F Flashcards
J Frenckel - théorie monétariste 1976
SMI
L’évolution relative des masses monétaires les unes par rapport aux autres explique les variations de taux de change.
Ex : une augmentation du rev national engendre un supplément de D national, et se traduit par une appréciation de la monnaie nationale.
Friedman - les changes flottants
SMI
Chef de file du courant monétariste et partisan précoce du flottement, prédisait ainsi que l’élimination du risque de dévaluation conduirait à des taux de changes stables.
Frankel - PPA relative
SMI Europe
Relation entre pol monétaire et tdc. Politique monétaire restrictive → augmentation tdc
All ‘92-93 qui a provoqué la crise du SME. Réunification → augmentation de l’inflation → po restrictive → appréciation mark → ECU progresse → pays mènent une po restrictive pour apprécier la devise alors que pas de pb d’inflation.
« pol du franc fort »
Ford - le compromis fordiste
Croissance, crises, classe moyenne
taylorisme= OST. Faut rationnaliser la P° pour augmenter la ptté et la rentabilité . On opère une double division du travail (verticale et horizontale).
Ford reprend et va plus loin : travail à la chaîne + standardisation des produits et des P°.
Mais le compromis fordiste c’est différent : généralisation des procédés fordistes dans l’ens des secteurs et des métiers associée au partage de la VA en faveur des salaires. Comme on est au plein emploi, les salariés ont un pouvoir de négociation → hausse des salaires.
Friedman - théorie du revenu permanent
Monnaie
La D de monnaie et donc la C et l’S dépend du rev permanent (K humain, patrimoine…) et non du rev courant.
Donc, à LT, il existe une relation proportionnelle entre consommation et rev permanent.
Fisher - théorie quantitative de la monnaie
Monnaie inflation
MV = PT
MV → Qé et vitesse de circulation de la monnaie.
PT → niveau générale des prix et volume de transaction.
Une augmentation de la Qé de monnaie en circulation entraine une augmentation du niveau général des prix.
+ Fisher a introduit une relation négative liant le taux d’intérêt et l’inflation. Sans entrer dans la théorie quantitative de la monnaie, on peut déduire qu’une hausse du taux d’intérêt fait baisser l’inflation et vice versa.
Fama - l’efficience des marchés
SMI croissance et crise
Un marché est efficient si et seulement si l’ensemble des infos dispo concernant chaque actif sont intégrées dans le prix de cet actif. 3 types d’efficience :
→ efficience allocationnelle= sélection des meilleurs projets → accelère la croiss
→ efficience opérationnelle= offreurs et deurs se rencontrent au meilleur cout
→ efficience informationnelle = toute l’info est prise en compte
Mais dans la réalité les marchés ne sont pas rationnels. Comportements moutonniers, mimétisme.
Fisher - debt déflation 1933
Inflation
Phénomène qui voit les agent éco prendre subitement conscience de leurs dettes et vendre massivement leurs actifs pour les rembourser. Généralisées, ces ventes aboutissent à la baisse du prix des actifs si bien que la part de l’endettement sur la valeur des actifs s’accroît.
Cf krach boursier de 1929.
Èmet donc des doutes quant à l’efficacité d’un ajustement par la déflation : les agents éco sont souvent fortement endettés lorsque débutent les crises. Or la déflation accroit le poids réel des dettes passées, rendant de + en + difficile leur remboursement.
Friedman Schwartz - Etat vecteur de crise
Croissance crise et état
A monetary history of the US 1867-1960, 1963
Le modèle classique défend l’idée que l’éco s’auto-régule ssi l’Etat n’intervient pas. Or il a toujours été +/- présent dans l’économie.
Diront que la crise de 29 a été causée par la pol monétaire de la Fed : taux d’î très bas, permettant d’injecter des liquidités dans l’économie, contribuant au gonflement d’une bulle spéculative. Au lendemain de la crise : a redressé les taux d’intérêt → durcit les conditions du crédit + retournement des cours de bourses.