Memoire 3 Flashcards

1
Q

Hippocampe = lieu de transition de l’info entre …? (2)

A

MCT et MLT

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2
Q

Dans la plupart des cas on est obligé de passer par MCT pour MLT.

Or pour Memoire procédurale et implicite est ce que cette transition est obligatoire ?

A

Non!

Dans cas de mémoire déclarative, hippocampe joue un rôle intermédiaire entre MCT et stockage à long terme ( niveau cortical)

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3
Q

Quelles sont les 2 voies par lesquelles l’hippocampe communique avec cortex?

A

1) Passage par le fornix ( faisceau de fibre connectant directement hippocampe avec corps mamilaire et thalamus antérieur) permettant de projeter Info vers cortex frontal et pariétal notamment.
2) Voies passant par structures proches de hippocampe ( cortex entorhinal/perirhinal/ parahippocampique)

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4
Q

Analogie illustrant les diff types de référentiels. La navigation spatiale requiert le passage d’un type de référentiel à un autre.

Il existe diff types de place cells…celles de hippocampe codent pour une position dans espace quand animal est dans orientation spécifique.

Quelles sont les 2 types de référentiel utilisées pour naviguer dans espace ? A quelle mémoire chacune correspond?

A

1) Info référencée par rapport à individu ( Egocentrée)

—> Mémoire épisodique : Contexte lié à où on était, comment on se sentait etc donc c’est représenté par rapport à nous meme)

2) Trouvée sur les cartographiques ( allocentrée, non dépendante de mémoire de individu)

—> Mémoire semantique : faits mémorisés sans tout le contexte, historique qui va avec)

Important: Passage de information Ego à allo => souvent info semantique est associée à Info personnelle. Le cas de mémoire incroyable représentant la dame qui se rappelle de tout est lié au fait qu’elle a une excellente mémoire épisodique.

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5
Q

Conclusion sur navigation spatiale

A

La mémoire épisodique peut améliorer la mémoire semantique.

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6
Q

Étude mémoire chez humain en imagerie fonctionnelle :

Quels avantages ? (2)

A
  • Traitement normal vs étude de Lésions

- Circuits cérébraux en fonctionnement

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7
Q

Le cortex para hippocampique est la partie …?

A

Postérieure ( le + vers la droite) du gyrus para hippocampique

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8
Q

Qeske le lobe temporal median ?

A

Hippocampe et régions autour de l’avant vers arrière ( péri/Ento/parahipo)

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9
Q

Quelles sont les diff cyto- histologique et phyllogenetiques entre neocortex, mesocortex et allocortex?

Phylogénétique : lié à évolution du cerveau à travers espèces. Les régions les + proches = + anciennes

Cyto-écologique : au niveau de composition des couches corticales.

A

Neocortex: (6 couches)

Allocortex :

  • mesocortex ( cortex parahippo, gyrus cingulaire)
  • archicortex (3 couches)
  • Paléo-cortex ( 4-6 couches)
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10
Q

Que se passe-t-il lors de l’encodage en mémoire à long terme ?

Phase 1: iRMf

Stimuli : Liste de mots représentent des objets petits ou grands, animés ou inanimés ( ex: souris, éléphant, clé , camion) à apprendre et rappeler

Tache:

  • Si couleur du fond vert -» grand vs petit ( jugement de taille)
  • Si couleur du fond rouge -> animé vs inanimé

Phase 2:

Stimuli : mots nvx + mots présentés durant phase 1

Tache:

jugement de confiance sur fait qu’un mot à été présenté dans phase 1 ou non( familiarité)

Report de couleur du fond associée à ce stimulus ( memoire de source ou contexte)

En-suite on laisse passer du temps et on passe à phase de restitution.

quels résultats ?

A
  • Phase 2 : jugement de confiance ( familiarité):

Pour mots nvx: réponses de nouveauté/ mot pas familiers

Pour mots anciens: + de réponses de haute familiarité

Où est encodée la familiarité des stimuli au moment de encodage ?

  • Rappel de couleur ( mémoire de source/contexte): mots présentés en vert ou en rouge a la phase 1, et il va devoir dire si mot présenté en rouge ou en vert lors de phase 2. Cela permet de voir si sujet à bien encodé
    la source ? Quelles régions sont activées différemment au moment de encodage par rapport à restitution de source au moment de phase de rappel?
  • Phase 1:

Quelles régions corrèlent avec familiarité pdt restitution au moment de encodage?

