Développement affectif et social Flashcards
Comment sommes-nous au début de la vie? Nous dépendons de quoi?
Au début de notre vie, nous sommes pendant longtemps extrêmement vulnérables, nous dépendons de notre entourage social pour satisfaire nos besoins fondamentaux,
La survie de notre espèce est basée sur…
notre vie sociale, sur cette capacité à échanger de l’information et de coopérer avec nos semblables,
Malgré sa vulnérabilité, le nouveau-né possède certaines aptitudes sociales comme : (4)
capacité d’imitation, production de mouvements faciaux simples tel sourire, ouvrir la bouche…
D’où vient l’immaturité affective
d’évènements passés
Divers aspects sociaux de notre vie (5)
communication émotionnelle
attachement
développement de la moralité
contrôle des conduites
agressivité
Communication émotionnelle
émotions de base et les autres, parler de ce qu’on ressent/ le montrer (le partager)
Attachement (avec qui…, plus le temps avance)
avec les parents, puis avec les éducatrices (donneurs de soins), puis enseignants, conjoints, amis, personnes de proximité
Développement de la moralité (au début)
sens moral, au départ pas en mesure de répondre à une règle sociale, si parent pas là respecte pas
Contrôle des conduites
retenir pulsion, comment se comporter durant diverses situations
Agressivité (parcours en bref)
devient importante et ensuite apprend à la gérer
Développement affectif et communication émotionnelle, différentes étapes du développement de la conscience de soi (3)
Moi subjectif ou existentiel
Moi objectif ou différentiel
Identité de genre
Moi subjectif ou existentiel (quand et quoi)
(3 à 15 mois): bébé apprend qu’il est un être à part entière(prend connaissance de son existence, indépendant des objets et des personnes (à force de faire les mêmes gestes, fait bouger objet et réalise, quand pleure et crie son entourage vient le voir ils réagissent il réalise influence sur les autres)
Moi objectif ou différentiel (quand et quoi)
(15 à 24 mois): réalise qu’il est un individu qui a ses propres caractéristiques (à partir des commentaires que les gens font sur lui (parler de son comportement et non de qui il est quand pas fier)
Identité de genre (quand et quoi)
(17 mois à 24 mois): capable de reconnaitre qu’il est un garçon ou une fille (pu bébé, garçon ou fille) filles et garçons différents jeux, préférences se développent
Développement psychosocial selon l’âge de 0 à 6 mois (9)
Ouverture à la stimulation sociale (davantage, passe de l’égocentrisme vers l’exploration du monde et aux autres)
Éveil social
Échanges réciproques (regards, sourires, gazouillis) (avec personnes familières beaucoup)
Démonstrations des affects (avant ils étaient démontrés seulement pour les besoins maintenant pour de vraies raisons)
Dès la naissance l’enfant démontre des signes de dégoût à certaines substances gustatives ou olfactives. (mimiques de visage)
1 mois l’enfant peut sourire, s’intéresse aux objets qui bougent.
2 mois il exprime déjà de la colère. Répond au sourire qui lui est adressé. (affects)
4 mois il commence à rire lorsqu’on le chatouille.
6 mois il sourit davantage aux personnes familières et devient méfiant envers les étrangers.
Développement psychosocial selon l’âge de 6 à 9 mois (7)
Jeux sociaux (cache, décache (coucou), imitation (mains agitent et enfant reproduit)
Cherche à susciter l’intérêt des gens (refaire ce qui plait au parent (renforcement)
Émotions plus différenciées (s’élargit)
Touche, cajole pour provoquer une réaction (déduit cela)
7 mois il manifestes les premiers signes d’évitement lorsqu’il perçoit une hauteur. La peur des hauteurs se développe
8 mois il exprime de la peur à l’égard des étrangers lorsqu’ils s’approchent. Les jeux commencent à l’amuser.
9 mois la peur et l’anxiété se fait sentir lorsqu’il est séparé de ses parents. (peur pu avoir réponse à ses besoins)
Développement psychosocial selon l’âge de 9 à 12 mois (4)
Préoccupé par les personnes qui s’occupent de lui. (panique quand pas là)
La crainte des étrangers est encore présente.
Agit prudemment dans les nouvelles situations
Exprime ses humeurs, son ambivalence à des intensités variables.
Développement psychosocial selon l’âge de 12 à 18 mois
Explore l’environnement avec un retour au camp de base (souvent mère) (s’aventure peu à peu mais toujours en revenant)
Ils gagnent en confiance et en autonomie (en explorant)
Rit fort face aux bouffonneries des adultes. (s’esclaffer)
Le rire par anticipation fait son apparition (dans les jeux qui comportent une série d’action) (mêmes jeux, approche de chatouille rit déjà)
Vrai ou faux un camp de base surprotecteur mène à explorer moins/pas, nuit au développement de la confiance pas de prise de risque qui aident à développer les compétences
vrai
Développement psychosocial selon l’âge de 18 à 36 mois (5)
Éprouve de l’anxiété car il réalise la distanciation. (avant peurs, maintenant anxiétés)
S’amuse à tester les limites par le jeu.
Exprime de la honte lorsqu’il échoue devant les autres.
Peut poser des gestes agressifs qui accompagnent l’expression de sa colère.
Montre des signes de culpabilité lorsqu’il est grondé.
