Géographie urbaine Flashcards

1
Q

Mégalopole

A

Terme forgé sur des racines grecques, d’abord appliqué à la Megalopolis nord-américaine par J. Gottmann en 1961. La Megalopolis qualifie à l’origine la conurbation s’étendant le long de la côte atlantique de Boston à Washington. On distingue habituellement deux autres megalopolis dans le monde, au Japon et en Europe. Le terme désigne des ensembles urbains reliés fonctionnellement (réseaux de transports, communications). La mégalopole se distingue d’une conurbation par ses dimensions spatiales et son poids démographique. Par ailleurs, l’urbanisation n’y est pas forcément continue : elle peut inclure des espaces ruraux, naturels (forêts, zones humides), des poches de marginalité.
À la différence de la métropole, la mégalopole ne relève plus d’une gestion locale, de proximité.

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2
Q

Métropole

A

La métropole est avant tout un ensemble urbain de grande importance qui exerce des fonctions de commandement, d’organisation et d’impulsion sur une région et qui permet son intégration avec le reste du monde. Elle anime un système urbain plus ou moins complexe à la hiérarchisation emboîtée. Elle peut être dotée de fonctions spécialisées dans les domaines politique, économique, de l’innovation. Ses services à forte valeur ajoutée irriguent une aire plus ou moins vaste selon les échelles considérées, de l’espace régional à l’espace mondial. Une métropole de rang global, international, ne pourra être définie, analysée comme une simple métropole régionale.

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3
Q

Les Facteurs d’urbanisations

A
  • révolution industrielle et/ou dvp de l’industrie
  • trente glorieuses
  • développement du transport de flux
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4
Q

Urbanisation

A

processus spatio-temporelle de dvp des villes que l’on mesure en un temps T à un moment donné c’est un état du fait urbain que l’on mesure grâce à la part de population, le taux d’urbanisation, le nb de villes, la densité de la ville, forme hiérarchique urbaine, configuration de la trame. Ce processus est observable à plusieurs échelles. C’est un processus qui peut transformer un espace rural en espace urbain.

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5
Q

Introduction - l’urbanisation du monde

A

La formidable poussée d’urbanisation du xxie
siècle est prévisible dans son ampleur,
mais elle l’est moins dans ses multiples expressions territoriales. Ces prévisions pourraient
pourtant être une aide précieuse à la planification et à la gestion du développement urbain.
Aussi, pour mieux orienter les politiques urbaines vers un développement durable, il est
nécessaire de prévoir et de prédire les dynamiques d’urbanisation, et, avant tout, de les
comprendre. La croissance des villes est donc au centre des préoccupations des grandes
institutions intergouvernementales et fait l’objet d’un grand nombre de programmes de
recherche.

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6
Q

Echelle de système de villes pour comprendre les dynamiques urbaines

A

Parmi ces travaux, l’approche géographique du fait urbain est originale. La science
géographique est en effet une des seules disciplines à prôner une étude du fait urbain
en tant que système à plusieurs niveaux d’observation.
L’étude des systèmes de villes (ou systèmes urbains) met l’accent sur les aspects relationnels, les interactions et interdépendances entre les villes d’un réseau urbain. Les villes, organisées en systèmes, mettent en jeu différents types de relations :
- relations fonctionnelles (échanges physiques d’informations, de marchandises, de personnes),
- relations hiérarchiques (commandements emboîtés ou sécants, fonctions d’encadrement des territoires),
- relations de concurrences et/ou de synergies.

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7
Q

Loi de ZIPF

A

Du nom de celui qui l’a énoncée en 1949 (G.K. Zipf), cette règle de distribution rang/taille appliquée aux villes consiste à les classer en fonction du rang de leur population. La relation qui s’établit entre la population de chaque ville et son rang hiérarchique dans un classement par nombre d’habitants serait une constante : ainsi, la première ville est plus peuplée que la deuxième dans un rapport qui serait universel dans le temps et dans l’espace, tout comme le rapport entre la deuxième et la troisième, etc. Dans un repère à double échelle logarithmique, en x et en y, la courbe de l’ensemble des points représentant la population et le rang des villes suit une droite d’ajustement. Tout écart (résidu) significatif peut être considéré comme une anomalie et pose la question du pourquoi ? Lorsque la première ville se détache clairement au-dessus de la droite (comme c’est le cas en France avec Paris), on estime être en présence d’une macrocéphalie urbaine.

