g/dL et anémie symptomatique, transfusion si Hb<8g/dL
  • Hyperhydratation avec certaines médicaments (cysplatineà ou si risque de sydnrome de lyse (brurkitt, Leucémie aigue, choriocarcinome)
44
Q

Différentes modélucles de chimiothérapie : (4)

A
  • Les alkylants et sels de platine : réaction d’alkylation = arrachement par une liaison covalente d’une chainne hydrocarbonnée sur un radiical accepteur.
  • Principale cible = ADN.
  • Cycle dépendant = ne sont efficace que sur les celleules en cycle
  • Parmis les plus utilisé en cancéraologie : cisplatine et carboplatine.
  • Inhibiteurs des topo-isomérases I et II : inhibent la réparation des contraintes topologiques de la molécule d’ADN
  • Inhibiteurs de la topo-isomérase I = irinotécan et topotécan
  • Inhibiteurs de la topo-isomérase II = épipodophyllotoxines, anthracyclines.
  • Poisonns du fuseau : actifs sur les microtubules.
  • Inhibiteurs de la polymériisation des microtubules = dépolymériisants : alcaloides ou vinca-alcaloides, ériibuline
  • Agents inhibiterus de la dépolumérisation = agents polymérisants = traxanes.
  • Antimétabolites : structure quasi-identique au composé endogène nécessaire à la synthèse des acides nucléoqies et de sporteines. = inhibiteurs compétitiifs.
  • Anti-pyrimidique = 5-fluoru-uracile
  • Antifoliques = méthotrexate
  • Antipuriques ou thiopurines = mercaptupurine
  • Hydrocyurée
45
Q

Toxicités communes au différentes chimiothérpaies :

A
  • Asthénies
  • Hématotoxicité = leuco-neutropénie, anémie, thrombopénie
  • Nausée/vomissement
  • Toxicité gonatique
46
Q

Résumé des toxicitiés spécifiques des chimiothérapies :

A

=> tableau 2 page 98

47
Q

Toxicité cardiaques des chimiothéarpiies pouvant enggager le pronostic vital : (2)

A
  • Angor par spasme coronarien voire SCA ST+ : 5-FU
  • Cardiomyopathie dilatée aux anthracyclines : cumulatives, dose-dépendante :
48
Q

Toxicité pulmonaires des chimiothéarpiies pouvant enggager le pronostic vital : (2)

A
  • pneumopathie iterstitielle diffuse puis fibrose : bléomycinne
  • Pneumopathie aigue d’hypersensibilité : méthotrexate
49
Q

Toxicité néphrologiques des chimiothéarpiies pouvant enggager le pronostic vital : (3)

A
  • Insuffisance réanle aigue par toxicité tubulaire directe : méthotrexate, cisplatine
  • Néphropathie immuno-allergique : cisplatine
  • Syndrome hémolytique et urémique : mitomycine, gemcitacine
50
Q

Toxicité Urologiques des chimiothéarpiies pouvant enggager le pronostic vital : (1)

A
  • Cystite hémorragique : cyclophosphamide, ifosfamide
51
Q

Toxicité neurologique des chimiothéarpiies pouvant enggager le pronostic vital : (1)

A
  • Encépahlopathie métabolique = ifosfamide
52
Q

Toxicité allergique des chimiothéarpiies pouvant enggager le pronostic vital :

A
  • choc anaphylactiques : bléomycine , paclitaxel
53
Q

Principaux m écanismes de résistance à unen chimiothérapie : (4)

A
  • Diminution de l’influx (entree danns la cellule) ou augmentation de l’efflus (explusion de la cellule) de la modélcule
  • Augmentation du systèmme de détoxification
  • Surexpression ou modification de la cible au niveau des cellules tumorales qui les rendent moins sensibles à l’action du médicament
  • Sur- ou sous-efficacité des systèmes de réparation de l’ADN
54
Q

Principe de la toxicités liées à des polymorphismes génétiques ;

A

= certaines médicaments sont susceptibles, chez certaines individus prédisposés génétiquement, de provoquer une toxicité accrue

  • Ex :*
    • Déficit complet en DHPD : mortelle si administration de 5_FU*
    • Déficit en UGT1A (maladie de Gilbert) entraine des toxicités plus importante si traitement par l’irinotécan*
55
Q

Principes des thérapies ciblées :

A

= bloquent la croissance ou la propagation ntumorale en interférant avec :

  • Un des mécanismes de la croissance du cancer : inhibiteurs de l’angiogénèse
  • Une anomalie moléculaire spécifique d’un type de cancer (mutation conductrice)

=> mieux tolérées que ls chimiothérapies

56
Q

2 Principales classes de thérapie ciblées

A
  • Anticorps monoclonaux (AcMo) : se fixent soient sur le domain extra-cellulaire du récepteur ciblé empéchant la fixation du ligant, soit directement sur le ligant empechant sa fixatino sur son recepteur, soit sur le domain de dimérisation du recepteur empéchant son activation.

