Géographie universelle Flashcards

1
Q

Geo universelle

A

Description de tous les lieux du globe intéressant sous le rapport de la géographie physique et humaine réalisées par une société de géographes.

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Q

mouvement de la Terre

A

La Terre est l’une des principales planètes qui composent le système solaire, elles se meuvent autour du soleil, y reçoivent sa lumière et sa chaleur. En même temps de tourner autour du soleil, la Terre tourne également sur elle-même en 24 heures c’est-à-dire en 1 jour et 1 nuit, cette révolution qu’elle effectue sur elle-même 365 fois en décrivant une circonférence autour du soleil est appelé « année ».

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3
Q

Axes et pôles

A

Le mouvement de la terre sur elle-même s’exécute autour d’une ligne imaginaire qui la traverse d’outre en outre, et que l’on appelle « axe ». Les deux extrémités de ces lignes se nomment « pôles ». L’un se nomment arctique et l’autre antarctique.

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4
Q

Forme de la Terre, horizons et point cardinaux

A

La Terre est de forme sphérique ou ronde, les chaînes de montagnes qui hérissent une partie de sa surface ne l’altère pas. Il existe une multitude de preuves qui prouvent la courbure de la planète, la plus perceptible pour l’Homme est l’horizon, le déplacement des étoiles et enfin la succession du jour et de la nuit. L’horizon est le cercle qui bornent notre vue tout autour de nous. Pour déterminer la position relative des différents lieux de la terre ou du ciel relativement à l’horizon on imaginer d’indiquer sur ce grand cercle 4 points cardinaux le Nord, le Sud, l’Est et l’Ouest. Cependant la Terre n’est pas exactement ronde, elle est aplatie aux pôles.

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5
Q

Cercles imaginaires tracés sur le globe

A

On a tracé des cercles sur la surface du globe pour s’y reconnaître plus facilement, elles partagent le ciel. Il y a l’équateur et le méridien L’équateur est le point équinoxial, dont tous les points sont égaux de l’un et de l’autre pôle et divise la Terre en deux parties égales : hémisphère boréal nord et hémisphère austral sud.
Le méridien passe par les deux pôles et coupe perpendiculairement l’équateur et divise aussi la Terre en deux parties : l’une orientale et l’autre occidentale. Mais le méridien n’est pas unique, on peut supposer autant de méridiens qu’il existe de points différents sur l’équateur.
Parmi les petits cercles ou parallèles à l’équateur on distingue le tropique du Cancer, le Tropique du Capricorne et les cercle polaire Arctique et Antarctique.

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6
Q

Latitude et longitude

A

Par coordonnées géographiques (ou encore « repères géographiques ») d’un lieu sur la Terre, on entend un système de trois coordonnées qui sont le plus souvent : la latitude, longitude et l’altitude.

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7
Q

Latitude

A

Distance angulaire à l’équateur comptée vers le nord ou vers le sud, dans un système de coordonnées sphériques.

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8
Q

longitude

A

Distance angulaire, comptée sur l’équateur ou sur un cercle parallèle, vers l’est ou vers l’ouest, à partir d’un méridien origine, dans un système de coordonnées sphériques. À la différence de la latitude (position nord ou sud) qui bénéficie de l’equateur et des pôles comme références, aucune référence naturelle n’existe pour la longitude.

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9
Q

Les saisons

A

Si l’équateur recevait toujours les rayons perpendiculaires du soleil, les diverses contrées du globe aurait toutes les mêmes saisons et les jours et les nuits aurait une durée égale. Mais l’axe terrestre est incliné, il résulte de ce mouvement qu’il y a dans l’année deux époques ou les pôles sont également éloignées du soleil, et deux autres époques ou l’un d’eux est plus près de cet astre, c’est là ce qui produit les saisons.
Une saison est une période de l’année qui observe une relative constance du climat et de la température. Les saisons sont découpées de plusieurs manières selon la position géographique et les cultures. En général, en Occident, dans les zones de climat tempéré, les saisons astronomiques correspondent grossièrement à quatre phases d’évolution du climat dans l’année : printemps, été, automne et hiver. Parfois, on qualifie de saisons pleines l’été et l’hiver, et de mi-saisons le printemps et l’automne. Malgré cela, les quatre saisons sont divisées en longueur équivalentes de trois mois, soit la période de temps approximative qui sépare un solstice d’un équinoxe ou vice-versa. Dans les zones de climat tropical, on parle également de saisons, mais dans le sens de saison des pluies et de saison sèche, alors qu’aux pôles, on parle plutôt de jour et de nuit polaires. Les saisons jouent un rôle déterminant sur la faune et la flore terrestres et, conséquemment, sur l’activité et la culture humaines.

