ITSS Flashcards

1
Q

dépistage chlamydia?

A

toute personne de < 25 ans
femmes enceintes
6 mois après dx de chlam

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2
Q

dépistage gono?

A

w Relations sexuelles avec cas de gonorrhée

w Relations sexuelles non protégées avec un résident d’une région
où gonorrhée est élevée

w Les personnes ayant déjà eu une infection gonococcique
(Incidence: 2% par an)

w Antécédent d’ITS, y compris le VIH.

w Les travailleur(se)s du sexe et leurs partenaires sexuels.

w Les jeunes de la rue et autres sans-abri.

w HARSAH avec relations non-protégées

w Relations sexuelles non protégées avec plusieurs partenaires

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3
Q

infections gonoccociques extragénitales?

A

infections
rectales
pharyngées

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4
Q

FDR #1 du cancer du col?

A

VPH
Cancer du col utérin plus fréquent chez les femmes non régulièrement
dépistées pour le cancer du col et chez celles VIH positives

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5
Q

caractéristique des condylomes?

A

w La plupart des cas sont asymptomatiques

w Certaines lésions sont précancéreuses

w Dépistage par cytologie chez les femmes actives
sexuellement (test PCR VPH pourrait
éventuellement remplacer la cytologie)

w Vaccin très efficace avec bonne couverture au
Québec, mais pas partout

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6
Q

vrai ou faux:
l’herpès génital
augmente le risque d’acquisition et de transmission du VIH.

A

vrai

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7
Q

type de virus herpès génital?

A

Type I et II
Près de 60% des nouveaux cas d’infection au VHS-2 diagnostiqués par
séroconversion sont asymptomatiques

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8
Q

vrai ou faux:
La vaccination chez les enfants de 4e année ayant débuté il y a
plus 20 ans, la première cohorte est âgée d’environ 35 ans.
En 2017, un seul cas d’hépatite B aiguë a été déclaré chez les
moins de 35 ans (cohortes ciblées par le programme de
vaccination scolaire) vs 132 cas en 1994.

A

vrai

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9
Q

vrai ou faux:
concernant hépatite C
Les personnes âgées de 45 à 54 ans sont les plus touchées
Diminution de 33 % pour les 35-54 ans

A

vrai

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10
Q
vrai ou faux
hépatite C
• Fortement transmissible par le sang, pas
pu transmissible sexuellement:
• A amené l’ajout du dernier S de ITSS
• Seul exception où une transmission
sexuelle est bien documentée:
• Hommes ayant des relations sexuelles
avec d’autres hommes, surtout ceux qui
sont séropositifs pour le VIH
A

vrai

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11
Q
vrai ou faux:
syphillis:
• Hausse des cas au Canada depuis 2000
attribuable surtout à une augmentation des
comportements à risque chez certains
hommes ayant des relations sexuelles avec
d’autres hommes (HARSAH).
• Forte hausse au sein de la population
HARSAH
A

vrai

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12
Q

vrai ou faux
syphilis congénitale:
• Au Québec (en date du 22 octobre 2018)
• un cas en 2018 : suivi prénatal débuté à la 31e semaine
• un cas en 2017 : aucun suivi prénatal
• trois cas en 2016 : 1 cas sur 3 sans suivi prénatal

A

vrai

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13
Q

dépistage de la syphilis?

A

w Personnes avec contacts sexuels avec un cas connu de syphilis;

w HARSAH;

w Travailleurs et travailleuses de l’industrie du sexe;

w Personnes vivant dans la rue et (ou) les sans-abri;

w UDIs;

w Personnes ayant des partenaires sexuels multiples;

w Personnes ayant des antécedents de syphilis, de VIH ou d’autres ITS;

w Personnes originaires d’un pays ou la prévalence de la syphilis est
élevée, ou celles ayant des relations sexuelles avec des personnes
provenant de ces pays;

w Partenaires sexuels des personnes susmentionnées.

w Femmes enceintes

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14
Q

lymphogranulomatose vénérienne

vrai ou faux:

A

• Moyenne d’âge est stable depuis 2005.
• En 2013-2017, la répartition est plus étalée que les périodes
précédentes et le pic se trouve chez les hommes de 30 à 34 ans
alors qu’il se trouvait chez les 40-44 ans et les 45-49 ans au cours
des précédentes périodes.

