Promotion de la santé et saines habitudes de vie Flashcards

1
Q

vrai ou faux:
Bien que nous soyons plus informés sur les saines habitudes de vie, il n’est pas toujours facile de faire des choix sains

A

vrai

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2
Q

vrai ou faux:
Notre environnement a changé. Il y a plus d’étalement urbain, plus de restos, la taille des portions a augmenté, l’industrie alimentaire offre des plats prêts en quelques minutes, la publicité montre des personnes minces, etc.

A

vrai

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3
Q

vrai ou faux:

Il faut travailler sur l’environnement et trouver des solutions durables

A

vrai

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4
Q

vrai ou faux:
Il faut mobiliser les communautés et impliquer les divers intervenants : parents, éducatrices, cuisiniers, décideurs dans les municipalités, etc.

A

vrai

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5
Q

% d’obésité adulte au Qc?

A

23%

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6
Q

données auto-rapportées vs mesurées?

A

auto-rapportées: sur ou sous estimé selon la nomre

mesurées: + $

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7
Q

vrai ou faux:
Le tiers des enfants québécois de 3 à 5ans fait de l’embonpoint ou est à risque d’en faire
Cela représente environ 58000 enfants au Québec selon l’Observatoire des tout-petits dans son portrait 2017

A

vrai

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8
Q

quelle province affiche le taux d’obésité le plus faible au Canada?
plus élevé?

A

C-B

TNL et NB

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9
Q

vrai ou faux

le Canada se situe au 9erang des populations adultes avec un surplus de poids

A

vrai

selon données de 2015

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10
Q

vrai ou faux:
En ce qui concerne le surplus de poids mesuré chez les enfants, selon les données de 2010, le Canada se situe au 11erang, comparativement aux autres pays de l’OCDE

A

vrai

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11
Q

avec les temps, autant pour les 18-34, 35-64 et les 65-69, l’obésité abdominale a…?

A

significativement augmentée

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12
Q

vrai ou faux:
Nous assistons non seulement à une augmentation de la proportion de personnes obèses, mais à une augmentation du poids moyen de la population

A

vrai

Il s’agit donc d’un problème populationnel et non d’un problème limité à un groupe à risque

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13
Q

principaux problèmes de santé lié à l’obésité?

A
stéatose hépatique
DB type 2
arthrite/arthrose
mx respiratoire
mx cardiovasculaires
13 types de cancer
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14
Q

quel gras est le plus nocif?

A

gras abdominal

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15
Q

vrai ou faux:

de plus en plus d’enfants ont des maladies associées à l’obésité?

A

vrai

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16
Q

vrai ou faux:

50 % des enfants obèses au primaire risquent de devenir des adultes obèses

A

vrai

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17
Q

quels types d’impact sont les plus importants chez les jeunes en lien avec obésité?

A

impacts psychosociaux

18
Q

Quels sont les coûts de santé en lien avec embonpoint / obésité?

A
Au Québec : 3 milliards par année en 2011
hospitalisation (1,3 milliard)
consultations médicales (110 millions)
médicaments (860 millions)
invalidité (630 millions)

Les coûts indirects : perte de productivité
◦temporaire : absentéisme pour des raisons de santé
◦permanente : invalidité ou mortalité prématurée
Au Québec, le fardeau lié à l’invalidité se chiffre à 630 millions de dollars pour 2011

19
Q

facteurs favorables à l’obésité dans notre société?

A

de la sédentarité
un rythme de vie accéléré
des modifications à l’alimentation

20
Q

évolution utilisation de la voiture et niveau d’activité physique?

A

Entre 1978 et 2013, la proportion des ménages québécois qui ont deux voitures est passée de 16 à 36 %.
Aujourd’hui, 20 % des emplois demandent un niveau d’activité physique modéré, alors qu’en 1961 c’était presque la moitié des emplois.
travail de bureau&raquo_space;>

Depuis le début des années 1990, la part des déplacements actifs entre la maison et l’école chez les élèves du primaire a diminué de façon importante au profit des déplacements par automobile
Seulement 30 % des élèves québécois du primaire se déplacent à pied et 2 % utilisent plutôt le vélo

50 % des déplacements de moins d’un kilomètre sont effectués en voiture
La part modale des transports actifs pourrait ainsi considérablement augmenter dans la région de Montréal
◦jusqu’à 6 % des déplacements motorisés pourraient se faire à pied
◦21 % à vélo

21
Q

évolution de l’utilisation des écrans?

