Grands biomes Flashcards

1
Q

Biome

A

Un biome appelé aussi aire biotique, éco-zone ou écorégion, est un ensemble d’écosystèmes caractéristique d’une aire biogéographique et nommé à partir de la végétation et des espèces animales qui y prédominent et y sont adaptés. C’est des conditions écologiques du lieu à l’échelle régionale ou continentale : le climat qui induit le sol, les deux induisent eux-mêmes les conditions écologiques. Les biomes n’ont pas les mêmes caractéristiques : forme d’érosion, animaux, végétaux, etc….

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2
Q

Ecologie

A

Géosphère
- Atmosphère - terrestre est l’enveloppe gazeuse entourant la Terre solide.
- Hydrosphère - surface occupé par l’eau liquide
- Lithosphère - enveloppe rigide terrestre, substrat/base de la vie
Biosphère
- Zoocénose : fraction animale du peuplement d’un milieu
- Phytocènose : fraction végétale du peuplement d’un milieu
- Pédocènose : fraction du sol d’un milieu
Noosphère : c’est un espace constitué de l’agrégation des consciences/pensées/idées humaines (nécessairement) présentes sur Terre. Anthropie : impact sur les biomes et sur l’écologies.

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3
Q

Les biomes se dispatchent en ceinture sur la planète

A

80% des continents se concentrent à l’hémisphère nord, et 20% autres se concentrent à l’hémisphère sud. L’hémisphère sud et donc plus océanique. Les continents ne se trouvent pas à la même altitude, les chaînes de montagnes sont des barrières qui bloquent les courants d’airs.

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4
Q

Évapotranspiration

A

L’évapotranspiration décrit le transport de l’eau depuis la surface vers l’atmosphère, soit la somme de l’évaporation directe de l’eau du sol et la transpiration par les plantes.

Mis à part les précipitations, l’évapotranspiration est un des termes les plus significatifs du cycle de l’eau.
Ce processus est un des principaux consommateurs d’énergie solaire

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5
Q

4 types de déserts

A

chaud, froid, sec, humide

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6
Q

5 grands biomes

A
  • Arctiques et subarctiques
  • Tempérés
  • Tropicaux et subtropicaux
  • Azonaux
  • Grands biomes aquatiques (eau douce, eau de mer)
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7
Q

Les zones climatiques du globe en pourcentage (découpage astronomique)

A
  • Zones froides 8%
  • Zones tempérées 52%
  • Zones chaudes 40%
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8
Q

Anticyclone

A

Un anticyclone est une zone de haute pression atmosphérique souvent associée à un temps sec, sans nuage et donc ensoleillé. Il se caractérise par le mouvement descendant de masses d’air froid qui augmente la pression au sol et empêche la formation des nuages. Ces derniers se génèrent souvent à la suite de la montée en altitude d’une masse d’air chargée d’humidité.

Son antagoniste est la dépression. À l’inverse de cette dernière, l’anticyclone tourne dans le sens horaire au niveau de l’hémisphère nord, et dans le sens inverse des aiguilles d’une montre en dessous de l’équateur.

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9
Q

Frontogenèse

A

Le processus par lequel un front prend naissance ou s’intensifie dans une région de l’atmosphère s’appelle la frontogénèse (ou frontogenèse ) ; s’y oppose la frontolyse, qui est le processus par lequel un front s’affaiblit ou disparaît. Dans ces processus d’amplification ou d’atténuation peuvent intervenir en étroite corrélation deux grands types d’influence : le réchauffement ou le refroidissement de masses d’air contiguës d’une part, le mouvement horizontal et vertical de l’air d’autre part.

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10
Q

Front

A

Région de la troposphère constituant une zone de transition dynamique et thermique entre deux masses d’air différentes par leurs caractéristiques de masse volumique, de température et d’humidité.

