Chapitre 7 Flashcards

1
Q

C’est quoi la perception?

A

Processus par lequel nous recevons, organisons et interprétons les nombreux stimuli qui atteignent nos sens

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Q

C’est quoi la perception d’autrui?

A

Processus par lequel nous recevons, organisons et interprétons l’information sur les autres ainsi que leurs messages

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3
Q

C’est quoi la première étape de la perception?

A

Au cours de la première étape du processus de perception, au moins un de nos 5 sens réagit au stimulus que nous recevons.

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4
Q

C’est quoi une perception sélective?

A

focalisation de l’attention sur certains aspects de l’information et blocage

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5
Q

Quel autre facteur fait glisser notre attention sélective sur un aspect ou l’autre de la réalité?

A

L’intensité: plus un son est intense, plus il va attirer notre attention

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6
Q

C’est quoi le processus de perception?

A

Stimulation sensorielle → sélection des infos → organisation des infos → interprétation-évaluation des infos

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7
Q

Qu’est-ce qui ce passe durant l’étape de l’organisation des infos?

A

les stimuli sont organisés selon certains principes
- L’un des plus fréquent est la proximité: nous percevons les choses qui sont physiquement proches les unes des autres comme un tout

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8
Q

Vrai ou faux: Une fois les infos organiser, ils reflètent la réalité?

A

Une fois organisés selon ces principes, les infos que nous avons perçues ne reflètent pas toujours parfaitement la réalité. Nous devrions donc les considérer comme des hypothèses ou des possibilités à envisager, et non comme des faits ou des conclusions.

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9
Q

C’est quoi l’étape de l’interprétation-évaluation des informations?

A
  • Cette étape est très subjective
  • La perception d’autrui implique nécessairement une activité d’interprétation et d’évaluation de ses comportement
  • La perception d’autrui est un processus qui nous amène à interpréter ce que nous voyons afin de comprendre ce qui se passe
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10
Q

Est-ce que les premières impression sont évitable?

A

Non, elles sont inévitables

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11
Q

Pourquoi est-ce que les premières impressions sont importantes?

A

elles jouent le rôle d’un filtre à travers lequel passent les impressions qui leur succèdent
Par exemple: si le nouvel entraîneur de votre équipe sportive vous paraît nerveux le jour de son arrivée, vous garderez probablement de lui l’image d’une personne nerveuse. Aussi, vous empêcherait les données qui contredisent vos premières impressions

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12
Q

C’est quoi la théorie implicite de la personnalité?

A

Ensemble des hypothèses que chacun de nous a quant à la façon dont les caractéristiques des personnes se regroupent. (ex: présumer que les personnes obèses sont joviales)

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13
Q

Quels sont les 2 types de regroupements d’idées?

A

Concerne les individus en particulier
- Pour chaque personne qu’on connait, on a un ensemble d’idées qui organise ce que nous ressentons à son égard.

Plus général et contient des informations servant à décrire des catégories d’individus
- Ex: les personne ambitieuses, les vendeurs d’automobile, les joueurs de hockey
- Ses regroupements sont aussi appelés prototypes. Les prototypes nous servent à les catégoriser et à mieux retenir l’info pertinente.

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14
Q

C’est quoi un prototype?

A

Schéma des caractéristiques servant à définir diverses catégories de personnes

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15
Q

C’est quoi une prophétie autoréalisatrice?

A

Tendance, propre aux attentes personnelles, à susciter le comportement confirmant ces attentes

Cela ce produit lorsq’on donne des indications subtiles aux autres sur le comportement que nous attendons d’eux et qu’ils se mettent à le faire.

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16
Q

Comment est-ce que les prophéties autoréalisatrices peuvent avoir des répercussions sur notre perception d’autrui?

A
  • Nous faisons une prédiction ou formulons une croyances à propos d’une personne ou d’une situation (ex: on pense que françois est très belliqueux et nous nous attendons à ce qu’il soit agressif)
  • Nous agissons envers cette personne comme si notre prédiction était fondée (notre attitude pourrait alors être offensive et nous pourrions prendre les devants dans un éventuel combat)
  • Nous tenons pour acquis que notre prédiction est vraie, aussi le devient-elle (parce que nous agissons envers lui de façon agressive, François devient tendu et est lui aussi agressif)
  • Nous observons les effets de notre comportement sur l’autre personne ou sur la situation, et ce que nous voyons confirme notre croyance (nous remarquons l’agressivité de François, ce qui confirme notre croyance qu’il est belliqueux)

Il est inévitable de faire des prédictions. Le problème est lorsqu’on tourne ces prédictions en réalités et que par notre comportement nous en faisons une réalité

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17
Q

C’est quoi un stéréotype?