Familiarité : La familiarité (mesure par le niveau de confiance) corrèle entre autres avec l’activité du cortex Périrhinale pendant la phase d’encodage.

Mémoire de source: les stimuli pour lesquels les sujets se rappellent correctement de la source ( phase 2) donnent lieu pdt la phase d’encodage (phase 1) a une réponse cérébrale + intense que les autres stimuli dans plusieurs aires :

  • dont hippocampe et le cortex parahippo
  • et regions frontales inférieurs et pariétales
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11
Q

Conclusion sur exp de

Que se passe-t-il lors de l’encodage en mémoire à long terme ?

A

La familiarité qu’évoque un stimulus met en jeu le cortex péri rhinal pdt phase d’encodage

La restitution complète (+ mémoire de source) - rappel correcte + rappel de source- net en jeu hippocampe et cortex para hippocampique pdt phase encodage, ainsi que régions frontales.

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12
Q

Qeske le modèle de assemblage d’Item et de contexte?

A

Item et son contexte sont encodé dans régions diff

  • > L’jnfo concernant contexte ( ex: couleur de fond) dans lequel un item a été rencontré ( ex: ou quand) est encodé via cortex para hippocampique
  • > L’encodage de Info sur item lui même implique cortex péri rhinal ( + antérieur)

=> L’hippocampe unit ces représentations et permet de les mettre en relation

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13
Q

Exp : que se passe-t-il lors de restitution de MLT ?

Phase 1: encodage ( apprentissage d’une liste de mots) : terrasse, couteau, jardin, pantalon etc

Phase 2: restitution dans IRMf , 20 mins + tard : on présente mots présenté dans phase 1 et des mots nvx

Tache 1: catégoriser les mots en prèsenté/ nvx ( récupération)

Tache 2: si réponse présenté, catégorise en récupérée ( me souviens) vs familier ( me semble familier mais me souviens pas) vs rejet correct ( trouver caractère nvx du mot) ( récupération complète ou non? )

Quel résultat ?

A

Hippocampe activé quand stimulus est correctement classé comme présenté et qu’il y a récupération complète ( la familiarite est pas suffisante)

Hippocampe => joue un rôle dans mémorisation efficace et complète de Info

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14
Q

Exp : régions autour de hippocampe

Phase 1: regarder images
Phase 2: restitution dans Irmf, 2 jours + tard

Stimuli:

  • images de partie 1 ( présentées)
  • images nouvelles

Tâches:

  • récupération/ rappel/ reconnaissance ( nouvelle ou présentée)
  • jugement de familiarité

Quel résultat ?

A

Hippocampe : réponse très forte que quand récupération complète pas quand familiarité etc.

-> Hippocampe = familiarité pas suffisante, il faut un rappel complet du contexte et de tout ce qui va avec stimulus

Cortex peri-rhinal: réponse qui corrèle négativement avec familiarité. + personne donne une rep de familiarité, - le cortex peri-rhinal répond.

Rejet correcte et oubli = réponse + forte. C’est pas nouveauté qui génère cette activité car rejet correct on a l’idée de nouveauté mais pas oublié.

Cortex péri = gradation de réponse en fonction de la familiarité. Corrélation négative ( inverse de ce qu’il y avait dans phase d’encodage ou il y avait une corrélation positive )

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15
Q

Conclusions exp sur régions autour de hippocampe

A

Hippocampe et cortex péri rhinal sont impliqués aussi bien dans encodage que dans restitution de Info.

  • Hippocampe n’est activé que dans le cas d’encodage et de récupération effectives ( sources)
  • cortex péri rhinal est activé même lorsque les infos encodées et recouvrees sont simplement familières. ( Familiarité)
  • > corrélation + avec familiarité pdt encodage
  • > corrélation - avec familièrite durant restitution
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16
Q

Mémoire relationnelle:

L’hippocampe est indispensable pour ..?

A

Se souvenir de l’ensemble des infos liés à items :

  • Contexte dans lequel un item a été rencontré ( ou quand) encodé via le cortex para hippo
  • item lui même encodé dans cortex perirhinal

=> L’hippocampe unit ces représentations et permet de les mettre en relation. ( mise en relation item ( encodé par cortex péri rhinal qui encodé familiarité) et cortex para hippo dans partie postérieur. Ensuite envoie vers régions pariétales et frontales )

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17
Q

Comment tester cette mémoire relationnelle ?