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11
Q

Point de rosée

A

Le point de rosée est la température à laquelle l’humidité d’un gaz, comme l’air, se condense (se liquéfie) pour former des gouttelettes d’eau.
Ce point de rosée est une caractéristique thermodynamique d’un gaz qui dépend du taux d’humidité de celui-ci. Plus l’humidité du gaz est importante, plus le point de rosée est élevé (en degré Celsius).

Lorsque le point de rosée de l’air est atteint en altitude, il y a formation d’hydrométéores. Lorsque ce point est atteint localement par des objets, l’eau condense sous la forme de rosée (ou de givre, de gelée blanche, de verglas) sur les surfaces de ces objets (végétaux, mobiliers, etc.).

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12
Q

Pédogenèse

A

Étude des processus de formation et d’évolution des sols.

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13
Q

Continentalité

A

en géographie, qualité de ce qui est continental, de ce qui appartient à une large étendue de terres d’un seul tenant

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14
Q

Mangrove

A

résumer la mangrove à une forêt dans la mer est un peu réducteur. La mangrove se définirait plutôt comme un écosystème dynamique caractéristique des littoraux tropicaux ou subtropicaux – même si l’on peut en trouver sous des climats tempérés chauds –, entre 30° de latitude nord et 30° de latitude sud. Les mangroves sont, plus précisément encore, situées dans la zone de balancement des marées. C’est-à-dire, quelque part entre les marées les plus basses et les marées les plus hautes.

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15
Q

Classification des espèces végétale

A

Espèce – Genre – Famille – Ordre – Classe – Embranchement

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16
Q

On peut classer les plantes selon leur milieu de vie

A
  • aérien (épiphytes) :
  • Terrestre : plante adaptée à la terre ferme
  • Vase : plante enracinée sous l’eau, mais dont les tiges, les fleurs et feuilles sont aériennes
  • Aquatique : (hydrophytes) : plante qui vit immergée dans l’eau (ne pas confondre avec les algues).
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17
Q

On peut classer les plantes selon leurs modes d’alimentations :

A
  • Autotrophes : organisme vivant qui produit de la matière organique en procédant à réduction de matière inorganique, par exemple, le carbone, l’azote. Cela s’accompagne d’un prélèvement de sels minéraux dans le milieu (ions, nitrates, phosphates). Les organismes autotrophes au carbone sont donc capables de se dvp dans un milieu ne contenant que du carbone minéral.
  • Hémiparasites : plante pourvue de chlorophylle (mais à photosynthèse réduite) qui en parasite une autre par des suçoirs pour le reste nécessaire à son développement.
  • Parasites : plante qui vit au dépens d’un autre.
  • Saprophytes : plante sans chlorophylle mais non parasite qui vit de matière organique (néotite nid d’oiseaux).
  • Symbiotiques : association intime et durable entre deux organismes hétérospécifiques (espèces différentes) exemple : lychens, algue unicellulaire, champignon)
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18
Q

On peut classer les plantes selon leur durée de vie

A

thérophytes (graine) ; biannuels, pérennes ou vivaces.

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19
Q

On peut classer les plantes selon leur hauteur

A
  • Phanérophytes : plante ligneuse dont les bourgeons de renouvellement sont a plus de 50cm du sol (chêne)
  • Hémicryptophytes : plante vivace dont les bourgeons de renouvellement sont situés au niveau du sol (pissenlit)
  • Géophytes : (bulbe) ; plante vivace, possédant des organes lui permettant de passer la mauvaise saison enfouie dans le sol (Perce-neige ; Tulipe)
  • Thérophytes : plante qui survit à la mauvaise saison sous la forme de graines, toutes les parties végétatives étant détruites par la dessication due au gel.
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20
Q

On peut classer les plantes selon leur feuillage (durée de vie de la feuille)

A
  • Caducifoliés : qui a une durée de vie limité et qui se détache spontanément à maturité.
  • Marcescents : qui persiste après le dessèchement du végétal.
  • Sempervirents : qui reste toujours vert ou fleuri. (conifère)
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21
Q

D’où viens l’oxygène ?