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15
Q

Dépistage des ITSS at large

A

w Chez les personnes asymptomatiques

n Notion de réservoir
n Personnes vulnérables:
l Immigrants réfugiés
l Utilisateurs de drogues injectables
l HARSAH : hommes qui ont des relations sexuelles avec d’autres hommes
l Victimes d’abus et agressions sexuelles
l Jeunes et adolescents
l Prisonniers
l Travailleurs de l’industrie du sexe

w Pourquoi dépister
n Diminuer la propagation des ITSS
n Diminuer l’incidence des complications
n Traiter adéquatement

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16
Q

évaluation du risque d’ITSS?

A

w Activités sexuelles avec des partenaires de même
sexe et de sexe opposé
w Antécédents ITS, en étant conscient de la
stigmatisation et la discrimination qui leur sont
associées
w Utilisation des drogues injectables
w Dépistage sous optimal chez les femmes enceintes

17
Q

FDR ITS élevé

A
w Jeune âge à la première relation sexuelle
w Jeune (moins de 25 ans) sexuellement actif
w Travailleurs et travailleuses du sexe
w UDI
w Tatouage, Body piercing
w Nouveau partenaire en voyage
w Jeune de la rue, sans abri
w Victime de violence et d’abus sexuel
18
Q

FDR plus élevé d’ITS?

A

w Nouveau partenaire sexuel ou > 2 partenaires les 12
derniers mois
w Relations monogames en série : plusieurs
partenaires, un à la fois, échelonnés dans le temps
w Absence d’une méthode contraceptive
w Utilisation d’une méthode contraceptive non
barrière (contraceptifs oraux, stérilet)
w Relations sexuelles non protégées
w Partage de jouets sexuels
w Antécédents d’ITS

19
Q

objectifs de prévention lors d’une consultation?

A
w Réduction du risque
w Reconnaissance des comportements à risque
w Réponse à une maladie diagnostiquée ou
soupçonnée: consultation précoce et
traitement
w Référence des partenaires
w Ressource pour l’entourage
20
Q

Question pertinente à poser en pratique?

A

w Avez-vous des relations sexuelles avec des hommes, des femmes, ou les
deux?

21
Q

4 modèles de traitement des ITS

A

w Responsabilité au patient
w Responsabilité au patient avec aide et
encouragement du médecin
w Fait par un professionnel de santé publique
w Remise au patient de prescriptions pour les
partenaires (expedited partner therapy)

22
Q

objectifs de tx du VIH 90-90-90?

A

90%:
des personnes vivant avec le VIH connaissent leur statut ou état sérologique

des personnes qui connaissent leur statut reçoivent un tx antirétroviral

des personnes sous tx antirétro ont une charge virale indétectable

23
Q

its mado?

A
chlam
gono
syphilis
lymphogranulomatose vénérienne
HB
HC
VIH
24
Q

its la plus fréquente?

A

chlam

25
Q

échec de tx de plus en plus fréquent?

A

gono avec monotx d’azithromycine

26
Q

forces du fichier des MADO?

A
• Déclaration des laboratoires
généralement systématique
• Dynamique
• Exhaustif
• Sexe
• Âge
• Régions
• Analyse en continu
• Bon suivi des tendances
27
Q

limites du fichier des mado?

A
• Déclaration des médecins sousoptimale
• Pas de données sur:
• les facteurs de risque
• le traitement ou l’évolution clinique
• l’intervention de santé publique
• Validité et complétude non optimales
des données cliniques (sites
anatomique, résultats de laboratoire)
28
Q

population fortement touchée?

A

HARSAH

UDI

29
Q

philosophie derrière la réduction des méfaits?

A

La réduction des méfaits repose sur l’idée que le risque est une partie
inévitable de notre monde. Il peut être difficile, voire impossible, d’éliminer le risque, mais
ses effets nocifs peuvent être réduits.

La réduction des méfaits est une stratégie qui vise à réduire les conséquences négatives de
comportements dangereux, plutôt que de changer les comportements eux-mêmes.

