cours 8 - lecture:) Flashcards

1
Q

Où est-ce que la théorie sociocognitive trouve ses origines?

A

Tradition théories de l’apprentissage

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2
Q

C’est quoi l’apprentissage sociale?

A

Acquisition que font les humains de modèles de cmpt dans un contexte social.

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3
Q

Comment est-ce que les théoriciens sociocognitivistes considèrent les psychanalystes?

A

Ils trouvent qu’ils accordent trop d’importance aux motivations inconscientes et à l’influence des expériences vécues dans petite enfance.

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4
Q

à quoi s’intéresse les théoriciens sociocog?

A

réflexion consicente de soi
processus de dév essentiels toute la vie!

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5
Q

Qu’est ce que les théoriciens sociocog critique de la théorie des traits?

A

Le fait qu’on peut rendre compte de la personnalité par des tendances globales moyennes

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6
Q

V ou F : les théoriciens considèrent les comportements habituels et la variabilité des comportements qui révèlent la personnalité.

A

Vrai

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7
Q

Qu’est ce que contestent les théoriciens sociocog de la psycho évolutionniste?

A

comment une perspective évolutionniste peut-elle expliquer
les modifications importantes qu’a connues la vie sociale humaine d’une période historique
à l’autre.

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8
Q

Pourquoi est-ce que les théoriciens rejettent l’Argument béhavioriste?

A

Stimuli environnementaux déterminent complètement le cmpt n’explique pas tout.

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9
Q

Qui sont les 2 chefs de file de l’approche sociocog?

A

Albert Bandura et Walter Mischel

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10
Q

Nomme les 5 principes clés de la théorie sociocog.

A
  1. La personne est un agent actif.
  2. Le comportement a des origines
    sociales.
  3. Les processus cognitifs sont importants dans la personnalité.
  4. Ce sont à la fois les tendances comportementales habituelles et la variabilité des comportements qui révèlent la personnalité.
  5. Les individus apprennent des modèles complexes de comportements sans récompense à la clé.
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11
Q

Bandura met de l’avant le principe d’agentivité, kessé ça???

A

La capacité personnelle à agir, à influer sur leurs cmpts

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12
Q

Quelle est la plus grande oeuvre de Bandura?

A

Social Foundations of Thought and Action (1986)

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13
Q

qu’est ce qui est réunit dans le Social Foundations of Thought and Action (1986)

A

Connaissances sur les processus, structures, dév de la perso dans une perspective sociocog.

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14
Q

Quel livre écrit par Mischel est considéré comme L,ouvrage le plus influent des 50 dernières années en psycho perso?

A

Personality and Assessment (1968)

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15
Q

Comment est-ce que Mischel considère la personnalité?

A

D’une perspective systémique qui considère la perso comme système complexe de processus cog et affectifs interconnectés, activés par caractéristiques des situations sociales.

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16
Q

Quel test à développer Mischel poru évaluer la capacité de contrôler ses pulsions?

A

Test du Marshmallow

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17
Q

v ou f : Mischel considère l’importance de l’env et des gènes

A

Vrai

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18
Q

Selon la théorie sociocog, la personne se distingue par 3 propriétés psychologiques, nomme-les.

A
  1. elle formule raisonnement sur le monde recourant au langage
  2. considère non seulement circonstances du moment, mais aussi évaluation passées et futurs
  3. pratique l’introspection et analyse propres réflexions
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19
Q

Quels types de méthode de recherche ont utilisés les chercheurs?

A

méthodes idiographiques

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20
Q

V ou F : la théorie sociocog s’appuie sur les avancées de la psychologie
et des sciences humaines connexes

A

Vrai

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21
Q

Quels sont les 4 concepts structuraux?

A
  1. compétence + habileté
  2. Croyances + attentes
  3. normes de cmpts
  4. objectifs personnels
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22
Q

Selon la théorie, que représente les compétences et habiletés?

A

aptitude individuelle à résoudre des problèmes, accomplir tâche pour atteindre objectif

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23
Q

Les compétences sont une combinaison de connaissances :

A
  1. Déclarative
  2. procédurales
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24
Q

C’est quoi la spécificité contextuelle des compétences?

