cours 12 Flashcards

1
Q

La technique de résolution de problèmes

A

Cette technique vise à aborder les problématiques de façon objective et synthétique, de façon à ce que la personne puisse mieux voir les différentes solutions à envisager

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2
Q

6 étapes de techniques de résolution de prb

A
  1. Reconnaitre et définir le problème: (Il est fondamental de clairement définir le ou les problèmes. Il est important de se limiter à la résolution d’un seul problème à la fois)
  2. faire la liste des solutions possibles (Cette étape s’apparente à un brainstorming. Imaginer le plus de solutions possibles, même s’il elles sont absurdes ou ridicules) - en trouver le plus possibles, mm si ridicule bcp d’options et va diminuer le stress vs en avoir une seule
  3. Évaluer: les avantages et les désavantages de chaque possibilité

4: choisir la meilleure stratégie: (en fonction des objectifs, de la facilité de son application et de la satisfaction qu’elle apportera)

5: Penser à (prévoir) sa mise en application. (La planification optimise les chances de mise en œuvre et de réussite de la stratégie)

6: mettre en oeuvre la stratégie et observer les résultats/bilan : (La planification optimise les chances de mise en œuvre et de réussite de la stratégie)

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3
Q

La gestion des émotions

A

C’est un travail sur la modification des habitudes émotionnelles qui permet de diminuer l’ intensité des émotions. S’aperçoit que les émotions sont démesurées

Il ne s’agit pas d’éviter les situations qui déclenchent les émotions mais d’apprendre à en accepter certaines mais surtout à réguler les d’émotions avoir une bonne «intensité»

  • C’est donc un travail sur la modification des habitudes émotionnelles qui permet de diminuer l’intensité des émotions

Il faut apprendre à bien identifier son état émotionnel pour pouvoir ensuite agir (la contrôler ou la modifier) plus calmement -

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4
Q

la thérapie cognitive est axée sur quoi

A

La thérapie cognitive est donc axée sur la pensée et la façon
dont celle-ci détermine les émotions (apprendre à penser différemment). Ajouter idées plus appropriées

Les pensées jouent un rôle crucial dans l’apparition du stress et de son maintien car le contenu de ses pensées n’est pas toujours adapté… veut éliminer mauvaises idée

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5
Q

qu’est-ce que nous avons tous TC

A

On a tous des pensées automatiques. C’est un “discours intérieur” influencé par notre personnalité et notre état émotionnel qui nous pousse à voir les situations selon un schéma prédéterminé

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6
Q

nos pensée dysfonctionnelles nous maintiennent dans quoi et qu’est-ce qu’il faut faire pour s’en sortir

A

Ces pensées “dysfonctionnelles” (problématiques) nous maintiennent dans un cercle vicieux vont augmenter le stress. Pour s’en sortir il faut trouver de nouvelles pensées et des croyances mieux adaptées

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7
Q

2 Étapes de la thérapie cognitive

A
  1. Identification des idées et pensées automatiques
  2. Modifier les pensées dysfonctionnelles (automatique)
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8
Q

Identification des idées et pensées automatiques et situation stressante

A

Il s’agit de repérer et de recueillir avec le sujet les pensées automatiques (négatives) associées à la situation stressante aussi bien dans la phase anticipatoire que face au stimulus

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9
Q

Modifier les pensées dysfonctionnelles (automatique) telles que: 8

A

La pensée dichotomique (tout ou rien). Ex: je vais avoir une bonne note ou une mauvaise

Inférence arbitraire (conclusion sans preuve). Ex: c’est exam alors sûr que va être difficile

Surgénéralisation (1 événement négatif=généralisation). Ex: tous les examens de ce prof sont difficiles

Abstraction sélective (percevoir que le côté négatif des
choses)

Exagération et minimalisation (on exagère ses erreurs et
on minimise ses points forts)

Personnalisation (resp cpt des autres)

Le raisonnement émotionnel (c’est se servir de ses sentiments comme s’il s’agissait de preuves)

Les fausses obligations (se fixer arbitrairement des buts à atteindre)

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10
Q

Thérapie comportementale

A

La thérapie comportementale voit le comportement comme le point de départ du changement (apprendre à agir différemment) si apprends à changer le comportement les cognitions aussi devrait changer

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11
Q

comment le stress est vu dans la thérapie comportementale

A

Le stress est vu comme l’apprentissage d’une “mauvaise habitude” pas de logique derrière de voir le stress comme mauvaise habitude

En changeant sa façon de faire (les comportements), les pensées et les émotions vont suivre

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12
Q

sur quoi est basée la thérapie comportementale

A

Basée sur le conditionnement (classique et opérant)

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13
Q

Différentes thérapies comportementales : 3

A

Désensibilisation systématique: quand c’est très phobique va le faire ici. Assez long

Immersion

Exposition graduée (progressive) in vivo: confronter à la source de s apeur (anxiété) de manière répétée et prolongée (en aidant à gérer ses émotions). Ici avec des choses pas trop trop phobiques

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14
Q

Désensibilisation systématique (douce et progressive, gradation)

A

Utilisée principalement pour le traitement des phobies simples

  • Consiste à inciter l’individu à relaxer pendant qu’on l’expose à une situation (objet) stressante (en pensée ou in vivo)

Quand il ne ressent plus de stress face à cette situation, on l’expose à une autre situation qui produit davantage de stress
L’exposition progressive à cette hiérarchie de situations stressantes permet d’éliminer le stress produit par l’objet phobique

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15
Q

L’immersion (in imagino ou in vivo) :

A

Celle-ci consiste à: plonger le sujet dans une situation très anxiogène. Juste une petite phobie, assez rapide (1-3 rencontres) souvent juste 1 rencontre assez.

