Psychopathologies et diagnostics à l'enfance (partie 2) Flashcards
Décrire le soleil du syndrome de Gilles de la Tourette (trouble de (3), changement…., épisode….. (fait penser à un autre trouble), stress=, manifestations qui ressemblent à 3 autres troubles, manière d’être (2 commencent par i), manque de…) (au centre du cercle)
Trouble d’apprentissage
Trouble d’organisation et de planification
Trouble du sommeil
Changement d’humeur (labilité émotionnelle très marquée, au sein d’une même journée aussi)
Épisode explosif
Anxiété
Hyperactivité et déficit d’attention
Opposition provocation
Obsessions, compulsions
Impulsivité
Immaturité
manque d’inhibition (dit ce qu’il pense, incapable de se réfréner)
Au centre: tics moteurs et sonores
Ordre d’apparition des manifestation dans syndrome Gilles de la Tourette
Toutes les manifestations associées, apparaissent avant les tics
Vrai ou faux, lorsqu’un jeune atteint du syndrome de Gilles de la Tourette, celui-cifait des crise proportionnelles à l’amplitude de la situation
faux, pas proportionnel, amplifié
Vrai ou faux, Tics moteurs et sonores présents depuis au moins 1 an (nécessaire pour avoir le syndrôme)
Besoin aussi de 1 moteur et 2 sonores pour le diagnostic
vrai
Vrai ou faux, il est possible d’avoir des tics transitoires (ne pas avoir nécessairement le syndrome)
vrai
Différences entre les tics moteurs simples et les tics moteurs complexes
Simples : 1 spasme 1 muscle
Complexes: implique plusieurs muscles (toujours même ordre)
Tics moteurs (ressemble à quoi, plus fréquents concernent…)
Contraction musculaire spontanée, involontaire, automatique
+ fréquents tics (concerne le visage)
Vrai ou faux, trouble doit causer difficultés dans la vie (pas juste les tics sont handicapants dans le fonctionnement)
vrai
Tics sonores ressemblent à quoi
toux, raclement de gorge, son, reniflement,…..
2 trucs pour aider à diminuer l’apparition des tics en public
Sensibiliser le groupe pour éviter de souligner le tic pour que celui-ci soit moins fréquent, plus on le mentionne + il revient
Effectuer un geste contradictoire (ex: tics vocaux et mâcher de la gomme)
Dans le langage populaire, la …… est la psychopathologie la plus évoquée pour nommer le trouble mental,
«dépression»
Vrai ou faux la dépression est décrite chez l’adulte depuis l’Antiquité mais étudiée seulement depuis un siècle chez l’enfant (approche psychanalytique)
vrai
Vrai ou faux environ 3% des enfants et 5% des adolescents souffriraient de dépression,
vrai
Sexe plus affecté par la dépression à l’adolescence et pourquoi
filles (hormones, transformation corporelle visible, image corporelle pression sociale, estime de soi)
Garçon: probablement sous-diagnostiqué (vont moins consulter) + difficile de reconnaitre et identifier dépression femmes + à l’écoute de leurs états
Vrai ou faux, 2 enfants sur 3 ont des pensées suicidaires en période de dépression. (peuvent être masqué par comportements à risque)
vrai
Vrai ou faux, il y a une diminution des idéations suicidaires ou de tentatives de suicide chez les enfants
vrai
Vrai ou faux, la dépression chez les enfants est surdiagnostiquée
faux, elle est plutôt sous-diagnostiquée et est souvent confondue avec d’autres troubles (ex: TDAH)
Vrai ou faux, la dépression chez les enfants peut souvent mener à de l’hyperactivité
vrai (d’où l’importance de bien observé quand cela a commencé)
La dépression chez les enfants est caractérisée par (épisodes……., temps, relié, sentiments (5), influe sur (2) + manifestations (à fleur de….., physique (4), faible…, socialement…, perte de…., changement dans …., baisse de …. et idées…..)