Différence entre peur et anxiété
peur: face à quelque chose de vraiment présent
anxiété: plus anticipé, imaginé (avant)
Vrai ou faux, l’enfant évolue mieux lorsqu’il est accompagné dans la gestion de ses émotions
vrai, Gestion de colère (enfant évolue davantage quand il est accompagné, montrer neutralité, phrases rassurantes pour traverser cette période) ne pas juste l’envoyer dans sa chambre pour qu’il gère seul) si pas capable d’être présent neutre mieux de ne pas être présent (capacité du parent)
La communication émotionnelle démontre bien notre capacité sociale, dès la naissance nous communiquons … par … qui constituent … et permet de développer …
nos besoins par des expressions faciales de détresse et des pleurs;
Ceux-ci constituent de puissants signaux d’inconfort et qui incitent l’adulte à donner les soins requis, (sentiment de compétence: estime de soi se construit, pleurs apportent réponse aux besoins);
réponse sociale apparaissant dès la 6e semaine + expliquer un peu
le sourire, tendance à sourire aux personnes proches (même chose pour les pleurs), les échanges de sourires correspondent aux premières formes de dialogue et jouent un rôle important dans l’établissement du lien social.
6 émotions primaires de Lewis
- La joie (apparaît vers 2 semaines mais la fonction sociale davantage vers 2 mois)
- La colère et l’agressivité (apparaît entre 4 et 6 mois)
- Dégoût (assez tôt)
- La peur et tristesse (vers 6 mois)
- Surprise
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Gêne, envie, empathie apparaissent entre 15 et 24 mois - Fierté, doute et honte, culpabilité arrivent vers 2 ou 3 ans, ces émotions exigent une certaine expérience sociale, (auto-évaluatives, relation avec les autres, échec, désobéit)
Le comportement agressif est souvent vu comme l’opposé du comportement …
prosocial
Vrai ou faux, les enfants antisociaux ont plus de difficultés à l’âge adulte: alcoolisme, accidents, chômage chronique, divorce ou difficultés en couple, maladies mentales, etc.
vrai
Vrai ou faux, 4% à 10% des enfants d’âge scolaire éprouvent de telles difficultés, (et la problématique augmente)
vrai
Pourquoi la problématique de l’agressivité chez l’enfant augmente de nos jours
Parents et société ont moins de tolérance à l’agressivité de l’enfant (tout va vite, délais pu tolérés), bienveillance parentale (trop)
Classe sociale, santé mentale du parent peut jouer
Vrai ou faux, l’agressivité est déterminée par l’environnement et l’hérédité
vrai (multifactorielle)
Vrai ou faux, La fréquence élevée de comportements agressifs tend à être instable dans le temps chez les plus agressifs
faux elle tend à être stable
La fréquence des comportements agressifs culmine vers l’âge de … pour diminuer progressivement jusqu’à l’âge de …, + pourquoi diminue-t-elle
2 ans, 5 ans, influence du développement du langage + capable de s’exprimer oralement
meilleur facteur de protection pour diminuer l’intensité et la fréquence de tels comportements agressifs
L’entraînement aux habiletés sociales
L’un des points central du développement de l’agressivité chez les enfants
Famille, facteurs familiaux influence (stresseurs, imitation du parent, disponibilité du parent, tempérament du parent)
Comment la famille peut-elle influencer le développement de comportements agressifs (3)
Une discipline rude et incohérente,
un engagement parental faible auprès des enfants, (le laisse faire, a démissionné de son rôle de parent)
Une faible supervision des activités des enfants, (à la maison ça va mais pas dans cadre scolaire)
Faible attachement parents/enfants ou à tout le moins un attachement perturbé (parent instable, santé mentale, consomme, ambivalent dans ses manières de réagir)
Comment une famille peut favoriser le développement de comportements prosociaux (3)
Encadrement chaleureux mais ferme,
Établissement d’un lien significatif et structurant
La relation d’attachement. (importante)
Les peurs et l’anxiété (5)
Peur des bruits forts et de la chute (nouveau-né)
Peur des étrangers : 6 et 12 mois (grâce à la permanence de l’objet)
Peur du noir et des monstres: apparaissent vers 18 mois (difficulté à établir une distinction entre l’imaginaire et la réalité) (permanence de l’objet, monde imaginaire)
Anxiété de séparation (loin du parent, normal à cet âge): entre 8 et 12 mois
Peur sociale : apparaît à l’âge scolaire (rejet, gêne, humilié)
Comment bien gérer les peurs de l’enfant
Entrer dans l’imaginaire de l’enfant, pas dire que cela n’existe pas car il ne nous croira pas (le toutou avec lequel il dort a des pouvoirs magiques) son monde, lui parle, important de le valider
C’est quoi les émotions évaluatives + quand + rôle important pour…
Conscience de soi, jugement sur lui-même, de ses erreurs et ses fautes
entre 15 et 24 mois
Les émotions jouent un rôle important dans la régulation du comportement. (diminuer l’apparition de comportements négatifs)
Quelles sont les émotions évaluatives (4)
Honte: Incapacité à répondre à une certaine norme de performance;
Fierté: Satisfaction de soi p/r à encouragement et valorisation;
Culpabilité: notion de transgression d’une norme sociale;
L’envie; (jalousie un peu des autres)
Quand apparaît l’empathie et en quoi elle correspond
la capacité à se mettre à la place d’une autre personne et d’éprouver ce qu’elle ressent (2 ou 3 mois).