Cours 7 Flashcards

1
Q

Apprentissage

A

correspond à l’acquisition de nouvellesinformations

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2
Q

Mémoire

A

correspond à la rétention de l’informationacquise

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3
Q

MCT

A

Sert au maintientemporaired’unequantité limitéed’information (Centre d’emmagasinage temporaire)​

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4
Q

MLT

A

Permet la préservationd’une grande quantité d’informationpendantquelques minutes à la vie entière(Centre d’emmagasinagepermanent)

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5
Q

L’oubli dans la MDT à court terme

A

Si l’information n’estpas répétée elle se perd; déclin rapide de l’info(Atkinson)

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6
Q

Courbe d’oubli d’Ebbinghaus

A

Plus l’intervalle entre l’encodage et le rappel est grand, plusl’oubli est grand (Peterson)

Déclin rapide dans les 20 minutes, ensuite déclin graduel

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7
Q

Permastore (Bahrick)

A

Permanence relative de certaines sortes de mémoire quipeuvent être préservées au L-T

Critique Ebbinghaus pour l’absence de validité écologique​
Pas besoin tjrs de rappel pour s’en souvenir à long terme:p.ex: languematernelle si n’est pas parlée pendant longtemps est tjrs accessible

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8
Q

Théories d’interférence & de dégradation(estompage)

A

(Waugh & Norman)
L’oubli est plus grand pour interférence que dégradation

2 types d’interférences :
- inhibition rétroactive (info APRÈS)
- inhibition proactive (info AVANT)

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9
Q

Principe de la spécificité d’encodage

A

la manière dont un item estrécupéré de la mémoire dépend de la manière dont il a été encodé (Tulving &Thomson)

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10
Q

L’efficacité du rappel dépend de quoi ?

A

Dépendrait du degré de ressemblance entre l’indice de rappel et l’encodage initial

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11
Q

L’importance du contexte prédit quoi ?

A

L’efficacité de la récupération

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12
Q

2 types d’amnésie

A

Amnésie rétrograde : Perte des souvenirs acquis avant le traumatisme (souvent les plus vieuxsont plus préservés)

Amnésie antérograde : Incapacité de retenir de nouveaux souvenirs après le traumatisme(apprentissage nul ou plus lent selon le degré de sévérité)

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13
Q

L’environnement physique & l’humeur
Dépendance et congruence

A

Dépendance : créer un environnement similaire d’étude et d’examen qui facilite l’encodage et la récupération​

Congruence : lien entre l’humeur et ce qu’on étudie (qqunde dépressif se souvient plus de chosestristes, aide le rappel)

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14
Q

4 processus de contrôle de l’information

A

*Activement utilisée pour aider l’encodage et ensuite la récupération

Autorépétition : répéter les items à voix haute dans ma tête
Encodage : par rapport au contexte, si je fais des liens avec d’autres matières
Décision : choix par rapport à la manière dont on va procéder (aléatoire, alphabétique, géographique)
Stratégies de récupération : Imagerie mentale

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15
Q

Imagerie mentale
(Théorie de codage dual de Paivio)

A

Postule 2 systèmes de codage de la mémoire : représentation des évènements verbaux et non verbaux (images mentales)

*Meilleur rappel des items concrets que des items abstraits

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16
Q

L’imagerie mentale comme technique mnémonique

A

Méthode de loci : meilleur rappel si l’encodage et le rappel se dont de l’endroit (loci) vers l’objet.

