K Flashcards
Loi Kaldor-Verdoorn -La règle d’équilibre
Croiss crises
Kaldor → la croissance est le résultat d’un dev simultané des capacités de P et des débouchés « compromis fordiste »
On peut espérer le t% d’S en faisant varier la répartition de la VA entre Kistes et salariés, car le t% d’S des 2 groupes ne sont pas identiques. Dès lors, t% d’S cesse d’ê une variable exogène : c’est de lui dont dépend le fait que la croissance est équilibrée ou non.
Kaldor → endogénéise le PT → il intègre dans l’accumulation du K : + le K par salarié augmente, + rapide est l’augmentation de la PT.
Kaldor → une importance de la répartition et du PT sur la croissance → la propension marginal à S varie en fonction du partage des salaires/profits. Les Kistes S + que les salariés > le t% d’S qui augmente si le t% de profit augmente.
Si le t% de dev trop fort → augmentation de l’inv et S → t% de croissance > t% naturel → pénurie de MO aboutira à augmentation des salaires → Retour à l’équilibre (passe par la récession).
Loi de Kaldor-Verdoorn → Liaison entre le t% de croissance de la Pé et le t% de croissance s’explique par des éco d’échelles, des effets d’apprentissages, et d’expérience par endogénéisation du PT.
Kondratiev - les cycles longs
Croiss et crises
Les grands cycles de la conjoncture ,1926 Cycle d’environ 50ans.
Il présente deux phases distinctes : une phase ascendante (phase A) et une phase descendante (phase B).
Selon Kondratiev, la phase ascendante s’accompagne progressivement d’un excès d’I réalisé par les entreprises pour faire face à la concurrence, ce qui provoque une hausse des prix, taux d’î qui augmentent face à une forte demande de la monnaie. Il s’ensuit donc un déclin de l’act éco durant lequel les prix baissent, dû à un excès de l’offre et à une baisse de la demande, ainsi que les taux d’intérêts, la baisse de la C° et des investissements entraîne une baisse de la demande de monnaie, ce qui permet une purge du système et prépare le terrain pour une nouvelle phase de croissance.
Pour chacun des cycles, il identifie trois phases :
la période d’expansion (20 ans) = phase A
le plateau ou récession primaire (10 ans)
la période de dépression (20 ans) = phase B
Kitchin - les cycles courts
Croiss et crises
Cycles courts de Kitchin : durée moyenne de 42mois :
En phase d’expansion, les stocks augmentent considérablement, les entreprises voulant répondre a une demande croissance de la demande. Cette augmentation des stocks est donc du a une augmentation des capacités de production qui vont peu a peu devenir supérieur a la demande et ainsi entraine la création de stocks importants. Puis, peu a peu, les entreprises vont anticiper ou constater un ralentissement de l’activité économique et la phase de déstockage va alors commencer. On entre alors dans la phase de récession.
Kuznets - la courbe de Kuznets
Inegalités
Dans les 1ers stades du dev, quand l’inv dans le K infrastructurel et dans le % naturel est le principal mécanisme de croissance, les iné encouragent la croissance en partageant les ressources en faveur de ceux qui S et I le + → « malédiction de Kuznets ».
A l’inverse, dans les éco les + avancées, l’accroissement du % humain prend la place de l’accroissement du K physique comme source de la croissance. Les iné ralentissent dès lors la croissance éco en limitant le niveau général de l’éducation, parce que tous ne peuvent directement fin leur formation.
idée selon laquelle dans un pays, les inégalités se réduiraient « mécaniquement » avec le développement économique de ce dernier.
Mais depuis les 80’ → L’inégalité de rev a cru depuis les 80’. Un grand nb de facteurs y contribuent : érosion du salaire minimum, déclin des syndicats, M et augmentation de la concurrence entre travailleurs, changements techniques et évolution de la D de travailleurs qualifiés
Au bout d’un moment, ce qui compte, c’est le K humain.
Keynes - la théorie de la parité des ti 1923
SMI
Si dans un pays A, les t% d’intérêts sont sup aux t% pratiqués dans le pays B, les investisseurs dans celui-ci auront tendance à placer leurs capitaux dans le pays A. De facto, la D de monnaie du pays A augmente, ce qui entraîne une appréciation de la monnaie A face à la monnaie B.
King - loi de King
SMI
En raison de la rigidité de la demande de produits (agricoles) de première nécessité, une variation minime de l’offre de ces derniers est susceptible d’entraîner une variation très importante de leurs prix.
