UA 2 Flashcards

1
Q

Que veut dire le terme « Microbiote »?

A

Le microbiote humain sont les micro-organismes (surtout bactéries et parfois les levures) qui peuvent être présents normalement au niveau d’un site anatomique sans causer de maladie chez l’humain en bonne santé. Le microbiome réfère à la notion d’ensemble génétique des micro-organismes. Les deux termes sont souvent utilisés de façon interchangeable.

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2
Q

Caractérisez la relation biologique entre le microbiome et l’hôte

A

Le microbiome humain ne cause pas de détriment à l’hôte. Il peut y avoir une relation « neutre » où le microorganisme profite de l’environnement sans toutefois bénéficier l’hôte. Ce sont des microorganismes commensaux. Il peut y avoir une relation en symbiose où le micro-organisme profite à l’hôte.

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3
Q

Est-ce que les souches bactériennes du microbiome d’une personne peuvent changer dans un court laps de temps (< 1 an)?

A

Oui. Les micro-organismes peuvent être en transition ou des résidents permanents

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4
Q

Est-ce que le microbiome change de nature au cours d’une vie d’une personne?

A

Oui elle change. L’environnement d’une personne change au fil des années. Certains micro-organismes sont mieux adaptés à l’environnement de l’enfance que chez les adultes.

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5
Q

Associez les bactéries et levures suivantes avec le site anatomique et indiquez la relation (pathogène ou microbiome à faible virulence)
a) Voies respiratoires supérieures

A

*Peptostreptococcus spp. (fait partie du microbiome à faible virulence),
*Staphylococcus aureus (fait partie du microbiome potentiellement pathogène),
*Streptococcus spp. (fait partie du microbiome ou pathogène si S. pneumoniae ou streptocoques du groupe A),
*Candida spp. (pathogène),
*Pseudomonas spp. (pathogène rarement faisant partie du microbiome)

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6
Q

Associez les bactéries et levures suivantes avec le site anatomique et indiquez la relation (pathogène ou microbiome à faible virulence) b) Tractus gastro-intestinal

A

*Enterococcus spp.(mirobiome),
*Peptostreptococcus spp. (microbiome),
*Streptococcus spp.(microbiome),
*Pseudomonas spp. (pathogène),
*E. coli (pathogène),
*Clostridium sp.(pathogène).

La nombre et la diversité des micro-organismes dans le tractus gastro-intestinale augmente à mesure que l’on s’approche du colon

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7
Q

Associez les bactéries et levures suivantes avec le site anatomique et indiquez la relation (pathogène ou microbiome à faible virulence) sang

A

Toutes les bactéries sont immédiatement soupçonnées comme pathogéniques si retrouvées dans le sang. On retrouve plus fréquemment les suivants : Staphylococcus aureus, Candida spp., Pseudomonas spp., Enterococcus spp.

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8
Q

Associez les bactéries et levures suivantes avec le site anatomique et indiquez la relation (pathogène ou microbiome à faible virulence) Tractus génito-urinaire

A

Site généralement stérile. La présence de croissance n’indique pas nécessairement une infection. Candida spp. (pathogène ou colonisateur), Enterococcus spp. (considéré généralement comme contamination), Staphylococcus aureus (pathogène),

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9
Q

Associez les bactéries et levures suivantes avec le site anatomique et indiquez la relation (pathogène ou microbiome à faible virulence) peau

A

*Staphylococcus aureus (pathogène),
*Streptococcus spp. (pathogène),
*Candida spp. (pathogène)

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10
Q

Est-ce que les micro-organismes du microbiome peuvent causer la maladie?

A

Oui. La translocation du micro-organisme à partir d’un site normalement colonisé à un autre site peut mener à une infection. La translocation à travers la barrière peut se faire de différentes façons (trauma et pénétration, atteinte de la barrière naturelle, progression de la colonisation, etc.)

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11
Q

Nommez les effets positifs du microbiome humain.

A

Développement de la compétence immunologique, protection contre l’envahissement pathogène de micro-organismes par compétition au site, digestion et production d’éléments nutritionnels. Chez l’homme, la production de vitamine K par les bactéries au niveau gastro-intestinale est une source significative. Ceci sera un enjeu important pour l’interaction entre les antibiotiques et la warfarine (un antagoniste de la vitamine K).

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12
Q

Énumérez les étapes pour qu’une infection se produise

A

a) Transition de l’environnement extérieur à un environnement favorable à l’infection. Passage à travers les barrières et mécanismes de protection de l’hôte. Évasion du système immunitaire.
b) Processus d’envahissement, de destruction tissulaire, et de réplication au site d’infection.
c) Transmission du premier hôte à un autre hôte
d) Processus de résolution de l’infection pour le premier hôte

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13
Q

Définissez le mot « pathogène » et ses caractéristiques « commensal, opportuniste, primaire ».

