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PSE 1203 > Enfance (Développement socio-affectif) > Flashcards

Enfance (Développement socio-affectif) Flashcards

1
Q

Définition concept de soi

A

L’ensemble de croyances qu’un individu a à propos de lui-même. Cela inclut des aspects physiques, cognitifs, sociaux et affectifs.

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Q

Le concept de soi devient plus complexe et réaliste à l’âge scolaire (7-8 ans), comment?

A
  • Identification de ses forces et de ses limites
  • Capacité à se comparer aux autres
  • Capacité à intégrer différentes caractéristiques
  • Identification de ses valeurs et préférences
  • Capacité à comparer le soi réel et idéal
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3
Q

Soi réel VS soi idéal

A

Réel: ce que l’enfant est réellement

Idéal: ce que l’enfant aimerait être

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4
Q

Quel est l’impact de l’écart entre le soi réel et idéal?

A
  • S’il est trop grand, peut être dommageable car décourageant
  • S’il est assez grand = signe de maturité
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5
Q

Par quoi est influencé le concept de soi et la construction sociale?

A
  • Famille
  • Amis
  • Médias
  • Politique
  • Enseignants
  • Société et culture
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6
Q

Qu’est-ce que la notion de genre influence à l’enfance?

A
  • Interactions sociales
  • Choix des intérêts et des amis
  • Les comportements et émotions
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7
Q

Quel est le lien entre la notion de genre et le concept de soi?

A
  • Le concept de soi des enfants de 8-9 ans reflète normes genrées
  • Différences non significatives
  • Complexification des schémas de genre dès 6 ans
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8
Q

Définition comparaison sociale

A

Tendance à utiliser les autres comme sources d’information pour
s’autoévaluer.

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9
Q

Qu’entend-on par le fait que l’estime de soi a une structure hiérarchique dès 6-7 ans?

A
  • L’estime de soi générale inclut différents domaines
  • Chaque domaine à un poids différent
  • Chaque domaine se divise en plusieurs catégories qui sont de plus en plus spécifiques
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10
Q

L’estime de soi globale inclut quels domaines?

A
  • Compétences académiques
  • Compétences sociales
  • Compétences physiques et athlétiques
  • Apparence physique
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11
Q

Pourquoi une estime élevée est un facteur de protection et une estime faible un facteur de risque?

A

Élevé: Plus apprécié par ses pairs, plus sociable, meilleure
adaptation

Faible: Anxiété, symptômes dépressifs et problèmes de santé
mentale à l’âge adulte

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12
Q

Par quels éléments est influencée l’estime de soi?

A
  • la culture
  • le genre
  • le style parental
  • l’attribution d’accomplissement
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13
Q

Qu’est-ce que l’attribution d’accomplissement?

A

Explication de la cause d’une performance

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14
Q

Qu’est-ce que l’attribution de maîtrise?

A

J’attribue mes succès et mes échecs par des

habiletés qui peuvent s’améliorer avec la pratique et l’effort (malléabilité).

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15
Q

Qu’est-ce que l’impuissance acquise?

A

J’attribue mes succès a des facteurs hors de mon contrôle et mes échecs à
des habiletés que je perçois comme fixes.

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16
Q

Laquelle des deux méthodes d’attribution d’accomplissement permet une estime plus élevée?

A

Attribution de maîtrise

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17
Q

Le développement affectif à l’enfance est caractérisé par quoi?

A
  • Capacité à distinguer et expérimenter des
    émotions complexes
  • Capacité à distinguer « ressentir » et « exprimer » une
    émotion
  • Capacité à verbaliser des émotions simultanées et
    contradictoires
  • Meilleure conscience de ses émotions et de celles des autres
  • Conscience que 2
    individus peuvent
    ressentir différentes
    émotions dans la même situation
  • Comprennent règles pour montrer/cacher
    émotions
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18
Q

Qu’est-ce que l’autorégulation émotionnelle?

A

Capacité de l’individu à exercer
un contrôle (conscient) par
rapport à ses pensées et ses
comportements en lien avec les émotions ressenties.

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19
Q

Caractéristiques de l’autorégulation émotionnelle

A
  • S’améliore avec l’âge
  • Reliée au tempérament de
    l’enfant et aux fonctions exécutives
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20
Q

L’autorégulation émotionnelle est un bon prédicteur de quoi?