Au demeurant, à l’heure de la globalisation des économies, de la métropolisation, cette approche quantitative et démographique des hiérarchies urbaines n’est pas forcément très heuristique. Elle permet cependant d’établir des comparaisons entre systèmes urbains.

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8
Q

vocabulaire de géo urbaine

A
  • phase
  • rythme
  • transition
  • co-évolution des villes
  • villes verticale/horizontale
  • dynamique urbaine
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9
Q

Citation de Pierre Veilz

A

“Les liens sont plus important que les lieux”

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10
Q

1954

A

Nouvelle définition de la ville par l’INSEE

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11
Q

Étalement urbain

A

L’étalement urbain est une expression désignant le phénomène de développement des surfaces urbanisées sur la périphérie des villes de façon plus rapide que la croissance démographique. On parle aussi de périurbanisation qui désigne un processus de développement périphérique des agglomérations par un desserrement des populations et des activités, et une densification de l’espace rural autour des agglomérations par un appui sur les noyaux habités préexistants (villages, bourgs) ainsi que sur les grands axes de communication. La périurbanisation peut être considérée comme un processus qui accompagne l’étalement urbain.

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12
Q

L’enjeux de l’aménagement du territoire ?

A

Savoir quel est la ville idéal. (à développer)

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13
Q

Vecteur et conséquence de l’étalement

A

L’automobile favorise l’étalement, les conséquences sont : la pollution, grignotage des terres agricoles, d’adapter les services à ces zones éloignées, coût économiques et écologiques fort.

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14
Q

Pourquoi a-t-on du mal à aménager la ville en France ?

A

Le patrimoine est riche et omniprésent à la différence des grandes villes américaine.

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15
Q

Les différents axe de définitions de la ville

A
  • spatial
  • fonctionnelle
  • morphologique
  • morpho-fonctionnelle
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16
Q

Analyse micro géographique et macro géographique

A

Prendre en compte ces deux échelles permet de comprendre l’analyse du fait urbain, il y a un ensemble de théorie à connaître. Ce sont deux niveau d’organisation de l’espace géographique des sociétés.

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17
Q

Système de villes

A

ensemble d’unités urbaines et entités urbaines dont les évolutions sont interdépendantes c’est à dire qu’elles connaissent un développement cohérent, par les multiples interactions (échange économique, transport, etc) Elles correspondent le plus souvent aux territoires des Etats mais de plus en plus ces échelles de villes peuvent s’appréhender de manière supranationale parce que les échanges entre elles sont importants.

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18
Q

Les différentes échelles spatio-temporelles

A
  • micro géographique
  • méso géographique
  • macro géographique
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19
Q

Déf statistique de la ville

A

Groupement permanent de population. Sur un espace restreint en fonction du site (emplacement naturel) par rapport à un environnement proche.

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20
Q

Comment est naît la ville ?

A

La ville est une forte densité de l’agrégat, il y a une permanence du bâti et la ville ne peut produire tout ce dont elle a besoin pour subsister. Elle n’a pas la même fonction qu’un terrain agricole du coup elle est un lieu d’échange entre offres et demandes, biens et services. C’est une collectivité qui s’organise, sa survie dépend des échanges (biens et services manufacturés).

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21
Q

Activité d’une ville

A

La ville développe les activités 2e et 3e mais possède une division du travail très complexe. Elle diversifie ses activités, on peut constater que les échanges ville - campagne est inégale, mais pourquoi ? Parce que les produits manufacturés sont supérieurs aux produits agricoles. Villes sont les centres elles s’accompagne d’un privilège territoriale (organismes autoritaires) c’est un lieu d’exercice du pouvoir qui exprime sa domination : modèle centre-périphérie. La ville exerce des fonctions sur un espace, c’est elle qui centralise/ polarise les échanges. A la différence des bourgs et des villages qui tirent profit de leurs site, elles tirent profit de leurs situation/ position pour se différencier des autres villes ‘elles n’auront pas les mêmes dynamiques). Aucune ville isolé sur un territoire, toutes villes dépend d’un réseau, toutes villes est un nœud dans un système de peuplement qui évolue de façon cohérente en phase avec les autres.