A

Pathogène : Habileté de causer la maladie. Les pathogènes peuvent être différenciés selon leur comportement. Le micro-organisme commensal pathogène cause la maladie seulement si une ou des barrières à l’invasion sont atteintes. Le meilleur exemple est l’introduction du S. aureus, normalement colonisateur, à travers les barrières de la peau ou des muqueuses pour atteindre un site stérile et causer une infection. Lorsqu’il cause une infection, on le nomme pathogène opportuniste. Le pathogène primaire (« principal pathogen ») à quant à lui des caractéristiques qui lui permettent de surmonter les barrières et causer la maladie chez une personne saine

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14
Q

Différencier le mot « pathogène » du mot « virulence ».

A

La virulence fait plutôt référence à une mesure quantitative du dégrée de l’infection

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15
Q

Comment détermine-t-on qu’un micro-organisme est pathogène.

A

La détermination de pathogène se fait au niveau moléculaire et génétique. Comme apprentissage, il faut seulement réaliser que ce sont les caractéristiques génétiques du micro-organisme qui sont utilisées pour déterminer les propriétés de développer la maladie. En pratique clinique, il faut associer les symptômes du patient avec le résultat de culture.

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16
Q

Énumérez les attributs de la pathogénèse microbienne.

A

Entrée (passage des barrières), adhérence (au site de survie, s’établir), survie (acquérir des nutriments, éviter le système immunitaire), multiplication, dissémination (au sein de l’hôte, et d’un hôte à un autre)

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17
Q

Énumérez des barrières naturelles de l’humain qui empêchent l’entrée de micro-organismes.

A

Barrière mécanique, épithélium cilié, compétition du microbiome humain, mucus, sécrétion d’IgA, follicules lymphoïde, l’évacuation de fluides, péristaltisme, etc.

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18
Q

Est-ce que les micro-organismes peuvent se lier aux surfaces des appareils médicaux?

A

Oui. Les micro-organismes peuvent adhérer aux surfaces sur les appareils médicaux. Ces propriétés leur permettent de produire des infections persistantes difficiles à traiter.

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19
Q

Quels micro-organismes vont se cacher dans les cellules eucaryotes?

A

Les virus et certaines bactéries vont entrer dans les cellules eucaryotes pour ‘éviter’ le système immunitaire. Certaines bactéries sont des bactéries « intracellulaire obligatoire » (donc ont besoin de la cellule hôte pour se développer). D’autres peuvent survivre à l’extérieur et à l’intérieur des cellules : Salmonella, Shigella, Legionella, Mycobacterium. Les médicaments doivent se distribuer dans les cellules eucaryotes pour être actif contre ces bactéries. Les conditions environnementales dans la cellule eucaryote sont différentes de l’environnement extracellulaire. Par exemple, l’environnement dans les vésicules bactériennes peut être acide. Ainsi, il faut un antibiotique qui conserve sont activité en milieu acide pour être actif contre ces bactéries.

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20
Q

Quels sont les signes et symptômes de l’inflammation?

A

Œdème, rougeur, chaleur, douleur.

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21
Q

Nommez les deux médiateurs principaux de la fièvre.

A

Interleukine 1 (IL-1) et facteur de nécrose tumorale alpha (TNF-α)

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22
Q

Est-ce que le processus inflammatoire peut endommager les tissus?

A

Oui. Les cellules polymorphonucléaires peuvent endommager les tissus par le relâchement d’enzymes (collagenase, elastase).

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23
Q

Que ce passe-t-il lorsqu’un micro-organisme réussi à surmonter (résister) le processus d’inflammation?

A

La résistance au système inflammatoire mène à l’accumulation des cellules inflammatoires et d’une progression du processus. Ultimement, ce mène à la formation d’un granulome. Notez que ce phénomène de granulome ne s’applique pas aux micro-organismes qui « évitent» les défenses inflammatoires. Ces dernières ne stimulent pas le système inflammatoire et donc la résultante de granulome n’apparait pas.

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24
Q

Définissez le mot exotoxine?

A

Une exotoxine est une toxine produite par un micro-organisme et secrété dans l’environnement pour causer la destruction tissulaire.

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25
Q

Nommez trois méthodes que les micro-organismes ont développées pour éviter le système immunitaire.

A

Résistance au processus du complément, activité anti-phagocytaire, altération de la fonction phagocytaire, variation antigénique.