A

Bactérie ; photosynthèse

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22
Q

La plupart des plantes (sauf les champignons), utilisent l’assimilation chlorophyllienne . Donc pour vivre elles ont besoin de :

A
  1. CO2
  2. de lumière pour la photosynthèse
  3. de l’eau pour les sels minéraux
    Elles vont être sensibles à : à la température, la lumière, l’humidité de l’air, l’agitation de l’air.
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23
Q

Résistance des plantes

A

La tolérance aux températures et aux variations de températures est très variable selon les plantes.
Ce qui est important c’est : - l’intensité ; - la durée de l’éclaircissement

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24
Q

Les types de plantes

A
  • Les hydrophytes : qui vivent dans l’eau
  • Les hygrophytes : qui ont des besoins en eau très élevés
  • Les mésophytes : qui ont besoin d’une qualité d’eau moyenne
  • Les xérophytes : qui supporte une sécheresse plus ou moins prononcée.
  • Les tropophytes : qui ont adaptées leurs besoins à une alternance entre saison sèche ou saison des pluies.
  • Les halophytes : plantes qui supportent un excès prolongé de sel.
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25
Q

Association végétale

A

Une plante est constituée de pores. Le terme association végétale a été crée par Alexander Von Humboldt et Aimé Benpland en 1805. Il est utilisé en phytosociologie (étude des relations spatiales et temporelles entre les végétaux). La phytosociologie ne se contente pas de décrire des assemblages de plantes, mais étudie également les relations des plantes entre elles et avec leur milieu de vie (climat, sol), ainsi que leur répartition géographique.

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26
Q

Association des plantes

A
  • Horizontalement : sociabilité (isolées ou en colonies en fonction de leur mode de reproduction la nature du sol et du climat)
  • Verticalement : stratification
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27
Q

Sol

A

Le sol représente la couche superficielle, meuble de la croûte terrestre, résultant de la transformation de la roche mère enrichie par des apports organiques. On différencie le sol de la croûte terrestre par la présence de vie. Le sol fournit à la plante :
- Un support ou s’enraciner
- Les éléments minéraux
- L’eau
- L’oxygène
Le sol se définit par les minéraux mais surtout par les êtres vivants qu’il y a à l’intérieur. Le sol est donc vivant. L’eau est l’élément transporteur des minéraux. Le sol est constitué d’une fraction organique et d’une fraction minérale.

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28
Q

La fraction minérale du sol

A

il s’agit de l’altération de la « roche mère » mais aussi de la décomposition de la matière organique en minéraux. On y trouve :

  • des fragments de roche mère
  • des éléments colloïdaux
  • des ions minéraux
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29
Q

La fraction organique du sol :

A

c’est l’humus du sol, c’est-à-dire la matière organique en décomposition mais aussi des êtres vivants qui se trouvent dans le sol (bactéries, vers, insectes…)

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30
Q

Un bon sol doit :

A
  1. Contenir des éléments nutritifs (minéraux assimilables par les plantes)
  2. Avoir une texture friable : une texture friable facilite la pénétration des racines dans le sol. Elle permet aussi au sol d’être aéré (et donc de contenir de l’oxygène) ce qui permet la respiration des parties souterraines.
  3. Retenir l’eau entre les pluies : permet l’approvisionnement en eau des plantes. Un sol qui ne retient pas l’eau s’assèche très rapidement après la pluie à travers le sol vers des nappes. Limite le lessivage.
31
Q

La qualité du sol va dépendre :

A
  1. De la taille des particules minérales qui le forment. : 3 types de particules : sable, limon et argile.
  2. De la quantité qu’il contient : un sol riche en humus présente de nombreuses qualités pour la croissance des plantes : permet au sol d’être friable, aéré ; de bien retenir l’eau entre les pluies sans se compacter.
  3. Des êtres vivant qui l’habitent : la transformation de la matière organique en nombreux composés organiques provenant de la dégradation des végétaux et des animaux en décomposition.
32
Q

Les cycles et le rôle du sol :

A

Le sol permet aux plantes d’absorber certains éléments minéraux que les plantes ne peuvent assimiler directement à partir de l’atmosphère : c’est l’exemple de l’azote.
L’exemple du carbone : le sol participe au cycle du carbone par l’injection de CO2 par les racines des plantes.