30
Q

Trois stratégies dérivées de l’économie de marché peuvent également contribuer à réduire
l’abus de substances: lesquelles?

A

La réduction de l’offre (p. ex., la destruction des récoltes d’où
proviennent les drogues illicites ou l’interruption de l’expédition des drogues) est une
approche tentée depuis des années, mais elle est coûteuse, elle contribue à une escalade de la
violence et elle n’est pas nécessairement rentable. En outre, des déterminants sous-jacents
tels que la pauvreté, la corruption et le besoin de devises étrangères dans les pays
fournisseurs continuent d’alimenter l’offre.

L’augmentation du prix est une mesure efficace pour réduire l’utilisation de substances
légales, comme les cigarettes. Elle est analogue à la réduction de l’offre, du fait que les deux
réduisent l’accès à une substance. Ne vendre un produit qu’en grande quantité réduit aussi
l’accès, le prix de vente étant plus élevé.

La réduction de la demande, l’autre élément de l’équation du marché, vise à dissuader les
gens de tenter de se procurer des drogues. Pour ce faire, on a généralement recours à la
sensibilisation et à l’information, aux programmes communautaires ou aux sanctions légales.
Selon la recherche, ces approches sont plus efficaces auprès des personnes dont la
dépendance est faible et moins efficaces parmi la population à risque élevé.

31
Q

Si le sujet dont le motif de consultation est lié à la santé sexuelle présente des signes et des symptômes, que faire?

A

Effectuer une évaluation précise du risque (on trouvera une description de l’évaluation précise des risques aux pages 6 à 8 du présent chapitre).

ENSUITE

Selon les résultats de l’évaluation précise des risques, le praticien devrait prendre les trois mesures recommandées suivantes :

Tout d’abord, offrir du counselling ciblé en prévention primaire et secondaire.

Ensuite, utiliser l’approche syndromique pour choisir les tests de détection et de dépistage de certaines ITS en particulier.

Troisièmement, selon les résultats, administrer le traitement approprié ET assurer un suivi des partenaires.

32
Q

Si le sujet dont le motif de consultation est lié à la santé sexuelle ne présente pas de symptômes MAIS a des inquiétudes, que faire?

A

Tout d’abord, effectuer une brève évaluation du risque (on trouvera une description de la brève évaluation du risque et des exemples de questions aux pages 5 et 6 du présent chapitre).

ENSUITE

Selon que l’existence d’un risque a été constatée ou non, deux schémas d’intervention sont possibles :

Si l’existence d’un risque a été constatée lors de la brève évaluation du risque, effectuer une évaluation plus précise du risque (on trouvera une description de l’évaluation précise du risque et un questionnaire modèle aux pages 6 à 8 du présent chapitre); ET ENSUITE, selon les résultats de l’évaluation précise des risque, le praticien devrait prendre les trois mesures recommandées suivantes :

Offrir du counselling ciblé en prévention primaire et secondaire;
Utiliser l’approche syndromique pour choisir les tests de détection et de dépistage de certaines ITS en particulier; ET
Selon les résultats, administrer un traitement approprié ET assurer un suivi des partenaires.

OU

Si l’absence de risque a été constatée lors de la brève évaluation du risque, il est recommandé au praticien d’offrir du counselling minimal en matière de prévention, d’encourager l’adoption des pratiques sexuelles plus sécuritaires ET de discuter de la prévention future des ITS.

33
Q

Si le sujet dont le motif de consultation n’est pas lié à la santé sexuelle ne présente pas de symptômes MAIS a des inquiétudes, que faire?

A

TOUT D’ABORD, effectuer une brève évaluation du risque (on trouvera une description de la brève évaluation du risque et des exemples de questions aux pages 5 et 6 du présent chapitre); ET ENSUITE, selon que l’existence d’un risque a été constatée ou non, deux schémas d’intervention sont possibles :

Si l’existence d’un risque a été constatée lors de la brève évaluation du risque, effectuer une évaluation plus précise du risque (on trouvera une description de l’évaluation précise du risque et un questionnaire modèle aux pages 6 à 8 du présent chapitre); ET ENSUITE, selon les conclusions de l’évaluation précise du risque, le praticien devrait prendre les trois mesures recommandées suivantes :

Offrir du counselling ciblé en prévention primaire et secondaire;
Utiliser l’approche syndromique pour choisir les tests de détection et de dépistage de certaines ITS en particulier; ET
Selon les résultats, administrer un traitement approprié ET assurer un suivi des partenaires.

