ITSS Flashcards
Facteurs de risques
Avoir 25 ans et moins
Être originaire d’une région où les ITSS bactériennes, le VIH, le VHB ou le VHC son endémique
Résider dans la région des Terres-Cries-de-la-Baie-James ou celle du Nunavik
Être incarcéré ou l’avoir été
Consommation d’alcool ou de drogue
Comportement sexuels à risque
Facteurs de risques présentés par les partenaires sexuels
Autres :
Avoir été exposé à du sang ou à d’autres liquides biologiques:
À l’occasion d’un tatouage ou d’un perçage dans des conditions non stériles
Dans le contexte du travail
Dans un contexte non professionnel (ex: morsure,piqûre, etc)
Pendant des procedure médicales avec du matériel possiblement contaminé dans des régions où la prévalence des infections est élevée
À l’occasion soit d’une transfusion de sang ou de produits sanguin, soit d’une greffe de cellules de tissus ou d’organe, selon l’année et le pays où les produits ont été reçus
L’hépatite, le VIH et la syphilis peuvent être diagnostiqués au moyen
D’une analyse sanguine
La chlamydia et la gonorrhée et les LGV sont des ITS qui peuvent être identifiés
Au moyen d’un test d’urine
Ou
Prélèvement sur écouvillon: par exemple dans le vagin et le col de l’utérus, le pharynx, l’urètre, anus où le rectum
Pour diagnostiquer les verrues génitales (VPH), herpès, des morguons ou la gale
Examen visuel
Infection à la chlamydia homme manifestation clinique
Chez l’homme, l’infection est souvent asymptomatique
Si symptômes:
Urétrite, inflammation de l’urètre pouvant s’accompagner d’un écoulement de l’urètre (blanchâtre ou clair), de prurit
Urétral ou d’un malaise urinaire
Pharyngite, généralement transitoire
Rectite : infection rectale parfois accompagnée de prurit, de ténesme et d’écoulements
Conjonctivite
Infection à la chlamydia femme manifestation clinique
Chez la femme, la majorité des cas son asymptomatique
Si symptômes :
Cervicite mucopurulente: inflammation du col de l’utérus pouvant s’accompagner de pertes vaginales anormales, d’un saignement après les relations sexuelles
Pharyngite, généralement transitoire
Réctite: infection rectale parfois accompagné de prurit, de ténesme et d’écoulement
Urétrite : inflammation de l’urètre pouvant s’accompagner d’un malaise urinaire
Conjonctivite
Complications chlamydia non traité chez l’homme
Orchi-épididymite: douleur testiculaire, habituellement unilatérale, apparaissant généralement de façon progressive, avec tuméfaction palpable de l’épididyme, érythème ou oedème du scritum sur le côté affecté, fièvre à l’occasion, etc
Prostatite: il y a plusieurs syndromes de prostatite, parmi ceux-ci, le syndrome pelvien douloureux chronique inflammatoire peut être causé par C.trachomatis
Syndrome oculi-urétrite-synovial (urétrite, conjonctivite, arthrite) infertilité, dans de rare cas
Complications chlamydia non traité chez la femme
Atteinte inflammatoire prévienne (douleur abdominale basse, douleur aux annexes ou à la mobilisation du col, dyspareunie profonde, fièvre, etc
Dans environ 10% des infections à C.trachomatis jusqu’à deux tiers des cas d’atteinte inflammatoire pelvienne ne son pas décelés et les risques subséquents de souffri d’infertile, de faire une grossesse ectopique, de présenter une douleur pelvienne chronique ou de devoir subir une chirurgie gynécologique sont de 25%
Grossesse topique et infertilité, dont les risques augmentent avec le nombre d’épisode d’infection à C.Trachomatis; syndrome oculi-urétral-synovial (urétrite conjonctivite, arthrite)
Période d’incubation Chlamydia
Jusqu’a six semaines, mais deux à trois semaines en moyennes
Période de contagiosités Chalmydia
Le risque de transmission de l’infection persiste plusieurs mois chez les personnes non traitées
À la suite d’un traitement, la transmission est possible :
Jusqu’a sept jours après la fin d’un traitement à dose unique, ou jusqu’a la fin d’un traitement à dose multiple, et jusqu’a la résolution des symptômes
Mode de transmission de la Chlamydia
Contact avec des sécrétions génitales infectées: dans un contexte sexuel
De la mère infectée à son enfant au moment de l’accouchement