Meilleur rappel si distinctif (bizarreté) ou si humour

17
Q

Propriétés caractéristiques d’une image mentale

A
  • distinctive
  • vivide
  • dynamique
  • concrétude
18
Q

Mémoire de travail

A

Capacitéà maintenir de l’information surune courtepériode de tempsetde pouvoir faire des opérationscognitives(des manipulations mentales) (Centre de traitement)

MCT + ti = MDT

19
Q

Mémoire fluide

A

ce qui n’est pas altéré par l’apprentissage

20
Q

Mémoire cristallisée

A

Influencée par l’apprentissage

21
Q

Modèle de la MDT de Baddeley

A

1) Exécuteur central : Coordonne l’information représentéesdans les 3 sous-systèmes, qui ont tousune capacité limitée et qui maintiennentl’information temporairement (implication du cortex dorso latéral pré frontal)

2) Boucle phonologique : langage (visualiser un building)

3) Calepin visuo-spatial : Imagerie (visualiser un building)

4) Buffer épisodique : transférer l’information provenant de la mémoire épisodique / transférer l’information vers la mémoire épisodique

22
Q

Mémoire épisodique

A

Se souvenir d’évènements vécus dans leur contexte (date, lieu, état émotionnel)

23
Q

Rétention temporaire de la MDT

A

Durée de 18 secondes

24
Q

Capacité mnésique de la MDT

A

Empan de mémoire en moyenne 7 +/-2

25
Q

MLT déclarative

A

Explicite
Système contenant les informations factuelles, les connaissances
- Rappel pour rappel conscient
- Souvenirs se forment et disparaissent facilement
- Explicite, car nécessite des efforts conscients

26
Q

MLT (déclarative) épisodique

A

Expériences personnelles (autobiographique) et avec uncadre spatiotemporel

27
Q

MLT (déclarative) sémantique

A

Connaissances générales (pas de cadrespatiotemporel)​
Linguistiques et conceptuelles

28
Q

Modèle du langage de Quillian

A

Modèle de la mémoire sémantique représentée comme un réseau avec 3 éléments
- unité
- flèche
- propriété

La recherche dans le réseau prend du temps (chronométrie mentale)

29
Q

MLT non-déclarative

A

système contenant lesinformations acquises sans effort, s’intégrant dans nos comportements

  • ne requiert pas de pensées conscientes
  • souvent difficiles à verbaliser
  • implicite car résulte des expériences
30
Q

MLT procédurale

A

Le savoir-faire
- automatismes, habitudes, habiletés motrices acquises
- apprentissage d’une réponse motrice après une stimulation sensorielle : non associatif et associatif
- se forme souvent après plusieurs expériences et moins susceptible de disparaitre

31
Q

Système de représentation perceptuelle (SRP)

A

représentation spécifique des évènements
- Identification perceptive non sémantique
- Sous-tendrait l’effet de l’amorçage (‘priming’)

32
Q

Effet d’amorçage

A

Lorsqu’unstimulus ‘amorce’,précède, sansprisedeconsciencenécessaire
(p.ex. pourunetrèsbrèvepériodede temps)

Influence conséquemment comment le stimulus cible est traité

33
Q

Lien positif entre l’amorçage et le stimulus cible

A

Reconnaissance plus rapide

34
Q

Phénomènes associés à l’effet d’amorçage

A

Subliminale : observateur pas conscient d’observer le stimuli & effet sur son comportement​

Déjà vu : Impressiond’avoirdéjàexpérimentéle momentvécu​

Mind popping : une mémoire sémantique apparaît involontairement,sans qu’on ait l’impressionqu’il y a une lien avec le contexte

35
Q

Où est la différence entre MCT et MLT

A

la différence est dans lerappel​

36
Q

Modèle modal de Atkinson

A

Transfert MLT s’améliorerait en fonction du nombre derépétitions verbales d’un item (Études de Postman, Phillip;Fishler,Rundus, Atkinson)

Distinction de la performance du rappel libre selon la répétition ou non​

Répétition: l’info sedégardevite, pour ne pas avoir d’oubli, on doit mettre l’info dans la MLTet un mécanisme pour le faire c’est de répéter​

*Il y a d’autres mécanismes connus que la répétition pour augmenter l’encodage (p.ex. donnerdu sens aux items, les relier à des connaissances antérieures, classer les items)

37
Q

Effet de récence

A

on est capable de se souvenir de ce qui était dit à la FIN

MCT;RL bon si pas répété

38
Q

Effet de primauté

A

on est capable de se souvenir de ce qui était dit au début
MLT;RL bon si répété