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22
Q

Macrocéphalie urbaine

A

En géographie, le concept de macrocéphalie s’applique de façon figurée à la configuration d’un espace largement dominé par un pôle unique concentrant population, activités et fonctions au point de freiner voire d’empêcher l’affirmation de pôles secondaires.

Le poids de la métropole parisienne à l’échelle de la France est un exemple typique de macrocéphalie, la France étant un des rares pays d’Europe occidentale dont le système urbain est macrocéphale.

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23
Q

Ambiance architecturale et urbaine

A

Désigne une atmosphère ou un climat qui est censé représenter un habillage de la réalité, d’un point de vue critique cette analyse est perçue
comme illusoire car elle est un masque de la représentation. Cette notion peut être porteuse de 3 enjeux :
- hybridation des méthodes d’analyse de l’espace entre les types de natures différentes

  • le renouvellement de la théorie architecturale à travers le développement de concepts transdisciplinaires opératoires.
  • la mutation de la pratique de projet architectural et urbain à travers l’invention et l’expérimentation de nouvelles modalités d’interaction
    entre deux logiques incommensurables : celle de l’analyse et celle du projet.
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24
Q

Aménagement

A

Une des différentes disciplines de la géographie, désigne un ensemble de savoirs et de savoir-faire dont la construction et l’application servent à
transformer et adapter volontairement
des espaces d’échelles et de types variés au bénéfice des sociétés qui les produisent et les occupent. Consiste principalement en France à structurer
le territoire par la réalisation de grands réseaux de transports, routiers et fluviaux à partir des relevés cartographiques

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25
Q

Urbanisme

A

Une ville le milieu urbain, est à la fois un milieu physique et humain ou se concentre une population qui organise son espace en
fonction du site et de son environnement, en fonction de ses besoins et de ses activités propres et aussi de contingences notamment socio-politiques.
La ville est un milieu complexe qui ne peut cependant pas se résumer à une approche physique car l’espace urbain est aussi la traduction spatiale de
l’organisation dans l’espace et dans le temps des hommes et de leurs activités dans un contexte donné.
Écosystème qui interagit en permanence comme un milieu naturel avec ses hôtes.

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26
Q

Ville

A

D’un point de vue géographique, le terme de ville peut avoir deux sens :
- spatial : agglomération caractérisée par une certaine densité de l’habitat et une population relativement nombreuse,
la ville est une occupation du sol par l’homme.

  • fonctionnel : la ville est un lieu d’échange, un noeud de flux de personnes, de capitaux, de marchandises, de “culture”,
    d’informations, d’idées, etc. Elle est l’élément fondamental de l’organisation de l’espace,
    du fait qu’elle entretient des relations et exerce une influence importante sur l’espace qui l’entoure.
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27
Q

NUTS

A

La Commission européenne a subdivisé les pays de l’Espace économique européen (l’Union européenne et les pays de l’Association européenne de libre-échange qui participent aussi à des programmes communs de développement) en régions appelées aussi « NUTS » (Nomenclature d’unités territoriales statistiques). Ces unités territoriales sont définies uniquement pour les besoins statistiques et ne constituent pas forcément des unités administratives officielles, mais souvent des groupements de ces unités administratives, en fonction de leur population résidente moyenne dans le pays correspondant.
3 niveaux :
NUTS 1 : de 3 à 7 millions d’habitants en moyenne sur les unités territoriales statistiques de ce type dans le pays correspondant.
NUTS 2 : de 800 000 à 3 000 000 d’habitants.
NUTS 3 : de 150 000 à 800 000 habitants.

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28
Q

Mégapole

A

On appelle “mégapole” une très grande agglomération urbaine peuplée de plusieurs millions d’habitants. Le seuil de population a été fixé par l’ONU à 10 millions d’habitants. Il en existe une quarantaine dans le monde.

Une mégapole est le plus souvent constituée d’une très grande ville et d’une vaste zone de banlieues. Elle est, en général, le siège d’importantes fonctions politiques ou économiques.