A

Une variable de la perso est mise en contribution dans certains contexte, mais pas d’autre

Chaque contexte a ses difficultés particulières

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25
Q

Quel concept de la compétence et habileté contredit l’approche des traits?

A

La spécificité contextuelle contredit l’approche des traits qui stipulent que les cmpts sont généralisable

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26
Q

De quoi parle les théoriciens sociocog lorsqu’ils parlent du trait de changement psychologique?

A

La capacité des gens à acquérir des nouvelles compétences, peu importe le temps

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27
Q

Quels sont les 3 façons d’appréhender le monde selon les croyances et les attentes?

A
  1. pensées ce qu’est réellement le monde et son futur = attentes (prédiction résultat attendu individu)
  2. Choses qui devraient être = normes évaluation
  3. ce qu’une personne souhaite réaliser un jours = objectifs perso
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28
Q

v ou f : les attentes d’une personne varie d’une situation à l’autre

A

Vrai

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29
Q

C’est quoi la discrimination naturelle?

A

Capacité d’Adapter son cmpt entre des situations selon le contexte

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30
Q

contrairement au béhaviorisme, la théorie sociocog explique le cmpt sous l’angle des…

A

attentes à l’égard des récompenses et des punitions du milieu externe

ex : 2 personnes vivent même situation, mais acoir attentes différentes

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31
Q

Quel principe souligne Bandura en disant ceci : «Les attentes qu’entretiennent les gens à l’égard
de leur capacité d’accomplir certaines choses constituent l’ingrédient clé de la réalisatio n de
soi et du bien-être»

A

Sentiment d’efficacité personnelle
autoefficacité

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32
Q

v ou F : les personnes dotés d’un faible sentimen d’efficacité autopersonnelle sont les plus susceptibles de décider de s’attaquer à des tâches diffici les, de persévérer, de rester calmes pendant la tâche et d’organiser leurs idées de façon analytique.

A

Faux, c’est tout le contraire

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33
Q

comment l’estime de soi est-elle différente de l’autoefficacité?

A

ES : évaluation globale que fait la personne de sa valeur perso

autoefficacité : évaluation ce qu’un peut accomplir dans un CONTEXTE donné

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34
Q

Qu’est ce qui pèse plus dans notre décision de cmpt, attentes relatives autoefficacité OU attentes résultats choix cmpt?

A

attentes relatives autoefficacité

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35
Q

Bandura a privilégié une stratégie de recherche microanalytique, ça veut dire quoi?

A

évaluation de jugements sur des situations précises et non des jugements globaux

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36
Q

Quelle technique est utilisée pour modifier notre sentiment d’Autoefficacité sans qu’on se rende compte?

A

l’ancrage

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37
Q

C’est quoi l’ancrage?

A

Porcessus cognitif qui dépend de nos premières pensées comme base de la réponse

ex : population russie

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38
Q

Quel aspect central de la théorie sociocog est confirmé par les expériences sur l’ancrage?

A

la perception subjective qu’une personne a d’elle même influe de façon causale sur son cmpt.

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39
Q

V ou F : Le sentiment d’efficacité personnelle influe aussi sur la maniè re dont les gens composent
avec les déceptions et le stress dans la poursuite de leurs objectifs de vie.

A

Vrai

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40
Q

Pour résumé, nomme les 4 effets principaux du sentiment d’Efficacité personnelle.

A
  1. Sélection : choix obj personnel
  2. effort/persévérance : déploiement effort
  3. affectivité : plus positif
  4. adaptation : compose mieux avec stress
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41
Q

C’est quoi un objectif personnel dans le cadre de la théorie sociocog?

A

représentation mentale du but d’une action ou d’une conduite. Guide dans l’établissement des priorités et aident choisir entre situations.

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42
Q

Comment organisons-nous nos objectifs?

A

Dans un système d’importance

Grand objectif : admis droit

objectif intermédiaire : bonne note

objectif inférieur : étudier live

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43
Q

Les objectifs relatifs à un travail peuvents varier à divers égards, donne des exemples.

A
  1. degré de difficulté : ex je veux A+ et l’Autre juste C+
  2. Court vs long terme
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44
Q

V ou F : nos objectifs ont des significations subjectives.

