neurologie Flashcards

0
Q

triade thrombose veineuse cérébrale

A

Signes d’Htic : céphalées / troubles visuels /nausées
Crises epileptiques
Deficit neurologique focal +/- à bascule

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1
Q

GLASGOW
Adulte
pediatrie

A

Ouverture des yeux
absente-à lz douleur- a la demande- spontanée
E: aucune/à la douleur/à la demande/spontanée
Reponse verbale
absente-incompréhensible-inappropriée-confuse-normale
E: Auncune/cris/sons/mots/orientée
Réponse motrice
Nulle-extension stéréotypée-flexion stereoT-Evitement-orientée- aux ordres
E: aucune/extension/flexion/évitement/orienté/obeit

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2
Q

BILAN IMMEDIAT ETIOLOGIQUE AU DECOURS D’UNE THROMBOSE VEINEUSE CEREBRALE

A

AVANT L’INTRO AVK ++++
bilan thrombophilie : Proteines c et s/ Fv/Fii/ AT III/ TP-TCA/ hyperhomocysteinemie
BAI : AAN / Anti DNA natifs / APL
Bilan inf : pano dentaire/PL / TDM sinus

SI NEGATIF ou SI HOMME
=> rechercher cancer par TDM TAP

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3
Q

causes de mydriase bilaterale areactive

A
mort cerebrale
hypothermie
intoxication (anticholinergiques, barbituriques...)
souffrance mésencéphalique
encéphalopathie post anoxique
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4
Q

encephalopathie de gayet wernicke

A

l’encéphalopathie de Gayet-Wernicke (carence en vitamine B1) : troubles de vigilance avec paralysie oculomotrice, troubles de l’équilibre, syndrome cérébelleux ; l’évolution vers le coma est parfois précipitée par l’administration de sérum glucosé sans vitamine B1 associée ;

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5
Q

DRAPEAUX ROUGES PARKINSON

A

absence de réponse prolongée au traitement dopaminergique, progression rapide avec chutes précoces,
signes précoces d’atteinte cognitive, pseudobulbaire (dysarthrie et dysphagie) ou de dysautonomie (incontinence urinaire, hypotension orthostatique sévère),
syndrome cérébelleux,
atteinte pyramidale,
troubles oculomoteurs
signes corticaux (apraxie, aphasie, troubles sensitifs)

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6
Q

Traitement maladie de wilson

A

Chélateur (D-Pénicillamine, trientine) pour mobilisation des dépôts de cuivre dans la phase aiguë.
Réduction de l’absorption intestinale du cuivre par acétate de zinc après la stabilisation de l’état clinique (traitement d’entretien à poursuivre à vie).
Transplantation hépatique (formes hépatiques fulminantes ; au cas par cas dans les formes neuropsychiatriques sévères et aiguës résistant au traitement médicamenteux) ; traitement endoscopique de l’hypertension portale (au cas par cas).
Mesures associées (demande d’ALD ; si nécessaire, prise en charge multidisciplinaire incluant orthophonie, kinésithérapie et ergothérapie).

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7
Q

Bilan minimal devant neuropathie périphérique

A

une démarche clinique :
la recherche de formes familiales ;
des prises médicamenteuses neurotoxiques ;
un examen neurophysiologique (ENMG) ;
parfois un examen du LCS ;
une approche biologique minimale comprenant : NFS, VS-CRP, glycémie à jeun et 2 heures après la prise de 75 g glucose per os, ionogramme, calcémie, bilan hépatique, TP-TCA, immunofixation des immunoglobulines du sérum à la recherche d’une gammapathie monoclonale.

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8
Q

ENMG PRNA

A

Initialement, allongement de la latence des ondes F et des latences distales en rapport avec l’atteinte radiculaire et distale.
À la phase d’état, anomalies démyélinisantes (évaluées sur les nerfs moteurs) caractérisées par une augmentation de la latence distale motrice (atteinte des fibres les plus rapides), ralentissement des vitesses de conduction, blocs de conduction, dispersion des potentiels.

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9
Q

Diagnostic positif de démence alzheimer

A

CLINIQUE
signe positifs : démence, anosognosie, intrusion dans les listes items, oubli à mesure,
Signes négatifs: pas de syndrome confusionnel

PARACLINIQUE
IRM :
T1 coupes coronales centrées sur hippocampe
T2 FLAIR et écho de gradient
Bio standard : NFS P VS, ionoS, Ca, TSH, GA, Créat/DFG
Ajouter b12/9, tpha vdrl, sero VIH selon clinique

SI ÉLÉMENTS INSUFFISANTS, ajouter en 2 eme intention :
PL avec dosage de protéine TAU-p ( augmentée ) et b- amyloïdes (effondrées )

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10
Q

SLA

A

Deficit moteur progressif pur / amyotrophie/syndrome tétrapyramidale+ fasciculations + syndrome pseudobulbaire

PAS DE DEFICIT SENSITIF/SYNDROME CEREBELLEUX/TROUBLE SPHINCT/ OCULOMOTEUR

DIAG + : ENMG des mb et de la face–> denervation diffuse, vitesse nle, pas de bloc = atteinte des motoneurones centraux ET periphériques.