A

De l’adaptation

psychosociale à long terme (FP)

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21
Q

Stratégies de coping

axées sur le problème

A

Agir pour modifier le
problème quand la
situation problématique
semble modifiable.

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22
Q

Stratégies de coping

axées sur l’émotion

A

Contrôle interne de
l’émotion lorsque la
situation ne peut être
changée.

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23
Q

Stratégies adaptatives pour l’autorégulation émotionnelle

A
  • Engagées (se centrent sur la source du problème ou de l’émotion)
  • Actives (cherchent une modification positive de l’état)
  • Flexibles (appropriées selon le contexte)
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24
Q

Stratégies moins adaptatives pour l’autorégulation émotionnelle

A
  • Désengagées (ex. déni ou consommation)
  • Passives (ex. se plaindre ou ne pas en parler)
  • Rigides (utiliser la même solution à chaque fois)
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25
Q

Définition comportements pro-sociaux

A

Actions volontaires pour le bénéfice d’une autre personne

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26
Q

Pourquoi y a-t-il une augmentation des comportements prosociaux à l’enfance

A
  • Diminution de l’égocentrisme
  • Meilleure compréhension des
    émotions (soi et autres)
  • Meilleure autorégulation émotionnelle
  • Importance accordée à l’approbation
    des autres
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27
Q

Types de comportements prosociaux étudiés dans l’article Theory of mind and prosocial behavior in childhood

A
  • réconforter
  • coopérer
  • aider
  • partager
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28
Q

Résultats principaux de la méta-analyse

A
  • La théorie de l’esprit est associée aux
    comportements pro-sociaux (mais lien faible)
  • L’association entre la théorie de l’esprit
    et les comportements pro-sociaux est
    plus forte chez les enfants plus âgés.
  • L’association entre la théorie de l’esprit
    et les comportements pro-sociaux est
    plus forte chez les filles.
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29
Q

Conclusion de la méta-analyse

A

La théorie de l’esprit est un facteur nécessaire mais non suffisant, car il y a beaucoup d’autres facteurs d’explication

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30
Q

Quels sont les deux types d’agressivité?

A

Hostile (réactive)

Instrumentale (proactive)

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31
Q

Objectif de l’agressivité hostile

A

Blesser l’autre suite à une menace ou une provocation perçue (qui peut être accidentelle ou pas)

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32
Q

Objectif de l’agressivité instrumentale

A

Atteindre un but autre que de blesser (intentionnel, par exemple intimider quelqu’un pour qu’il s’en aille)

33
Q

Cercle vicieux de l’agressivité

A

Biais d’attribution hostile –> comportement d’agressivité de type hostile –> confirmation de la perception par l’autre –> biais d’attribution hostile

34
Q

Quels sont les différentes nature de l’acte d’agressivité?

A
  • Physique (plus courante chez les gars)
  • Relationnelle (plus courante chez les filles)
  • Écrite
  • Verbale
35
Q

Est-ce que l’agressivité diminue ou augmente avec l’âge?

A

Elle diminue graduellement, car les enfants deviennent moins égocentriques, plus empathiques, plus coopératifs et ont une meilleure communication

36
Q

Structure familiale biparentale

A

2 parents présents (modèle classique):

  • éducation et revenu plus élevé
  • meilleure relation parents-enfants
  • emplois et conditions de vie plus stables
  • meilleures santé mentale des parents
  • meilleures pratiques parentales
37
Q

Structure familiale monoparentale

A

1 seul parent présent:

  • souvent mère à la tête
  • enfants vivent plus de transitions et modifications
  • plus à risque de vivre dans l’adversité ou la pauvreté avec des ressources limités
38
Q

Adaptation des enfants en structure familiale monoparentale

A
  • Moins bon fonctionnement scolaire
  • Moins bon fonctionnement social
  • Difficultés comportementales extériorisées (agressivité, hyperactivité, etc.)
  • Difficultés comportementales intériorisées (anxiété, dépression, etc.)
  • Moins bon fonctionnement psychosocial à l’âge adulte
39
Q

Structure familiale recomposée

A 
Simple = 1 nouveau parent
Complexe = 1 nouveau parent + potentiel frère ou soeur
40
Q