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10
Q

Les zones

A

L’équateur, les tropiques et les cercles polaires divisent la Terre en cinq grandes zones. La zone torride est celle qui s’étend entre les deux tropiques, les deux zones tempérées sont comprises entre les tropiques et les cercles polaires, les deux zones glaciales occupent tout ce qui est au nord du cercle polaire Arctique et au sud du cercle polaire Antarctique.

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11
Q

Climats

A

Le climat est la distribution statistique des conditions de l’atmosphère terrestre dans une région donnée pendant une période donnée. L’étude du climat est la climatologie. Elle se distingue de la météorologie qui désigne l’étude du temps à court terme et dans des zones ponctuelles.
La caractérisation du climat est effectuée à partir de mesures statistiques annuelles et mensuelles sur des données atmosphériques locales : température, pression atmosphérique, précipitations, ensoleillement, humidité, vitesse du vent. Sont également pris en compte leur récurrence ainsi que les phénomènes exceptionnels. Ces analyses permettent de classer les climats des différentes régions du monde selon leurs caractéristiques principales.
Le climat a varié fortement au cours de l’histoire de la Terre sous l’influence de nombreux phénomènes astronomiques, géologiques, etc. Et plus récemment sous l’effet des activités humaines (réchauffement climatique).

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12
Q

Fonctionnement du système climatique

A

Les océans représentent le principal réservoir de la chaleur capturée et de l’humidité. La circulation océanique, que l’on appelle aussi circulation thermohaline parce qu’elle est causée à la fois par des différences de températures et par différences de salinité, redistribue la chaleur des régions chaudes vers les régions froides3.
Le rayonnement solaire se distribue inégalement à la surface de la Terre. Les basses latitudes, autour de l’équateur, reçoivent davantage de rayonnement que les hautes latitudes, proches des pôles Nord et Sud. L’océan n’absorbe (ou ne réfléchit) pas le rayonnement solaire incident de la même manière que les surfaces continentales. Les écarts de température importants entre régions polaires et zone intertropicale induisent à leur tour des mouvements de l’air (vents) et de l’océan (courants marins).
Les surfaces océaniques et continentales sont soumises à une forte évaporation qui alimente un cycle hydrologique. La vapeur d’eau s’élève dans l’atmosphère, se condense en altitude, est transportée par les vents, et précipite sous forme de pluie ou de neige. La rotation de la Terre induit une accélération des vents (force de Coriolis) qui sont déviés vers la droite, dans l’hémisphère nord, et vers la gauche, dans l’hémisphère sud.
Ce phénomène donne naissance aux vents alizés, dans la zone intertropicale, et à d’immenses tourbillons (les anticyclones de l’hémisphère nord). De vastes cellules de circulation générale ceinturent la Terre : elles contribuent à redistribuer la vapeur d’eau excédentaire des régions de basses latitudes vers les zones extratropicales, et elles assèchent les régions désertiques aux latitudes subtropicales (cellules de Hadley).

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13
Q

Famille de climats

A

Il existe de nombreuses méthodes de classification des climats, elles dépendent des données observées et leur choix est fonction des buts recherchés par les observateurs. Une des plus connue est la classification de Köppen :

  • Climat équatorial
  • Climat tropicaux humides
  • Climat désertique
  • Climats subtropicaux
  • Climats dits tempérés
  • Climats subarctiques
  • Climats polaires
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14
Q

Continent

A

grands espaces de terres non-interrompus.

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15
Q

Île

A

portion de terres environnées d’eau de toutes parts.

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16
Q

Archipels

A

Groupement d’îles

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17
Q

Îlot

A

îles les plus petites.

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18
Q

Banc de sable

A

espaces sablonneux et fréquemment recouvertes par les eaux marines.

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19
Q

Presqu’île ou péninsule

A

portion de terre entièrement environnée d’eau et jointe au continent ou à l’île qu’elle dépend que par un seul côté, la portion de terre se nomme isthme.

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20
Q

Côte

A

parties des continents et des îles baignées par la mer

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21
Q

Falaise

A

rocher taillés à pic bordant et s’enfoncent dans la mer et soumis aux processus d’érosions.

