Cours 8. Les fonctions exécutives Partie 2 Flashcards

1
Q

Comment peut-on explorer le SAS ?

A

Avec le test de la tour de londres

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2
Q

Qu’est-ce que le test de la tour de londres?

A

support en bois avec 3 tiges et 3 boules de couleur : vert, rouge, bleu. On place les boules dans une configuration initiale. Dans la version de la tâche, le patient a en face de lui les boules de couleurs et en faisant le moins de mvmt possible faire la même présentation que celui du clinicien. Il faut prendre 1 boule à la fois

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3
Q

Quels sont les résultats du test de la tour de la Londres pour des personnes avec une lésion du cortex pré-frontal gauche et pour les patients avec des lésions postérieurs?

A

Ils réussissent moins bien les problèmes complexes à 5 mouvements. Au fur et à mesure que le pb à résoudre devient complexe, ça demande plus de mvmt et de réflexion.

Les patients avec des lésions postérieurs ne diffèrent pas.

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4
Q

Quelles sont les deux tâches de Burgess et Shallice (1996a, 1996b) qui permettent de contrôler de façon plus précise le degré avec lequel le comportement du patient est sous la dépendance de schémas surappris ?

A
  • Test de Hayling
  • Test de Brixton
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5
Q

Quelles sont les deux parties du Test de Hayling?

A

Partie initiation et partie inhibition

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6
Q

Que faut-il faire dans la partie initation?

A
  • Fournir le mot le plus approprié complétant une phrase
    • On lui donne 15 phrases et on lui demande de compléter avec le dernier mot manquant
    • ‘Au printemps, l’oiseau construit son …’
    • Ici, il n’y a pas vrmt d’aspect exécutif
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7
Q

Que faut-il faire dans la partie inhibition ?

A
  • Fournir un mot n’entretenant aucune relation sémantique avec le mot attendu et la phrase
    • ‘En automne, les arbres perdent leurs … ’
    • On examine les erreurs commises (patient donne oui ou non les mots attendus et s’ils donnent un mot relié ou qui fait sens)
    • La réponse automatique est celle qui ne faut pas donner, alors on doit inhiber la réponse automatique
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8
Q

Quels sont les processus impliqués dans le test de Hayling ?

A
  • Inhibition d’une réponse dominante
  • Recherche stratégique d’une réponse
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9
Q

Qu’est-ce que le test de Brixton?

A
  • Aucune réponse dominante n’est activée par le contexte => planifier une stratégie de réponse
  • Réponse pas indicée par la situation présente, mais par l’acquisition d’une règle
  • L’info à disposition est le cercle coloré.
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10
Q

En cas de déficit du SAS qu’est-ce que le patient devrait présenter ?

A
  • une difficulté à inhiber la réponse fortement activée au test de Hayling
  • un comportement contrôlé par des schémas inadéquats (un comportement moins contraint par les caractéristiques de l’épreuve) dans le test de Brixton
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11
Q

Quels sont les résultats au test de Hayling pour les patients avec lésions frontales ?

A

On a les temps de réponses

Section A : patient frontaux sont plus lents que les contrôles, même si bcp d’hétérogénéité (dans les temps de réponses), pareil pour section B

B-A : enlève la partie due à la vitesse de réponses. Ce qui reste est variable

Ça reste une tâche moins bien réussie que les contrôles dans la partie B

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12
Q

Quels sont les résultats au test de Brixton pour les patients avec lésions frontales ?

A

le nombre d’erreurs est très importants pour les lésions antérieures et bi-frontales. On voit qu’ils n’ont pas regardé pour les lésions bi-frontales.

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13
Q

Quels sont les 3 types d’erreurs, au test de Brixton, des patients avec lésions frontales ?

A
  • persévération
  • Mauvaise application de règle
  • Toutes les erreurs qui ne s’expliquent pas
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14
Q

Persévération ?

A

le patient choisit une règle qui est pas appropriée au contexte à il y a pas de différence significative entre les patients avec une lésion antérieure ou postérieure

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15
Q

Mauvaise application de la règle ?

A

Peut être due à des erreurs attentionnelles : il applique mal une règle qui a été identifiée correctement. Il n’y a pas de différence significatives

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16
Q

Toutes les erreurs qui ne s’expliquent pas ?

A

Patients avec atteintes antérieures ont plus que les ceux avec une lésion postérieure. Ce sont des patients qui vont changer de règles inopinément, alors qu’ils ont reçu un feed-back positif. Ce sont des erreurs qu’on ne trouve pas de raison rationnelle

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17
Q

Lors de lésions frontales, est-ce que les fonctions exécutives sont impactées ?

