Migrations Flashcards

1
Q

Quelle est la problématique des migrations dans le cadre des migrations?

A

Une priorité. Une urgence. Ses incidences : des crises à répétition liées aux catastrophes naturelles. Des freins et blocages sur les objectifs du développement (les OMD n’ont pas été atteints). La vulnérabilité des secteurs économiques clés. Le développement international en panne. L’affaiblissement de la cohésion sociale. Les OMD n’ont pas été atteints en raison des changements négatifs. Tout cela conduit à la vulnérabilité des secteurs économiques, l’agriculture par exemple, mais tous les secteurs la biodiversité, la foresterie, la pêcherie, le tourisme, la santé et l’eau. Ce sont des secteurs très importants pour la vie humaine et animale. Les gens qui ont une épargne vont pouvoir investir dans des industries. Le développement international est en panne et se traduit sous la forme avant de mourir, nous voulons en profiter, vivre pleinement, vivre le plus longtemps possible. Les maladies minent aussi les efforts de développement international. Lorsque le développement est en panne, les ressources (alimentaires, financières…) vont diminuer. Pour y avoir accès, les gens commencent à s’affronter, ils vont être en compétition et il n’y a plus de cohésion sociale.

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2
Q

Comment la migration est une incidence critique du changement climatique?

A

Le changement climatique accélère le phénomène migratoire dans les PED. Ce n’est rien d’autre que les résultats des crises des changements environnementaux.

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3
Q

Quelles sont les causes?

A

Des températures terrestres plus élevées. Des sévères inondations fréquentes. Des sévères sécheresses rapprochées.

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4
Q

Quelles sont les conséquences?

A

La perte des habitations. La destruction des infrastructures. L’effondrement des niveaux de vie du fait du manque d’eau potable, d’énergie, de nourriture et d’emplois dans les PED.

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5
Q

Quels enjeux de migration en Amérique latine?

A

Le nombre de catastrophes à l’échelle de l’Amérique Latine a eu tendance à augmenter. Des impacts économiques négatifs en croissance. Des catastrophes liées au climat. L’agriculture déficiente dépendante du climat. L’insécurité alimentaire en croissance en milieu rural

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6
Q

Quel est le problème à résoudre des enjeux de migrations en Amérique latine?

A

Les déplacements en grand nombre de personnes économiquement vulnérables affectés par les catastrophes météorologiques sont un casse-tête.

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7
Q

Quelle est la thèse des enjeux de migration en Amérique latine?

A

Pour qu’une migration se produise il faut que la population soit dépendante de l’environnement pour sa survie et que des facteurs socioéconomiques exacerbent la catastrophe.

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8
Q

Qui sont les migrants environnementaux?

A

Individus qui n’ont pas d’autre choix de quitter leur pays et leur déplacement comme motivé exclusivement par l’environnement. Les migrants deviennent vulnérables, en s’alimentent plus aussi bien, ils n’ont plus accès aux services environnementaux comme des plantes médicinales. Les gens qui se déplacent dépendent encore de l’environnement. La terre appartient à la communauté, conflits fonciers quant à l’accès aux terres. Les gens s’établissent dans des réserves et détruisent l’environnement en coupant du bois, récoltant des légumes.

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9
Q

Quelles sont les incidences en termes de population?

A

Catastrophe naturelles : nouvelles répartition géographique de la population. Les déplacés sont en quête d’abris, de soins ou de nourriture. Il y a des catastrophes naturelles, redéploiement de population. La population va devenir hétérogène, les populations hétérogènes sont obligées de cohabiter. Touche plus les gens qui dépendent de la nature, donc les ruraux.

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10
Q

Quels sont les facteurs climatiques?

A

Augmentation des précipitations. Augmentation moyenne des températures terrestres et marines. Élévation du niveau de la mer.

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11
Q

Quels sont les types de migration?

A

Migrations internes campagne-ville (ex : au Brésil et ailleurs). Migrations transfrontalières (ex : Mexique-États-Unis). Ces pays n’ont pas réussi d’identifier des opportunités de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. La réduction majeure des émissions de gaz à effet de serre est nécessaire afin d’éviter les graves impacts des changements climatiques.

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12
Q

Qu’est-ce que la conséquence migratoire positive?

A

La migration peut être une chance de réussir pour certains individus. Pas nécessairement une tragédie. Elle peut permettre de diversifier les sources de revenus. Les gens peuvent réussir à trouver de l’emploi. Permet aux gens de diversifier les ressources. Les revenus peuvent augmenter pour certaines personnes. La migration est l’une des plus anciennes défenses contre la pauvreté.

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13
Q

Qu’est-ce que la résilience des moyens d’existence?

A

Il faut : améliorer et harmoniser l’évaluation des dommages et des pertes causées par les catastrophes et améliorer le suivi et l’évaluation des bonnes pratiques agricoles, par exemple : améliorer la surveillance des dégâts et des pertes. Développer plusieurs outils conceptuels : politiques, bases de données et directives et supports d’apprentissage. Il faut impulser un développement résilient. Les hommes et les femmes vivant dans une communauté doivent réfléchir ensemble pour harmoniser l’évaluation de dommages. Il n’y a pas de fatalité. Il faut bien évaluer les dommages, les dégâts subis et voir comment on pourrait les restaurer.

