A Flashcards
Loi de Adolph Wagner
SME
Loi de l’extension continue de l’Etat :
La place de l’Etat ne cesse d’augmenter dans l’économie. Donc on assiste en même temps à une extension du Kisme et à une extension du rôle de l’Etat.
Acemoglu et Robinson - pourquoi les nations échouent?
Dvp, État
Why Nation fail ? 2012
Acemoglu et Robinson ont dvp l’approche fondée sur les institutions Les niveaux de participations démocratiques et l’équité des règles du jeu ont une influence + importante sur la N des pays qui seront riches et ceux qui seront pauvre à l’avenir.
Dans les pays les moins dev, c’est à la fois le manque d’Etat et la captation des structures publiques par les intérêts privés, ce que Acemoglu et Robinson appellent des institutions extractives qui est souvent la source du manque de dev.
Botswana → les dirigeants ont créer un système complet de droits de Pé favorisant le dev éco selon Acemoglu.
Aoki - firme A et J
entreprises
➤ Firme A (Américaine) → une structure rigide, division des taches, hiérarchisation des fonctions
(conception et exécution).
➤ Firme J (Japonaise) → org du L souple, sans fonction figé, flexibilité dans le fonctionnement de
l’ent.
Pour lui, la firme J est plus efficiente et efficace que la firme A de part sa flexibilité.
Aristote - Les 3 fonctions de la monnaie
SME
Moyen de paiement
Mesure de valeur
Réserve de valeur
Akerlof - inflation
SME
Recommande un t.i d’inflation de 3-4% car en cas de chocs asymétrique, l’inflation doit ê + haute que 2% dans les pays en croissance pour permettre des ajustements dans les pays en récession.
De plus, si la BCE prend pour obj une inflation trop basse, cela contraindra les pays adhérents à une croissance quasi déflationniste, ce qui est une contradiction interne risquant de bloquer leur rattrapage.
Le prix n’est pas nécessairement synonyme de qualité. Donc le prix ne peut plus jouer son rôle d’information.
Azariadis - La théorie des contrats implicites
chômage
“Implicit contracts and unemployment equilibria” 1975
Constitue le 2ème axe de la recherche de cette nouvelle microéco du L : Au cours du cycle d’act, les salaires ont tendance à – fluctuer que l’emploi → Comme le salarié vit pour l’essentiel de son salaire, l’entrepreneur lui garantit un salaire fixe et se réserve le droit d’ajuster le niveau d’emploi en fonction de la conjoncture.
La question posé est de savoir pourquoi les salaires à l’intérieur des ent ne s’ajustent pas au niveau d’équilibre du marché du L.
Le différentiel entre le salaire d’équilibre et le salaire perçu est une sorte de prime d’assurance que verse le salarié à son employeur en contre partie duquel l’employeur lui garantie la stabilité de l’emploi et la stabilité de son salaire en cas de conjoncture basse Indemnité d’assurance que verse l’employeur à son salaire Donc les salaires restent identique en cas de faible conjoncture.
Aftalion - l’accélérateur
croiss, crise
Si l’entrepreneur voit une légère augmentation de la demande alors il va augmenter ses investissements de façon plus importante. AU contraire, si la demande baisse, il va cesser d’investir. Le cycle (enchaînement expansion-récession) est le résultat d’un décalage entre les décisions d’investissement qui produisent leurs effets durablement (le capital installé est productif pour longtemps) et les décisions des consommateurs qui sont indépendantes. Les périodes de sur-accumulation succèdent ainsi à des périodes de sous-accumulation. Selon ce modèle, dans une économie de marché, les fluctuations de l’investissement accentuent les fluctuations globales et expliquent les cycles d’activité de court et moyen termes. Une variation de la D/rev entraine une augmentation + que proportionnelle de l’inv.
Paradoxe d’Anderson
socio
Un fils ayant un diplôme > à son père aura 67% de chances d’avoir une position sociale au plus égale à celle de son père → diplôme perdent de leur valeur car de + en + d’ind sont diplômés.