Épisodes de tristesse intense qui s’étirent dans le temps et qui n’est pas relié à une cause observable;
Sentiments persistants de tristesse, d’impuissance, de vide, de désespoir et de dévalorisation; (perd espoir en la vie)
Influe sur les humeurs, mais également sur les comportements; (changement par rapport à d’habitude)
Irritabilité anormale
Douleurs physiques (maux de ventre, de tête);
Sommeil perturbé;
Perte d’appétit ou de poids;
Faible niveau d’énergie;
Isolement fréquent ou constant de l’enfant;
Perte d’intérêt pour ses passe-temps, les jeux ou les activités ludiques;
Les habitudes, les comportements de l’enfant ou les résultats académiques changent;
Baisse de l’estime de soi;
Idées suicidaires
Vrai ou faux, certains jeune déprimés ont de l’hypoactivité
vrai varie beaucoup Certains ont de l’hypoactivité d’autre activité normale mais quand même dépression, certains exprimé par hyperactivité
Vrai ou faux, l’on doit s’inquiéter lorsqu’on observe un jeune pleurer de manière récurrente sans raison apparente
vrai
Troubles anxieux chez l’enfants 5 types
Phobies spécifiques
Mutisme sélectif
Anxiété de performance
Anxiété de séparation
Anxiété sociale
Phobies spécifiques (quoi et exprimé comment)
Peur intense à propos d’un objet ou une situation spécifique;
À l’enfance la peur peut s’exprimer par des pleurs, des accès de colère, des réactions de figement. (handicapant pour l’enfant, prend trop de place) (apparait souvent après exposition à une situation, conditionnement) (toutes les peurs sont associées à des pensées) (beaucoup bibittes, abeilles, animaux, voleur, kidnaper)
Mutisme sélectif (quoi, interfère temps, pas mieux…,)
Incapacité régulière à parler dans des situations sociales spécifiques (à l’école par exemple) alors qu’il parle dans d’autres situations. (avec parents ou proche c’est correct)
Le trouble interfère au fonctionnement et est d’une durée d’au moins 1 mois.
Pas mieux expliqué par une autre condition ou un autre trouble. (trouble de langage par exemple, certains troubles de langage et ensuite mutisme)
Anxiété de performance (peur de…, tendance à…., souvent relié à……..(3))
Peur de l’échec dans diverses situations (sport, école,…)
Tendance à élaborer des scénarios catastrophes (couler mon année, je ne passerai jamais,…)
Souvent reliée à la peur du jugement, de se tromper, faible estime de soi (sent capable de surmonter ou pas). (souvent dans programmes de performance sport étude, anglais intensif) (se développe le +, peut s’installer même si n’a pas de fond anxieux, se développe à cause de situations) (beaucoup relié à des pensées) (quand c’est auto infligé + facile à travailler que si part de la famille) (beaucoup peur du jugement, de se tromper)
Trouble anxieux, comment aider le jeune (3)
Maux physiques peuvent s’installer (important de l’expliquer aux enfants pas malades mais son corps croit qu’il est face à un danger, respiration, battements de cœur, mal de ventre¸, se sauver du danger)
Travailler sur les pensées
Effectuer des exercices de respiration
Impacts du mutisme sélectif
(à l’école) au niveau social, retard possible à l’école, enseignant ne peut pas savoir si bien compris) (certains pas capables de dire doit aller aux toilettes)
Vrai ou faux, l’anxiété de performance peut être transmise du parent envers l’enfant
vrai (Certains parents exigeants envers lui-même et donc envers son enfant aussi (tolère moins bien erreurs, fautes, ils ont une forte réaction quand réussi pas)
Anxiété de séparation (peur ou anxiété…. au stade….) (soucis concernant….., réticence persistante…., rêves, plaintes……, persistent (temps), entraîne….)
Peur ou anxiété excessives et inappropriées au stade du développement concernant la séparation d’avec les personnes auxquelles l’enfant est attaché
Soucis excessifs concernant la disparition des principales figures d’attachement, ou anticipation d’une catastrophe
Réticence persistante ou refus de sortir, loin de la maison, pour aller à l’école ou aller dormir sans être à proximité d’une figure d’attachement.