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26
Q

Comment est-ce que le système immunitaire de l’hôte endommage les tissus?

A

Le système immunitaire, stimulé par la présence des bactéries, mène à la destruction des tissus par différents mécanismes. Il faut reconnaitre cette entité pathologique car dans certaines circonstances, l’ajout de corticostéroïdes peut améliorer le résultat clinique. De plus, l’amélioration de l’état immunologique d’un patient peut révéler une infection latente et même mener à des complications importantes (ex. syndrome de reconstitution d’un patient atteint du virus de l’immunodéficience humaine)

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27
Q

Un patient souffre d’une bronchite.

Commentez les résultats des cultures des secrétions respiratoires obtenues par expectoration:
a) Hemophilus influenzae

A

Hemophilus influenzae est considéré comme un pathogène lorsqu’associée à des symptômes respiratoires. Dans ce cas-ci, la patient se présente avec des symptômes. La « clinique » concorde avec les résultats de culture. Le choix de l’antibiothérapie sera donc dirigé vers cette bactérie

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27
Q

Un patient souffre d’une bronchite.

Commentez les résultats des cultures des secrétions respiratoires obtenues par expectoration:
Streptococcus pneumoniae, Hemophilus influenzae

A

Streptococcus pneumoniae, tout comme Hemophilus influenzae est considéré comme pathogène. Ici, les deux micro-organismes isolés sont considérés pathogéniques. Il est rare d’observer des infections poly-microbiennes au niveau respiratoire. Tout de même, la pratique serait de choisir un antibiotique efficace contre les deux bactéries.

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28
Q

Un patient souffre d’une bronchite.

Commentez les résultats des cultures des secrétions respiratoires obtenues par expectoration:
Peptostreptococcus sp., flore normale respiratoire normale

A

Peptostreptococcus est rarement considéré pathogénique. Lorsque cette bactérie est isolée au niveau respiratoire, il faut soupçonner soit une colonisation soit un mauvais échantillonnage des secrétions pulmonaires. La technique de prélèvement a pu être problématique. Dans ce contexte, les résultats sont considérés comme colonisés et l’antibiothérapie demeure empirique plutôt qui dirigé vers un pathogène particulier. La présence du microbiome respiratoire est aussi un résultat de culture qui mène à la conclusion de colonisation de l’échantillon. Les résultats combinés de Peptostreptococcus et flore normale ne modifient pas la conclusion.

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29
Q

Un patient souffre d’une bronchite.

Commentez les résultats des cultures des secrétions respiratoires obtenues par expectoration: Pseudomonas aeruginosa

A

Pseudomonas aeruginosa. Ce pathogène est plutôt retrouvé dans les infections nosocomiales. Il est très rarement observé dans le contexte d’infections communautaires. Il faut considérer le résultat comme significatif et traiter le patient avec un antibiotique actif contre le Pseudomonas aeruginosa. Toutefois, le P. aeruginosa se trouvant surtout dans le contexte d’infection nosocomiale, il faut réévaluer le patient pour des facteurs de risque pour ce pathogène (immunosuppression, hospitalisation récente, usage de corticostéroïdes, etc.).

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30
Q

Un patient souffre d’une bronchite.

Commentez les résultats des cultures des secrétions respiratoires obtenues par expectoration: aucune croissance

A

L’absence de croissance présente plusieurs possibilités : qu’il y ait réellement absence de bactéries, que l’échantillonnage a été mal effectué, que la croissance en laboratoire a été problématique, etc. Dans cette situation, seulement les indicateurs du patient (la clinique) sont disponibles pour guider le traitement. L’absence de croissance dans ce contexte amène peu d’information et ne modifie pas le choix de l’antibiothérapie empirique. Sachez que l’absence de croissance sur des échantillons ou prélèvements de sites stériles sont confirmatoires de l’absence de bactéries. Ainsi, cultures du sang, de liquide céphalo-rachidien, ou autres sites stériles sont déterminants pour la présence et l’absence de croissance bactérienne.

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31
Q

Un patient souffre d’une bronchite.

Commentez les résultats des cultures des secrétions respiratoires obtenues par expectoration: Staphylococcus epidermidis

A

Staphylococcus epidermidis est plutôt un agent colonisateur au niveau de la peau. Il peut parfois être considéré comme pathogène de faible virulence. Toutefois, une infection respiratoire est très rarement causée (voire jamais) par Staphylococcus epidermidis. Cette bactérie n’est pas non plus colonisatrice des voies aériennes. Dans cette situation, on considère que l’échantillon est contaminé. Ce résultat est si inattendu que l’on pourrait soupçonner une erreur de transcription sur les spécimens (donc des résultats d’un échantillon provenant d’un autre patient)

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32
Q

Le diagnostic direct consiste en quoi

A

Le diagnostic direct consiste à mettre en évidence l’agent causal lui-même (parasite, bactérie..) ou un constituant caractéristique (gène par PCR..).