A

En communication, idée que nous nous faisons d’un groupe et qui influe sur la manière dont nous en percevons un membre particulier

Le stéréotype est une image fixe qu’on a d’une groupe d’individus

On peut avoir des stéréotypes sur la race, la sexualité, le sexe, etc

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18
Q

Quand est-ce qu’un stéréotype s’applique?

A

Le stéréotype s’applique lorsqu’un schéma est utilisé pour décrire une catégorie de personne.

19
Q

Que font les stéréotypes?

A

Les stéréotypes nous amènes à voir les autres pas comme des individus uniques mais comme des individus possédants les caractéristiques du groupe social auquel nous les associons

Les stéréotypes nous donnent l’illusion de connaître les gens alors qu’on ne les connaissent pas vraiment

20
Q

Est-ce que les stéréotypes sont offensifs?

A

La plupart des stéréotypes sont inoffensifs mais certains le sont. Ils détruisent les relations humaines en entraînant de fausses déductions sur les caractéristiques d’une personne et vont biaiser la nature de l’interaction avec la personne
Les stéréotypes sont parfois si subtils que parfois on n’est pas conscient de leur existence

21
Q

C’est quoi une attribution?

A

Processus par lequel nous cherchons à expliquer les motifs d’un comportement donnée (celui d’une autre personne ou le notre)

22
Q

Comment peut-on éviter les erreurs d’attribution?

A

Pour éviter des erreurs d’attribution, il faut tout d’abord reconnaitre notre ignorance, nous rendre compte que nos jugements sont hypothétique et rechercher plus de renseignements

23
Q

C’est quoi les biais de complaisance?

A

Tendance à se percevoir comme la cause de ses succès, mais à attribuer la cause de ses échecs à des sources externes

24
Q

C’est quoi l’attribution excessive?

A

Tendance à ne retenir qu’une ou deux caractéristique d’une personne et à attribuer tous ses actes à ces caractéristiques
- Ex: dit qu’Alexandre mange trop parce qu’il est dépressif

25
Q

C’est quoi une erreur fondamentale d’attribution?

A

Tendance, en observant le comportement d’autrui, à sous-estimer les influences de la situation et à surestimer les influences des dispositions internes
- Ex: on blâme la personne pour être en retard on non la panne d’autobus

26
Q

Prendre conscience de ses perceptions permet de les soumettre à l’analyse logique et à la réflexion critique. Quels sont quelques moyens pour y parvenir?

A

Éviter de tirer des conclusions hâtives
Éviter de tirer des conclusions en vous fondant sur un seul indice
Éviter de lire dans les pensées d’autrui
Méfiez-vous de vos propres préjugé
Demandez-vous dans quelle mesure vos besoins et vos désirs influent sur ce que vous voyez ou ne voyez pas

27
Q

Qu’est-ce qu’on veut dire par “éviter de tirer des conclusions hâtives”?

A

Formule des hypothèses et essaye de confirmer de recueillir d’autres informations (tire pas de conclusions sans avoir eu la possibilité de traiter divers signaux)

28
Q

Qu’est-ce qu’on veut dire par “Évitez de tirer des conclusions en vous fondant sur un seul indice”?

A
  • Plus d’indices = plus de chance à arriver à une conclusion juste
  • Soyez attentif aux indices qui vont à l’encontre de notre hypothèse initiale
  • Essayer de faire valider vos hypothèses par les autres : pensent-ils pareils?
29
Q

Qu’est-ce qu’on veut dire “Évitez de lire dans les pensées d’autrui”?

A
  • Essaye pas de déduire ce que l’autre pense et ressent uniquement en observant son comportement
  • On sait pas leur motifs et ce qu’elles pensent
30
Q

Qu’est-ce qu’on veut dire par “Méfiez-vous de vos propres préjugés”?

A

Savoir reconnaître nos propres préjugés quand ils exercent une influence indue sur vos évaluations perceptuelles : par exemple, si vous ne percevez pas que les qualités des gens que vous aimez et que les défauts des gens que vous aimez pas

31
Q

Qu’est-ce qu’on veut dire par “Demandez-vous dans quelle mesure vos besoins et vos désirs influent sur ce que vous voyez ou ne voyez pas”?