A

Certains patients avec des lésions frontales présentent peu ou pas de problèmes exécutifs. Et certains patients sans lésions frontales présentent d’importants déficits exécutifs

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18
Q

Que montrent les études de Shallice (1982) et de Burgess et Shallice (1996 a & b) ?

A
  • des déficits (erreurs et allongement du temps) aux tests de la Tour de Londres, Hayling, et Brixton portaient sur des patients dont la lésion débordait les structures frontales et qui étaient examinés en phase aiguë (« effet de masse? »)
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19
Q

Expérience de 13 patients avec lésions strictement frontales vs participants de contrôle

Ils leur font passer Tour de Londres, Hayling, Brixton

Résultats ?

A
  • Les résultats de l’étude montrent qu’il n’y a pas de différence entre patients frontaux et participants de contrôle dans les mesures d’exactitude
    • Seules quelques différences dans le temps de réponse à la Tour de Londres (temps faisant suite au premier mouvement) et à la partie B du Hayling
  • C’est possible que ces patients aillent des lésions qui peuvent déborder des structures pré-frontales
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20
Q

Quelles sont les problèmes liés à l’exploration des fonctions exécutives?

A
  • Les tâches proposées pour évaluer les fonctions exécutives sont par essence impures (=multi-déterminée) et sous-tendues par différents processus non exécutifs
  • La comparaison des performances d’un patient donné dans différentes tâches exécutives s’avérera difficile, dans la mesure où la contribution de facteurs non exécutifs peut varier grandement d’une tâche à l’autre
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21
Q

Pourquoi les tâches proposées pour évaluer les fonctions exécutives sont par essence impures (=multi-déterminée) et sous-tendues par différents processus non exécutifs?

A

Des comportements à première vue similaires observés dans une tâche exécutive pourraient en fait avoir des causes bien différentes

22
Q

Pourquoi la comparaison des performances d’un patient donné dans différentes tâches exécutives s’avérera difficile, dans la mesure où la contribution de facteurs non exécutifs peut varier grandement d’une tâche à l’autre?

A
  • par exemple, la mise en évidence d’une dissociation entre deux tâches pourrait suggérer une fractionnement du système exécutif
  • il se pourrait que cette dissociation soit le fait de déficits touchant spécifiquement certains processus «périphériques» (non exécutifs)
23
Q

Qu’est-ce que le modèle : L’unité dans la diversité des fonctions exécutives de Miyake et al. (2000)?

A
  • modèle fondé empiriquement sur la population générale
  • Trois fonction exécutives
    • mise à jour du contenu de la mémoire de travail
    • flexibilité mentale («shifting»)
    • inhibition
  • ils administrent une batterie de tâche qui évalue ces 3 fonctions
  • Ces 3 fonctions sont modérément corrélées, mais elles sont aussi indépendantes = «unité dans la diversité » des fonctions exécutives à chaque fonction exécutive a un degré d’indépendance, mais il y a aussi des processus communs à ces 3 fonctions exécutives

Pas de lien avec la coordination de doubles tâches : une quatrième fonction ? [qui relierait les 3 fonctions)

24
Q

Quelles sont les 3 tâches de mise à jour et le processus ?

A
  • mémorisation de lettres
  • contrôle de tonalité: on présente des sons avec différentes tonalités, quand un son est de même tonalité de l’essai N-1, on doit appuyer sur la tâche réponse le plus rapidement possible.
  • keep track task : présente un mot associé à 3 types de catégories. On présente une série de mots et la personne rappelle le dernier mot des 3 catégories.

Il faut mettre à jour les contenus afin de garder l’info pertinente + récente

25
Q

Quelles sont les 3 tâches de flexibilité?

A

Local global : on demande à la personne de définir le nombre de côté soit de la petite forme (local) soit de la grande forme (global) en fonction de la couleur présentée. On a une alternance de forme géométrique composé de carré ou des triangles et qui varient selon le type de règle à appliquer. Le chgmt de règle implique un cout supplémentaire et demande davantage de ressources cognitives.

Chiffre lettre : pairs de chiffres et de lettres qui apparait dans le cadran, si c’est le cadran sup., on dit si c’est une voyelle ou une consonne, si cadran inf., on dit si les chiffres sont pairs ou impairs.

Plus-minus : alternance addition-soustraction, il y a une alternance de règle entraine un cout supplémentaire

26
Q

Quelles sont les 3 tâches d’inhibition et quelle est le processus ?

A

Stroop : interférence car on demande aux personnes de dire la couleur de l’encre sans lire le mot.