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33
Q

Le diagnostic indirect consiste en quoi

A

Le test de diagnostic indirect consiste à mettre en évidence des réactions caractéristiques de l’infection, en particulier la réponse immune spécifique. La technique la plus couramment utilisée est la sérologie. Elle est en particulier utilisée pour mesurer la réponse à un vaccin. Exemple : sérologie contre le virus de l’hépatite B suite à une vaccination.

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34
Q

L’élaboration d’un diagnostic comprend quoi

A

l’évaluation de l’histoire du patient, l’évaluation du patient, et l’investigation clinique (laboratoires, examens). Le laboratoire joue un rôle essentiel puisque seule l’identification de l’agent en cause dans une maladie infectieuse permet de proposer un traitement adéquat. Plus cette étape est précoce, plus le traitement sera efficace.

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35
Q

Type de coloration permettant de différencier les bactéries à gram positif et à gram négatif

A

Gram

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36
Q

Présence de micro-organismes au niveau d’un site corporel, mais ne causant pas d’infection

A

colonisation

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37
Q

Échantillon prélevé d’un site corporel pour analyse ou culture

A

specimen

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38
Q

Technique de biologie moléculaire d’amplification génique

A

pcr

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39
Q

Introduction de micro-organismes exogènes durant la collecte du spécimen ou suite à manipulations

A

contamination

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40
Q

Concentration minimale inhibitrice

A

CMI

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41
Q

Test de diffusion sur agar pour déterminer la sensibilité des micro-organismes

A

antibiogramme

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42
Q

Avec ce dernier, l’inhibition de la croissance bactérienne se traduit par une ellipse d’inhibition dont les points d’intersection avec la bandelette définissent la CMI

A

etest

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43
Q

bactéries caractérisées par leur aspect morphologique arrondi et sphérique

A

cocci

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44
Q

Technique effectuée sur le sérum pour déterminer la présence d’antigènes ou d’anticorps dirigés contre un micro-organisme

A

serologie

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45
Q

Se dit des infections causées par un champignon

A

fongiques

46
Q

Effet provoquant une activité réduite au test de diffusion sur agar lorsque le nombre de bactéries est très important

A

inoculum

47
Q

Essentielles au diagnostic bactériologique, elles consistent à la croissance de micro-organismes sur un milieu approprié.

A

culture

48
Q

Placez en ordre la séquence des tests suivants lorsque l’on veut identifier un micro-organisme responsable d’une infection compliquée chez un patient. Discutez des différentes possibilités.
1. Coloration gram
2. Antibiogramme
3. Tests de suivi
4. Fin de la thérapie antibiotique
5. Analyse microscopique
6. Obtention des spécimens
7. Traitement antibiotique empirique
8. Analyse macroscopique- Bandelettes urinaires (leucocytes- nitrites) pour spécimen urinaire
9. Cultures
10. Réajustement de la thérapie au besoin

A

6- 7- 8- 1- 5- 9- 2- 10- 4- 3

Le délai dans l’obtention des résultats détermine dans certains cas la périodicité du suivi clinique. Généralement, une évaluation doit être effectué lors de l’obtention des résultats afin d’analyser le résultat et procéder à un réajustement de la thérapie au besoin. La coloration gram prend 10 minutes a effectuer. Elle peut s’effectuer sur des échantillons immédiatement suivant la prise du spécimen si les bactéries peuvent être isolées.

Sinon, il faudrait attendre la croissance sur culture qui prend généralement au moins 24 heures. L’ordre que vous présentez se modifie selon le processus en place. Ainsi, le réajustement de la thérapie peut se produire après les résultats de la coloration gram, l’analyse macroscopique ou l’analyse d’urine si le traitement empirique est inadéquat. De même l’arrêt de la thérapie peut se produire après les résultats de culture si ces derniers sont négatifs.