33
Q

Les sols peuvent avoir une structure :

A
  • En agrégat : forment des particules fines et grossières et forment des ensembles solidaires séparés par des lacunes.
  • Particulière : les particules sont dispersées et les éléments ne sont pas ou peu solidaires entre eux.
34
Q

Les sols peuvent avoir une texture :

A

assemblage de sable limon et argile.
Structure et texture déterminent la porosité totale (% d’espace vide) qui peut être :
- Une macroporosité : pores grossiers qui permettent la circulation de l’eau et des gaz
- Une microporosité : pores de petites tailles qui retiennent l’eau par capillarité. Cette porosité détermine la capacité de rétention du sol. Chaque plante à une capacité de succion.

35
Q

Les sols ont des propriétés chimiques :

A
  • un pouvoir d’absorption : les colloïdes minéraux et organiques qui ont une charge négative et constitue le complexe absorbant et peuvent fixer les cations métalliques (base échangeable) Le complexe absorbant peut être plus ou moins saturé !
  • un ph : dépend de l’état de saturation de complexe absorbant (sup à 7 = saturé en base échangeables ; inf à 7 = complexe absorbant désaturé)
36
Q

Un sol est une superposition de différentes couches appelées horizons qui constitue un profit du sol. On distingue les sols peu évolués de type A/C et les sols évolués de type A/B/C.

A
  • Horizon A : divisé en A1 (horizon de mélange) ; A2 (horizon minéral) il s’agit d’horizon lessivés, éluviaux
  • Horizon B : qui est un horizon d’accumulation ou illuvial
  • Horizon C : qui correspond à la roche mère (géologique ou formation superficielle).
37
Q

4 éléments déterminants pour la caractérisation d’un sol :

A
  • Nature de la roche mère
  • Topographie
  • Climat
  • Végétation
38
Q

2 types d’interactions des animaux :

A
  • Compétition (lutte pour la place ou des sources d’énergie)

- Dépendance (liaisons étroites entre les différents organismes)

39
Q

Les chaînes alimentaires

A

3 niveaux :

  • Les producteurs : ils élaborent de la matière vivante à partir de réactions chimiques, les espèces productrices se font consommer.
  • Les consommateurs : se nourrissent d’autres êtres vivants : -1er ordre : se nourrissent de producteurs (herbivores) -2ème ordre : se nourrissent des consommateurs de 1er ordre (carnassiers se nourrissant d’herbivores). -3ème ordre : se nourrissent des consommateurs de second ordre (carnassiers se nourrissant de carnassiers).
  • Les décomposeurs : se nourrissent des débris organiques et cadavres.
40
Q

Il existe un équilibre au sein des chaînes alimentaires. Cet équilibre est fragile et peut-être modifié par :

A
  • La destruction d’un des éléments de la chaîne alimentaire

- L’introduction d’un nouveau maillon dans la chaîne alimentaire

41
Q

Ces modifications peuvent être :

A
  • naturelles (ex : éruption volcanique, tsunami…) - anthropique (ex : introduction d’une nouvelle espèce dans un milieu naturel, destruction d’une espèce)
42
Q

Les impacts vont se faire sur :

A
  • les autres êtres vivants - les sols - les climats locaux (microclimats)
43
Q

Quelques exemples de l’impact de l’introduction sur la faune et la flore en Australie