Période fenêtre de la Chamydia
Le délai minimal avant de pouvoir détecter l’infection n’est pas connu.la période fenêtre se termine quatorze jours après l’exposition
Traitement Chlamydia
Consiste généralement à la prise d’antibiotiques en comprimés, par voie orale, en dose unique ou pendant sept jours
Maladie à d’claration obligatoire MADO
Manifestation clinique chez l’homme de la Gonorrhée
L’urétrite est généralement symptomatique. L’infection des autres sites est généralement asymptomatique
Lorsqu’ils sont lrésents, les symptômes peuvent être associés aux syndromes cliniques suivants :
Urétrite: inflammation de l’urètre pouvant s’accompagner d’un écoulement purulent de l’rèyre avec douleur ou malaise urinaire
Pharyngite
Rectite: infection rectale parfois accompagnée de prurit, de ténesme et d’un écoulement qui peu être sanguinolent
Conjonctivite
Manifestation clinique de la Gonorrhee chez la femme
Les cervicite peut être symptômatique. L’infection des autres sites est généralement asymptomatique
Si présence:
Cervicite mucopurulente: inflammation du col de l’utérus pouvant s’accompagner de pertes vaginales anormales, d’un saignement vaginal anormal et d’un saignement après les relations sexuelles
Urétrite: inflammation de l’urètre pouvant s’accompagner d’une douleur ou d’un malaise urinaire
Pharyngite
Bartholinite: inflammation des glandes de Bartolin (gonflement, rougeur, chaleur, douleur)
Rectite: infection rectale, parfois accompagnée de prurit, de ténesme et d’un écoulement qui peut être sanguignolent
Conjonctivite
Durée de l’infection de la Gonorrhée
Non traitée, l’infection peut persister de nombreux mois et entraîner des complications, même en l’absence de symptômes
Complications Gonorrhée chez l’homme
Orchi-épididymite: douleur testiculaire, habituellement unilatérale, apparaissant généralement de façon progressive, avec tuméfaction palpable de l’épididyme, érythème ou oedème du scrotum sur le côté affecté, fièvre, etc
Disséminée: septicémie rare, suivie parfois d’arthrite, de lésions de la peau, d’endocardite et de méningite-l’arthrite peut entraîner des dommages permanents aux articulations si les traitements et tardifs ou infefficace
Syndrome occult-urétral-synovial (urétrite, conjonctivite, arthrite)
Infertilités, dans de rare cas
Complications Gonorrhée chez la femme
Atteinte inflammatoire pelvienne (douleur abdominale basse, douleurs aux annexes ou à la mobilisation du col, dyspareunie profonde, fièvre, etc)
Disséminée: septicémie rare, suivie parfois d’arthrite, de lésions de la peau, d’endocarcite et de méningite-l’arthrite peut entraîner des dommages permanents aux articulations si le traitement est tardif ou inefficace
Syndrome oculi-urétral synovial (urétrite, conjonctivite, arthrite)
Durant la grossesse, les risque d’avortement spontané, de rupture prématurée des membranes et de travail prématurè sont accrus
Période d’incubation de la Gonorrhée
Habituellement de deux à sept jours, parfois davantage
Période de contagiosités de la Gonorrhée
Le risque de transmission de l,infection peut persister des mois chez les personnes non traitées
À la suite d’un traitement, la transmission est possible:
Jusqu’à sept jour après la fin d’un traitement à dose unique, ou jusqu’à la fin d’un traité e r à dose multiple
Et jusqu’à la résolution des symptômes
Mode de transmission de la Gonorrhée
Contact avec des sécrétions génitales infectées
Dans un contexte sexuel
De la mère infectées à son enfant au moment de l’accoudement
Période fenêtre de la Gonorrhée
La période fenêtre n’est pas clairement établie, mais on considère qu’elle se termine quatorze jours après l’exposition
Traitement Gonorrhée
Le traitement de l’infection consiste en la prise d’antibiotiques
Il faut tpujours associer un traitement contre C.trachomatis au traitement de l’infection à N.gonorrheoeae, et ce, même si les résultats des analyses de laboratoire n’ont pas révélé la présence de Chlamydia
Qu’est ce que un condylome acuminés