49
Q

Outil de recherche clinique pour déterminer l’activité in vitro des nouveaux antimicrobiens

A

CMI

50
Q

Test diagnostic consistant à rendre décelable, et de ce fait analysable, l’ADN présent à l’état de trace

A

PCR

51
Q
  • Test sérologique utilisant une technique immuno-enzymatique
A

ELISA

52
Q
  • Concentration minimale de l’antibiotique pouvant produire une destruction complète du MO test
A

CMB

53
Q

Décrivez le processus pour obtenir (isoler) une bactérie à partir d’un échantillon clinique? Nommez le nom du milieu de culture; décrivez le processus pour isoler une bactérie sur le milieu de culture, décrivez le principe fondamental qui est appliqué dans ce processus

A

Le milieu de culture se nomme ‘agar’. Le milieu de culture offre un support solide, sur lequel repose l’échantillon pour croissance. Le processus d’isoler une bactérie repose sur le principe qu’une colonie indépendante est issue d’une seule bactérie. Ainsi, à partir d’un échantillon clinique, utilisant une technique précise, il est possible de répandre l’échantillon suffisamment pour obtenir des colonies indépendantes en croissance (donc sans se toucher). Ces colonies indépendantes peuvent ensuite être testés pour identification de la bactérie, et pour déterminer la susceptibilité aux antibiotiques.

54
Q

Pour déterminer si la culture est cliniquement significative et si les micro-organismes isolés sont responsables de l’infection, le clinicien doit interpréter les résultats en fonction de 4 différents paramètres.

A

la condition clinique du patient
le site de culture
la méthode de prélèvement.
le type et la quantité de micro-organismes isolés.

55
Q

Pour déterminer si la culture est cliniquement significative et si les micro-organismes isolés sont responsables de l’infection, le clinicien doit interpréter les résultats en fonction de 4 différents paramètres. Discuter de la condition clinique du patient.

A

Les signes et symptômes que présente le patient est l’étape initiale qui conduit le processus de traitement. Il est souvent non pertinent de prendre des cultures si le patient ne présente pas de signes ou symptômes. Il faut traiter le patient et non le résultat de laboratoire.

56
Q

Pour déterminer si la culture est cliniquement significative et si les micro-organismes isolés sont responsables de l’infection, le clinicien doit interpréter les résultats en fonction de 4 différents paramètres. Discuter de le site de culture.

A

Le type de micro-organisme isolé en fonction du site de culture est un bon indicateur. Un pathogène non colonisateur pour le site est signe d’une infection. L’obtention d’une croissance d’un mirco-organisme normalemet présent est considéré comme étant un colonisateur. L’obtention d’un micro-organisme non pathogène qui n’est pas colonisateur du site de prélèvement est considéré un contaminant. Par exemple, si on isole du E.coli d’une culture urinaire et en quantité importante, on peut supposer une infection urinaire en partculier si le patient se plaint de dysurie. Toutefois, une culture urinaire positive pour Enterococcus est plus souvent une contamination qu’une infection.

57
Q

Pour déterminer si la culture est cliniquement significative et si les micro-organismes isolés sont responsables de l’infection, le clinicien doit interpréter les résultats en fonction de 4 différents paramètres. Discuter de la méthode de prélèvement.

A

La méthode de prélèvement doit éviter la contamination par le microbiome humain. Donc, un prélèvement via une sonde urinaire n’est pas recommandé, tandis qu’un spécimen mi-jet ou aspiration suprapubique est une méthode plus fiable.

58
Q

Pour déterminer si la culture est cliniquement significative et si les micro-organismes isolés sont responsables de l’infection, le clinicien doit interpréter les résultats en fonction de 4 différents paramètres. Discuter de le type et la quantité de micro-organismes isolés

A

Le type et la quantité de micro-organismes isolés nous indiquent également si le spécimen est contaminé ou non. Par exemple, un expectorat est souvent contaminé par la salive du patient et si l’on retrouve plusieurs espèces provenant de la microbiome buccale, on peut supposer une contamination.

59
Q

Lucille T est une dame de 76 ans, de 72 kg. Depuis 2 jours, elle présente de la dysurie et une urgence mictionnelle. Elle avoue uriner souvent mais que de très petites quantités à la fois. Elle n’a présenté ni fièvre, ni frissons, ni nausées ou vomissements. Elle se présente à la clinique pour faire évaluer sa condition par le médecin. Le médecin pense à une infection urinaire. Quels sont les tests diagnostiques utiles pour confirmer l’infection chez cette patiente ?

A

Analyse et culture d’urine, analyse sanguine pour évaluation des globules blancs

60
Q

Diagnostic des infections chez les personnes âgées.

A

Le diagnostic d’une infection chez les personnes âgées est particulièrement difficile. Les manifestations cliniques d’une infection peuvent être atypiques et non spécifiques (delirium, agitation, léthargie, baisse d’autonomie, confusion,…); elles peuvent même être inexistantes chez les sujets très âgées et débilités. La fièvre peut même être absente. Les tests de laboratoire et cultures pertinentes sont particulièrement importants chez ce groupe de patients.