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14
Q

Qu’est-ce que la plus grande richesse?

A

La plus grande richesse c’est la pensée. La pensée vient de la vision à long terme, on ne doit pas seulement envisager notre avenir. Vision nous permet de faire le suivi, d’avoir des bonnes pratiques intelligentes comme les pratiques de l’économie verte. Nous serons capables de surveiller et d’anticiper le pire, pour ce faire, nous devons développer des outils, les procès-verbaux doivent être gardés pour constituer une base de données.

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15
Q

Quelles sont les conclusions du texte sur l’Amérique latine?

A

L’Amérique latine : un continent très exposé. L’élévation du niveau de la mer est menaçante. Les terres sont exposées aux inondations. L’habitat de la population est en danger. Le tourisme et la pêche semblent être les plus vulnérables : tous ces faits pourraient impliquer des migrations et il faudrait anticiper les migrations. Les flux migratoires se font sur de courtes distances.

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16
Q

Qu’est-ce que la gouvernance locale?

A

La gouvernance définit la façon dont l’exercice du pouvoir est structuré. C’est un concept dynamique (et non figé) et inclusif. Elle est participative avec l’implication des acteurs à la base. La bonne gouvernance repose sur les bonnes pratiques. La décentralisation rend les services accessibles aux administrés dans leur milieu de vie : c’est une pratique de la gouvernance des entités administratives ou milieux de vie. Il faut consulter toute la population pour une bonne gouvernance avoir une bonne pratique dans la façon de faire. Pour cela, concept de décentralisation (procéder de tel façon que les services soit à proximité de la population, que les habitants y aient accès). Les Burkinabés ont mis cela en application pour rendre la vie moins dure, tente de travailler ensemble.

17
Q

Qu’est-ce qu’un conflit?

A

Le conflit est une contestation qui oppose deux groupes sociaux (ethnies, nations ou États). Quand il y a confrontation, certaines personnes ont accès facilement aux ressources et d’autres non.

18
Q

Quelle est la problématique du texte?

A

Le changement climatique au Burkina Faso entraîne une baisse de pluviométrie et du rendement agricole. L’insécurité alimentaire  des mouvements migratoires  des conflits sociaux entre autochtones et migrants. Toujours le même problème à résoudre, excès d’aridité touche principalement les ruraux et l’agriculture. S’il n’y a pas de pluie, même si vous travailler, les rendements agricoles ne seront pas suffisants. Pas d’eau, pas d’aliment, donc il faut partir sinon c’est la mort. Les migrants et les autochtones vont s’opposer pour avoir accès aux ressources (eau, bois…). Quand ça touche à la terre c’est toujours problématique.

19
Q

Qu’est-ce que l’état des lieux?

A

Une modernisation bureaucratique caractérisée par le dualisme (les conseils villageois de développement (CVD).

20
Q

Quelles sont les deux logiques contradictoires?

A

Modernité  primat de l’individu. Tradition  primat du groupe. La logique traditionnelle et moderne cohabite partout. L’individu prédomine, l’individu est livre.

21
Q

Quel est le rôle de l’État?

A

L’État  la république  l’égalité des citoyens  la décentralisation  la mise en place d’une gestion participative et inclusive  succès environnemental. Le principe de la république c’est l’égalité des citoyens, sous-entend que tout le monde doit participer à la démocratie d’où les décisions ne devraient pas être prises au niveau de la capitale (quoique difficile de décentraliser), effort de transférer les pouvoirs au niveau des communautés. Démocratie directe, tout le monde y participe. On ne peut pas restaurer l’environnement si on n’inclut pas tout le monde.

22
Q

Comment se fait la gouvernance dans les milieux ruraux?

A

La chefferie  la centralisation et la hiérarchie  les autochtones  tradition africaine d’hospitalité et accueil des migrants  nouvelle répartition géographique et hétérogénéité de la population  cohabitation des cultures  migrants exclus de la gestion des affaires locales  une gestion participative non inclusive  blocage de la gouvernance (la démocratie locale est en panne)  blocage de la gestion environnementale. Les gens doivent considérer que tout se fait pour leur bien. Mélange de population, cohabitation des cultures, on exclut le migrant de la gestion des affaires locales, pas une bonne chose, bloque le niveau de gouvernance. Les conflits sont partout des milieux ruraux vers les zones urbaines. Conflit traditionnel entre la ville et la campagne.

23
Q

Quel est l’origine des conflits?

A

Au départ, les conflits latents  conflits ouverts. Migrations  des régions arides (ruraux)  les zones urbaines (citadins) ou migrations  des zones agricoles (agriculteurs)  les zones d’élevage (éleveurs).

24
Q

Quelle est la source de conflits?