+ Permet l’activation d’effecteur soluble (NK)

Cibles :

  • Voie VEGF
  • Voie EGF
  • Voie HER2
  • Inhibiteurs pharmacologiques : agissent à l’interieur de la cellule, contre des recepteurs membranaires à activité tyrosine kinase ou site d’action de l’ATP.

=> mieux toléré que la chimio, per os, mais résistance secondaire.

Cibles :

  • Recepteur de l’EGF
  • Angiogenèse
  • Translocation de ALK
  • Mutation BRAF V600
  • Voie MEG
  • Voie mTOR
  • Voie CDK4/6
57
Q

Terminologie des anticorps momnoclonaux (AcMo) :

A

=> Ils portent tous le suffixe -mab

+ leur terminaiison permet de comprendre leur structure :

  • Omab : AcMo murin
  • Ximab : AcMo chimérique
  • Zumab : AcMo humanisé
  • Mumab : AcMo humain
58
Q

3 types de cancer hormonodépendants :

A
  • Porstate
  • Sein
  • Endométre

=> Expriment des récepteurs aux hormones, les rendat sesibles aux traitemetnns anti-hormonaux

59
Q

Principe du l’homonothérapie :

A

= traitement anti-hormonal, dont le principe est d’empêcher cette stimulation hormonale par 2 méthodes :

- Bloquer la production hormonale au niveau :

  • Centrale : agosnste LH-RH => inhibe l’hypophyse
  • Périphérique : inhibiteur de l’aromatase dans le cancer du sein => suppression irréversible de la production ovarienne ou testiculaire.
  • Bloquer le recepteur hormonal au niveau de la cellule tumorale par une anti-hormone
60
Q

Principe de l’hormonothérapie du cancer de la prostate : (3)

A
  • Médicaments actfs sur la LH-RH : (hormone hypothalamique)
  • Agoniste de la LH-RH : stimulent les premiers jours du ttt la sécrétion de LH et FSH (=phénomène du flare-up), puis internalisation des recpeteurs => suppression de la sécrétion de testostérone. + antiandrogène pour éviter l’effet flare up
  • Antagonistes de la LH-RH : blocage direct et immédiat des récepteurs de la LHRH => supression rapide de la LH et FSH et donc de la testostérone sans effet flare-up

- Les anti-androgènes : inhibent les effets de la testostérone au niveau des recepteurs periphériques (surtout prostatique)

=> Ne diminue ni la concentration en LH, ni celle en Testostérone donc moins d’effet secondaire sur la libido. Mais non utilisé en 1ere intention

- Hormonothérapie de nouvelle génération : Pour les cancers résistant à la castration (=réaugmentation du PSA 18 mois après) :

  • enzalutamide qui se fixe aux recepteurs androgéniques avec une très forte affinité.
  • L’acétate d’abiiratérone : inhibteur irréversible du cyt P450 CYP17 impliqué dans la synthèse des androgène testiculaire, surrénalien et prostatique

=> Utilisé en association avec les analogue LH-RH

61
Q

Principes du ttt hormonale du cancer du sein : (2)

A
  • Les Anti-oestrogènes = modulateurs sélectiifs des récepteurs aux oestrogènes :
  • SERM : tamoxifène. Agoniste compétitif des recepteurs aux oestrogènes endogènes. Antagoniste fort au niveau du sein mais agoniste faible au niveau des autres organes (protecteur de l’ostéoporose)
  • SERD = fulverstrant : anti-oestrogène pur sans effet agoniste faible.
  • Inihbiteurs des aromatases : Contre-indiqués en monothérapie chez la femme non ménopausée car innefficace. EI = myalgie, arthralgie, perte osseuse.
62
Q

Principe de l’immunothérapie :

A

= induire une réponse immunitaire anti-tumorale efficace, à médiation cellulaire.

= agit principalement sur le système mmunitaire du patient pour le rendre apte à attaquer les cellules cancéreuses

Elle repose sur des antiicorps monoclonaux, notamment les inhibiteurs de points de controle, les anticorps biospécigiques et le transfert adoptif de cellules ou encore la vaccination anti-tumorale (HPV)

63
Q

3 principales tehcniques d’immunnothérapie :

A
  • Les inhibiteurs de points de contrôle : dévérouillent le système immunitaire.

- Les anticorps bispécifiques : peuvent se lier ç deux types de cellules différentes, les cellules tumorales et les cellules immunitaires. => permet le rapporchement de ces deux types de cellules, facilite ainsi l’élimination des cellules cancéreuses par les lymphocytes T.