61
Q

Quelle est la pertinence des tests suivants chez la personne âgée : Culture et analyse d’urine?

A

À effectuer seulement chez les patients AVEC symptômes urinaires ou état fébrile. Investigation urinaire n’est pas indiquée si symptômes non spécifiques
* Résultats positifs : Pas très utile pour différencier une vraie infection d’une bactériurie asymptomatique. Si porteur de sonde : positif chez 100% des patients
* Résultats négatifs : Utile pour éliminer cette source d’infection

62
Q

Quelle est la pertinence des tests suivants chez la personne âgée : Culture d’expectorations?

A

Pertinence controversée, test pas très fiable car difficulté d’obtenir échantillon de qualité; haut taux de colonisation et contamination de l’échantillon (par la salive ou autre) dans 50% des cas
Peut être utile lorsqu’une pneumonie est diagnostiquée

63
Q

Quelle est la pertinence des tests suivants chez la personne âgée : Hémocultures?

A

Utile pour confirmer le diagnostic bactériologique lorsqu’une bactériémie est soupçonnée (ex : présence d’un cathéter veineux, plaie infectée, pneumonie)

64
Q

Quelle est la pertinence des tests suivants chez la personne âgée : Recherche to toxines de Clostridium difficile

A

Confirme le diagnostic. À effectuer si diarrhée et prise récente d’antibiotiques
Une culture de selles pour recherche d’entéropathogènes serait utile seulement si fièvre élevée, crampes ou diarrhée sanglante en l’absence de prise d’antibiotiques

65
Q

Enzyme produite par les bactéries et transmise par des chromosomes ou des plasmides

A

betalactamase

66
Q

Entérocoque résistant à la vancomycine

A

ERV

67
Q

Dans ce type de résistance, les gènes de résistance font partie du patrimoine génétique de la bactérie

A

naturelle

68
Q

État d’un micro-organisme dont la CMI est supérieure à la concentration sérique obtenue pour un antibiotique donné

A

résistant

69
Q

Bactérie à gram positif résistante

A

SARM

70
Q

Mécanisme de transfert de gènes dont le vecteur est un virus bactérien appelé bactériophage

A

transduction

71
Q

Ces pompes éjectent l’antibiotique hors de la cellule par transport actif et empêchent l’accessibilité au site d’action

A

efflux

72
Q

Mécanisme de résistance aux antibiotiques chez environ 10-20% des bactéries

A

mutation

73
Q

Leur mutation jouerait un rôle important dans l’émergence d’une résistance par réduction de perméabilité cellulaire

A

porine

74
Q

Bacille à gram négatif sécrétant parfois des β–lactamases à spectre étendu (ESBL)

A

ecoli

75
Q

On tente de stabiliser la patiente avec une réhydratation et un traitement de ciprofloxacin plus métronidazole (pour couvrir les bactéries aérobes à gram négatif et les bactéries anaérobes provenant de la flore intestinale et susceptibles d’être à la source de cette infection), mais il n’y a pas d’amélioration significative. L’antibiogramme nous révèle que les souches d’E. coli dans les hémocultures sont résistantes à la ciprofloxacine et aux céphalosporines de 3e génération.

ATCD: il y a 2 mois pneumonie, rx: ceftriaxone

A

Le principal facteur de risque de résistance est l’exposition antérieure aux antibiotiques. Il est, en effet, actuellement reconnu que l’utilisation d’un antibiotique ou d’une classe d’antibiotiques au cours des 3 derniers mois, est la cause de la progression de la résistance bactérienne à cet antibiotique. Donc, il n’est pas surprenant de constater une résistance aux céphalosporines de 3e génération. En administrant la ceftriaxone pour traiter la pneumonie de la patiente, le E. coli du microbiome intestinale exposé au traitement a acquis une résistance.

76
Q

Fonctionnement de E.Coli résistence naturelle

A

Le E. coli est naturellement sensible à l’amoxicilline et aux céphalosporines. Le mécanisme essentiel de la résistance aux β-lactamines est de nature enzymatique par production de β-lactamase. Le principal mécanisme de résistance aux céphalosporines de 3e génération, comme la ceftriaxone est l’acquisition d’une β-lactamase à spectre étendu (BLSE, aussi appelée ESBL) d’origine plasmidique dégradant toutes les β-lactamines sauf les carbapénèmes. Les associations avec un inhibiteur de β-lactamase sont habituellement efficaces. Les bactéries productrices de BLSE sont également souvent résistantes aux fluoroquinolones, comme c’est le cas ici avec la résistance au ciprofloxacin.