Sont des lésions exophytiques en forme de chou-fleur, de crête de coq ou encore des excroissances palpuleuses sur la peau et les membranes muqueuses anogénitales. Ces lésions sont souvent multiples, asymétriques et polymorphiques
Chez les femmes ont sont les sites ont l’ont retrouvé les condylomes
La vulve, le périnée, la région péri-anal et, plus rarement, les aimes, le vagin et le col utérin
Chez l’homme ou sont les sites ou l’on retrouvé les condylomes
Pénis, la région périnéale, l’anus, le scrotum et les aines
Durée de l’infection des condylomes
La durée de l’infection est variable et les condylomes peuvent disparaître spontanément dans l’année
Complications des condylomes
En l’absence de traitement :
Papillomatose respiratoire récidivante chez les jeunes enfants et les adultes;
Condylomes géants pouvant, dans de rares cas, devenir invasive surtout chez personne immunosuppressive
Possibilité d’obstruction du canal génital ou de saignement excessif au moment du travail ou de l’accouchement
Réactions psychosexuelle : anxiété, impact sur les activités sexuelles et sur l’image corporelle, état dépressif
Période d’incubation des condylomes
Jusqu’a 20 mois mais, en moyenne, de 2 à 3 mois
Période de contagiosités condylomes
La période de contagiosités est inconnue après la disparition des lésions, avec ou sans traitement. Les connaissances actuelles ne permettent pas de déterminer si les porteurs asymptomatiques de VPH associés aux condylomes sont aussi contagieux que les personnes présentant des condylomes
Mode de transmission des condylomes
Contact direct ou indirect soit avec les lésions, soit avec la peau ou les muqueuses de la région infectées
Dans un contexte sexuel, même s’il n’y a pas de pénétration (le contact peau à peau suffisant)
Rarement de la mère infectée à son enfant, surtout mais pas exclusivement au moment de l’accouchement
Test diagnostiques chondylomes
Aucun analyse n’est indiquée à des fin de dépistage. Pour les condylomes acuminés visibles, aucune analyse diagnostique n’est indiquée, à moins qu’une autre infection ou une autre maladie ne soit soupçonnée ou que les condylomes ne répondent pas au traitement
Les condylomes ne comstituent pas une maladie à déclaration obligatoire MADO
Traitement des condylomes
L’option de traiter ou non les condylomes externes (lorsqu’ils sont peu nombreux et de petite ou de moyenne taille) repose notamment sur la possibilité de conséquence psychosociales négatives et le fait que les condylomes peuvent disparaître spontanément dans l’année, rester inchangés ou augmenter en taille ou en nombre
Le traitement sert à améliorer les symptômes et les signes, et ultimement à faire disparaître les condylomes. Avec ou sans traitement, il est fréquent que les condylomes réapparaissent
Il existe trois type de traitement : traitement topique appliqué par le patient ou administrer par un professionnel de la santé ou combinaison des deux.
Chaque étape herpès+symptômes
Épisode initial (aucun antécédent de lésion anogénitales herpétiques)
Lésion vésiculaire, pustuleuse ou ulcérée douloureuse sur une base érythémateuse, bilatérales et assez diffuses, et dans certain cas:
Adénopathie inguinales douloureuses;
Symptômes systémiques variables (malaise général, myalgie, fièvre ou céphalée)
Episode récurrents (antécédent de lésions récidivantes unilatérales, habituellement au même site anatomique)
Prodrome: symptômes locaux (démangeaisons, brûlure focale, picotements) ou symptômes systémiques légers
(Malaise général, myalgie, fièvre ou céphalée) précédant de quelques minutes à un ou deux jours l’apparition des leésioms-présent chez 50% des patients
Lésions vésiculaire, pustuleuses ou ulcérées douloureuses sur une base érythémateuse
Excrétion virale asymptomatique
Entre les épisodes à récurrents, une excrétion virale peut survenir chez les personnes infectées malgré l’a science de signe ou de symptômes
Durée de l’infection à l’herpès
Une fois contractée, l’infection persiste toute la vie (infection chronique)
Durée de l’épisode initial : en l’absence de traitement, d’une à trois semaines en moyennes
Durée des épisodes récurrents: en l’absence de traitement, dix jours en moyenne.