A
  • Australie : introduction du bétail donc modification des forêts en cultures ou pâturages, ce qui incite la faune locale (Dingos (chien sauvage) par exemple) à attaquer le bétail mais du coup les agriculteurs les exterminent. Du coup les carnivores d’ordre 2 disparaissent Les kangourous pullulent et dévorent la végétation (naturelle et culture). De plus, l’importation des lapins et leur prolifération accentuent le phénomène de destruction de la végétation. Les sols sont atteints (érosion, piétinement…).
44
Q

Quelques exemples de l’impact de l’introduction sur la faune et la flore en Europe

A

L’importation de l’écrevisse américaine en Europe participe à la destruction des berges des cours d’eau et fait concurrence aux espèces endémiques (écrevisses à pattes blanches : végétarienne ), l’écrevisse américaine provient d’une zone tropicale en Floride c’est une espèce optimisée qui prolifère + rapidement en plus d’être carnivore elle prend donc la niche écologique de l’écrevisse locale (à patte blanche). L’introduction est un processus néfaste de destruction d’un écosystème. En France il y a un problème également proche des canaux : les écrevisses américaines sont terrestres et creusent des terriers dégradent donc les berges. La myxomatose et la disparition des lapins en France. (La myxomatose est une maladie touchant exclusivement les lapins sauvages et domestiques. Elle est causée par un virus et se transmet par l’intermédiaire d’insectes (moustiques, puces, tiques…) ou par les sécrétions (léchage ; lésions cutanées, excréments…) Le taux de mortalité est particulièrement élevé et peut atteindre 99 %.).

45
Q

Le rôle de l’Homme dans les extinctions

A
  • Prélèvement des bébés phoques poilus (contrairement aux adultes non poilus) pour leur fourrure. Le Canada a émis une législation permettant le prélèvement de 3000 bébés/ans.
  • Chasse de l’éléphant : l’intérêt de l’éléphant dans la savane : aération des sols avec leur pédologie, l’éléphant est herbivore (200 à 300 kilos de nourriture consommés ) il y a des graines qui germent dans l’estomac de l’éléphant : germination.
  • Disparition de l’oxygène dans les océans
  • Dégâts de l’huile de de palme
  • Le pb mâles – femelles
  • l’exploitation du sable de bitumineux : détruit la forêt boréale canadienne. Pb écologique : forêt qui a mis du temps à se mettre en place. Dissolution des sols qui polluent les sols. Disparition des saumons – pause pb à l’hibernation des Ours (pb de survie).
46
Q

Localisation climatique des régions arctiques et subarctiques

A
  • Isotherme +10°C pour la moyenne du mois le plus chaud
  • Limite de l’arbre pour Köppen
  • Moins de 60 jours de gel/an
  • Pergélisol continu (permafrost)
47
Q

Climat arctique et subarctique

A
  • Très froid
  • (- 40°C en moyenne et -92°C au pôle sud)
  • Peu de précipitations
  • Albédo fort (réflexion solaire sur le sol
  • Cycle jour/nuit perturbé
  • Haute latitude et altitude
  • Vent violent 200 km/h
  • Pas de neige et cristaux de glace
48
Q

L’Antarctique

A

Il s’agit d’un continent (14 millions de km²) 1900m d’altitude moyenne, maxi 4870m.
L’Antarctique est un Inlandsis, une nappe de glace, un glacier continental très étendu, connu aussi sous le nom plus commun de calotte polaire, Glacier verrou.

49
Q

Evolutions géomorphologiques de la calotte polaire antarctique

A
  • Froid constant donc peu de gélification
  • Vent violent qui modèle les glaces
  • Dynamique érosive des glaciers
  • Bande littorale plus dynamique
50
Q

Biocénose antarctique

A

Flore : Présence de flore uniquement sur les pourtours de Antarctique, limité, il n’y a pas d’arbres mais des plantes basses ou rampantes. Couvert végétale ouvert, lieux essentiellement minéraux.