Les mégapoles sont confrontées à des problèmes importants liés à leur croissance rapide, notamment dans les pays en développement :
alimentation en eau,
assainissement et évacuation des déchets,
pollution,
transport,
chômage…

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29
Q

Primatie

A

La primatie (à distinguer du lieu où siège le primat de la religion catholique) est la situation d’une ville au premier rang du classement, par sa population, parmi les villes d’un même ensemble : région, État par exemple. Pour apprécier le degré de concentration et la hiérarchie urbaines, des “indices de primatie” peuvent être calculés. Le plus courant est l’indice de Jefferson (1939), qui est le rapport de l’effectif de population de la plus grande ville (P1) à celui de la deuxième (P2) soit : Ij = P1/P2. On peut aussi calculer l’indice de Stewart qui prend en compte les autres villes de rang inférieur, 3, 4, 5, …. n soit : Is = P1/(P2+P3+P4 … + Pn).

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30
Q

Différents plan urbain

A
  • radio concentrique
  • orthogonale/ en damier
  • Cardo romain
  • ville-rue
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31
Q

Conurbation

A

Ensemble de villes devenues coalescentes par extension de leurs périphéries entre lesquelles s’établit une complémentarité et une répartition des fonctions. Par exemple : en France, l’ensemble Lille-Roubaix-Tourcoing ; en Allemagne, la Ruhr ; en Europe médiane, la Silésie, de Nowa Huta à Gliwice en passant par Cracovie, Katowice. On remarquera que de telles conurbations sont avant tout des héritages des “effets de gisement” (avantage comparatif) dans les localisations urbaines. Une conurbation est donc, par nature, multipolaire.

32
Q

Différents plan urbain

A
  • radio concentrique
  • orthogonale/ en damier
  • Cardo romain
  • ville-rue ou village-rue (type d’habitat rurale qui concentre des constructions sur une une rue unique)
33
Q

Ecologie

A

Science de l’habitat, étudie l’interaction complexe des organismes vivant entre elles et entre organismes et leurs milieux. Approche systémique étudie les processus irréversibles.

34
Q

Biotope

A

En écologie, un biotope est un type de lieu de vie défini par des caractéristiques physiques et chimiques déterminées relativement uniformes

35
Q

Ecologie urbaine

A

L’écologie urbaine est un domaine de l’Ecologie (la science qui étudie les écosystèmes) qui s’attache à l’étude de l’écosystème : la ville.

36
Q

Dev. durable

A

le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre à leurs propres besoins.

37
Q

Écoquartier

A

Zone urbaine aménagé et gérée selon des objectifs et des pratiques de Dev.Durable

38
Q

Écosystème

A

Unité écologique fonctionnelle formée par le biotope

39
Q

Écoconception

A

Conception d’un produit, d’un bien ou d’un service, qui prend en compte afin de les réduire ses effets nég. sur l’envir. au long de sont cycle de vie en s’efforçant de préserver sa qualité.

40
Q

Rénovation urbaine écologique met en évidence 8 orientation

A
1 éthique et respect
2 participation et démocratisation
3 organisation en réseaux
4 retour vers la nature et les expériences sensorielles
5 mixité et densité urbaine maîtrisé
6 Respect de genius loci
7  écologie et économie
8 coop. internationale
41
Q

Conséquences étalement de la ville/ concentration urbaine

A
  • difficile de trouver des terrains, hausse des prix
  • emprise de la ville sur les terrains fragile
  • la ville s’insère autour de site à risque
  • la ville gère ces productions sonores
42
Q

Effets du grignotage de la ville

A
  • baisse de la valeur des espaces périphériques

- dégradation de l’environnement

43
Q

Solution pour une ville durable

A
  • Charte d’Alborg 1994 : acceptation d’un réseaux de villes européenne de normes contre la pollution, l’idée retenu par la charte et le modèle de ville compact.
44
Q

Programme d’actions pour une ville durable

A
  • Rapport de Bruntland
  • Conférence de Rio
  • Adoption de lois en France
45
Q

Lois adoptées en France pour le dev. durable

A
  • Loi Voynet 1999
  • Loi Chevenement 1999
  • Loi SRU 2000
  • Loi Borlot 2003
46
Q

PLU

A

Plan local d’urbanisme -> pos plan d’occupation des sol et du territoire par la communes et communauté de communes

47
Q

Aléa

A

probabilité d’un événement qui peut affecter un écosystème.