A

Vrai

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45
Q

Un sentiment d’autoefficacité élevé apporte une fixation d’objectif qui sont…

A

élevé et respectés (ils les font)

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46
Q

C’est quoi les normes d’évaluation selon la théorie sociocog?

A

critère évaluation de valeur d’une personne ou d’une chose.

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47
Q

Quelles type de norme d’évaluation est mise de l’avant par la théorie sociocog?

A

Normes d’évaluation de soi, évaluation de son cmpt selon ses normes internes

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48
Q

les normes d’évaluation apportent des réactions d’autoévaluation, explique c’est quoi.

A

sentiment d’insatisfaction ou de satisfaction envers soi que l’on éprove en réflechissant à ses actions

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49
Q

comment font les gens qui commettent des actes qu’eux même considère immoral, afin d’éviter de se sentir coupable?

A

les gens se «désengagent» de certaines de leur normes si cela apporte un avantage à le faire

ex : excecutionner

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49
Q

Comment est-ce que la théorie sociocog définie les structures?

A

Comme des formes de pensées disctinctes = sous-système cognitif

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50
Q

Nomme les deux façons que la théorie sociocognitive aborde les processus.

A
  1. Analyse des causes cmpt : déterminisme réciproque
  2. système cognitivo-affectif de la personnalité (CAPS)
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51
Q

C’est quoi le déterminisme réciproque?

A

incluence mutuelle de deux ou plusieurs variables : influence causale mutuelle des facteurs perso, cmpts et environnements

52
Q

Bandura dit que la causalité est…

A

une rue à double sens (récirproque)

53
Q

Explique ce que représente concrètement les 3 facteurs dans le déterminisme réciproque.

A
  1. Cmpt : décisions et actions qui influent sur environnement
  2. Environnement : ensemble des environnements avec punitions et/ou renforcement
  3. aspect personnalité : caractéristiques personelles
54
Q

V ou F : le principe du téterminisme récirpoque constitue un rejt des autres perspectives théoriques vues avant en classe.

55
Q

Qu’est ce qui procure aux neurones leurs grandes aptitudes, puisqu’elles sont des système simple?

A

les interconnexions multiples entre les neurones

56
Q

Qui met de l’avant le modèle CAPS?

A

Schoda et Mischel

57
Q

Que propose concrètement ce modèle?

A

la personnalité comprend de nombreux processus cogs et affectifs liés un à l’autre. Cela assure le focntionnement intégré et cohérent de la personnalité = système

58
Q

Selon le modèle CAPS, qu’est ce qui fait que différents systèmes seront activés à différent moments?

A

les caractéristiques contextuelles

ex : cmpt d’un enfant en classe vs dans la cours

59
Q

V ou F : Mischel et ses collaborateurs ont relevé des indices très nets confirmant que les gens présentent des profils stables et distincts d’expression de comportements particuliers dans
des groupes de situations précis.

A

Vrai, 2 gens vont avoir un profil différent, mais cohérent groupes précis et différent entre 2 situations pas pareil

60
Q

Selon Mischel et ses collabs, c’est quoi la signature comportementale?

A

Profil qui distingue l’individu, caractérisé par les liens entre les situations et les cmpts

61
Q

Considérant la signature comportementale, ainsi que la variabilité des choses qui peuvent déterminer les tendances comportementales moyennes, que propose Mischel face à l’étude de ces 2 phénomènes

A

Que ça sert à rien de dégager les tendances moyennes, mais qu’il faut plutôt regarder les profils distincts des gens.

62
Q

Quels son les deuc grandes fonctions psychologiques qui se développent dans la théorie sociocognitive?

A
  1. acquisition connaisances et habiletés par apprentissage par observation
  2. Maitrise de ses actions et expériences affectives
63
Q

Quel est LA LACUNE de la théorie du béhaviorisme sur l’apprentissage?

A

On êut apprendre sans nous-même essayer de faire un cmpt! Ou se préparer à apprendre (ex : conduire auto)

64
Q

C’est quoi le modelage?

A

L’apprentissage par observation, soit le fait d’apprendre en observant le cmpt de personnes «modèles»

65
Q

Une exposition jeune à la violence dans les médias peut-elle causé à des cmpts plus agressifs?

66
Q

C’est quoi l’acquisition?

A

Apprentissage de nouveaux cmpt indépendant d’une réponse

67
Q

C’est quoi l’excécution?