Mesure mvmt oculaires ( 2nde présentation) sur image avec régions critique

Région critique : personne à détecté endroit du changement et l’a regardé + longtemps ( association info dans images)

Images répétées soit sans modif ou avec modif ( on enlève des personnes par ex)

Quel résultat ?

A

Chez sujets sains jeunes ou âgés : dans condition de répétition il n’y a pas énormément de diff par rapport à condition nouvelle. Quand ils voient images et puis image répétée pas de mvmt oculaires mais quand image change ils regardent + la zone d’intérêt.

Ça montre que personne s’est souvenue de l’image et a vu que c’était pas pareil, qqch divergeait.

Chez contrôles jeunes seulement -> dissociation essais où personne était consciente du changement vs non. C’est un encodage implicite, relationnel

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18
Q

Autres expériences et conclusions sur la mémoire relationnelle?

A

D’après Nael Cohen et collaborateurs, certains patients amnésiques souffriraient d’un dysfonctionnement de la mémoire relationnelle

Dans l’exp illustrée, les patients ne sont pas sensibles aux modif des images ( modif qui par contre influencent les contrôles même lorsqu’ils ne les remarquent pas- condition Manipulé : inconscient )

D’autres expériences ont montré l’absence de mémoire relationnelle dans diff domaines chez ces patients

Des lésions isolées au niveau de l’hippocampe uniquement engendrent un déficit de la mémoire relationnelle mais pas de la mémoire d’items isolées

Des lésions à l’hippocampe et au cortex adjacent affectent ces 2 types de mémoire

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19
Q

Quelles sont les erreurs de la mémoire ? (2)

Et les situations qui vont avec?

A

1) Faux négatif/ omission = oubli
2) Faux positif/ fausse alarme = faux souvenir

En fonction de la présence ou non du stimulus pdt phase encodage pdt restitution on va dire ou non.

4 types de situation.:

  • Si présenté et on dit oui = restitution
  • Si pas présenté et on dit qu’il a pas été présenté -> rejet correct ( défection de nouveauté)
  • Si présenté mais on dit que non -> omission ( oubli)
  • Fausses alarmes -> quand il n’a pas été présenté et on dit que oui il l’a été
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20
Q

Les erreurs de la mémoire. :

  • Liste de mots présentés : fil, coudre, pointu, injection
  • Nvx mot: camion
  • Test ( mot associé/ mot faux ) : aiguille

=> Mots sémantiquement reliés puis phase d’après on présente mot lié vs pas du tout. Notre cerveau créer des associations, effet de priming.

Quel résultat ?

A

Parfois on est très confiant d’avoir vu un mot qui ne figurait pas dans la liste

IRMf pdt phase de restitution:

  • Hippocampe => semantique : réponse qui compte, si vrai reconnaissance = réponse forte. Si fausse reconnaissance ( on pense avoir vu mot alors qu’il n’a jamais été présenté) = réponse fort aussi. Aspect subjectif important, il répond à ce qu’on pense être vrai. Il s’active dans cas de rappel complet même si erroné
  • Gyrus parahippocampique => sensoriel : réponse forte que si vrai rappel. Si faux rappel/ fausse mémoire, 0 activation de cette zone la
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21
Q

Conclusion

A

Rôle du lobe temporal dans Memoire épisodique : reconnaissance vs familiarité

Régions postérieurs : Memoire épisodique ( contexte, source) -> rappel complet avec source etc

Régions antérieures : familiarité-> corrélation + pour encodage et négative pour restitution

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22
Q

Le lobe frontal joue un rôle dans ?

A

La mémoire

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23
Q

L’encodage et restitution épisodique semblent faire différemment appel aux ..?

Mais les 2 font appel à quoi?

A

Hémisphères gauche et droit

A hémisphère gauche !

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24
Q

Quelle est l’hypothèse 1 de Cabeza sur les régions frontales ?

A

Asymétrie frontale reflète diff de type de mémoire

25
Q

La mémoire épisodique active + quel hémisphère ?

A

Droit pour restitution

26
Q

La mémoire semantique active + quel hémisphère ?

A

Restitution à gauche aussi

27
Q

Quel est l’hypothèse 2 de Kelley sur les régions frontales ?

A

Asymétrie frontale reflète diff dans contenu du matériel à mémoriser

=> l’asymétrie reflète pas le type de mémoire/processus mais le contenu de Info à mémoriser

28
Q

Le linguistique concerne quel hémisphère ?