48
Q

Mesures des risques naturelles

A
  • pyramide des risques
  • courbe de farmer
  • Echelle des gravités des dommages
49
Q

Principes de la ville durable

A
  • gestion sol et patrimoine
  • nuisance
  • déplacement
  • énergie
  • eau
  • espace vert
  • déchet
  • social
50
Q

Transition urbaine

A

Passage d’un stade où la population d’un pays est majoritaire rurale à un stade où elle est majoritairement citadine.

On distingue plusieurs phases intermédiaires :

phase A : le taux d’urbanisation et sa croissance restent faibles. C’est le cas d’un petit nombre de pays : Bhutan, Laos.
phase B : accélération rapide. Exemple : Chine.
phase C : l’accélération décroît et prend une forme logarithmique
phase D : la croissance devient quasi nulle, l’essentiel de la population vivant en ville (cf. pays industrialisés, Argentine, Afrique du Sud).ine

51
Q

Indicateurs urbains

A

Les Etats modernes ont mis en place des indicateurs urbains capable de classer les villes. Mais, elles permettent rarement de les comparer :

  • Statut (juridique et politique
  • seuil de population (fixé arbitrairement)
  • seuil de densité
  • socio-économique (pop. active)
  • type bâti
52
Q

4 grandes formes qui cristallise les définitions d’aire urbaine

A
  • localité urbaine (morpho.)
  • agglomération urbaine
  • région urbaine ou aire urbaine fonctionnelle
  • région urbaine polynucléaire
53
Q

Critères de déf. de ville

A
  • Site/situation : lieu de la première implantation humaine
  • Morphologie urbaine : (plan urbain ?) forme monocentrique ou polycentrique ? Ville nouvelle ? Fonctionnalités ?
  • ambiance urbaine : Eléments du paysage, volume des constructions, places laissés aux espaces libres, température, bruit, vent, odeurs, temporalité ?
  • Gradiant centre-périphérie : rapport distance/centre
  • ségrégation urbaine/composition socio-spatial : observation des différentes populations d’un quartier : donnée ethnique; batî, services, prix de l’immobilier, taux de chomâge, écoles, âges.
54
Q

Métropolisation

A

Processus dynamique qui décrit le passage d’une ville à une métropole, dans le cadre de la globalisation des échanges :

  • Il s’opère une concentration sélective de fonctions de commandement et de conception dans certaines villes, généralement de très grande taille (mais cette condition n’est ni nécessaire, ni suffisante)
  • ce processus confère aux métropoles une ouverture internationale très importante. Ces villes deviennent des têtes de multiples réseaux attirant nombre d’activités et une main d’oeuvre importante. Le processus est donc cumulatif (économie d’agglomération) et permet une diversification des activités, gage de durabilité.
  • Ce processus s’accompagne généralement d’un desserrement accru (mais non-initié par la métropolisation) des activités et des espaces résidentiels vers la périphérie et d’une spécialisation fonctionnelle et socio-économique de certains espaces intra-métropolitains.
55
Q

3 types de territoires moteurs de la mondialisation

A
  • espace frontalier
  • façade maritime
  • grande ville
56
Q

Gentrification

A

processus de conquête des villes par les classes privilégiées, par le biais de la rente foncière toujours plus élevée.

57
Q

Counter-urbanisation

A

Retour aux millieux ruraux

58
Q

Internationalisation

A

Ville mondiale inséré dans un système productif à l’échelle internationale.
2 critères de sélection : bourse et aéroport

59
Q

La question de l’innovation dans les métropoles

A

Elles essaient de renforcer leurs capacités d’innovation en concentrant une MO très qualifiée. Exemple à Nice (semblant de Sillicon Valley)

60
Q

Push and pull

A

Processus d’interactions sociales entre groupes sociaux les plus riches et les plus pauvres, lutte pour l’appropriation de l’espace : invasion - succession