Faune : Pas d’herbivores, donc pas de carnivores et donc PAS D’OURS POLAIRE en antarctique. Les espèces terrestres emblématiques (manchots, phoques, sterne…)

51
Q

L’arctique

A

C’est un océan, recouvert de glace et entouré de continents. A ne pas confondre avec le Groenland qui est une île.

52
Q

4 types de glaces :

A
  • la banquise dont l’épaisseur varie de 4 à 50 m. Elle est constituée de vieilles glaces permanentes. (eau de mer + glace issue de la compaction de la neige)
  • le pack : glace saisonnière constituée uniquement d’eau de mer gelée à partir de – 2°c.
  • Glace riveraine : eau des cours d’eau (Îles diverses, Groenland…) qui gèle plus facilement au niveau des estuaires et des côtes.
  • Iceberg : bloc de glace d’eau douce dérivant sur la mer et qui se détachent du front des glaciers polaires ou d’une barrière de glace flottante. Morceau d’inlandsis qui dérive.
53
Q

2 grands biomes arctique

A
  • Toundra

- Taïga

54
Q

La toundra

A

écosystème avec une strate végétale unique : une strate basse composée d’herbacées, principalement de lichen, et de sous-frutescentes. Extension : un cercle autour du pôle de plus de 8 millions de km², soit 6% des terres émergées (essentiellement dans l’hémisphère nord).

55
Q

La taïga

A

ou forêt boréale. C’est un vaste foret se situant sous la toundra et qui constitue une ceinture continue forestière. Extension : environ 17 millions de km² soit 15 % des terres émergées

56
Q

La flore de la toundra

A

faible végétation, basse, strates herbacées qui résistent au froid et au vent. On a une flore cryoturbé et un couvert végétal ouvert. On a également une couche A fine qui ne se dégrade pas trop car il n’y a pas d’animaux fouisseurs. Donc une biodiversité faible. C’est une zone colonisée par la végétation que récemment en Provence du sud (des taïgas) qui elle même provient de milieux tempérés (attention les plantes n’ont pas de papattes). Une flore pauvre en termes d’espèces : -pas plus de 300 espèces recensées :
-végétation basse - une majorité d’hémicryptophytes, chaméphytes, mousses, lichens, petits arbrisseaux… -végétation clairsemée

Une biomasse faible mais existante (300-400 kg/ha)

57
Q

La faune de la toundra

A

présences de mammifères qui ne reste pas dans la région en hiver (animaux migrateurs) ils ne restent que pendant la période estivale, les carnivores suivent les herbivores dans une sorte de migration pendulaire. Il y a aussi des animaux qui restent dans la zone et ne migrent pas (exemple : lapin ;renard…etc) ces animaux ont des stratégies de camouflage et vont aussi hiberner. Mammifères: - herbivores dominants. Caribou (plus grande biomasse des herbivores), boeuf musqué, lemmings (cycles de 3-4 ans), lièvre arctique. - carnivores: loup, renard bleu - on trouve aussi: hermine, belette, loutre, vison, carcajou, marmottes, castor… Mammifères: fourrure à grand pouvoir isolant, forme générale qui tend vers la sphère (membre courts, corps arrondi). Oiseaux (surtout des migrateurs): harfang des neiges, oie blanche, eider. Reptiles et amphibiens sont rares. Les insectes piqueurs (moustiques, simulies [“mouches noires”], taons) pullulent en été.

58
Q

4 nuances de climat du biome tempéré

A

-Tempéré océanique
-Tempéré dégradé (continental)
-Tempéré méditerranéen
-Tempéré subtropical humide
Dans l’ensemble ce sont des climats plus ou moins humides.