Adaptation des enfants en structure familiale recomposée

A
  • Plus de difficultés scolaires et comportementales
  • Adaptation plus facile pour enfants au préscolaire
  • Parfois plus difficile pour filles (menace à l’indépendance et relation mère)
41
Q

Facteurs de protection liés à une structure familiale recomposée

A
  • Honnêteté et réalisme
  • Partage des tâches
  • Rituels familiaux
  • Expériences communes positives
  • Enfant né du nouvel union
42
Q

Structure familiale homoparentale

A 
• Plus d’interaction avec leurs enfants
• Aucun problème particulier par rapport à la construction de l’identité ou
acceptation des pairs
• Meilleure santé
• Meilleure cohésion familiale
43
Q

Structure familiale adoptive

A

Adoption au Québec:
• Encadrée par les Centres Jeunesses du Québec
• Doit avoir 18 ans +
• Évaluation psychosociale

Adoption internationale: Par le biais d’un organisme agréé

44
Q

Facteurs de risque liés à la structure familiale adoptive

A
  • Malnutrition
  • Consommation de la mère durant la grossesse
  • Prématurité
  • Négligence
  • Violence
  • Séjour de plus de 6 mois en orphelinat
  • Âge de l’enfant au moment de l’adoption
45
Q

Conséquences potentielles liées à la structure familiale adoptive

A
  • Difficultés comportementales
  • Retard de langage
  • Difficultés scolaires
  • Difficulté au niveau de l’attachement
46
Q

Facteurs de protection liés à la structure familiale adoptive

A
  • Offrir des opportunités pour
    connaître la culture d’origine
  • Discussion sur racisme et
    discrimination
47
Q

Structure familiale séparation ou divorce

A

Évènement de vie marquant (Influence non normative)

Réactions typiques: Chagrin, colère, peur du rejet, conflit de loyauté

48
Q

Conséquences potentielles de la séparation

A
  • Chez les plus jeunes: Difficultés comportementales
  • Chez les plus vieux: Difficultés sociales et scolaires
  • Exacerbation de problèmes déjà présents
  • Rétablissement typiquement après 1 ou 2 ans (sauf pour les notes)
49
Q

Facteurs qui aggravent la situation d’une structure familiale séparation

A
  • Diminution du revenu
  • Peur de l’abandon si
    perte de contact avec un parent
  • Diminution de la qualité des pratiques parentales
  • Conflit parental
  • Déménagement(s)
50
Q

Facteurs de protection d’une structure familiale séparation

A
  • Entente entre les parents après la séparation
  • Bonnes pratiques
    parentales
  • Arrangements respectés
  • Garde partagée
51
Q

L’influence de la structure familiale sur le développement

A

Les pratiques parentales et la qualité de la
relation parent-enfant ont plus d’influence que
la structure familiale

52
Q

Relations parents-enfants

A

Bidirectionnelle:
changement dans la dynamique du pouvoir social –> maintient de l’encadrement mais début co-régulation (partage pouvoir entre enfant et parents)

53
Q

Comment s’applique la co-régulation

A

• Réfléchir et exercer son jugement sur certaines situations
• Faire preuve d’auto-régulation
• Faire des compromis ou prendre des décisions conjointement avec
ses parents

54
Q

4 types de styles parentaux

A
  • Autoritaire (attentes ++, discipline contrôle)
  • Démocratique (attentes flexibles, discipline confiance)
  • Négligent (pas impliqué, pas affection, pas discipline)
  • Permissif (affection, pas discipline ni attentes)
55
Q

Gestion des comportements selon l’enfant

A

Autoritaire :
punition et contrôle psychologique de
l’enfant

Démocratique:
renforcement
positif, raisonnement,
discussion

Négligent:
Peu ou pas de gestion
comportements, incohérence
dans discipline

Permissif:
Peu ou pas de comportements
à gérer puisqu’il y a absence de règle

56
Q

Impacts du style parental démocratique sur l’adaptation de l’enfant

A

Meilleure adaptation générale (habiletés sociales, réussite scolaire, estime personnelle et autorégulation
émotionnelle)

57
Q

Impacts du style parental permissif sur l’adaptation de l’enfant

A

Immaturité affective, difficulté à tolérer la frustration, peu porté à l’exploration