61
Q

Exemple de problématique

A
  • Comment ce processus d’expansion physique se traduit-il en terme d’organisation social ?
  • Quel est la ville idéale ?
  • Quel est la ville la forme urbaine la plus écologique ?
62
Q

Ecole de Chicago 1920

A

L’apport de l’école de Chicago est essentiel parce que c’est la première école à prendre en compte l’espace et d’y montrer que les discontinuités sont des processus elle à permis de comprendre la crise urbaine.
Exemple de critique sur les hypothèses de l’école de Chicago :
- Tout les aspects relatifs liées au marché foncier sont trop négligés
- La non prise en compte de pb politique

63
Q

Mobilité résidentiel

A
A ne pas confondre avec mobilité quotidienne
Changement de domicile selon 4 mobilités :
1. études
2. 1er emploi
3. Famille
4. fin de vie active 
4 axes :
- motivation
- localisation
- contraintes
- effets
64
Q

Transformation de la ville européenne à l’échelle régional

A

1er facteur : diffusion de l’automobile : NO-O-S, process de l’étalement urbain.

2e facteur : représentation qui diffère : Discours anti-ville en GB -> cité jardin, préoccupationde l’espace naturel.

3e facteur : politique urbaine ; BOYER :”la péri-urbanisation peut être encouragé ou non”

65
Q

2 modèle de ville en Europe

A
  1. Anglosaxon : périphérie très urbanisé, entraîne un étalement urbain
  2. Modèle latin : valorise le centre, habitat concentré, difficile cependant de voir des dicotomies entre ces deux modèles.
66
Q

Chaque cycle d’innovation se traduit par un apport de richesse répartie en 3 modalités :

A

1) captation de l’innovation par les grandes villes
2) temps de diffusion : des plus grandes vers les autres
3) stade de maturation, cette innovation est présente partout et on voit quelques villes très spécialisés.

Ce processus de diffusion de l’innovation à 2 effets :
- avantage de croissance conféré plus grandes villes du système par captation de l’innovation

  • la tendance au déclin relatif des petites villes :”court circuitage”
67
Q

Quels sont les trois modèles de répartition de la population d’une région

A

Groupé (dans la ville)
Dispersé (à la campagne)
Linéaire (le Long d’un autoroute exemple 401)

68
Q

C’est quoi la répartition de la population

A

Le modèle où les gens vivent dans une région

69
Q

Quels sont les trois grands facteurs qui déterminent le type de peuplement rural

A
  1. Les ressources de la région (mine forêt)
  2. Moyen de transport à l’époque du peuplement - bateau route
  3. Les politiques gouvernementales - système d’arpentage
70
Q

Quels sont les trois types de peuplement rural

A

Les rangs du sud du Québec

Le système de concessions du Sud de l’Ontario

Le système de sections des Prairies du Sud

71
Q

Quelles sont les causes de l’urbanisation

A

L’apparition de nouvelles technologies machines agricoles a éliminé des emplois en milieu rural

Apparition de nouvelles technologies également dans l’exploitation forestière et minière a contribué à des pertes d’emploi

À la même époque il y a eu l’industrie de la fabrication des régions urbaines qui était en expansion

72
Q

Les diverses fonctions des villes

A

Elles constituent des centres de fabrication et de transport, des centres de service, centre culturels et centres industriels

73
Q

Les formes d’occupation du sol en milieu urbain

A
Espace résidentiel
Transport
Édifices publics
Édifice à bureau
Espace libre
Espace récréatif
Espace industriel
Espace commercial
74
Q

Qu’est-ce que quartier centrale des affaires

QCA

A

Comprend tous les types de commerce incluant les magasins hautement spécialisés

75
Q

Système complexe

A

Un système complexe est un ensemble constitué d’un grand nombre d’entités en interactionqui empêchent l’observateur de prévoir sa rétroaction, son comportement ou évolution par le calcul.Les systèmes complexes sont définis, selon les cas et selon les auteurs, par leur structure, par l’existence d’interactions non-linéaires, par l’émergence de niveaux d’organisation différents, ou par leurs comportements collectifs non triviaux (multistationnarité, chaos, bifurcations, auto-organisation, émergence, boucles de rétroaction). Un système est dit complexe si le résultat final n’est pas prédictible directement en connaissant les règles qui disent comment le système change.