77
Q

Quels sont les traitements alternatifs pour contrer cette résistance ? (ciprofloxacine et aux céphalosporines de 3e génération.)

A

On pourrait administrer une association β-lactamine + inhibiteur de β-lactamase, comme la pipéracilline-tazobactam ou la ticarcilline-acide clavulanique; une carbapénem comme ertapénem, imipenem-cilastatine ou méropénem.

78
Q

Quels sont les cinq (5) étapes principales de la sélection de l’antibiothérapie?

A

a. Évaluation du patient
b. Identification des issues cliniques désirées
c. Choix de l’agent : identification de la classe d’antibiothérapie, identification de l’agent au sein d’une classe thérapeutique
d. Suivi du traitement
e. Prévention

79
Q

Quels sont les éléments à considérer lors de la sélection d’une classe thérapeutique?

A

Lignes directrices, expérience clinique, valeurs du patient. L’importance de chacun des ces éléments va varier au cours de votre pratique. En effet, plus votre expérience sera exhaustive, plus vous serez en mesure de moduler vos choix. De plus, selon votre expertise, vous serez en mesure d’approfondir votre sélection. En effet, les lignes directrices sont utiles pour la grande majorité des situations cliniques et visent surtout à prévoir les situations les plus communes. Avec l’expertise, vous pouvez développer votre acuité clinique afin d’identifier les situations qui ne sont pas définis dans les lignes directrices et guides cliniques.

80
Q

Quels sont les éléments à considérer lors de la sélection d’un agent au sein d’une classe thérapeutique?

A

Efficacité du produit, innocuité du produit (interactions médicamenteuses, effets secondaires, réactions adverses), résistance bactérienne, adhérence au traitement, coût

81
Q

Quels éléments sont prioritaires dans la sélection d’un agent?

A

Tous les paramètres doivent être considérés. La mise en priorité des paramètres s’effectue selon la situation clinique.

82
Q

le processus pathologique
d’une infection bactérienne

A

Infection
* Pénétration au site
* Modes de transmission
* Adhérence bactérienne
* Invasion/dissémination

devient maladie infectieuse
* Destruction pathologique
* Endotoxines/exotoxines
* Fièvre/maladie
* Défenses de l’hôte
* Évasion des défenses de l’hôte
* Production de sidérophores
* Plasmides
* Vaccins anti-bactériens

83
Q

Pouvoir pathogène

A

pouvoir de créer une maladie

84
Q

Potentiel infectieux

A

▫ capacité d’infecter (définition épidémiologique) un hôte
▫ Virus de l’hépatite C a un potentiel infectieux supérieur au VIH lors de la transmission sanguine

notion de charge infectieux, capacité de causé une infection avec un plus petite charge

donc exemple: vih dans le nez (très bas), Covid (haut

85
Q

Différencier l’infection, la colonisation et la contamination

A

infection capacité de se fixer et commencer à reprod (transitoire

colonisation: couvert de bactérie

contamination: test de lab, échantillon si on veut prendre, souvent échantillonage indirect mène à contamination

ex: on récupère l’urine plutôt que faire une chirurgie

86
Q

Microbiome Voies respiratoires supérieures

A

Staphylococcus aureus (surtout)
Streptococcus spp.
Neisseria meningitidis
Haemophilus influenzae

87
Q

Tractus gastrointestinal microbiome

A

Enterococcus spp.
Peptostreptococcus spp.

88
Q

microbiome Tractus génitourinaire

A

Généralement stérile mais:
Enterococcus spp.
Candida spp.

89
Q

microbiome peau

A

Staphylococcus aureus
Candida spp.

90
Q

Interactions pathogène, hôte

A
  • Processus d’une infection
  • Entrée, adhérence, éviter le système immunitaire, se
    multiplier, (pathogènes primaires: se transmettre)
  • Destruction tissulaire résultant en symptômes, dysfonction du système
  • Facteurs de virulence
  • Exotoxines (+)
  • Endotoxines (-)
  • Effets néfastes du système immunitaire ex:
91
Q

Signification résutat flore normale

A

souvent c’est que c’est pas possible de l’interprétation genre 10 bactéries

92
Q

Endotoxine

A

▫Composant du LPS: Lipid A
▫Associé aux septicémies Gram négatif
▫Mortalité de 25-50%
▫Non antigénique, pas de possibilité de toxoïde

au niveaux de la membrane; lorsque on tue énormément de bactérie, on libère bcp de LPS: commence l’inflammation (et coagulation) ex: Covid thrombose

