Module 14 Flashcards
Quels sont les 3 principes éthique fondamentaux?
Autonomie
Bienfaisance
Justice
Comment est-ce que l’étude de Tuskegee va contre les 3 principes éthiques?
Autonomie: pas de consentement
Bienfaisance: n’a pas pris à cœur le bien des hommes, même après avoir trouver médicament on n’a pas arrêter la recherche
Justice: on n’a pas tester sur les blanc même si eux aussi peuvent avoir la maladie aussi
Des auteurs ont par la suite ajouté le principe de la non-malfaisance aux trois principes du rapport Belmont. C’est quoi la différence entre la bienfaisance vs la non-malfaisance?
Bienfaisance: veut faire du bien. Veut plus d’effets positif que négatif
Non malfaisance: diminuer le mal et les effets négatif. On veut réduire au maximum. On cherche ce qui cause le moins de souffrance
Ex: on doit donner un médicament à l’enfant. Tu peut le prendre en forme de sirop ou vaccin. Les 2 ont le même effet. Tu va le donner en sirop car ça ne donne pas autant de mal
C’est quoi la bioéthique?
Englobe tout ce qui concerne les sciences de la vie
C’est quoi l’éthique biomédicale?
Se limite habituellement au champ de la médecine
C’est quoi l’éthique clinique?
Spécialisation de la bioéthique qui « touche toutes les décisions, incertitudes, conflits de valeurs et dilemmes auxquels les médecins et les équipes médicales sont confrontés au chevet des patients, en salle d’opération, en cabinet de consultation ou en clinique et même à domicile »
Elle ne doit pas se limiter à la résolution de problèmes ou de dilemmes moraux. Elle doit toucher quoi?
– Les décisions
– La façon d’être en relation avec l’autre
• Prendre en compte les différents aspects de la relation médecin-patient
Vrai ou faux: L’éthique clinique est seulement pour les relations dyadique?
– Médecin – enfant - parent
– Médecin - personne âgée - famille
– Médecin – patient - équipe médicale
C’est quoi l’évolution de la bioéthique pour la pratique clinique?
– Biotechnologies -> nouvelles questions morales
• Transplantation d’organes
• Techniques de reproduction assistée
• Recherche génétique
– Enrichissement de la réflexion sur les sujets controversés
• Avortement
• Suicide assisté
• Euthanasie
Quels règles on été réinterpréter pour la pratique clinique?
Consentement à l’acte médical et droit à la vérité -> nouveaux concepts
• Acharnement thérapeutique
• Qualité de vie
• Soins proportionnés
Quelles requêtes ne font plus objet de décisions unilatérales?
– Refus de traitement (médecin ou patient refuse)
– Abstention/arrêt de traitement
Vrai ou faux: Le paternalisme fait place à la reconnaissance de l’autodétermination du patient?
Vrai
Avant c’était le paternalisme mais maintenant c’est l’autodétermination
C’est quoi le consentement?
exigence constante dans la relation de partenariat entre le médecin et le patient (Norme essentielle quasi absolue)
C’est quoi la validité?
Est donné librement (autonomie) par une personne apte qui a obtenu l’information appropriée pour une intervention donnée.
- Implique un échange de vues personnel entre médecin et patient.
Vrai ou faux: La façon de présenter les données va orienter la décision du patient?
Vrai
Ex: un traitement réussit dans 20% des cas et échoue dans 80% des cas
Dit réussi pour donner espoir au patient si c’est le seul traitement possible
C’est quoi la manière de présenter l’information?
• Influencer honnêtement le patient en nommant les avantages d’une solution et aussi en présentant les autres possibilités
• La communication peut être sciemment biaisée en vue d’un plus grand bien pour le patient
• La communication peut être une forme de coercition pour le bien du patient
– Le médecin peut menacer de rompre la relation pour amener le patient à accepter un traitement. Attention: -> Pas PUNITION ou MÉNACE !!!
- La communication sert à mettre progressivement en place une intercompréhension de la situation qui aboutira à des stratégies efficaces (choix des traitements appropriés, observances, …)
Quels sont les zones d’ombre du consentement?
Culture (parler de maladie ou de mort au patient?) # plutôt décision familiale.
La recherche du consentement à l’acte médical doit être conçue non comme un processus formel statique ou comme une liste d’éléments pertinents à vérifier et à cocher mais bien comme un processus dynamique, adapté à chaque patient et à chaque situation, et dans lequel la règle, la norme ou le principe n’est qu’un guide qui permet d’engager un dialogue continu. (Peut t’aider pour guider mais prend pas de décision pour toi)
Comment est-c’est qu’on peut répondre aux exigences éthique de la pratique médicale?
– Avant toute chose, reconnaître le patient comme une personne
(ne pas se limiter seulement à l’activité clinique).
– Toute l’activité clinique prend son sens du point de vue éthique que si la personne malade est considérée dans sa totalité.
– Le dialogue: outil et point d’encrage de la relation médecin- patient
Prend en compte la culture, statut sociale du patient