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22
Q

Plaine

A

Une plaine est une forme particulière de relief, c’est un espace géographique caractérisé par une surface plane, avec des pentes relativement faibles. Elle se trouve à basse altitude. Une plaine est dominée par les reliefs environnants. L’ancienne acception du mot, jusqu’au XVIIIe siècle, était plus large : une plaine était tout espace plat, qu’il soit à basse altitude ou non. Un plateau était donc une plaine1.

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23
Q

Plateau

A

Le plateau est une des trois formes principales de relief topographique. C’est une aire géographique d’altitude plus ou moins élevée, où les cours d’eau sont encaissés (contrairement aux plaines). Les interfluves sont peu marqués (à la différence des montagnes).La dénivellation entre le cours d’eau et le rebord du plateau peut être si profonde que le complexe des vallées et vallons est alors appelé gorges ou canyon.Les limites du plateau sont des zones de changement de relief ou d’altitude, elles peuvent être marquées par des escarpements abrupts ou des pentes, ces espaces sont appelés talus en topographie.

24
Q

Vallée

A

Une vallée est une dépression géographique généralement de forme allongée et façonnée dans le relief par un cours d’eau (vallée fluviale) ou un glacier (vallée glaciaire). Un espace en forme de vallée mais de taille modeste est appelé vallon1. On parle parfois aussi de creuses, notamment dans le nord de la France, pour désigner des entailles plus modestes perpendiculaires aux vallées, dans les versants.

25
Q

Oasis

A

désigne, en géographie, une zone de végétation isolée dans un désert, créée et entretenue par l’homme. On la trouve à proximité d’une source d’eau, lorsqu’une nappe phréatique est suffisamment proche de la surface du sol ou encore parfois sur le lit d’une rivière venant se perdre dans le désert.

26
Q

Crêtes

A

En géomorphologie, une crête est une ligne de points hauts d’un relief séparant deux versants opposés.

27
Q

Eaux courantes

A

La pluie tombe à la surface du sol au travers des terrains perméables et se creuse un chemin jusqu’à rencontrer une roche. Elle suit alors les sinuosités qui lui permettront de la ramener au-dehors et forme en reparaissent les eaux vives que l’on appelle source.
Ces sources sont plus abondantes dans les montagnes que dans les plaines parce que les montagnes attirent et absorbent les vapeurs flottant dans l’air et se résolvent en eaux. Les sources qui se réunissent forment des ruisseaux, les ruisseaux se regroupe en rivière, puis les rivières se rassemblent dans un lit plus profond en fleuve.

28
Q

Fleuve

A

courant considérable qui porte à la mer toutes les eaux réunies des sources.

29
Q

Torrent

A

cours d’eau momentané qui résulte de la chute abondante des pluies ou de la fonte des neiges et coule dans les vallées fortement inclinées.

30
Q

Thalweg

A

correspond à la ligne qui rejoint les points les plus bas soit d’une vallée, soit du lit d’un cours d’eau.

31
Q

Ligne de partage des eaux

A

La ligne de partage des eaux est une limite géographique qui divise un territoire en un ou plusieurs bassins versants. Elle est proche mais pas confondue avec les lignes de crêtes ; des couches géologiques profondes et imperméables peuvent en effet diriger l’eau dans une vallée séparée par une ligne de crête de la vallée où cette pluie est tombée. La ligne de partage des eaux sert souvent de base juridique à la délimitation de frontières dans les zones montagneuses.

32
Q

Confluent

A

endroit ou deux cours d’eaux se réunissent.

33
Q

Affluent

A

divers cours d’eaux que les fleuves ou rivières reçoivent.

34
Q

Embouchures/bouches

A

endroit ou se déversent des cours d’eau dans la mer.

35
Q

Les formes de déferlement aqueux

A

Lorsque le niveau de l’eau d’un cours d’eau change brusquement, cela donne lieu à une déferlante aqueuse violente qui peut avoir plusieurs formes : cataracte, cascade, chute ou rapide.

36
Q

Eaux stagnantes

A

Quand les eaux se trouvent dans un fond susceptible d’en contenir une assez grande quantité, elle forme un amas qu’on appelle lac s’il est considérable, marais si il est très peu profond et étang si il occupe un tout petit espace. Les lacs ont une liaison avec la mer par un petit cours d’eau, cependant quelqu’un est le dernier réceptacle des rivières et des fleuves qui se jettent en son sein, l’évaporation suffit pour enlever l’excédent d’eau, les lacs sont souvent salés et du fait de leurs étendu ont peut parfois les appeler « mer ».