OU

Si l’absence de risque a été constatée lors de la brève évaluation du risque, il est recommandé au praticien d’offrir du counselling minimal en matière de prévention, d’encourager l’adoption des pratiques sexuelles plus sécuritaires ET de discuter de la prévention future des ITS.

34
Q

FDR ITS?

A

contact sexuel avec une ou des personnes infectées d’une ITS;
avoir moins de 25 ans et être sexuellement actif;
un nouveau partenaire sexuel ou plus de deux partenaires sexuels au cours de l’année précédente;
relations monogames en série (plusieurs partenaires, toujours un à la fois, échelonnés dans le temps);
absence de méthode contraceptive ou utilisation d’une seule méthode non barrière (contraceptifs oraux, Depo-Provera, stérilet);
utilisation de drogues injectables;
consommation d’autres substances comme l’alcool ou des substances psychoactives (marijuana, cocaïne, ecstasy, méthamphétamine ou glace), surtout si elle est associée à des relations sexuelles;
pratiques sexuelles à risque, soit : relations sexuelles oro-génitales, génitales ou anales non protégées, relations sexuelles avec échanges sanguins, y compris le sadomasochisme, partage de jouets sexuels;
être travailleur ou client de l’industrie du sexe;
avoir recours au sexe pour subvenir à ses besoins : troquer les relations sexuelles contre de l’argent, de la drogue, un toit ou de la nourriture;
vivre dans la rue, être sans-abri;
partenaires sexuels anonymes (rencontrés via Internet, dans les saunas, dans les soirées « rave »);
être victime de violence ou d’abus sexuels;
antécédents d’ITS.

35
Q

Questionnaire des ATCD et comportements à risque: ?

A

Demander des renseignements avec simplicité, sans préjugés, en employant des termes compréhensibles pour le patient.
L’évaluation des antécédents devrait porter sur les points suivants :
symptômes génitaux associés aux ITS (pertes, dysurie, douleurs abdominales, douleurs testiculaires, éruptions, lésions);
symptômes systémiques associés aux ITS (fièvre, perte de poids, adénopathie);
facteurs de risque personnels et prévention (utilisation du condom, vaccination contre l’hépatite B et, pour les personnes à risque, contre l’hépatite A);
conscience d’un risque accru d’ITS par le patient;
autres éléments pertinents, notamment les pharmacothérapies et les allergies, et le suivi de problèmes antérieurs.
Une brève évaluation des risques devrait permettre de cerner ou d’exclure rapidement les principaux facteurs de risque d’ITS. À cet égard, voici quelques énoncés qui pourraient être utiles :
« Une partie de mon travail consiste à évaluer les problèmes de la santé sexuelle et reproduction. Bien sûr, tout ce dont nous discutons aujourd’hui demeure strictement confidentiel. Si vous êtes d’accord, je voudrais vous poser quelques questions à ce sujet. »
« Êtes-vous actuellement sexuellement actif ou l’avez-vous été ? Cela comprend le sexe oral ou anal, et non seulement les relations sexuelles génitales. »
« Avez-vous des symptômes qui vous font soupçonner la présence d’une ITS ? Avez-vous des ulcérations génitales? Ressentez-vous des douleurs ou des brûlures lorsque vous urinez ? Avez-vous remarqué un écoulement inhabituel du pénis, du vagin ou de l’anus ? Ressentez-vous des douleurs pendant vos relations sexuelles ? »
« Qu’est ce que vous faites pour éviter de tomber enceinte? (Vous ou votre partenaire utilisez-vous une méthode contraceptive ?) »
« Quelles mesures prenez-vous pour vous protéger des ITS y compris le VIH ? »
« Avez-vous des inquiétudes concernant la violence ou l’abus dans votre relation ou lors des relations sexuelles avec votre partenaire?»
« Vous ou vos partenaires avez-vous déjà utilisé des drogues injectables ou d’autres drogues, par exemple de la méthamphétamine (« crystal meth ou glace ») ? »
Aux femmes, demandez :
« À quand remontent vos dernières menstruations ? »
« À quand remonte votre dernier test Pap? »

36
Q

Questionnaire précis du risque:?