A

Gauche

29
Q

Les représentations visuospatial concernent quel hémisphère ?

A

Droit

30
Q

Qeski est en faveur de l’hypothèse 2?

A

Activations frontales pendant encodage selon contenu du matériel à mémoriser

+ activation à Gauche que à droite si verbal

Si émotionnel, personnel alors plutôt à droite

+ de résultat en faveur du type d’info que du type de mémoire

31
Q

Le cortex retro splenial fait partie de quel régions ?

A

Pariétales

Lié aux régions para hippo et péri rhinal

32
Q

Une lésion dans le cortex rétro splenial peut donner quels types d’amnésie ?

A

Rétrograde et antérograde

33
Q

Lors de la restitution, le cortex pariétal postérieur et median s’active + fortement quand?

A

+ fortement dans cas de restitutions correctes par rapport au cas de nouveautés correctes

=> si mot déjà présenté et on s’en rappelle : activation ( restitution correcte). Si mot nvx et qu’on dit nouveau ( nouveauté correcte) : activation aussi mais - d’activation

Pdt encodage , activité diminue pour les items qui seront correctement rappelés lors de phase de restitution

34
Q

Le cortex pariétal postérieur et median participe également à ?

A

Encodage de mémoire auto référentielles ( sources internes: tout ce qui est lié à nous, notre position, notre référentiel personnel)

35
Q

Contribution des aires pariétales :

Tache impliquant visage en haut vs. mot en bas

il ne semble pas y avoir une spécialisation pour le type de contenu

Phase d’encodage et de rappel

Quel résultat ?

A

Il y a une réponse dans les deux cas sauf qu’il y a

  • une réponse négative pendant l’encodage
  • positive pendant le rappel

que ce soit mot au visage ou droite à gauche. participation des aires pariétal dans les deux phases ,

diminution pendant encodage et augmentation pendant un rappel pour mots qui sont correctement rappelés où mots nouveaux qui sont qualifiés comme tel

=> Bon bref on a vu qu’il y avait des activation au niveau pariétal et frontal mais il faut se rappeler que le cerveau est un milieu très connecté

36
Q

Le cortex rétro splenial est tres connecté à ..? (3)

A

Péri rhinal, para hippocampique, régions temporales impliquées dans memoire

37
Q

2 réseaux distincts pour la mémoire et cmpts liés :

Qeski est lié à système antérieur ? (3)

A

Cortex péri rhinal =>

  • souvenirs d’Items isolés
  • effets de familiarité
  • > significativité des objets/entités

+ c’est antérieur , + c’est superficiel -> familiarité

38
Q

2 réseaux distincts pour la mémoire et cmpts liés :

Qeski est lié à système postérieur ? (2)

A

Para hippocampique =>

  • souvenirs du contexte, scènes, organisation spatiale etc
  • effets de récupération ( source)
  • > relation entre entités, contexte, actions, conséquences

+ c’est postérieur , + c’est référencé par rapport à nous , + c’est complet

39
Q

Dans les études d’imagerie sur encodage et restitution en MLT, on trouve de larges …?

A

Activations ailleurs que dans le lobe temporal median

40
Q

Exp: la réactivation

Phase 1: encodage :

—> apprentissage de sons ou images associés à des mots ( ex: cloche suivi du son d’une cloche)

Phase 2 : restitution:

  • Perception : présentation du mot et du stimulus associé
  • restitution : présentation uniquement du mot report du stimulus associé ( ex: ce mot était il associé à un son ou à une image?)

Quel résultat ?

A

Quand présentation mot associé à une image => activation visuelle forte en fonction du type d’image des zones différentes s’activent

Si mot et son ->plutôt auditif

Mot seul (correspondant à une image ) pendant face de restitution active région visuel associative

Mot seul (correspondant à un son) => régions auditives associatives.