Anti-saccades : la personne regarde le centre de l’écran et on présente à gauche ou à droite un indice visuel. Au moment où on voit une flèche, on doit dire où elle pointe. L’objectif est de pouvoir déterminer dans quel sens pointe la flèche. Quand essai incongruent, on doit inhiber une saccade oculaire (car flèche va apparaitre de l’autre côté). à test d’anti-saccade

Stop signal : composé de deux parties, on doit déterminer si le mot est naturel ou manufacturé. Dans les essais go : répondre le plus rapidement possible et de manière imprévisible, il y a un stimuli sonore et il faut inhiber la commande motrice pour éviter la classification. On doit interrompre la réponse. Le signal sonore est dans 20% des essais.

  • Processus d’inhibition de la réponse dominante
27
Q

Pourquoi parle-t-on d’unité dans la diversité des fonctions exécutives?

A

Il y a une forme de spécificité des processus exécutifs. Les facteurs corrèlent modérément voir fortement les uns avec les autres, alors ils partagent une variance commune. Ce ne sont pas des processus qui sont indépendants. Il y a une unité de la diversité, car les processus partagent une part de variance commune, dû par ex. à la vitesse de traitement.

28
Q
  • Corrélations des trois fonctions identifiées avec des tâches complexes de test
A
  • Wisconsin Card Sorting Test corrèle surtout avec la flexibilité mentale
  • Tour de Hanoi corrèle surtout avec l’inhibition
  • Tâche de génération aléatoire de chiffres corrèle surtout avec la mise à jour et l’inhibition
  • La tâche de mémoire de travail (impliquant de vérifier une opération de calcul tout en maintenant temporairement des mots) corrèle surtout avec la mise à jour
  • La performance en coordination d’une tâche double n’est reliée à aucune des trois fonctions => coordination de tâches réalisées simultanément = quatrième fonctions ?
29
Q

Pourquoi Miyake et al. ne considèrent pas que les trois fonctions qu’ils ont explorées constituent les unités fondamentales et exclusives de la cognition?

A
  • d’autres fonctions (par exemple la coordination de tâches doubles) doivent certainement être ajoutées
  • les liens entre ces fonctions exécutives et des construits plus complexes (comme par exemple la planification) doivent être explorés
  • les fonctions qu’ils ont sélectionnées pourraient être décomposées en processus plus fondamentaux
30
Q

Quelles sont les différentes fonctions exécutives qi dépendent de l’intervention de régions préfrontales et postérieures durant l’exécution de diverses tâches ?

A
  • manipulation d’informations en MdT
  • mise à jour
  • inhibition
  • flexibilité
  • gestion de doubles tâches
31
Q

Quels sont les 3 processus exécutifs distincts de Miyake et al. 2000 ?

A
  • mise à jour
  • shifting
  • inhibition
32
Q

Qu’est-ce que la tâche de mise à jour ?

A

On présente de listes de 6, 8 ou 10 items (lettres). À la fin de la séquence, on demande à la personne de rappeler les 4 dernières lettres. La tâche de contrôle est plus basique car on propose des listes de 4 items. C’est une tâche comparable à la tâche de misa à jour, mais il y a pas l’aspect de mis à jour, seulement la boucle phonologique + administrateur central. On met à jour les entrées en mémoire de travail.

33
Q

Qu’est-ce que la Tâche de flexibilité: plus/minus?

A

Soustrait pour avoir la tâche propre à la flexibilité.

34
Q

Qu’est-ce que la Tâche d’inhibition: anti-saccade?

A

Il n’y a pas d’inhibition dans la tâche de contrôle.

35
Q

Quels sont les résultats de l’expérience d’exploration des bases neuronales de l’unité dans la diversité des fonctions exécutives ?

A
  • Il y a des foyers d’activation communs à toutes les tâches :
    • sillon intrapariétal droit
    • cortex pariétal supérieur gauche
    • gyrus préfrontal latéral bilatéral
  • Il y a des foyers d’activation spécifiques à chaque processus (en préfrontal et pariétal) -> unité de diversité propre à chaque tâche
  • Il n’y a pas une région propre à chaque fonction exécutive. On a un réseau et pas une région propre.
36
Q

Comment est la Connectivité fonctionnelle des régions impliquées dans la mise à jour?

A

Quand on fait les analyses de connectivité, on regarde les régions qui s’activent et se co-activent. Pour la mise à jour d’info en mémoire de travail, on a un vaste réseau antérieur et postérieur qui s’active dans les tâches de mise à jour dans la mémoire de travail.

Ça dépend d’un réseau antérieur et postérieur

37
Q

Quelle est l’Hypothèse du Gateway?