A

relations:
Situation actuelle
Avez-vous un(e) partenaire sexuel(le) stable ?
Si oui, depuis combien de temps êtes-vous en relation avec cette personne ?

Déterminer les inquiétudes
Éprouvez-vous des inquiétudes quant à votre relation ?
Si oui, lesquelles (ex. : crainte de violence, d’abus, de coercition) ?

Comportements sexuels à risque
Nombre de partenaires
À quand remonte votre dernier contact sexuel ?

Était-ce avec votre partenaire habituel(le) ou avec un(e) autre ?

Combien de partenaires sexuel(le)s avez-vous eu(e)s au cours des deux derniers mois ? au cours de la dernière année ?

Préférences, orientation sexuelles
Vos partenaires sont-ils des hommes, des femmes ou les deux?

Activités sexuelles
Pratiquez-vous le sexe oral? (embrasser votre partenaire sur ses parties génitales ou son anus) ?
Pratique t-on sur vous le sexe oral?
Pratiquez-vous la pénétration? (pénétrez-vous vos partenaires dans le vagin ou l’anus ou vos partenaires pénètrent-ils votre vagin ou votre anus?)

Évaluation du risque personnel
L’un ou l’une de vos partenaires sexuels viennent-ils d’autres pays que le Canada ? Si oui, de quels pays et à quand remonte votre dernier contact sexuel avec lui ou elle(s)?
Dans quelles circonstances rencontrez-vous vos partenaires sexuel(le)s (en voyage, dans les saunas, sur Internet) ?
Utilisez-vous des condoms toujours, parfois ou jamais ?
Qu’est-ce qui influence votre choix de vous protéger ou pas ?
Si vous deviez évaluer vos risques d’ITS, diriez-vous que vous n’êtes exposé(e) à aucun risque ? à faible risque ? à moyen risque ? ou à risque élevé ? Pourquoi ?

ATCD en matière d’ITS:
Dépistages antérieurs d’ITS
Avez-vous déjà passé des tests de dépistage d’ITS ou du VIH ? Si oui, à quand remonte le dernier test ?

Antécédents d’ITS
Avez-vous déjà eu une ITS dans le passé ? Si oui, laquelle et quand ?

Inquiétudes actuelles
À quand remonte votre dernier contact sexuel qui a suscité une inquiétude ?
Avez-vous des symptômes ? Si oui, quand sont-ils apparus ?

Antécédents en matière de santé reproductive
Contraception
Vous ou votre partenaire utilisez-vous une méthode de contraception ? Si oui, laquelle ? Si non, pourquoi ?

Consommation de substances psychoactives
Partage du matériel d’injection
Consommez-vous de l’alcool ? des drogues ? Si oui, à quelle fréquence, et quel type ?
S’il s’agit de drogues injectables, avez-vous déjà partagé votre matériel? Si oui, à quand remonte la dernière fois ?
Relations sexuelles avec facultés altérées
Avez-vous déjà eu des relations sexuelles alors que vous étiez intoxiqué(e) ? Si oui, à quelle fréquence?
Avez-vous eu des relations sexuelles sous l’influence de l’alcool ou d’autres substances psychoactives ? Quelles ont été les conséquences ?
Pensez-vous avoir besoin d’aide quant à votre consommation de substances psychoactives ?
Risque percutané autre que l’injection de drogues
Avez-vous des tatouages ou des perçages corporels ? Si oui, ont-ils été effectués avec du matériel stérilisé (c.-à-d. par des professionnels) ?
Avez-vous des problèmes particuliers reliés à votre méthode de choix?
Problèmes reproductifs connus
Avez-vous déjà eu des problèmes de santé reproductive ? Si oui, lesquels ? quand ?
Test Pap
Avez-vous déjà obtenu des résultats anormaux au test Pap ? Si oui, lesquels ? quand ?
Grossesse
Avez-vous déjà été enceinte ? Si oui, combien de fois ? Quel en a été le(s) résultat(s) (nombre de naissances, d’avortements ou de fausses-couches) ?