Correspondance activation pendant perception restitution d’où l’idée de réactivation

Conclusion : le mot evoque une image/un son et cela suffit à activer la zone qui était activé par l’image le son dans la phase de perception

41
Q

Conclusion:

A

Les mêmes aires sont activés pendant l’écriture et la lecture en mémoire des informations dans le cortex (aires associatives car on est pas dans la perception donc ça ne sera pas des ère primaire comme V1 )

la région du cortex précisément activée dépend du matériel à mémoriser/restituer (ex visage FFA, maison région para hippocampiques )

certaines régions sont importantes pour se préparer à accéder à des informations (trier et se dire tiens je dois me rappeler d’une information visuelle vs. auditive ) d’autres sont impliqués dans la recherche d’un souvenir données

42
Q

Que se passe t’il lors de la consolidation dans la mémoire épisodique ? (2)

A

Phase 1 de consolidation rapide et stockage initial :

-> Hippocampe et régions adjacentes + activations multiples dans neocortex

Phase 2 de consolidation + lente et stockage durable :

-> + controversée car + difficile à étudier

43
Q

Qeske la théorie de la consolidation dite standard?

A

Hippocampe joue un rôle dans le stockage temporaire alors que le stockage durable revient entièrement au neocortex

Couche bas = lobe temporal néocortex
En haut = neocortex stockant vraiment information,

ce sont les régions corticales, on passe d’un stockage temporaire en bas un stockage plus solide idée et que + on utilise Info + on va consolider les liens avec le néocortex jusqu’au plan on aura plus besoin de l’hippocampe pour se rappeler des choses

44
Q

Qu’explique la théorie de consolidation dite standard ?

A

Explique pk certaines lésions de hippocampe n’induisent pas de pb de MLT

Ex: amnésie rétrograde chez H.M ( même si Lésions il se rappelle de chose)

45
Q

Qeske la théorie des traces multiples ?

A

Interaction entre hippocampe/ lobe temporal median et neocortex pour le stockage de la mémoire épisodique.

+ un souvenir est évoqué, + il y a de traces pour celui ci dans hippocampe.

=> + un souvenir est évoqué, + liens vont se renforcer. Même si on perd une région alors autres régions peuvent compenser cette perte.

=> Idée = expliquer cmpt de patients ayant lésions !!

46
Q

Conclusion

A

Le stockage rapide et initial est sous le contrôle de l’hippocampe

La consolidation de la mémoire à long terme passe par l’interaction entre le cortex (représentation multiples) hippocampe (association )

les mécanismes portant à la consolidation durable de l’information épisodique et les sites corticaux précis du stockage sont encore controversés

47
Q

Mécanismes cellulaires : apprentissage au niveau du neurone :

L’apprentissage est lié à quoi?

A

La modification de synapses, et en particulier au changement de poids de certaines interactions synaptiques entre neurones.

48
Q

Selon Loi Hebb: l’activité d’un neurone presynaptique et post détermine quoi?

A

Renforcement de cette synapse :

=> + on utilise une synapse, + elle devient efficace, + on utilise qqch mieux on le fait. + on répète une info mieux on l’a mémorise

49
Q

Quelles sont les 2 phénomènes importants à la mémorisation ?

A

1) Potentialisation à long terme : augmentation efficacité d’une synapse par son utilisation
2) Dépression à long terme : diminution efficacité d’une synapse par son utilisation

=> ces 2 phénomènes sont liés aux modif de fonctionnement du neurone post synaptic

50
Q

Potentialisation à long terme :

Stimulation hippocampe d’un rat à 100 Hz

Quel résultat ?

A

Augmentation des potentiels post synaptic excitateurs

-> phénomène de Potentialisation a long terme ( LTP)

51
Q

Dépression à long terme :

Stimulation LF des axones de la voie perforante ( ex: 1 Hz)

Quel résultat ?

A

Diminution de potentiels post synaptic excitateurs

-> phénomène de dépression à long terme ( LTD)

52
Q

Neurotransmetteurs qui vont influencer les 2 phénomènes

Récepteur NMDA au Glutamate : rôle clé dans la LTP !!

Requiert ?

Engendre quoi?

A

Requiert:

  • Dépolarisation
  • Glutamate

Engendre :

  • Un flux de Ca2+ qui sert de messager intracellulaire
  • Une cascade d’ev Post et pré synaptic ( don’t certains sont débattus)
53
Q

Explique ce qui se passe au niveau des mécanismes moléculaires

A

PA au niveau neurones présynaptique —> quantité neurotransmetteurs libérés dans fente —> molécules vont venir se fixer sur des récepteurs

on peut influer sur quantité de neurotransmetteurs libérés, sur nombre de récepteurs, on peut également ajouter des enzymes dans la fente qui vont dégrader le processus normal et vont empêcher le neurotransmetteurs de se fixer au neurone poste synaptique

on peut agir chimiquement (par le biais d’un ajout d’enzymes ) il y a également un moyen génétique qui va être de bloquer l’expression génétique des récepteurs au NMDA

54
Q

Le fait de bloquer apparition de LTP peut affecter quoi?