59
Q

La steppe

A

La steppe est une région d’Asie centrale (prairies, savanes et brousses tempérées). Le terme steppe peut être utilisé génériquement pour désigner ce type de biome. Selon les caractéristiques des espèces ligneuses et leur densité, on parle de steppe arborée, de steppe buissonnante, de steppe épineuse… (Couverture ouverte, semi continentale)
Localisation : Zone centrale des continents aux latitudes tempérées.
Conditions climatiques: -pluviométrie faible à modérée estivale -hiver froid (inf à 0°c) de 3-4 mois minimum. -été chauds (sup. à 15-20°c)

60
Q

La prairie

A

Les prairies, savanes et broussailles tempérées sont des biomes pouvant prendre le nom de steppe, pampa ou veld selon l’endroit où elles se localisent. Le paysage naturel est celui d’une immense étendue d’herbes dont les arbres sont le plus souvent complètement absents, sauf le long des cours d’eau. (couverture fermée)
La faune : Initialement, zone de pâturage de grands troupeaux d’herbivores (chameaux, chevaux, Bisons…). Mais troupeaux décimé par l’homme au 18-19ème siècle.

61
Q

Biome aride

A

Il s’agit du tropical sec. On distingue différents déserts chauds :
-déserts zonaux (autour de 25 à 35° N et S) et liés aux subsidences anticycloniques dues au jet streams.
-déserts d’abri, secteur protégé par une chaîne montagneuse et qui limite la propagation des masses d’air humide.
-déserts continentaux, liés à la diminution de l’humidité des masses d’air qui pénètrent à l’intérieur des continents et qui se déchargent progressivement de leur humidité.
-déserts d’altitude, liés à l’effet orographique des montagnes.
Il existe des déserts mixtes.

62
Q

Climat des zones désertiques

A

Très variable d’un désert à l’autre
De façon générale, les milieux désertiques sont caractérisés par :

  1. des précipitations rares et très irrégulières
  2. Les déserts hyperarides qui reçoivent moins de 50 mm de précipitations en moyenne par an
  3. Les régions arides (déserts) reçoivent moins de 100-150 mm de pluie en moyenne annuelle
  4. Les régions semi-arides (centre et ouest de l’Australie, etc.)
  5. les rosées matinales y constituent souvent la seule ressource en eau en surface pour les espèces vivantes présentes.
  6. un ensoleillement très important (plus de 3500h)
  7. une évaporation plus importante que les précipitations (ETP sup ETR).
  8. une forte amplitude thermique entre les températures diurnes et nocturnes (parfois 40 à 50 c). Les desserts sont souvent en altitude.
  9. Présence de vents pouvant souffler forts (importance pour la géomorphologie des déserts)
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Q

La faune du désert

A
  • Une faune abondante malgré le conditions climatiques.
  • Da adaptations fortes des animaux
  • Des chaînes alimentaires complète
  • Une faune qui a subit de très fortes atteintes liés aux prélèvements humains au cours des derniers 4000 ans.
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Q

Le biome de savane

A

La savane proprement dite est une formation végétale composée de plantes herbacées vivaces de la famille des Poacées (Graminées). Elle est plus ou moins parsemée d’arbres ou d’arbustes. Pluviométrie assez importante ce qui est le facteur d’apparition d’arbres et d’arbustes donc de forêt. La savane est présente sur la totalité des continents.
Localisation : Entre la zone équatoriale humide et les régions du désert subtropical (Sahel (sud du Sahara), dans de grandes régions de l’Inde , centre du Brésil et certains régions du nord de l’Australie.
Caractéristiques générales : une seule saison de pluie courte alors que le reste de l’année est sec. La végétation est essentiellement de broussailles et de prairies, qui fleurissent pendant la période pluvieuse, et meurent pendant la saison sèche prolongée.

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Q

Climat savane

A

Le Climat tropical de savane est un climat tropical sec dont les moyennes mensuelles de température sont au-dessus de 18 ºC tous les mois de l’année et qui possède une saison sèche prononcée, avec les mois les plus secs ayant moins de 60 mm de précipitations.
La Classification de Köppen retient deux sortes de climat tropicale de savane différent noté Aw et As. Le climat Aw permet des forêts denses, claires ; des formations arbustives ou buissonneuses ; des savanes subhumides ou xéromorphes.