La loi de king renvoie en fait à l’inélasticité (abs de lien ou l’indépendance des variations de 2variables concernées) de la D pour les produits de 1ère nécessité.
Il a constaté que le prix du blé flambait pendant les mauvaises années et qu’ils s’effondraient pendant les bonnes.
→ la C de blé est vitae car c’est la base essentielle de la nourriture → les gens sont donc prêts à donné tout ce qu’ils ont pour acheter la Qé qui leur est indispensable.
→ Pour réduit la D, il faut que les prix augmentent sensiblement.
Keynes - concours de beauté
SMI Croiss et crises
Théorie générale de l’emploi, de l’équilibre de la monnaie, 1936
Il utilise cette métaphore pour illustrer le fonctionnement du marché boursier.
Il veut montrer que le titre d’un marché fin est à la N d’une bulle spéculative : sa valeur dépend + des représentations et des anticipations que de fondements réels. Les acteurs du marché fin en arrivent à ignorer les fondamentaux et essaient à la place de prédire ce que fera le marché.
Cet argument remet en cause l’idée selon laquelle les Marché fin parviendraient à une allocation des capitaux efficace.
Des dev ultérieurs ont montré que de tels phéno produisent dès lors qu’il y a une incertitude sur les déterminantes de l’évolution du prix des titres.
Kaldor - le carre magique
etat
l’obj des politiques de régulation du cycle éco (pol conjoncturelles) sont d’élargir au max le quadrilatère pour atteindre le carré magique : croiss soutenue, solde comm excédentaire, inflation maitrisée, plein emploi.
Keynes - la trappe à liquidité
Monnaie
Inflation
La trappe à liquidité est un phénomène proposé en analyse keynesienne, dont le but est d’expliquer les caractéristiques observées quand la banque centrale devient incapable de stimuler l’économie par la voie monétaire.
Dans un contexte de récession, une des méthodes de relance est l’augmentation de la MM afin d’entrainer une diminution du taux d’î.
Lorsque le taux d’intérêt est faible, les agents prévoient (spéculent) qu’il va nécessairement augmenter et veulent donc détenir de la monnaie les agents pensent alors tous que le taux va augmenter, et leur préférence pour la liquidité est alors absolue. Une politique monétaire de baisse du taux d’intérêt est alors totalement inefficace dans le cadre d’une relance.
Keynes - la preference pour la liquidité
Monnaie
Keynes distingue 3 motifs de D de monnaie et conclut que la monnaie peut-ê désirée pour elle-même :
Motif de transaction (réaliser des échanges).
Motif de précaution (faire face aux risques).
Motif de spéculation (achat de titre) → La D de monnaie pour le motif de spéculation dépend du cours des titres. Les spéculateurs conservent leurs encaisses monétaires lorsque les cours des titres financiers sont élevés, car ils anticipent alors une baisse. Ils les utilisent au contraire pour acheter des titres quand les cours sont bas, espérant réaliser une plus-value. L’encaisse de spéculation dépend du taux d’intérêt. Par conséquent, elle augmente quand le taux d’intérêt diminue. C’est donc une fonction décroissant du taux d’intérêt.
La monnaie n’est pas un voile, elle a une influence sur l’éco réelle. Il y a une véritable interaction entre l’éco réelle et l’éco mon.
Keynes - l’effet multiplicateur de l’I
Etat, croiss et crises
Une augmentation de l’I entraine une augmentation + que proportionnelle du rev global.
△Y = k△I avec K= 1/c
Keynes - le multiplicateur fiscal
Etat
l’Etat peut aussi relancer l’act en diminuant les impôts : le multiplicateur fiscal permet de meruser l’impact d’une variation des impots sur la P°.
Keynes - la loi psychologique fondamentale
Croiss et crises
Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie
La C° est une fonction croiss du rev. Cependant, si les rev augmentent rapidement, la C° n’augmente pas aussi vite.
« La propension à consommer est une fonction assez stable et le montant de la consommation globale dépend essentiellement du montant du revenu global. »
Keynes - équilibre de sous emploi
cho, croiss et crises
sit° dans laquelle la D globale et l’O globale sont égales, mais à un niveau trop faible pour éviter un chô durable.
Krugman - solvabilité
ss dvp
Analytical issues in debt, 1989
fondements théo de l’approche en terme de solvabilité, au travers de la courbe de Laffer de la dette. Il est parfois dans l’î des créanciers d’accorder des diminutions de dette afin d’accroitre la proba de remboursement. À partir d’un certain seuil d’endettement, les montants remboursés diminuent du fait de l’insolvabilité du pays.