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11
Q

SYNDROME CEREBELLEUX cinétique

A

HYPERMÉTRIE (doigt-nez, talon/genou)
DYSARTHRIE cérébelleuse (parole scandée, explosive)
hypotonie
NB : signes ipsilatéraux à la lésion

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12
Q

SYNDROME CEREBELLEUX statique

A

ATAXIE CÉRÉBELLEUSE
élargissement du polygone de sustentation
marche ébrieuse
danse des tendons.

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13
Q

Syndrome coordonnal post

A

Douleurs à type d’étau, sensation de peau cartonnée ou rétrécie, impression de marcher sur du coton. L’examen neurologique objective une ataxie, une diminution de la pallesthésie, du sens arthrokinétique et de la sensibilité tactile épicritique. Ces troubles s’associent à des signes pyramidaux dans le cadre d’un syndrome de sclérose combinée de moelle.
Parfois, paresthésies sur un territoire étendu, bilatéral plus ou moins asymétrique, prédominant à l’extrémité distale ou sur le tronc, en corset ou en cuirasse.
Le signe de Lhermitte se traduit par des sensations de décharges électriques le long de la colonne vertébrale irradiant dans les membres provoquées par la flexion de la nuque (par exemple, dans la sclérose en plaques).

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14
Q

diagnostics différentiels maladie de parkinson

A
  • Iatrogénie : NEUROLEPTIQUES
  • Maladie de Wilson (H<40 ans)
  • Démence à corps de Lewy diffuse : Sd démentiel précoce/ Hallucinations/ Résistance au ttt LDOPA
  • Dégenerescence cortico-basale : UNILATERAL/ASYMETRIQUE/ signes corticaux
  • Paralysie supra nucléaire progressive : CHUTES/ PARALYSIE OCULOMTRICE SUPRA NUCLEAIRE
  • Atrophie multi systématisée : DYSAUTONOMIE
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15
Q

Effets secondaires agonistes dopaminergiques

A

Effets secondaires en cas de traitement par agonistes dopaminergiques :
nausées, vomissements, baisse de tension ;
somnolence ;
prise de poids, œdèmes des membres inférieurs ;
troubles du comportement.

16
Q

ENMG en cas de PRNA

A

Initialement, allongement de la latence des ondes F et des latences distales en rapport avec l’atteinte radiculaire et distale.
À la phase d’état, anomalies démyélinisantes (évaluées sur les nerfs moteurs) caractérisées par une augmentation de la latence distale motrice (atteinte des fibres les plus rapides), ralentissement des vitesses de conduction, blocs de conduction, dispersion des potentiels.
Il n’y a pas de parallélisme entre le degré de la paralysie et les anomalies constatées.
L’examen de détection met en évidence des anomalies neurogènes.
Seule l’inexcitabilité des nerfs serait de mauvais pronostic.

17
Q

Syndrome de guillain barré : deux diagnostics

A
  • le syndrome de Guillain-Barré démyélinisant sensitivomoteur avec risque d’intubation ;
  • les neuropathies motrices axonales aiguës (ou AMAN), secondaires aux diarrhées à Campylobacter jejuni, à nette prédominance motrice, habituellement sans risque d’intubation mais à la récupération parfois plus lente.
18
Q

NEURONOPATHIES DEMYELINISANTES etiologies et ENMG

A

PRNA guillain barre
PRNC gamma patrie / MGUS / LED / idiopathique
POLYNEUROPATHIE anti MAG / génétique

A l’ENMG :

  • ralentissement des vitesses de conduction motrices
  • allongement des latences des ondes F ;
  • allongement des latences distales motrices ;
  • dispersion des potentiels d’action ;
  • blocs de conduction moteur
19
Q

NEURONOPATHIES AXONALES
Etiologies
ENMG

A

POLY NEUROPATHIES : idiopathiques/ metabo (diab/IR)/ Amylose / toxique ( hypothyr/ OH/ Medocs)
MONONEUROPATHIES
simples : diabete /vascularites/ mécanique (radiculalgies)
multiples : VHC CRYO VIH et idem simples

ENMG
vitesses normales (ou modérément ralenties) ;
baisse d’amplitude du potentiel d’action de la réponse motrice ;
baisse d’amplitude du potentiel d’action de la réponse sensitive ;

20
Q

NEUROPATHIES
Etiologies
ENMG

A

–>neuronopathies SENSITIVES :
ETIOLOGIES : Paranéo (anti-Hu)/ Goujerot/ Idiopathique
ENMG :
baisse d’amplitude ou abolition diffuse (aux quatre membres) du potentiel d’action sensitif ;
normalité des paramètres moteurs ;

-->neuronopathies MOTRICES :
ETIOLOGIES : VHC / cryo / VIH
ENMG:
baisse d’amplitude du potentiel d’action moteur, de topographie variable suivant la cause ;
normalité des paramètres sensitifs.
21
Q

syndrome depressif chez un alcoolique

A

État dépressif : dépression secondaire à l’alcoolisme, dépression de sevrage après 3 semaines de sevrage, dépression tardive (dans le mois qui suit le sevrage).
Troubles anxieux : prédisposant à l’alcoolisme ou favorisés par l’alcool.
Délires alcooliques chroniques : idées délirantes post-oniriques, hallucinose des buveurs, psychose hallucinatoire chronique, délire paranoïaque des buveurs.
Idées suicidaires : l’alcool est désinhibiteur et peut favoriser les passages à l’acte ; le sevrage peut également être une période de risque suicidaire.
Trouble du caractère : désintérêt pour l’entourage, irritabilité, impulsivité.