A
L’exposition aux écrans commence dès la petite enfance
Un jeune (12 à 24 ans) sur cinq se divertit devant un écran, 35 heures ou plus par semaine
22
Q

évolution des rapports à la cuisine?

A

Le temps consacré à la préparation du souper était d’en moyenne 38 min en 2016
Les Canadiens cuisinent de moins en moins, se réunissent moins autour de la table à l’heure des repas et transmettent moins leurs habiletés culinaires aux générations futures
Les familles qui préparent et mangent les repas ensemble ont de meilleures habitudes alimentaires

« Les compétences alimentaires sont nécessaires pour naviguer dans un environnement alimentaire complexe et favoriser une saine alimentation ».
Les femmes ont plus tendance que les hommes à penser qu’elles sont capables de:
peler, hacher (94% vs 89%)
congeler des légumes (73% vs 64%)
faire des conserves (42% vs 31%)
cuire de la viande (91% vs 85%)
faire une soupe ou un ragoût (86% vs 64%)
préparer des muffins ou un gâteau (83% vs 49%)

23
Q

avec qui mange-t-on?

A

30% seuls
en couple –> 30 % seul
enfants: 34 % seuls, 39% 1 repas en famille, 19% 2 repas, 8% 3 + repas.

24
Q

qualité de l’alimentation?

A

Seulement 24 % des répondants atteignent la cible recommandée pour les fruits et les légumes.
À peine 12 % consomment suffisamment de produits céréaliers de grains entiers.
Seulement 39 % font une place suffisante aux produits laitiers ou à leurs équivalents.
81 % des répondants consomment plus de sel que la limite prescrite.
74 % des répondants ont un apport en gras saturés qui dépasse la limite quotidienne recommandée.

25
Q

profil de consommation de fruits et légumes?

A

Les femmes sont plus nombreuses que les hommes à en consommer
Les jeunes âgés de 12 à 17 ans sont aussi plus nombreux
Les gens avec un revenu plus élevé sont plus enclins à en consommer
Les diplômés universitaires sont aussi de plus grands consommateurs
les personnes âgées de 45 à 64 ans sont parmi ceux qui en consomment le moins

de 2004-2015:
la conso de légumes a diminué d’une moitié de portion
les pommes de terre sont demeurées la principale source de l’apport en légumes suivies de la laitue et des tomates
la conso de fruits a diminué d’un peu moins d’un tiers de portion
les jus de fruits sont demeurés la principale source de l’apport en fruits, suivis de bananes et de pommes

26
Q

rapport aux boissons sucrées?

A

Au Québec, 62 % des personnes âgées de15 ans ou plus consomment des boissons sucrées et 19 % en consomment au moins une fois par jour
Dans la région: 13 % des jeunes du secondaire en consomment au moins une fois par jour
Plus spécifiquement, les Boissons sucrées sont responsables à elles seules de près de 60 % des sucres libres retrouvés dans le Panier d’épicerie

Qui
les hommes en consomment en plus
les jeunes de 15 à 24 ans
les Québécois n’ayant pas complété des études secondaires
les personnes vivant dans un ménage à faible revenu
boissons sucrées = bonbons liquides

Les boissons sucrées sont vendues partout (dépanneurs, pharmacies, arénas, établissements sportifs, stations-service, et même, parcs nationaux et quincailleries)
Les boissons sucrées font l’objet d’un marketing massif, sont faciles d’accès en tout temps et à un prix très abordable

27
Q

impacts des boissons sucrées sur la santé? sur la planète?

A
Db II
mx cardiovasc
caries et érosion
obésité
stéatose hépatique

déchets de plastique et d’aluminium
émissions de gaz à effet de serre
gaspillage d’eau

28
Q

manger à la maison ou pas?

A

54% au moins une fois par semaine = resto ou plats à emporté
8% pas a cours du dernier mois
39% moins d’une fois par semaine

les canadiens mangent au resto pour raison de commodité et pour voir des gens
52% pour le plaisir…
40% commodité
repas: surtout diner et souper

29
Q

rapport prêt-à-manger?

A

En 2018, le ménage moyen au Canada consacrera 29,2% de son budget alimentaire à la restauration.
«Si la tendance se maintient, le ménage moyen au Canada consacrera la moitié de son budget alimentaire à la restauration et/ou aux produits prêts-à-manger d’ici 2035»
En 2030, le prêt-à-manger dominera l’offre en épicerie au Canada, selon les experts du SIAL Food Hub. Il occupera plus de 80 % de la surface des détaillants

30
Q

évolution des portions?

A

augmentation

31
Q

pandémie et prix en épicerie?