Complications herpès
Atteinte du système nerveux centrale: méningite aseptique, dysfonctionnement du système nerveux autonome et myélite transvers
Lésion extra-génitales pouvant apparaître partout sur le corps, par auto-inoculation (p.ex. Sur les fesses, l’aimes, les cuisses, les doigts ou les yeux)
Infection virale disséminée: lésions muccocutanées disséminées, hépatite, pneumonie, arthrite
Sur infection fongique ou bactériennes
Rétention urinaire et infection urinaire bactérienne possible chez la femme
Infection néonatale: herpès néonatal est associé à un taux variable mais significatif de morbidité et de mortalité, allant d’une atteinte mucicutanée isolé à des atteintes disséminées, comme la pneumonie et l’encéphalite
Période d’incubation herpès
L’épisode initial peut survenir rapidement après que l’infection a été contractée (en moyenne six jours plus tard)
Note: lorsque l’infection initiale est asymptomatique ou non décelée, le premier épisode clinique manifeste peut survenir plusieurs semaines, mois ou année plus tard.
Période de contagiosités
Le risque de transmission de l’infection est maximal lorsque des lésions sont présentes. Il existe aussi durant les périodes d’excrétion virale asymptomatique
Mode de transmission de l’herpès
Contact direct ou indirect des lésions ou pendant les périodes d’excrétion virale asymptomatique, avec la peau ou les muqueuses de la région infectée:
Dans un contexte sexuel, même si pas pénétration
De la mère infectée à son enfant au moment de l’accouchement
Transmission tranplacentaire: de la mère infectée à son fœtus
Test diagnostic de l’herpès
Analyse à des fins de dépistages de l’infection: aucune analyse n’est indiquée
En présence de symptômes, il est essentiel de confirmer le diagnostic d’herpès génial à l’aide d’analyse de laboratoire, compte tenu des implications thérapeutiques et des conséquences psychologiques de ce diagnostic
Détection viral (analyse à privilégier en présence de lésions)
Analyse d’un prélèvement obtenu par écouvillonnage de la lésion, soit par culture virale, par TAAN ou par détection
D’amtigènes par immunofluorescence directe, selon ce qui est offert par le laboratoire qui procédera aux analyses de biologie médicale. En l’absence de lésions au moment de la consultation, on peut demander à la personne de consulter dès l’apparition des lésions actives
N’est pas une MADO
Traitement de l’herpès
Il n’existe pas de traitement pour éradiquer l’infection
Une thérapie antivirale entreprise rapidement après l’apparition des symptômes ou des lésions diminue la durée de l’épisode initial ou récurrents
Lorsque les épisodes récurrents sont fréquents, un traitement suppressed peut, si l’adhésion à ce traitement est bonne, diminuer la fréquence des récurrences de 70 à 80% tout en diminuant leur intensité, améliorée la qualité de vie et réduire le risque de transmission du VHS aux partenaires sexuels ou au nouveau-né
Premier stade syphilis
Syphilis primaire
Chancre: ulcère superficiel, le plus souvent unique, induré, aux contours réguliers, d’une taille variable pouvant atteindre de un à deux cm et indolore (sauf en cas de surinfection bactérienne). Il est habituellement localisé au site touche (région génitale, sonore tale ou oropharyngée)
Des adénopathies régionales peuvent être présentes
Stecond stage syphilis
Syphilis secondaire
Éruption cutanée diffuse :
Le plus souvent d’aspect msculopapuleux, mais peut prendre diverses formes; peut toucher la paume des mains et la plante des pieds
Autre manifestation possible: condylomes plats, alopécie, uveite, rétinite, méningite, hépatite
Syndrome grippal: fièvre, céphalées, myalgies, arthralgies et fatigue, avec ou sans adénopathies généralisées.