Cauchemars répétés à thèmes de séparation
Plaintes somatiques répétées (mal ventre,….. Pas nécessairement faux)
Persistent au moins 4 semaines
Entraîne une détresse significative
Vrai ou faux, l’anxiété de séparation peut souvent être confondu avec anxiété scolaire
vrai, correct aller chez amis ou camp de vacances mais pas école (vécu évènement traumatisme), Anxiété de séparation plus dans toutes situations s’éloigne du parent ou des figures d’attachement
Vrai ou faux, l’anxiété de séparation peut provenir d’une surprotection parentale due au parent qui en a lui-même vécu
vrai (enfant pas vécu situations en dehors de ses parents (attachement insécure)
Avant école séparation du parent se fait au dodo (monstre, garde enfant près de lui jusqu’à ce qu’il s’endorme)
L’anxiété de séparation apparait quand le plus dans la semaine chez l’enfant
le dimanche soir
Vrai ou faux, il est une bonne idée de garder l’enfant à la maison lorsqu’il souffre d’anxiété de séparation
faux, augmente les symptômes
Trouble de l’anxiété sociale (peur……, se retrouve pas seulement…, crainte de…., situations sociales vécues comment…, dure depuis…., pas mieux expliqué par….., parfois confondu avec ….
Peur ou anxiété intense d’une ou plusieurs situations sociales durant lesquelles le sujet est exposé à l’éventuelle observation attentive d’autrui (rencontrer des personnes non familières, être observé en train de manger ou boire, en train d’aller à la salle de bain, faire un exposé oral)
Chez l’enfant l’anxiété se retrouve non seulement en présence d’adulte (pas peur autorité, juste jeunes aussi)
La personne craint de présenter des signes d’anxiété d’une façon qui sera jugée négativement (peur rougir, bégayer, chercher ses mots)
Les situations sociales sont évitées ou vécues avec une peur intense
Dure depuis 6 mois ou plus
Pas mieux expliqué par une substance ou tout autre trouble
Parfois confondu avec l’anxiété de performance (peut être dû à peur d’échouer se tromper ou être vu en train d’échouer)
Comment aider les jeunes souffrant de troubles anxieux
Accompagner à petites doses (pour pas rempirer non plus) commence exposition moins confrontant puis augmente à petites doses, graduellement (désensibilisation) ne doit pas complètement éviter
Trouble obsessionnel-compulsif comporte (2) + les plus fréquents (2)
obsessions et compulsions
peur de la saleté et des germes
peur liée à sa sécurité (barrer les portes)
Obsessions
Pensées ou peurs incontrôlables qui engendrent du stress. (pensée obsédante, prend toute la place)
Compulsions
Une contrainte, un geste ou un rituel répété. (pas le choix pour se soulager)
Fournit un soulagement qui ne dure pas.
Vrai ou faux, il est possible d’avoir seulement des compulsions et pas nécessairement le trouble obsessionnel-compulsif
vrai, doit nuire significativement au fonctionnement (Ex: Piler sur les lignes du trottoir, lever les pieds au chemin de fer…. (ne nuit pas, doit prendre toute la place)
Vrai ou faux, il arrive parfois que les compulsions sont très particulières
Vrai, tourner 3 fois poignée de prote, sinon se fera voler
Vrai ou faux, un méthode utilisées par les enfants atteints de ce trouble est de demander aux autres souvent parent de le faire (ex: barrer les porte) (compulsion)
vrai
Vrai ou faux, plus la pensée revient plus doit faire la compulsion, cercle vicieux (constamment, sans cesse)
Vrai
Trouble explosif intermittent (épisodes…. (temps), incapacité à….)
(agressivité(2), explosions…, préméditation, provocation, âge, pas mieux…..)