A

La viande coûte plus cher. Statistique Canada a établi que le prix du porc a progressé de 9 % du mois d’avril 2019 à avril 2020 tandis que celui du boeuf a bondi de 8,5 % pendant la même période.
Depuis la mi-mars, les prix moyens des fruits et des légumes ont globalement diminué, respectivement de 1 % et de 4 % sur le marché canadien, rapporte l’Association québécoise des distributeurs de fruits et légumes (AQDFL).

32
Q

épicerie et pandémie?

A

17% des canadiens achètent plus de mets surgelés depuis le début de la pandémie

33
Q

cuisiner et pandémie?

A

38% disent qu’ils vont continuer à cuisiner plus à la maison après la fin de la pandémie
68% cuisine plus à la maison depuis…

34
Q

but des actions sur les environnements? pourquoi?

A

«Rendre les choix sains plus faciles à faire, et les choix moins sains, plus difficiles à faire»
problème collectif –> solution collective

Pourquoi?
pour des stratégies plus structurantes et durables
pour que l’ensemble de la population ciblée en bénéficie
pour mieux rejoindre les groupes vulnérables
pour des investissements rentables

35
Q

ex de causes sur lesquelles agir?

A

HABITUDES DE VIE
marketing alimentaire indicatif
offre abondante d’aliments ultra-transformés
faible accès aux aliments sains
boissons sucrées omniprésencentes et à faible coût
environnement défavorable à l’activité physique
conditions socio-économiques défavorables

36
Q

les 4 types d’environnements?

A

physique
socio-culturel
politique
économique
*ont été retenus pour traiter des saines habitudes de vie
et de la prévention des problèmes reliés au poids

37
Q

définition environnement?

A

Un environnement peut être considéré comme « l’ensemble des

éléments de la nature qui entourent un être vivant »

38
Q

environnement physique?

A

L’environnement physique comprend les éléments
§ naturels
§ bâtis et aménagés
§ technologiques
qui sont présents physiquement dans un milieu de vie qui ont un impact sur les saines
habitudes de vie
Par exemple : Le climat est-il favorable à la production agricole? Existe-t-il un réseau de voies
piétonnières ou cyclables permettant le transport actif ? Quels aliments sont disponibles dans
les lieux publics?

39
Q

environnement socio-culturel?

A

L’environnement socio-culturel comprend les éléments relatifs aux structures et aux modes de
fonctionnement d’individus ou de groupes d’individus ainsi qu’à la culture qui en est issue,
tels que :
§ les rapports sociaux
§ les normes et les conventions (qui incluent les attitudes, valeurs, croyances,
coutumes et traditions)
§ la vision de la réalité qui est véhiculée
Par exemple : Existe-t-il des rassemblements citoyens ou communautaires encourageant les
rapports sociaux? Les messages véhiculés par les médias encouragent-ils la minceur
plutôt que la forme physique saine?

40
Q

environnement politique?

A

L’environnement politique inclut :
§ le système et la culture politique
§ les partis politiques
§ les politiques publiques (qui sont des énoncés ou des actions o
ooo stratégiques produit(e)s ou mené(e)s par une autorité publique)
Par exemple : Des lois ou règlements sont-ils en place dans le milieu? Les plans d’urbanisme de
la ville incluent-ils des lieux facilitant l’accès aux aliments où la pratique d’activité physique?

41
Q

environnement économique?

A

L’environnement économique comprend les structures et les modes de fonctionnement liés aux
activités de production, de consommation et d’utilisation des richesses de même que les valeurs
et motivations qui servent de fondements aux décisions économiques.
Autrement dit, ça inclut :
§ le prix des biens et services (incluant les ressources financières et le temps disponibles)
§ les pratiques commerciales (promotion, marketing, etc.)
§ le marché de l’emploi
Par exemple : L’augmentation du prix de l’essence aura-t-elle un impact sur l’utilisation du
transport en commun par les citoyens? La promotion de produits alimentaires
moins nutritifs est-elle la raison de leur augmentation en popularité ?

42
Q

principaux facteurs de réussite?

A

Vision commune
Mobilisation du personnel, de la population et des parents
Engagement des décideurs
Formation du personnel et des participants
Leadership des participants
Création de partenariats
Recours à des « champions »
Encadrement et animation des activités
Création d’un sentiment d’appartenance
Simplicité des interventions
Accès équitable
Soutien politique
Analyse des besoins
Reconnaissance et valorisation des efforts
Disponibilité d’outils (pour l’évaluation, le personnel ou les participants)