IST à Chlamydiae trachomatis, gonocoque, papillomavirus et herpès génital Flashcards

1
Q

Qui est le gonocoque ?

A

Neisseria gonorrhoeae, bactérie Gram négatif, sous forme de diplocoque, spécifiquement humain.

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Q

Durée d’incubation du gonocoque ?

A

2 à 7 jours, incubation silencieuse et contagieuse.

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3
Q

Manifestations cliniques chez l’homme ? (gonocoque)

A

Urétrite antérieure aiguë, prostatite aigue, orchi-épididymite et plus rarement abcès des glandes de Cowper ou de Tyson.

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4
Q

Manifestations cliniques chez la femme ? (gonocoque)

A

Asymptomatique dans 70% des cas : cervicite, urétrite et salpingite (sub)aigue

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5
Q

Comment se manifestent les formes disséminées chez les deux sexes ? (gonocoque)

A

Fièvre, manifestations articulaires, signes cutanés.

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6
Q

Quel appareil est exceptionnellement touché chez l’adulte mais fréquemment touché chez le nouveau-né ? (gonocoque)

A

Les yeux ! ophtalmie purulente, gonflement paupière, photophobie et douleur pouvant mener à la cécité. Contamination à l’accouchement via la filière génitale.

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7
Q

Indication de l’examen direct ? (gonocoque)

A

Uniquement chez l’homme. Sans valeur chez la femme.

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8
Q

Examen de référence pour établir le diagnostic bio ? (gonocoque)

A

Culture. Assortie d’un antibiogramme.

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9
Q

Symptomatologie classique de la gonococcie chez l’homme ?

A

L’urétrite purulente

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10
Q

Traitement de choix ? (gonocoque)

A

Ceftriaxone en prise minute.

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11
Q

Quelles sont les démarches parallèles à entreprendre en cas de suspicion ou de diagnostic d’une gonococcie ?

A

Traiter les partenaires sexuels, chercher les autres IST (VIH, syph…) et traiter toute gonococcie comme si elle était associée à un C. trachomatis (azithromycine 1g prise minute, PO)

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12
Q

Complication à redouter lors d’une salpingite à C. Trachomatis ?

A

La stérilité tubaire.

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13
Q

Durée d’incubation et stades de la lymphogranulomatose vénérienne ?

A

3 à 30 jours.
Stade primaire cutanéomuqueux transitoire
Secondaire ganglionnaire
Tertiaire tardif destructeur avec fibroses et troubles du drainage lymphatique

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14
Q

Quelles sont les différentes infections urogénitales non spécifiques de Chlamydiae trachomatis ?

A

Urétrite, cervicite, rectite, rectocolites et syndrome de Fitz Hugh Curtis

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15
Q

Qu’est ce que le syndrome de Fitz-Hugh-Curtis ?

A

Décrit chez la femme. Péritonite localisée à C. trachomatis, à type de périhépatite le plus souvent. Symptomatologie d’une cholecystite aigue.

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16
Q

Examen de référence pour le diagnostic d’une infection à C trachomatis ?

A

La PCR sur urines du 1er jet chez le mec, ou sur écouvillonnage vaginal chez la femme.

17
Q

TTT de la LGV (ou maladie de Nicolas Favre pour les intimes) ?

A

Doxycycline 200mg/j pendant 21 jours

18
Q

Modalités de TTT d’une salpingite aiguë ?

A

Tenir compte du caractère polymicrobien et de la gravité potentielle (stérilité tubaire) de cette infection : céphamycine + doxycycline (200mg/j) pendant 21 jours.

19
Q

Quelles sont les IST les plus fréquentes actuellement ?

A

Les condylomes acuminés (2 fois plus que l’herpès génital)

20
Q

Formes cutanées de la papillomavirose ?

A

Verrues communes, plantaires, planes et épidermodysplasie verruciforme de Lutz et Lewandowsky

21
Q

Formes muqueuses de la papillomavirose ?

A

Condylomes acuminés, papillomatose laryngée et l’hyperplasie épithéliale et focale.

22
Q

Diagnostic de référence d’une papillomavirose ?

A

Histologique ! (bien que la clinique suffise pour les formes cutanées et muqueuses génitales)

23
Q

Dans toutes les formes de la papillomavirose, le traitement est…

A

Local !

24
Q

L’herpès génital, en primo-infection, clinique ?

A

Symptomatique 1 fois sur 3. Surtout HSV-2. Incubation de 2 à 7 jours. lésion souvent bruyante : multiples vésicules sur fond érythémateux, s’ulcérant très rapidement chez la femme mais pouvant persister plusieurs jours chez l’homme. Concerne le gland ou le pénis chez l’homme. Vulve, périnée, fesses, le col ou le vagin chez la femme.