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Q

Différent type de savanes

A
  • herbeuse ou herbacée
  • arbustive
  • arborée
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Q

Les sols de savane

A
  • sol peu épais : type A/C à cause de la saison sèche
  • mauvaise rétention en eau : forte évaporation des saisons sèches
  • Peu de matière organique : pas d’animaux fouisseurs à cause de la température du sol
  • sols ferrugineux rouges avec des oxydes de fer et du manganèse, l’évaporation du sol fait remonter le sels minéraux qui colore le sol : se forme alors des croûtes ferrugineuse voir salée qui indure le sol et limite la végétation. Les croûtes se nomment cuirasses. Les terres rougeâtre de savane se nomment les latérites sont due à l’oxydation du fer et de l’aluminium.
  • les sols à horizon de concrétion ou latéritiques avec une cuirasse en profondeur, qui peut réapparaître en cas d’érosion et qui donne le bowal -les sols noirs où la matière organique est mélangée à l’argile là où le drainage est médiocre ( en particulier dans le Dekkan indien).
    Les savanes sont : -soit liées à la faiblesse des sols  savane primaire -soit à la destruction des forêts claires par l’homme (culture sur brulis, surpâturage…)  savane secondaire
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Q

Animaux de la savane

A

La faune des savanes comprend beaucoup de grands herbivores qui vivent en troupeaux surtout en Afrique (antilope, gazelle, zèbre, girafe, éléphant) et des carnivores (lion, léopard, guépard). Des oiseaux coureurs (autruche en Afrique, le nandou en Amérique et l’Emeu en Australie) et des insectes (faune africaine de ces insectes est la plus riche du monde), termites, blattes.

69
Q

Les forêt sèches

A

La forêt sèche ou tropophile : les forêts tropicales et subtropicales sèches où la végétation de type caduque est omniprésente lors de la saison sèche. Ces forêts occupent actuellement 11,5 millions de km2, le feu qui transforme la végétation en savane est la principale menace pour ce biome. Ce biome est notamment marqué par un déficit en eau et les végétaux en sont également marqués. Ce sont également des zones sensibles à la déforestation.

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Q

Climat de la forêt sèche

A

Les caractéristiques climatiques principales :
•climat intertropical à saisons alternées (une saison sèche et une saison des pluies).
• La saison sèche en hiver dans l’hémisphère nord, en été dans l’hémisphère sud (de 4 à 9 mois).
• Les précipitations annuelles atteignent en moyenne 1000 à 2000 mm de pluie selon les régions.
• La température annuelle est soumise à de faibles variations de températures, son amplitude est de 510°c et sa moyenne est de l’ordre de 25-30°c.

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Q

La forêt claire

A

On parle de forêt claire ou open Forest
La période sèche est longue (+ de 7-9 mois/an)
• Une strate arborée importante mais ouverte
• Une strate buissonnante peu importante
• Une strate herbacée qui devient conséquente en raison de l’ouverture de la strate arborée. sensibilité aux feux de forêt mais résistante aux sécheresse.
• Les plantes sont xérophiles, caduques et de petite dimension

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Q

La forêt dense sèche

A

On parle de forêt dense sèche ou foret tropophile ou dry deciduous forest . La période sèche est de 5-6 mois et des précipitations supérieures à 1 m.
•Une strate arborée importante presque fermée, caducifoliée.
• Une strate buissonnante caducifoliée.
• Une strate herbacée ouverte en touffes éparses, discontinue.
(exemple de la forêt du Mozambique)

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Q

La forêt dense mixte

A

La période sèche est de quelques mois (1 à 4 mois).
Plus il y a de mois sec (inf à 50mm/mois), plus il y a d’arbres à feuilles caduques dans la strate arborée, mais encore une majorité de plantes sempervirentes avec adaptation xéromorphes.
Strate inférieure contient beaucoup de géophytes et des plantes sciaphiles.
Les arbres sont enracinés superficiellement (eau abondante en surface).