Examen 3 Reconnaître les problèmes cognitifs et considérations pratiques Flashcards
Quels sont les enjeux du dépistage à prendre en considération quand on entre en relation avec un patient ?
On commence par l’étape du dépistage, ce qui implique de créer une relation de confiance, de l’évaluer de façon systématique, d’avoir les connaissances requises en lien avec les facteurs de risque et des risques. Aussi, d’avoir des connaissances en lien avec le fonctionnement normale et pour finir, on se doit d’identifier des questions en fonction des symptômes et hypothèses.
Pouvez-vous me dire comment créer une bonne relation de confiance ?
Il faut se mettre dans la tête qu’il est parfois gênant pour le patient d’avouer qu’il a un problème cognitif ou qu’il ne l’accepte tout simplement pas. Exemples de types de patients avec plus difficultés : les personnes âgées, les toxicomanes et en contexte scolaire (pour l’enfant et parfois pour les parents).
Comment démontrer à notre patient que nous sommes le plus compétent pour l’aider ?
Nous nous devons de poser des questions pertinentes pour évaluer le problème correctement (notamment: mesurer l’impact et l’anxiété générée par le problème). Aussi, nous nous devons donner de l’information accessible et de qualité. Ensuite, il faut adapter les interventions, faire une référence ou non selon les besoin et faire un suivi de l’évolution après la référence.
Comment doit-on procédé quand on fait une évaluation systémique ?
Les éléments à prendre en considération avant tout, c’est que nous sommes le premier intervenant à prendre contact avec lui, donc nous devons faire quelques questions de dépistages et de choisir un format d’entrevue selon la clientèle.
Pouvez-vous me donner un ou des exemples de question systémiques en lien avec la mémoire ?
Est-ce que des proches vous ont fait remarquer des problèmes à vous souvenir de certaines choses ?
Perdez-vous parfois des objets ?
Pouvez-vous me donner un ou des exemples de question systémiques en lien avec l’attention ?
Est-ce que vous avez de la difficulté à faire ou cessé certaines activités qui demande de rester concentré tel que … (lecture, couture, suivre un cours, etc.)
Vous arrive-t-il de perdre le fil de la conversation, par exemple quand vous parler au téléphone ?
Pouvez-vous me donner un ou des exemples de question systémiques en lien avec les fonctions exécutives ?
Avez-vous des difficultés dans des tâches complexes, comme planifier un travail, organiser un projet, etc. ?
Est-ce que vous remarquez des changements dans votre capacité à ne pas dire ou faire des choses que vous pourriez regretter ?
Dans l’évaluation systémique, on passe aussi par l’identification de signes qui peuvent s’apparenter à un problème, donner deux exemples ?
Il y a désinhibition, il s’agit de s’apercevoir d’un changement dans les comportements comme de l’agressivité. Aussi, il y a les problèmes disciplinaires pour des infractions anodines comme arriver en retard ou oublier son matériel.
Pour nous permettre de reconnaître les problèmes cognitifs, il nous faut connaître les facteurs de risques et les causes probables, comment fait-on ?
Le premier point à prendre en considération, c’est de savoir les risques selon la population d’intérêts, par exemple de connaître les traumatismes et les risques de traumatismes cérébraux chez les jeunes pratiquant des sports de contact. Le deuxième point est d’identifier les marqueurs plus pointus, notamment des événements, par exemple, un accident. Pour finir, un problème cognitif peut expliquer pourquoi une intervention échoue, malgré la bonne volonté des deux côtés.
À quoi sa sert d’avoir des connaissances du fonctionnent normal ?
Cela nous permet de déterminer de ce qui est normal selon l’âge ou non. Alors, il est important d’avoir des connaissances spécifiques sur la clientèle et du milieu où elle vit. Ces connaissances sont aussi appliquées dans le cadre de l’entrevue, comme est-il normal de pas connaître ou pas la date ? … et si le patient est la retraite ? Pour finir, cela peut permettre de connaître le avant/après.
Pourquoi doit-on identifier des questions en fonction des symptômes et des hypothèses ?
Après avoir trouver le problème potentiel et afin de détailler ce qui passe, il nous faut poser les bonnes questions en fonction de l’individu, du problème et de l’environnement. Elles suivent souvent un canevas similaire et peuvent inclure par exemple: le temps, l’intensité, les impacts fonctionnels et l’adaptation.
Quels sont les stratégies qui pourrait aider ces individus et donnez un exemple pour chaque ?
L’aide-mémoire (donner version papier l’ensemble des tâches à réaliser), adapter le contenu des interventions qui fonctionnent (faire moins d’objectif, mais les faire correctement) et impliquer les proches/les autres intervenants (possible?opportun?).