37
Q

Espèces de terrain

A

La croûte solide du globe se composent de différentes couches de différentes natures qui constituent diverses espèces de terrain, dont l’étude forme une science appelé géologie. Les couches inférieures vierges de tout fossile de végétaux ou animaux forment les terrains primitifs. Ils se composent de pierres très dures connues sous le nom de granits, marbres statuaires etc…
Les terrains qui se trouvent au-dessus des primitifs renferment une grande quantité de vestiges d’animaux et végétaux et sont les terrains secondaires ; ils fournissent les ardoises, le calcaire, le plâtre et la plupart des marbres colorées.
Ensuite viennent les terrains tertiaires, qui se composent de grands bancs de galets et de sables et de graviers.
On retrouve aussi les terrains volcaniques à proximité direct des volcans composés exclusivement de roches volcaniques rejetées par le volcan.

38
Q

Substances qui composent les terrains

A

La science qui examine et décrit les diverses substances qui composent les espèces de terrains se nomme minéralogie. Toutes ces substances se réduisent à 4 classes principales :
1. Substance terreuse : écorce solide du globe.
2. Substance acidifère : sels, marbre etc…
3. Combustibles : charbon de terre, tourbe, bitume, souffre, diamant.
4. Les métaux : il en existe 28 sortes, les principaux : le platine (plus lourd de tous les métaux), l’or, l’argent, le fer, le cuivre, le mercure, le plomb, l’étain, le zinc, et l’antimoine.
Les métaux se trouvent dans le sein de la Terre sous la forme de filons, d’amas ou de couches, et gisent dans les fentes ou cavités, au milieu de substances d’une nature différente. En coulant à l’intérieur des terres, les eaux se chargent de plusieurs substances qu’elles remontent à la surface avec elles. Celles qui traversent des couches salines, sulfureuses ou ferrugineuse sont appelés eaux minérales, elles sont souvent chaudes et prennent le surnom de thermales. En effet plus l’on s’approche du centre de la Terre et plus la température augmente.

39
Q

Superficie des surfaces acqueuses terrestre

A

Les mers occupent à peu près les 2/3 de la surface du globe, cette prodigieuse étendue d’eau dont la plus grande partie se trouve dans l’hémisphère austral est réunie en une seule masse que l’on nomme océan. Toute portion considérable d’océan borné par plus d’un côté par les terres prend le nom de mer, et si elle est complétement bornée de terre on la nomme mer intérieure.
Les eaux marines forment en pénétrant dans les terres des enfoncements qui ne sont pas assez étendus pour mériter le titre de mer, on les nomme alors les golfes.

40
Q

Lit des mers

A

Le lit des mers présente la même irrégularité que les continents, il est diversifié par des rochers, des hauteurs, des plaines et des cavités profondes. Les îles, les écueils et les bancs de sables doivent être considérés comme les sommets des montagnes qui sillonnent le lit de l’océan. Les endroits ou la surface s’élève peu au-dessus de ces éminences sont des bas-fonds.

41
Q

Estuaire

A

Un estuaire est la portion de l’embouchure d’un fleuve où l’effet de la mer ou de l’océan dans lequel il se jette est perceptible.

42
Q

Anse

A

enfoncement d’une portion d’eau dans les terres, petite baie.

43
Q

Rade

A

espace de mer compris entre deux portions de côte. Et situé de manière que les vaisseaux puissent y jeter l’ancre en étant protéger des vents.

44
Q

Port

A

Un port est une infrastructure construite par l’homme, située sur le littoral maritime, sur les berges d’un lac ou sur un cours d’eau, et destinée à accueillir des bateaux et navires. Des ports naturels crée par la nature existe.

45
Q

Detroit/ canal

A

portion de mer resserré entre deux parties de terre.

46
Q

Salure des mers.

A

Le caractère distinctif des eaux marines est la salure. Moindre que les mers environnées de terres dont les sources approvisionnent le bassin en eaux douces. La salure rend l’eau marine plus pesante que l’eau ordinaire. L’origine de la salure remontent à la naissance de la planète lorsque les volcans rejetait une grande quantité de gaz et de souffre dans les océans, puis jusqu’à aujourd’hui, les fleuves et rivière alimentent constamment les mers en sels tandis que le sel des mers et également consommé par des organismes vivant, il y a donc un équilibre.

47
Q

profondeur des mers.