A

Apprentissage et mémoire spatiale chez souris

55
Q

Comment bloquer induction de LTP? (2)

A

=> en bloquant récepteurs

  • Stratégie chimique : AP5 et Mg2+ qui peuvent tous 2 bloquer le canal du récepteur NMDA au GLU. ( ça peut affecter autre régions aussi) ( - spécifique)
  • Stratégie génétique : souris KO pour le révéler NMDA au Glu. ( on empêche expression du gène pour NMDA. + spécifique)
56
Q

Stratégie chimique : infusion d’AP5 dans hippocampe :

Tache d’apprentissage spatial: labyrinthe de Morris :

Labyrinthe de la circulaire liquide opaque animal est mis dedans plate-forme cachée et il doit la trouver pour survivre en se servant d’indices.

Quel résultat ?

Et si on bloque LTP qeski se passe ?

On injecte produit dans hippocampe.

A

Rond haut -> il cherche partout puis après il y arrive mieux, il associe bien les éléments contextuels = apprentissage spatial

Si on bloque LTP:

  • si trop concentré problème sensori moteur donc ça sert à rien
  • concentration faible = pas d’effet
  • quand concentration élevée mais pas trop = déficit d’apprentissage mais pas trouble moteur

vrai effet dose/ réponse, vraiment une interférence avec un apprentissage

en quoi c’est comparable à une lésion de l’hippocampe ? ça produit les mêmes déficit ?

=> pire que lésion de l’hippocampe quand concentration élevée mais pas trop sinon troubles moteurs

57
Q

Stratégie génétique : absence de récepteurs NMDA dans le gyrus denté et CA1

Souris Grin :

Labyrinthe de Morris : quel résultat ?

Labyrinthe radial : quel résultat ?

Labyrinthe de Morris modifié ?

-> on met bouée à endroit où il y avait la plateforme + à un endroit où il n’y avait pas pas de plateforme.

A

Résultat 1: Les souris Grin sont aussi performante que les contrôles dans le labyrinthe de Morris. => Elle montre cependant des performances - bonne quand la plate-forme est déplacé à l’opposé : elle cherchent plus longtemps là où la plate-forme était présente auparavant.

=> pas récepteur MNDA dans certains endroits (sous région hippocampes) on perturbe peu l’apprentissage contextuelle chez la souris, on pensait que l’hippocampe servait à l’apprentissage spatial/ contextuel et là ça remet tout en question!!

Résultat 2: Les souris Grin font + d’erreurs dans la tache de labyrinthe radial !

Toutes les branches du labyrinthe se ressemblent !! Il faut utiliser des indices externe et inhiber la tendance à explorer une branche identique à celle contenant une récompense

=> il doit se baser sur sa mémoire interne en supplément pour pas repartir sur la même branche là => les souris sont perturbés!

Résultat 3: les souris Grin font + d’erreurs dans le labyrinthe de Morris modifié. => elles arrivent moins bien à éviter la mauvaise bouée lorsque leur point de départ est proche de celle-ci (position de départ S-)

Dès qu’il y a un indice proche elles ne vont pas pouvoir l’inhiber, elle fonce vers la bouée en pensant qu’il y a une plate-forme de sous alors que non pas forcément elle s’aident plus des autres indices pour trouver la vraie plate-forme

Conclusion: Récepteur NMDA jouent un rôle quand situation est complexe et quand les indices sont distants.

Si indice proche on va pas pouvoir les inhiber et on va forcément y prêter + attention aux autres infos

58
Q

Conclusion :

A
  • Les phénomènes de dépression et de potentialisation à long terme modifie durablement les poids synaptique ( soit amélioré/perturber le fonctionnement. une synapse va être + ou - efficace)
  • ces phénomènes sont liés à des cascades d’événement moléculaire dont les récepteurs NMDA et la libération de calcium sont des étapes clés
  • des études chez l’animal montre que le LTP joue un rôle dans l’apprentissage mais il s’agit d’un rôle plus complexe que celui qui avait été initialement imaginé.
  • les récepteurs NMDA joueraient un vrai rôle dans l’apprentissage contextuelle, surtout lorsque les indices sont distants où ambigus (si tache évidente, récepteur NMDA ne joueront pas de rôle)