A

Production cmpt appris dépendant d’une réponse

68
Q

C’est quoi la différence entre l’acquisition et l’excécution?

A

on peut apprendre un cmpt sans recevoir de récompense, mais son exécution dépend des récompenses!

Ex : étude poupée BOBO, on peut apprendre les cmpts agressifs, mais sans incitation, on ne les utilise pas.

69
Q

C’est quoi le conditionnement vicariant?

A

Concept de Bandura pour désigner comment ont apprend des réponses émotives en observant autrui.

Ex : observe modèle peur conditionnée et développe cette peur

70
Q

V ou F : le conditionnement vicariant est automatique

A

Faux, les enfants décident quels modèles ils s’observeront

71
Q

La motivation en sociocog permet de…

A

Traduire nos pensées et connaissances en actions.

72
Q

C’est quoi l’autorégulation?

A

Processus psychologique par lequel la personne motive son cmpt à partir de référents internes (objectif perso, norme, autoévaluation etc.)

73
Q

V ou f : l’autorégulation concerne tous les structures de la perso vues dans la théorie sociocog.

74
Q

Qu’est ce qui mobilise nos efforts selon la théorie sociocog?

A

l’anticipation de la satisfaction d’avoir atteint l’objectif et l’anticipation de l’insatisfaction dans le cas contraire.

75
Q

La croissance et le développement dans l’approche sociocognitve se rapportent donc…

A

Aux modifications des mécanismes cognitifs associés à l’autorégulation

76
Q

Comment se sont pris les chercheurs afin de vérifier l’hypothèse qu’un grand écart entre la norme interne et le rendement cause une insatisfaction.

A

Mettre participant exercice épuisant dans 1 des 4 circonstances suivantes :
1) présentation des objectifs et d’ une rétroaction sur le rendement
2) présentation des objectifs seulement
3) présentation d ‘une
rétroacti o n seulement
4) absence d’objectif et de rétroaction

Ensuite, demande niveau satisfaction.

participants avec objectif + rétroaction ont été + motivés et satisfaits que le reste.

77
Q

v ou f : on peut augmenter l’intérêt pour une tâche en décomposant une tâche en objectifs intermédiaires avec rétroaction.

78
Q

Quelle est la gratification différée ?

A
  • Report du plaisir à un moment optimal opportun ; concept clé lié à la capacité d’autorégulation
80
Q

Comment les gens peuvent maîtriser leurs réactions émotives ?

A
  • Les gens sont plus aptes à maîtriser leurs réactions émotives lorsqu’ils concentrent leur attention sur les caractéristiques factuelles plutôt que sur les caractéristiques émotives d’une situation
81
Q

Vrai ou faux : on peut prévoir les problèmes de santé selon la capacité à maîtriser ses pulsions et ses émotions

82
Q

C’est quoi un schéma ?

A
  • Structure cognitive qui guide le traitement de l’info
  • Ce sont des structures de connaissances très élaborées que les gens utilisent pour donner un sens à ce qui serait juste plein de stimuli
83
Q

C’est quoi un schéma de soi ?

A
  • Généralisation cognitive à propos du soi qui oriente le traitement de l’info
  • Ce sont des structures très développées de connaissances concernant nos caractéristiques personnelles
84
Q

Comment les schémas de soi influent sur nos pensées ?

A
  • Ils attirent notre attention sur l’info qui leur est reliée et ils guident notre interprétation des situations
85
Q

C’est quoi les méthodes des temps de réponse ?

A
  • Permet d’étudier les schémas
  • Elle consiste à noter non seulement le contenu des réponses des gens, mais également le temps que les gens mettent à répondre
86
Q

Comment les méthodes des temps de réponse permet d’étudier les schémas ?

A
  • Si les schémas de soi guident le traitement de l’info alors les gens qui possèdent un schéma de soi lié à un sujet devraient réfléchir plus rapidement à ce sujet
  • Ainsi, les schémas de soi devraient raccourcir le temps de réponse
87
Q

Vrai ou faux : nous avons qu’un seul schéma de soi

A
  • Faux : on vit des vies complexes dans lesquelles nous avons de nombreuses visions de nous-mêmes
  • On possède des schémas de soi pour tous les aspects de notre personnalité
88
Q

Quel est le soi (ou concept de soi) en opération ?