A

Gardons en tête que nous portons davantage attention aux éléments d’une situation qui comblent nos besoins et que nous avons tendance à négliger ceux qui présentent pour nous un peu d’intérêt

32
Q

Vérifier ses perceptions aide à quoi?

A

Vérifier ses perceptions aide également à les rendre plus justes et à réduire à l’incertitude à l’égard d’autrui

33
Q

Quelles sont les 4 étapes de la vérification des perceptions?

A
  1. Énoncer la perception : décrire le plus précisément possible ce que nous percevons dans la situation
  2. Description détailler des comportements : décrire les événements qui ont suscité l’impression que nous avons, en reconnaissant que la façon dont nous les décrivons manque elle-même d’objectivité, et qu’elle est grandement influencée par ce que nous sommes, par notre état émotionnel, et ainsi de suite…
  3. Interprétation plausible de la situation : avancer quelques interprétations de ce qui s’est produit, le plus objectivement possible, sans évaluer (trouver plusieurs interprétations possibles et les formuler sous la forme d’hypothèse)
  4. Demande d’éclaircissement : demander à l’autre de confirmer ses hypothèses. Il ne faut pas le lui demander sur un ton qui lui donnerait l’impression que nous connaissons déjà sa réponse. Il convient d’éviter de lui poser des questions défensives et lui demander une confirmation de la façon la plus positive possible
34
Q

Comment est-ce qu’on peut réduire l’incertitude?

A
  • Toutes les interactions interpersonnelles comprennent une part d’incertitude et d’ambiguïté (surtout avec des nouveaux groupes)
  • On doit observer la manière que l’autre agit et se présente
  • Nous devons nous renseigner auprès des personnes
  • Agencer les informations - surtout celles que vous tirez de vos propres conversations avec l’autre - est le meilleur moyen de réduire de l’incertitude
35
Q

Pourquoi est-ce qu’il faut être sensible aux différences culturelles?

A
  • Nous pouvons parvenir à une perception d’autrui plus juste en étant conscients des différences culturelles, en particulier celles qui ont trait aux valeurs, aux attitudes et aux croyances
  • Pas tout le monde est pareil : si nous ne tenons pas compte des différences et des singularités, nous risquons de mal percevoir une situation
  • Il existe également des différences importantes au sein de chaque groupe culturel : Il faut être capable de reconnaître les différences entre les autres cultures et la sienne, ainsi que les différences entre les membres d’une même culture (sinon on fait des préjugés en pensant que chaque personne d’une même culture sont identiques)
36
Q

C’est quoi un exemple de vérification des perceptions au travail?

A
  1. Énoncer la perception : Je sens que vous n’aviez plus confiance en moi
  2. Description détaillée des comportements : Vous dites que je fais du bon travail, mais vous m’aviez confiez au moins 2 fois moins de dossiers qu’aux autres adjoints à l’édition
  3. Interprétation plausible de la situation :
    a) Peut être que vous trouvez que je ne travaille pas assez vite?
    b) Peut-être pensez- vous que je suis présentement trop débordé pour travailler sur de nouveaux dossiers?
  4. Demande d’éclaircissement : Êtes vous satisfait de mon travail? Est ce que je peux faire quelque chose pour améliorer mon rendement?
37
Q

Quels 2 catégories de facteurs influencent notre attention?

A

Facteurs internes et facteurs externes

38
Q

Quels sont les facteurs internes qui influencent notre attention?

A

Expériences
Croyances
Motivation
Émotions

39
Q

Quels sont les facteurs externes qui influencent notre attention?

A

Intensité
Taille
Contraste
Répétition

40
Q

Nous organisons les stimuli selon quels 4 principes?

A

La proximité
La similarité
Le contraste
La clôture

41
Q

C’est quoi la proximité?

A

Nous considérons que les choses proches font partie de la même réalité.

Quand les choses sont proches ensemble

42
Q

C’est quoi la similarité?

A

Nous considérons que les choses qui se ressemblent vont ensemble.

43
Q

C’est quoi le contraste?

A

Nous considérons que les choses qui sont différentes ne vont pas ensemble.

44
Q

C’est quoi la clôture?

A

Nous percevons un stimulus incomplet comme une structure achevée.
Même si c’est 4 lignes courbé on pense que c’est un cercle