A
  • Allouer de façon flexible les ressources attentionnelles vers les «stimuli» internes et les «stimuli» externes
    • Rôle de la région frontale polaire 10
    • Contribution de ce mécanisme dans le « multitasking »
38
Q

Est-ce que l’inhibition est un processus homogène ?

A

Non, il semblerait qu’il y en ait plusieurs

39
Q

Quels sont les deuxc types d’inhibition ?

A
  • Inhibition d’une réponse dominante ou automatique / capacité de résister à l’interférence d’une information externe distractrice
  • Résistance à l’interférence proactive : résister à des intrusions en mémoire d’une information non pertinente
40
Q

Quand l’Inhibition d’une réponse dominante ou automatique est impliqué?

A
  • impliquée dans les difficultés cognitives quotidiennes évaluées au moyen du « Cognitive Failure Questionnaire » (Broadbent et al., 1982)
41
Q

Quand est-ce que l’inhibition “résistance à l’interférence proactive” est impliqué?

A
  • impliquée dans la suppression de pensées intrusives, non souhaitées, telle qu’évaluée par l’Inventaire de Suppression de l’Ours Blanc (Wegner & Zanakos, 1994)
  • capacité à supprimer des pensées intrusives par pertinentes pour la tâche en cours
42
Q

Qu’est-ce que le Modèle UPPS ?

A
  • Urgence : tendance à exprimer de fortes réactions dans des contextes émotionnels intenses (négatifs et/ou positifs)
  • Manque de préméditation : tendance à ne pas penser aux conséquences de ses actions avant d’agir
  • Manque de persévérance : tendance à ne pas être capable de rester concentré sur une tâche longue, ennuyeuse et/ou difficile
  • Recherche de sensations : tendance à aimer s’engager dans des activités excitantes; ouverture face à de nouvelles expériences
43
Q

Exemple d’item pour l’urgence (UPPS)

A
  • céder à notre impulsion
    • « j ’ai des difficultés à résister à mes envies» (6)
    • « quand je suis contrarié(e), j ’agis souvent sans réfléchir » (24)
44
Q

Exemple d’item pour manque de préméditation (UPPS)

A
  • planification (item renversé)
    • « Je n’aime pas commencer un projet avant de savoir exactement comment procéder » (17)
    • « D’habitude, je réfléchis soigneusement avant de faire quoi que ce soit » (39)
45
Q

Exemple d’item pour manque de persévérance (UPPS)

A
  • « Une fois que je commence quelque chose, je déteste m’interrompre » (16)
  • « Je me concentre facilement » (20)
46
Q

Exemple d’item pour recherche de sensation (UPPS)

A
  • « J’éprouve du plaisir à prendre des risques » (19)
  • « Je me réjouis des expériences et des sensations nouvelles même si elles sont un peu effrayantes et non-conformistes » (25)
47
Q

Tâche d’inhibition d’une réponse dominante

A
  • Perf moins bonne dans la tâche Go-NoGo est associé à des scores d’urgence plus élevés
  • Go-NoGo : répondre le + rapidement sauf au chiffre ‘3’
  • Rythme
    • chiffre ’3’ revient 1 fois sur 9 contexte qui suscite à répondre la plupart du temps
    • ~ 1 chiffre par seconde
    • durée = 4 min 30’’
  • Mesure
    • Erreurs de Commissions : nombre de fois où elle a répondu au chiffre 3 alors qu’elle devait pas répondre
    • Temps de Réactions
48
Q

Résistance à l’interférence proactive

A
  • Série de 3 mots suivie d’un mot-cible
  • Répondre (le + rapidement) oui/non si la cible était dans la série
  • Mesure
    • Erreurs
    • Temps de Réactions
  • Effet expérimental
    • Récente > Non-Récente
    • Récente > Non-Récente
49
Q

Quelle est l’hypothèse pour la résistance à l’interférence proactive ?

A

plus les personnes ont des difficultés à rejeter le mot cible, plus elle devrait avoir un manque de persévérance élevé.

50
Q

Résultats pour l’inhibition d’une réponse dominante ?

A
  • le nombre d’erreurs de commission (fausses alarmes) est lié à un niveau élevé d’urgence
  • Plus les personnes ont une urgence élevée, plus elles font des erreurs de commission.
51
Q

Résultats pour la résistance à l’interférence proactive?

A
  • Le nombre d’erreurs à la condition d’interférence élevée (moins le nombre d’erreurs à la condition d’interférence basse) est associée à un niveau bas de persévérance
  • Les performances sont associées à un manque de persévérance