A
  • Sous-ensemble du concept de soi qui se trouve dans la mémoire à court terme à un moment précis ; certaines circonstances sociales peuvent activer différents aspects du concept de soi
  • Les schémas de soi parviennent à la mémoire de travail et font ainsi partie du soi en opération
89
Q

Est-ce que l’info sur le soi change ?

A
  • Oui, l’info sur le soi qui est dans la conscience et qui guide le comportement à un moment donné change constamment au fil des interactions et des événements d’un environnement social
90
Q

Quelles sont les deux motivations liées au soi qui influencent notre façon de penser ?

A
  • L’autovalorisation
  • L’autovérification
91
Q

Quelle est l’autovalorisation ?

A
  • Désir de maintenir ou d’améliorer des visions positives du soi
  • Motivation qui conduit les gens à surestimer leurs qualités et améliorer leur image de soi en se comparant à ceux qui font moins bien
92
Q

Quelle est l’autovérification ?

A
  • Désir d’acquérir de l’info qui correspond au concept de soi
  • Motivation à être cohérent et prévisible, fondamentalement les mêmes, etc
93
Q

La tendance de l’auto vérification s’explique par quoi ?

A
  • Par le postulat de l’autoconfirmation ; la motivation à recueillir de l’info que confirme son propre concept de soi
94
Q

Comment les gens conservent une image de soi négative ?

A
  • Les individus déprimés ou qui ont des schémas de soi négatifs peuvent rechercher l’info qui va confirmer cette représentation d’eux-mêmes = préserver image de soi négative et maintenir l’état dépressif
95
Q

Quels sont les types d’objectifs qui influent sur la motivation humaine ?

A
  • Se fixer des objectifs de niveaux différents
  • Avoir des visions différentes de l’objectif : objectif d’apprentissage et objectif de performance
96
Q

C’est quoi un objectif d’apprentissage ? (avancé par Dweck)

A
  • Objectif axé sur la découverte et la maîtrise d’une tâche donnée
97
Q

C’est quoi un objectif de performance ?

A
  • Objectif axé sur l’impression laissée auprès de ceux qui sont susceptibles de vous évaluer (l’air intelligent, belle performance) ; donne anxiété de performance
98
Q

Pourquoi les individus se donnent-ils un de ces deux types d’objectifs ?

A
  • C’est à cause (ou grâce jsp si c’est positif guys) des théories implicites ; croyance d’ordre général qu’on ne peut pas toujours verbaliser, mais qui influe sur notre pensée
99
Q

Les théories implicites peuvent être de caractère fixe ou évolutive ; quelles sont les deux théories liées à cela ?

A
  • Théorie de l’entité
  • Théorie incrémentielle
100
Q

C’est quoi la théorie de l’entité et elle favorise quel type d’objectif ?

A
  • Croit que les niveaux d’intelligence sont fixes
  • Se fixe des objectifs de performance ; croit pas que l’intelligence change et leur intelligence sert à mesurer leur intelligence
101
Q

C’est quoi la théorie incrémentielle et elle favorise quel type d’objectif ?

A
  • Croit que l’intelligence se développe progressivement et change naturellement au fil du temps
  • Favorise des objectifs d’apprentissage ; voit les activités comme des occasions d’acquérir de l’expérience et de développer leur intelligence
102
Q

Quelle est la différence entre les normes qui correspondent à des idéaux et celles qui correspondent à des obligations ?

A
  • Certaines normes d’évaluation représentent des choses que les gens voudraient idéalement avoir ou réaliser ; les normes idéales ou des aspects du soi idéal
  • D’autres normes correspondent à des résultats que les gens pensent qu’ils doivent ou devraient obtenir ; obligations ou responsabilités = normes imposées ou des aspects du soi imposé
103
Q

Quelle est donc l’idée d’Higgins ?

A
  • Il a l’idée que les différents types de normes, les normes idéales et les normes imposées sont à l’origine de différents types d’émotions négatives
104
Q

Higgins établit donc un raisonnement en deux étapes ; quelle est la première idée ?

A
  • Les gens éprouvent des émotions négatives quand ils détectent des décalages entre la façon dont les choses se passent pour eux et leur soi réel, et une norme personnelle = des écarts de soi
105
Q

C’est quoi un écart de soi ?