A

La profondeur moyenne des mers est d’environ 3 800m. Le terme abysse désigne l’ensemble des zones très profondes d’un océan. Comme les caractéristiques environnementales de ces zones sont partout les mêmes, on utilise pour les dénommer globalement le terme abysses au pluriel. Aussi appelés grands fonds océaniques ou grandes profondeurs, les abysses occupent les deux tiers de la planète terre. Au singulier, un abysse correspond à un point de profondeur extrême, comme la fosse des Mariannes qui est l’abysse le plus profond connu (11 000 m).

48
Q

Les différentes zones de profondeurs des mers.

A
  • la zone littorale : de 0 à 200 m de profondeur
  • la zone mésale :de 200 à 1000 m
  • la zone bathyale :de 1000 à 4000 m
  • la zone abyssale : de 4000 à 6000 m
  • la zone hadale : de 6000 m aux fosses les plus profondes (fosse des Mariannes dans l’Océan Pacifique dont le point le plus bas se situe selon les relevés entre un peu moins de 11 500 m mètres (Challenger Deep) et un peu plus de 11 000 m mètres de profondeur). On compte un total de 46 zones hadales dans le monde, dont 33 fosses ; au moins 5 de ces fosses océaniques dépassent les 10 km de profondeur. La zone hadale constitue donc moins de 0,2 % de la surface des océans, mais 45 % de sa profondeur totale.
49
Q

Températures des mers

A

Les deux zones de changement les plus brutales de température sont la zone de transition entre les eaux de surface et les eaux profondes (la thermocline ou l’entre deux eaux) et la transition entre les grands fonds marins et l’eau chaude des sources hydrothermales. Les thermoclines sont plus fortes dans les régions tropicales, où la température de la zone épipélagique est généralement supérieure à 20 ° C.

50
Q

Mouvement des eaux de la mer

A

La mer est soumise à plusieurs mouvement. Les uns causés par l’impulsion des vents, et agitent seulement la surface des eaux : on les nomme mouvements atmosphériques, et agitent seulement la surface des eaux.
D’autres affectent quelques portions de la masse de l’océan ce sont les courants. D’autres affectent cette masse tout entière ce sont les marées.

51
Q

Mouvements atmosphériques

A

Des vents violents et inégaux font naître sur la surface liquide, des ondes, des vagues, des flots qui s’élèvent en montagne écumantes, et se brisent les uns contre les autres. Après s’être brisée contre le rivage, elles rétrogradent et causent le ressac.

52
Q

Courants

A

Les courants sont des grands mouvements qui portent les eaux de la mer dans une certaines direction divisés en généraux et particuliers. Il existe deux courants généraux : le courant polaire qui porte les eaux des pôles vers l’équateur. Le courant équinoxiale qui porte les eaux de l’équateur d’est en ouest entre les tropiques dans un sens contraire a celui de la rotation du globe. Lorsque deux courants opposés se rencontrent cela forme un gouffre. Il existe des courants qui se chevauchent sans se toucher on les appelés les contre-courants.

53
Q

Marées

A

La marée est la variation de la hauteur du niveau des mers et des océans, causée par des forces gravitationnelles dues à la Lune et au Soleil et une force d’inertie due à la révolution de la Terre autour du centre de gravité du couple Terre-Lune, le tout conjugué à la rotation de la terre sur son axe. Le courant de marée montante se nomme flux ou flot, le courant de marée descendante se nomme reflux.Les marées sont fortes dans les mers vastes et libre tandis que dans les mers intérieures ne sont à peine sensible.

54
Q

Atmosphère

A

L’atmosphère est le fluide léger et transparent qui entoure le globe, il se compose d’air et de vapeurs. L’air forme la plus grande partie de l’atmosphère. L’air est un mélange de plusieurs gaz : 21% dioxygène, 78% diazote et 1% autres gaz.

55
Q

Le vent

A

Le vent est le mouvement au sein d’une atmosphère, masse de gaz située à la surface d’une planète, d’une partie de ce gaz. Les vents sont globalement provoqués par un réchauffement inégalement réparti à la surface de la planète provenant du rayonnement stellaire (énergie solaire), et par la rotation de la planète. Sur Terre, ce déplacement est essentiel à l’explication de tous les phénomènes météorologiques.

56
Q

La pluie

A

La pluie est un phénomène naturel par lequel des gouttes d’eau tombent des nuages vers le sol. Il s’agit d’une des formes les plus communes de précipitations sur Terre. Son rôle est prépondérant dans le cycle de l’eau. Elle prend nombre de formes allant de la pluie légère au déluge, de l’averse à la pluie continue, de fines gouttelettes à de très grosses. Elle est parfois mêlée de neige, de grêlons ou verglaçante.