93
Q

Exotoxine caractéristiques

A

▫Polypeptide, antigénique, toxoïde, souvent sensible à la chaleur (thermolabile)

94
Q

Effets biologiques des endotoxines

A

Fièvre (pyrogène)
* Activitation du processus de
coagulation
* Depression du système
reticuloendothélial (phagocytose)
* Activation du système du complément
* Augmentation de la perméabilité
vasculaire, hypotension, choc

95
Q

Exotoxine

A
  • Protéine toxique secrété par une bactérie (vivante)
  • Altération de la fonction normale du métabolisme de la cellule cible
  • Diversité importante au niveau de la structure et du mécanisme d’action
    *Une espèce bactérienne peut produire une ou plusieurs différentes toxines
  • Ex: S. aureus produit jusqu’à 25 différentes toxines
96
Q

Exotoxines types

A

*Lyse enzymatique
▫ Toxine-alpha: Clostridium perfringens
*Formation de pores
▫ Toxine-alpha: Staphylococcus aureus
*Inhibition de la synthèse protéique
▫ Toxines Shigella, Diphtheria
*Inhibition de la transmission nerveuse
▫ Toxine botulinique: paralysie flasque
▫ Toxine tétanique: paralysie spastique

97
Q

Signes locaux d’inflammation

A

▫ Rougeur, chaleur, douleur, oedème, purulence

peu pas distinguer entre inflammation et infection mais locaux

98
Q

Signes systémiques non spécifiques

A

Fièvre, frissons, fatigue, perte de poids, anorexie lorsque plus longue. syts`mique = gravité

99
Q

Signes spécifiques selon site atteint

A

▫ Ex: SNC: photophobie, phonophobie, maux de
tête, désorientation, confusion, convulsions, etc.

100
Q

Évaluation (présentation patient) EN ORDRE

A

*Raison de consultation
* Histoire médicale et chirurgicale
* Histoire médicamenteuse
* Histoire de la maladie actuelle
*Évaluation physique (c’est ici signes et sympt)
* Investigation au labo
* Microbiologie
*Radiologie
* Plan de traitement

101
Q

Évaluation au laboratoire

A

*Fonction immunitaire
*Réponse inflammatoire
*Évaluation de la fonction de l’organe
atteint
*Évaluation des autres organes
*Cultures microbiologiques

102
Q

Émergence de résistance en cours de traitement

A

ex: S. pneumoniae chez l’enfant
cette bactérie mute très souvent (la bact peut muter en cours de traitement, durant le truc donc donner des antibio seulement quand bactrien

103
Q

Acquisition puis transmission clonale de la résistance (ex: MRSA)

A

staph aureus: 1 ou 2 ou 3 souches qu québec: donc résistance se crée en partageant la souche par contact pcq ne mute pas bcp

104
Q

Résistance intrinsèque

A

les gènes de résistance font partie du patrimoine génétique de la bactérie (ex: pseudomonas naturellement résistant aux
macrolides, bactéries gram négatif toujours résistantes à la vancomycine)

105
Q

résistance acquise

A

Les bactéries à l’origine sensibles peuvent acquérir de la résistance pour échapper à l’action des antimicrobiens (mutations chromosomiques spontanées ou acquisition de nouveau matériel
génétique )

106
Q

CMI de CLS

A

pharmacocynétique ( fait par USA): quantité maximale d’antibio que je peux donner mon patient: c’est une limite de susceptibilité

107
Q

CMI rapportée dans le test de susceptibilité

A

là on doit comparé clsi et test: si la cmi du test est au dessus du clsi, alors la bactérie est résitance

108
Q

CMI publiée dans la littérature

A

la moyenne des test de susceptibilité

109
Q

Disques de diffusion

A

§ Rayon d’activité mesuré et comparé au standard du
CLSI (Clinical Laboratory Standards Institute)
§ Disques d’antibiotiques différents
§ Économique

110
Q

Les CMI

A
  • Tubes de dilution avec concentration d’un antibiotique qui change
  • Concentration minimale de l’antibiotique nécessaire pour inhiber une
    croissance visible
111
Q

E-TEST

A

*Bâtonnet d’un antibiotique avec gradient de
concentration
*Mesure de l’activité s’effectue à la limite de la
croissance

112
Q

Combinaison des antibiotiques
*Avantages

A

▫ Augmenter le spectre
▫ Prévenir l’émergence de résistance
▫ Traitement des infections polymicrobiennes

113
Q

Combinaison des antibiotiques
*Désavantages

A

▫ Surinfections
▫ Effets secondaires (IM, ES, Toxicité, Rés.)
▫ Coûts