A
  • Disparité entre les croyances sur les caractéristiques psychologiques présentes (le soi actuel) et les caractéristiques désirées qui correspondent à des normes idéales ou imposées
106
Q

La deuxième idée du raisonnement d’Higgins ?

A
  • Les écarts avec des normes différentes (idéales ou imposées) sont à l’origine d’émotions différentes
  • Les écarts entre le soi réel et le soi idéal donne un sentiment de tristesse ou de découragement (perte de résultats positifs)
  • Les écarts entre le soi réel et le soi imposé provoquent de l’agitation et de l’anxiété (résultat négatif en n’atteignant pas ses obligations qui constitue une menace)
107
Q

Vrai ou faux : les normes d’évaluation influent non seulement sur l’expérience émotionnelle mais aussi sur la motivation

A
  • Vrai : Les personnes qui évaluent leurs actions principalement au moyen de normes idéales tendent à avoir une approche de promotion concernant leurs activités recherchent le bien-être et elles le font en se concentrant sur les résultats positifs (contraire pour les normes imposées avec les gens qui utilisent une approche de prévention en se concentrant sur le fait d’éviter des événements négatifs ou profiter de l’absence d’événements négatifs)
108
Q

Quelle est l’approche centrée sur des principes généraux d’Higgins ? (analyse des influences personnelles et situationnelles sur la pensée et les actions)

A
  • Un ensemble de principes de causalité sert à expliquer à la fois le résultat des influences personnelles (constance des pensées et des actions) et le résultat des influences situationnelles (variabilité des pensées et des actions)
  • Il fait intervenir les connaissances personnelles et les normes de performance pour expliquer à la fois la stabilité et la variabilité du comportement
109
Q

Pour la psychopathologie, cette théorie insiste sur le rôle de l’expérience des comportements, explique le reste…

A
  • Des personnes peuvent vivre dans des environnements où ils apprennent des comportements inadaptés ou des environnements qui n’offrent pas de guide pour apprendre les bonnes compétences
  • Le thérapeute a donc pour mission de faire vivre à ces clients de nouvelles expériences qui vont leur apprendre des comportements adaptés
110
Q

Différence entre approche médicale et approche sociocognitiviste :

A
  • Dans l’approche médicale, le thérapeute va d’abord tenter de repérer les expériences de l’enfance et les prédispositions biologiques qui sont présumées être des causes des symptômes du client
  • Dans cette approche, le thérapeute va plutôt directement modifier le comportement problématique
111
Q

Comment cette théorie se distingue des autres par rapport à la psychopathologie ?

A
  • Se distingue pour l’importance qu’elle accorde aux cognitions en particulier aux attentes dysfonctionnelles et aux autoévaluations dysfonctionnelles
112
Q

C’est quoi une attente dysfonctionnelle et pourquoi elle constitue un problème ?

A
  • Attente inadaptée quant aux conséquences de comportements particuliers
  • En envisageant, à tort, qu’il va leur arriver des choses malheureuses, les individus peuvent faire en sorte que ces événements qu’ils espèrent éviter se produisent ?
113
Q

C’est quoi l’autoévaluation dysfonctionnelle et pourquoi elle constitue un problème ?

A
  • Norme d’autogratification inadaptée qui a de conséquences importantes sur la psychopathologie
  • S’appuie sur des normes perfectionnistes ; cela peut donner des déceptions répétées si ne respectent pas ces normes
114
Q

Comment cette théorie explique la détresse psychologique ?

A
  • Par une diversité de déficits en matière de croyances, d’actions et de compétences
  • Bcp d’importance au sentiment d’efficacité personnelle
115
Q

Un faible sentiment d’efficacité personnelle donne..