Antécédents psychosociaux
Travailleur ou client de l’industrie du sexe
Avez-vous déjà eu des relations sexuelles en échange d’argent, de drogues ou d’un toit ?
Avez-vous déjà dû payer pour avoir des relations sexuelles ? Si oui, à quelle fréquence et pendant combien de temps ? À quand remonte la dernière fois ?
Abus Sexuel
Avez-vous déjà été forcé(e) d’avoir des relations sexuelles ? Si oui, quand et par qui ?
Avez-vous déjà fait l’objet d’abus sexuels ? Avez-vous déjà fait l’objet de violence physique ou psychologique ? Si oui, quand et par qui ?
Domicile
Avez-vous un domicile ? Si tel n’est pas le cas, où dormez-vous ?
Vivez-vous avec quelqu’un ?

37
Q

thèmes de cousnelling à abroder?

A

relations monogames en série
L’utilisation constante du condom et se soumettre à des tests de dépistage des ITS dans le cadre de relations mutuellement monogames sont des stratégies beaucoup plus sécuritaires que le fait de compter sur l’apparente sécurité d’un partenaire monogame.

Jeunes envisageant de devenir sexuellement actifs
En discutant des méthodes contraceptives non barrières, aborder les relations sexuelles plus sécuritaires et l’utilisation du condom.
Si le partenaire du patient a déjà été sexuellement actif, encourager le patient à lui demander de passer un test de dépistage avant d’avoir des relations avec lui.
Faire part aux patients des avantages des comportements préventifs.

conseils sur les méthodes contraceptives
La prescription de contraceptifs oraux est souvent associée à l’interruption de l’utilisation du condom.

38
Q

Dans le cas où le patient-e est actif sexuellement, que faire comme e/p?

A

2 sexes:
Procéder à une évaluation générale.
Rechercher des signes systémiques d’ITS comme la perte pondérale, la fièvre, l’hypertrophie des ganglions lymphatiques/palper les ganglions lymphatiques inguinaux.
Examiner les régions muco-cutanées, notamment le pharynx.
Vérifier les organes génitaux externes pour rechercher des lésions cutanées, une inflammation, des écoulements ou des irrégularités anatomiques.
Procéder à un examen périanal.
Envisager une anuscopie (ou, si ce n’est pas possible, un examen digital rectal) si le patient a eu des relations sexuelles anales passives et qu’il présente des symptômes rectaux.
Pour les garçons et les filles prépubères, voir le chapitre « Abus sexuel à l’égard d’enfants impubères et prépubères ».
Composantes propres aux adolescents et aux adultes de sexe masculin

Palper le scrotum et bien vérifier l’épididyme.
Si le patient n’est pas circoncis, rétracter le prépuce pour inspecter le gland du pénis.
Avoir le patient lui-même ou le clinicien « traire » le pénis pour rendre tout écoulement urétral plus apparent.
Composantes propres aux adolescentes et aux adultes de sexe féminin

Séparer les lèvres pour pouvoir bien examiner l’orifice du vagin.
Procéder à un examen au spéculum avec lampe pour voir le col de l’utérus et les parois vaginales, et vérifier s’il y a présence de pertes vaginales ou endocervicales. Prélever des échantillons, en suivant les consignes dans le chapitre « Diagnostic en laboratoire des infections transmissibles sexuellement ».
Effectuer un examen pelvien bimanuel pour déceler toute masse ou toute sensibilité de l’utérus et des annexes de l’utérus.
Dans certaines circonstances, par exemple en cas d’herpès génital primaire ou de vaginite, il serait préférable de retarder l’examen au spéculum ou bimanuel jusqu’à l’atténuation des symptômes aigus.

39
Q

consulter ce site?

A

https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/maladies-infectieuses/sante-sexuelle-infections-transmissibles-sexuellement/lignes-directrices-canadiennes/infections-transmissibles-sexuellement/lignes-directrices-canadiennes-infections-transmissibles-sexuellement-17.html