58
Q

Impacts du style parental autoritaire sur l’adaptation de l’enfant

A

Difficultés intériorisées et
extériorisées (agressivité),
conformisme, difficulté d’expression
et autonomie limitée

59
Q

Impacts du style parental négligent sur l’adaptation de l’enfant

A

Retard de développement et trouble de comportement

60
Q

Impacts potentiels de la relation parent-parent conflictuelle sur l’adaptation de l’enfant

A 
Humeur dépressive, érosion de la capacité de gestion du stress, peur, problèmes de
comportement, etc.
MAIS dépend de: 
- fréquence
- façon dont les conflits sont résolus
61
Q

Facteurs favorisant des relations positives au sein de la fratrie

A 
- Relation parent-enfant positive et
chaleureuse
- Relation parent-parent positive et
chaleureuse
- Sexe biologique
- Similarité de tempérament
62
Q

Avantages de la fratrie

A
  • Soutien social
  • Apprentissage de résolution de conflit
  • Associée à une meilleure autorégulation
  • Laboratoire pour apprentissage des
    habiletés sociales
63
Q

Les conflits avec la fratrie sont avantageux parce que…

A

Opportunité d’apprendre à
exprimer ses émotions, à s’affirmer, à expérimenter la
colère et à résoudre des conflits sans risque de perdre
l’autre.

64
Q

Les conflits avec la fratrie sont désavantageux parce que…

A

Des conflits chroniques sont
un facteur de risque associé à l’anxiété, la dépression et des
comportements délinquants à
l’adolescence

65
Q

Comment le statut socioéconomique de la famille influence le développement?

A

État émotionnel des parents: anxiété, symptômes dépressifs, irritabilité

=

Pratiques parentales: moins attentionnées, discipline plus sévère et incohérente

=

Enfants:  
• Problèmes intériorisés (anxiété, dépression)
• Difficultés relationnelles
• Faible estime personnelle
• Difficultés scolaires
• Comportements extériorisés
66
Q

Comment les pairs influencent le développement?

A

Les interactions sociales permettent:
• Développement concept de soi
• Forme de mini-société dans laquelle l’individu peut pratiquer ses habiletés sociales, développer son
empathie, apprendre à s’affirmer, etc.
• Développement de la créativité lors des jeux spontanés (ex. création de règles) et du respect des règles lors des jeux organisés
• Sentiment d’appartenance

67
Q

Définition relations d’amitié

A

Relations réciproques et volontaires suivant généralement le principe d’homophilie

68
Q

Définition homophilie

A

Tendance à choisir des amis qui nous ressemble au niveau

sociodémographique mais aussi par rapport aux intérêts, la personnalité, la sociabilité, la popularité, etc.

69
Q

Comment évolue l’amitié?

A

Début de l’enfance = amitiés basées sur proximité et récompenses

Enfants plus âgés = amitiés basées sur valeurs partagées, intérêts, personnalité

70
Q

Amitiés chez les gars

A

Activités physiques et groupes plus larges

71
Q

Amitiés chez les filles

A

Intimité, révélation de soi, validation

72
Q

Impact des amitiés sur le développement

A

Très bénéfiques, agissent comme capital social

73
Q

Influence du groupe sur le développement

A
  • Généralement construit involontairement par école ou activité
  • Enfant désire être accepté par le groupe et se compare par rapport aux autres membres
74
Q

Définition statut et popularité

A

Position sociale relative au sein d’un
groupe. On peut la mesurer par la
sociométrie

75
Q

Population sociométrique

A

Demander aux enfants avec qui ils aiment jouer (nomination positive) et avec qui ils n’aiment pas
jouer (nomination négative)

76
Q

Enfants populaires

A 
• Comportements pro-sociaux
• Bonne conscience
émotionnelle
• S’affirment sans prendre trop de place
• Faciliter à initier le contact avec autrui

–> Adaptation positive généralement

77
Q

Enfants rejetés et risques à long terme

A
  • Capacité limitée à prendre en compte la perspectives des autres
  • Faible capacité de communication
  • Parfois agressifs ou parfois retirés

Risques: Difficultés scolaires, problèmes
intériorisés et/ou extériorisés

78
Q

Autres types d’influences sur le développement

A
  • temps hors classe
  • quartier
  • médias
    etc.

PSE 1203 (16 decks)

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