Épisodes comportementaux explosifs récurrents témoignant d’une incapacité à résister à des impulsions agressives:
Agressivité verbale
Agressivité physique envers du matériel, des personnes ou des animaux
Surviennent environ 3 fois par semaine sur une période de 3 mois
3 explosions comportementales sur une période de 12 mois durant lesquels des biens matériels sont endommagés ou détruits et/ou des animaux ou des personnes sont blessés dans une agression
physique.
Il n’y a pas de préméditation.
Sans aucune mesure à de la provocation.
L’âge chronologique est d’au moins 6 ans
Pas mieux expliqué par un autre trouble mental
Vrai ou faux, les jeunes souffrant du trouble explosif intermittent sont à fleur de peau, tout est déclencheur de crise
vrai
Distinction entre trouble explosif intermittent et trouble d’opposition avec ou sans provocation
Pas le gout de le faire mais pas capable de se contrôler vs trouble provocation veut susciter réaction)
Famille des troubles de l’humeur pas des comportements
Trouble explosif intermittent
Défis du parent d’un enfant anxieux (ne dois pas trop….., souvent lui-même…, ne pas parler de…., ne pas encourager ….., gérer émotion…., protection….)
Réassurance et préparation (ne doit pas trop préparer ou réassurer, pas normal)
Souvent le parent est lui-même anxieux (veut lui éviter)
Parler des problèmes d’adultes devant l’enfant (cela devient stressant pour l’enfant, scénarios de peur (pire que réalité)
Encourager l’évitement, acheter la paix (garder à la maison)
Gérer sa propre émotion, perdre patience (difficile parfois, c’est exigeant)
Surprotection et autonomie (enfant moins autonome, se sent encore moins capable de surmonter les défis)
3 Éléments doivent être présents dans nos vies si l’on veut évoquer le concept de SANTÉ MENTALE… permettent de la maintenir
Notion de plaisir
Capacité de profiter de la vie
Capacité d’exercer sa curiosité intellectuelle
La résilience du jeune 4 types de caractéristiques
Caractéristiques du jeune
Caractéristiques familiales
Caractéristiques de la communauté
Caractéristique culturelles et sociétales
Résilience, caractéristiques du jeune (Habileté….., tête, perception, capacité.., stratégie…, sentiment, tempérament, espoir et…, posséder caractéristiques…)
Habiletés sociales, intelligence, perception de soi positive(estime de soi, confiance en soi) de soi et de la vie, capacité de résoudre des problèmes (trouve solutions), stratégies d’adaptation efficaces, empathie, tempérament facile durant l’enfance, espoir et sens positif donné à la vie, caractéristiques valorisées dans la société(humour, apparence physique, talent particulier); (si voit l’inverse facteurs de risque, santé mentale fragile)
Résilience, caractéristiques familiales (environnement (2), faible degré de…, relation parent ou figure…., parent style…, relations fraternelles…, engagement …., avantages…., affiliation…)
Environnement stable et soutenant, faible degré de discorde, relation chaleureuse avec un parent ou une figure parentale, parent de style démocratique, relations fraternelles positives, engagement des parents dans l’éducation, avantages socioéconomiques(scolarité, emploi, revenu), affiliation religieuse ou spirituelle (prend soin du jeune peu importe allégeance)
Résilience, caractéristiques de la communauté (voisinage…, logement…, accès à….., écoles…., enseignants…., programmes…, occasions….., services de…, lien avec …..)
Voisinage sécuritaire (quel quartier, niveau socioéconomique, vision du monde, voisins), logement abordable, accès à des parcs ou à d’autres équipements de loisir, air et eau de qualité, écoles de bonnes qualité, enseignants bien formés et dévoués, programmes d’activités parascolaires, occasions d’emploi pour les parents et les jeunes, services de santé de qualité, liens avec des adultes prosociaux et à des mentors; (accès à ces services)
Résilience, caractéristiques culturelles et sociétales (politiques….., valeurs….., ressources….., prévention de…., intolérance…..)
Politiques favorables aux enfants et aux familles (important, tolérance à la violence, oppression), valeurs et ressources dédiées à l’éducation, prévention de l’oppression et de la marginalisation, intolérance de la société vis-à vis de la violence.