A

Utilisation directe des ressources naturelles (la soustractibilité de l’eau, du bois de chauffage, de la terre, etc.)  repli identitaire (nous et eux) ou régionalisme et même xénophobie (rejet de l’étranger). Les gens qui se sont montrés accueillants, se sont repliés, parce qu’ils se sentaient menacés. Plus de cohésion sociale au sein d’une population hétérogène, ce qui suit ensuite c’est la xénophobie, racisme, sexisme… Toutes sortes de discriminations, qui ne sont tous pas acceptables. Se traduit aussi par des conditions de travail qui ne sont pas les mêmes. Période de transhumance, peut causer des dégâts qui peuvent causer un affrontement. Faut d’abord le dialogue, la guerre est une solution facile qui montre un manque de sagesse. Aucune tradition qui exclut les gens. Gouvernance locale inclusive.

25
Q

Quels sont les liens entre migrations et accès aux ressources?

A

Migration  augmentation de la population  pression démographique  rareté des ressources naturelles  déforestation  besoins croissants  les non autochtones deviennent une menace  pour l’accès aux ressources.

26
Q

Qui sont les autochtones?

A

Autochtones (les Kassena)  une conception autre de l’agriculture  une agriculture de subsistance  conservation des sols  période de longue jachère  survie assurée.

27
Q

Qui sont les migrants?

A

Migrants (les Mossi)  une conception autre de l’agriculture  une agriculture commercial  épuisement des sols  la SAU augmente  accélération de la déforestation  plus de longue jachère  utilisation des engrais chimiques  insécurité foncière  survie des autochtones menacée.

28
Q

Quel est l’enjeu d’élevage?

A

Élevage  transhumance avant la récolte  destruction des cultures  la soustractibilité de l’eau  affrontements (pas de cohésion sociale)  encadrement de la transhumance  arbitrage  recours aux chefs coutumiers  la solution à l’amiable.

29
Q

Quelle est la possibilité de résolution de conflits?

A

La solution à l’amiable  l’intervention de la tradition des chefs traditionnels  autochtones et migrants ont mis en place des ententes  des groupes de gestion des ressources naturelles  nouvelle gouvernance locale inclusive.

30
Q

Quel est la problématique des migrations environnementales en Afrique du Nord (Algérie, Égypte, Maroc) et Moyen-Orient (Syrie et Yémen)?

A

Le MANA est affecté par les aléas climatiques : des sécheresses à répétition, une désertification galopante, un manque souvent cruel de politiques publiques adéquates pour faire face à ces aléas et la menace d’une élévation du niveau de la mer Méditerranée.

31
Q

Quel est l’état des lieux de la MANA?

A

Sur le changement climatique, ses impacts et la probabilité de migrations fortes. Appréhender les interactions entre changement climatique, dégradation environnementale et migrations en Afrique du Nord et au Moyen-Orient.

32
Q

Quel est le but des enquêtes?

A

Mieux comprendre les raisons motivant les décisions migratoires des individus et les modalités de leur intégration en zones urbaines. Appréhender la perception par les ménages du MANA des impacts climatiques. Face à toutes ces menaces : les risques humains et la probabilité des migrations fortes.

33
Q

Quel est le vide à combler?

A

La faiblesse des connaissances sur le sujet en Afrique du Nord et au Moyen-Orient. Difficultés de comprendre ces phénomènes, de définir les zones et populations vulnérables et d’y répondre de façon appropriée.

34
Q

Quels sont les résultats préliminaires de l’étude?

A

La perception des changements climatiques par les ménages : la pluie est devenue de plus en plus imprévisible et erratique, les températures augmentent, il y a moins de pluies aujourd’hui qu’il y a 5 ans, la saison des pluies commence plus tard, les sécheresses sont de plus en plus fréquentes. Elles sont relativement homogènes (en Algérie, au Maroc, en Syrie et au Yémen). Elles sont moins sévères en Égypte (la situation plus favorable des régions étudiées dans ce pays).

35
Q

Quel est l’impact de ces changements climatiques sur les ménages?

A

Des pertes de revenus pour les ménages (des récoltes, du bétail ou de la pêche). Des pertes varient d’un pays à l’autre. Les ménages les plus pauvres et les ménages dépendant d’activités agricoles les plus affectés. Leçon apprises : le fait de migrer requiert la possession de ressources financières suffisantes.

36
Q

Quelles sont les stratégies adoptées par les ménages?

A

Utilisation de l’épargne. Vente de bétail et autres biens. Emprunter de l’argent. Ces stratégies permettent d’atténuer l’impact des chocs climatiques et augmenter la résilience des ménages.

37
Q

Quelles innovations?

A

Pas d’orientation vers des activités moins dépendantes de l’environnement. Pas de diversification des activités de revenus. Mais, usage de fertilisants et de pesticides (pratiques non durables).

38
Q

Comment se fait le recours à la migration en réponse à un choc climatique?

A

Seuls deux ménages sur 5, la migration comme stratégie d’adaptation. Elle ne l’est souvent qu’en dernier ressort. Il y a les difficultés d’intégration en milieu urbain (logement, emploi). Absence des réseaux sociaux préexistants.

39
Q

Quelle est la suggestion des enquêtes?

A

Les communautés et les autorités nationales devraient soutenir les stratégies d’adaptation locales et accroître la résilience des ménages, avec ou sans migration.