A
  • Un faible sentiment d’efficacité personnelle face aux menaces suscite directement une anxiété élevée
  • Ce n’est pas vraiment l’événement en tant que tel, mais pkutôt la perception d’inefficacité à y faire face qui est fondamental dans le phénomène de l’anxiété
116
Q

Vrai ou faux : sentiment d’inefficacité ne joue pas un rôle dans la dépression

A
  • Faux : le fait se se sentir incapable d’accomplir ce que l’on souhaite crée un sentiment de perte qui est déprimant
  • Aussi, les croyances liées à une faible efficacité personnelle peuvent contribuer à ce qu’on fasse moins bien, ce qui conduit à une dépression et à un sentiment de perte qui est déprimant
117
Q

Explique le cercle vicieux du sentiment d’efficacité personnelle et la dépression

A
  • Il se crée un cercle vicieux d’autodépréciation, dans lequel le faible sentiment d’efficacité. personnelle contribuait à la dépression et à des problèmes de comportements, lesquels à leur tour contribuaient à une diminution du sentiment d’efficacité personnelle et à une augmentation de la dépression
118
Q

Bandura avance quelle idée sur les écarts ?

A
  • Il dit que les écarts entre les normes et les réalisations peuvent avoir divers effets, allant du déploiement d’efforts accru à l’apathie et à la dépression
119
Q

Que font ces écarts ?

A
  • Ces écarts suscitent de la motivation quand les gens croient qu’ils sont capables d’atteindre l’objectif visé
  • Le sentiment que l’objectif dépasse leurs capacités et qu’il est irréaliste les pousse à l’abandon et parfois l’apathie, mais pas la dépression
120
Q

Les écarts s’influencent de manière réciproque, explique cela

A
  • Les écarts entre les normes et les réalisations, d’un côté, et les états dépressifs, de l’autre s’influencent de manière réciproque
  • D’une part, les écarts cognitifs sont à l’origine d’émotions dépressives et d’autre part, les émotions dépressives contribuent à l’existence des écarts
121
Q

Quel est le mécanisme cognitif qui est central dans le changement ?

A
  • Le sentiment d’efficacité personnelle
122
Q

Quel est le moyen d’influer sur le sentiment d’efficacité personnelle et comment cela fonctionne ?

A
  • Les expériences de maîtrise
  • Lorsque les thérapeutes peuvent diriger leurs patients dans le processus comportemental d’acquisition d’une maîtrise des difficultés, les croyances liées à l’efficacité personnelle ont toutes les chances de se modifier
123
Q

C’est quoi la maîtrise dirigée ?

A
  • Approche thérapeutique où l’on aide la personne à reproduire les comportements d’un modèle
  • La maîtrise dirigée avec le modelage est la thérapie qui ont favorisé le plus de changement ; ceux dont le changement d’efficacité personnelle a le plus évolué sont aussi ceux dont le comportement a le plus changé
124
Q

C’est quoi le programme d’entraînement cognitif-affectif à la gestion du stress ?

A
  • Six séances d’intervention ciblant les cognitions erronées au moyen de procédures comme la restructuration cognitive et la relaxation
  • On se concentre sur des cognitions problématiques particulières et sur l’acquisition d’habilités d’adaptation particulières
125
Q

Les observations sont-elles scientifiques ?

A
  • La théorie excelle dans ce critère
  • Construit la théorie à partir d’une accumulation systématique de résultats scientifiques
  • Leurs données se distinguent par leur diversité
  • Méthode de recherche très diversifiées aussi
126
Q

La théorie est-elle systématique ?

A
  • Pas vraiment systématique
  • Pas de cadre général pour intégrer les diverses propositions et postulats qu’elle contient dans un réseau conceptuel cohérent
127
Q

La théorie est-elle vérifiable ?

A
  • Elle l’est
  • Les recherches auraient pu donner des résultats différents
  • Les théories ont fourni des outils de mesure et des méthodes expérimentales qui ont permis de tester leurs idées
128
Q

La théorie est-elle exhaustive ?

A
  • Assez complète mais quelques lacunes :
  • Pas accordé beaucoup d’attention à certains aspects de l’expérience humaine
  • Des facteurs liés à la maturation ont reçu assez peu d’attention explicite
129
Q

Existe-t-il des applications à la théorie ? (2 caractéristiques qui contribuent grandement à ce succès)

A
  • Les meilleurs pour cela
  • Les théoriciens n’ont pas séparé artificiellement la recherche fondamentale et la recherche clinique = ils ont exploré des questions de recherche fondamentale dans des contextes cliniques
  • Écrit des livres à la formation professionnelle de nombreux psy et ceux-ci ont fait progresser les applications psychologiques de la théorie