Syphilis latente
Syphilis latente
La personne ne présente aucune manifestation clinique de la maladie. Le diagnostic repose sur les analyses sérologiques et sur l’histoire clinique. La syphilis latente est précoce si l’infection est apparue il y a moins d’un an et elle est tardive si l’histoire sérologie n’est permettent pas de situer le début de l’infection à moins d’un an.
Troisième stade de la syphilis
Syphilis tertiaire
Chez environ le 1/3 des personnes non traitées
Gomme syphilitique (principale lésions cutanées et ostéoarticulaires
Syphilis cardio-vasculaire (anévrisme de l’aorte, régurgitation aortique, etc)
Neuro syphilis tertiaire (vertige, modification de la personnalité, démence, trouble de la démarche, signe d’Argyll)
Manifestation clinique syphilis au NN
Souvent asymptomatique, mais si symptômes:
Rhinite, hépatospléno-mégalie, adénopathies, éruption cutanée, lésions mucocutanées, anémie hémolytique, thrombocytopénie ou ostéochondrite
Durée de l’infection de la syphilis
Les lésions du stade primaire disparaissent d’elles-mêmes en trois à six semaines
Les lésions du stade secondaire disparaissent habituellement d’elles-mêmes en trois à douze semaines
Environ deux tiers des personnes atteintes guérissent spontanément après le stade secondaire
Complications de la syphilis
Pendant la grossesse: avortement spontané, retard de croissance, mortinaissance (dans environ 40% des grossesses chez les femmes atteintes de syphilis en phase infectieuse: primaire, secondaire ou latente précoce) ou accouchement prématuré
Complications liées au stade tertiaire. Ces complications, une fois établies, peuvent ne pas être complètement réversible malgré le traitement entrepris
Période d’incubation syphilis
Syphilis primaire: de 10 à 90 jours (en moyenne 21 jours) après le contact infectieux
Syphilis secondaire: de quatre à dix semaines, mais parfois plusieurs mois, après l’apparition du chancre
Syphilis tertiaire: en moyenne de 5 à 30 ans après l’acquisition de l’infection
Période de contagiosités
Les personnes non traitées peuvent transmettre la syphilis jusqu’à un an après l’avoir contractée
Syphilis primaire et secondaire : le risque de transmission de l’infection persiste aussi longtemps que les lésions cutanés-muqueuses sont présentes
Syphilis latente précoce (apparue il y a moins d’un an) : le risque de transmission de l’infection demeure présent
À la suite d’un traitement de syphilis primaire, secondaire ou latente précoce: jusqu’à sept jours après la fin d’un traitement à dose unique, ou jusqu’à la fin d’un traitement à d’osés multiples
Et
Jusqu’à la résolution des symptômes, en présence de lésions causées par une syphilis primaire ou secondaire
Période fenêtre de la syphilis
Le délai minimum avant de pouvoir détecter la syphilis et d’environ dix jours. La période fenêtre se termine douze semaines après l’exposition
Test diagnostic de la syphilis
Sérologie dans un contexte de dépistage, ou présence de symptômes ou de lésions: procède à un prélèvement veineux
En présence de symptômes ou de lésions :
Analyse un prélèvement d’une lésion cutanée ou d’une lésion des muqueuses par microscopie à fond noir
Analyse prélèvement céphalo-rachidien obtenu par ponction lombaire
Syphilis est une MADO
Traitements de la syphilis
Le traitement de la syphilis primaire, secondaire ou latente précoce consiste généralement en l’administration d’antibiotiques par voie intramusculaire, en dose unique
Le traitement de la syphilis latente tardive ou latente de durée inconnue consiste généralement en l’administration d’antibiotiques par voie intramusculaire, une fois par semaine pendant trois semaine
Quel maladie est une MADO laquelle ne l’ai pas
MADO :
Chlamydia
Gonorrhée
Syphilis
Pas MADO
Condylomes
Herpès