  • Transfert adoptif de cellules : stmule le système immunitaire du patient en donnant aux cellules immunitaires l’information pour reconnaitre les cellules tumorales. Les cellules immunitaires sont selectionnées et/ou modifiées en laboratoires puis réinjectées dans l’organisme du patient.
64
Q

Caractéristiques des effets indésirables des inhibiteyrs de points de controle :

A

=> résultent d’une réponse immunitaire augmentée ou excessive dirigée contre l’organisme du malade.

Concernent essentiellement le Système gastro-intestinal, hépatique, cutané, nerveux et endocrinien (hypophyse et thyroide) mais peuvent atteindre toutes les fonctions de l’oganisme.

Apparaissement souvent à la phase di’nduction du traitement mais peuvent également etre retardés.

Ttt par corticoides forte dose +/- immunonsuppresseur

65
Q

Critères de la réunion de concertation pluridisciplinaire (= RCP) selon la HAS :

A
  • Inscroption au sein d’un réseau de cancérologie
  • Doit se tenir en présence d’au moins trois médevins de spécialités différentes prermettant d’avoir un avis pertienent sur toutes les procédures envisasgées
  • Chaque dossier doit être présenté que ce soit à la phase initiale du traitement, en cas de rechute ou de changement de ligne thérapeutique
  • En cas de situation clinique faisant l’objet d’une prise en charge standard de validité incontestable, celle-ci peut etre mise en route sans attendre une réunion de concertation, mais le dossier devra ultérieuremmentn etre présenté en RCP.
  • La décision prise est tracée, elle sera ensuite soumise et expliquée au patient.
66
Q

Dispositif d’annnonce en 4 temps :

A

- 1) temps médical : une ou plusieurs consultations dédiées à l’annonce, remise d’un programme personnalisé de soins (PPS). En relais immédiat du dispositif d’annonce, le PPS est remis à chaque patient. Il formalise la proposition de pris een charge thérapeutique décidée en RCP. Il comprend entre autres les coordonnées du médecin référent et de l’équipe soignante référente, les coordonnées de la personne de confiance ainsi qu’un calendrier prévisionnel de soins et de suivi.

  • 2) Temps d’accompagnement soignant : le patient et/ou ses proche speuvent rencontrer un soignant (le plus souvent une infirmière d’annonce) après la consultation médicale d’annonce, information sur le déroulement des soins et mise en contact avec d’autre professionnels de santé si besoin (psychologue, AS)

- 3) Accès à une équipe de soins de support

- 4) temps d’articulation avec la médecinne de ville : le médecin traitant est informé en temps réel et doit etre associé au parcours de soins.

+ Après le traitement = programme personnalisé de l’après cancer = PPAC

67
Q

caractéristiques des 4 phases d’un essai clinique :

A
  • Phase I = firt in man = destinné à définit les doses maximum tolétées en fonction de critères de toxciités bien établis
  • Phase II = destinés à cibler l’efficacité tout en continuant à observer la tolérance
  • Phase III = Essais comparateurs précédant l’AMM
  • Phase IV = Médico-économiques
68
Q

Définition des essais panier :

A

= essais basket = testent un seul traitement dans un grannd nommbre de localisations tumorales présentant toutes une ou plusieurs altérations ciblées par ce traitement.

69
Q

Définition des essais parapluie :

A

= essais umbrella = évaluent l’efficacité de plusieur traitements visannt des cibles différentes dans un seul type de cancer. Les patients inclus dans l’effai recoivent un trautement en fonction des anoalies moléculaires de la tumeur.

70
Q

Principe des ATU :

A

= autorisation temporaire d’utilisation

Gérée par l’ANSM (Agence nationale de sécurité du mémdicament), permet un naccès précoce à certains traitements. Requiert plusieurs conditions :

  • Le traitement est destiné ç des maladies graves ou rares
  • Il n’existe pas de traitementn approprié
  • Le patient ne peut pas entrer dans un essai cliique
  • L’efficacité et la sécurité du traitement sont fortement pressenties par les études

On différencie 2 types d’ATU :

  • ATU de cohorte : concerne un groupe ou un sous-groupe de patients
  • ATU nominative : s’adresse à unn patient nommémmennt désigné par un médecin
71
Q

Tout patient bénéficiant d’un traitement médical, chirurgical ou d’une radiothérapie pour un cancer doit avoir unu programme personnalisé de soins, ue consultation d’annonce et son dossier doit etre présenté en RCP ?

A

=> VRAI

72
Q

On peut effectuer une chimiothérapie ou une radiothérapie sanns preuve histologique ?

A

=> FAUX : CZ sauf pour certaines tumeurs germinales

73
Q

Les effets tissulaires de la radiothérapie peuvent se révéler des mois, voire des annnées après l’irradiation ?

A

=> VRAI : nécessite une surveillance régulière au moins 5 ans après la radiothérapie.

74
Q

5 cancers à connnaitre sur le bout des doigts :

A
  • Sein
  • Prostate
  • Poumon
  • Colon
  • Mélanome