On laisse le sujet suffisamment longtemps pour que l’anxiété soit en bonne partie disparue

On répète les séances d’immersion suffisamment souvent pour que l’anxiété soit contrôlée

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16
Q

Thérapie cognitivo-comportementale

A

Décrite comme étant une psychothérapie centrée sur la modification de pensées et de comportements problématiques

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17
Q

principe de la TCC

A

C’est une méthode de traitement qui part du principe que nos pensées, nos perceptions et nos actions sont en grande partie déterminées par nos antécédents d’apprentissage

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18
Q

point de départ de la TCC

A

Apprendre à penser différemment et apprendre à agir différemment est donc le point de départ de la TCC, et en fonction de la situation, l’accent est placé davantage sur une approche cognitive ou comportementale

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19
Q

La TCC est centrées sur 3 objectifs principaux:

A

Identifier, puis modifier les “pensées dysfonctionnelles” (problématiques), les remplacer par des pensées plus réalistes et les associer à des images agréables

Renforcer les stratégies d’ajustement efficaces (coping), et réduire les stratégies non efficaces (nocives)

Réduire (modifier) à la fois certaines “pensées erronées” et les comportements nocifs qui y sont associés

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20
Q

Efficacité des TCC

A

Représenterait la principale approche psychothérapeutique prouvée comme étant efficace par diverses études scientifiques pour traiter les troubles anxieux

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21
Q

pourcentage des patients qui on atténuation ou disparition complète de symptômes de stress avec TCC

A

50 à 75%

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22
Q

pour quelles catégorie de troubles la TCC serait efficace

A

Les troubles de l’humeur comme la dépression et le trouble bipolaire

  • Les troubles de l’angoisse, y compris certaines phobies (p. ex. la peur des animaux, des hauteurs, des lieux clos)

Le trouble panique, la phobie sociale (trouble d’anxiété sociale)

Le trouble d’anxiété généralisée

Le trouble obsessionnel-compulsif

Le trouble de stress post-traumatique

Les troubles liés à l’utilisation d’une substance (p. ex., le tabac, l’alcool et d’autres drogues)

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23
Q

un stress prolongé affecte particulièrement quoi et rend l’individu vulnérable à quoi

A

Mais un stress prolongé affecte particulièrement le système immunitaire et rend l’individu vulnérable aux infections, cancers, etc

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24
Q

stress et maladie

A

Par contre, le stress ne cause pas directement la maladie, il “facilite” la maladie (les maladies en lien avec le système immunitaire)…

Stress baisse système immunitaire, alors plus propice à maladie

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25
Q
  • Psychoneuroimmunologie
A

Champ interdisciplinaire qui étudie les relations entre la psychologie, la neurologie, et l’immunologie
l’étude des relations entre le cerveau et le système
immunitaire

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26
Q

Les apports de la psychoneuroimmunologie contribuent largement à éclairer les liens entre quoi

A

le stress et l’état de santé encore très nouveau

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27
Q

Suggèrent aussi l’implication de mécanismes immunitaires dans quoi

A

la physiopathologie de la dépression lien plus direct

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28
Q

Le système immunitaire Définition

A

“Système complexe et très développé, de défense dont les réponses ont pour fonction essentielle de détruire et d’éliminer tout organisme envahissant, et toute molécule toxique qui peut être portée par cet organisme envahissant (toxine)”

  • Protège le corps contre les organismes (et autres corps étrangers) qui n’appartiennent pas au corps et qui tentent de l’envahir. Ex: les allergènes, cerveau voit comme menace et va avoir réactions pour se protéger
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29
Q

Ces envahisseurs peuvent être :

A

micro-organismes (germes, tels que les bactéries, virus, etc)

  • cellules cancéreuses
  • organes et tissus greffés syst immunitaire est capable de faire différence entre bonne et mauvaise cellule, pour organes greffés corps va les rejeter parce que fait la différence que m’appartient pas
  • parasites (tels que des vers)
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30
Q

avec quoi le système immunitaire est en mesure de faire la distinction

A

Le système immunitaire est en mesure de faire la distinction entre lui-même et le matériel étranger

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31
Q

Désordres immunitaires

A

Système immunitaire attaque ses propres tissus

La transplantation

Quand trop fort peut aussi avoir impact négatif

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32
Q

stress et système immunitaire sur courte période vs longue période

A

Sur une courte période, il semble que les effets du stress sur le système immunitaire soient vraiment de l’adaptation mais dès que le stress devient chronique, ça devient plus dommageables pour l’individu. Quand stress le système immunitaire va augmenter, mais après se stabilise, mais quand chronique reste bas

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33
Q

On sait qu’un stress aigu (quelques minutes) qui produit une réponse de combat ou fuite, stimule quel type d’immunité

A

On sait qu’un stress aigu (quelques minutes) qui produit une réponse de combat ou fuite, stimule l’immunité innée ou naturelle (réponse rapide et non spécifique)

La capacité d’adaptation du système immunitaire à une éventuelle infection ou blessure est plus forte, tandis que certaines fonctions de l’immunité acquise ou spécifique (réponse plus lente, mais plus efficace ) sont supprimées (ou du moins réduites)

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34
Q

exemple donnée pour comprendre immunité innée ou naturelle vs immunité acquise ou spécifique

A

antibiotiques de 10-15 jours est non spécifique va s’attaquer un peu à tout vs antibiotiques de 5 jours sais exactement pourquoi et va s’Attaquer à une chose ponctuelle

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35
Q

Dans le cas du stress aigu (quelques minutes) : syst immunitaire innée et acquis

A

les défenses non spécifiques (système immunitaire inné 1) sont renforcées, mais les défenses spécifiques (système immunitaire acquis 2) sont temporairement réduites

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36
Q

Dans le cas du stress chronique : innée vs spécifique

A

les deux types de défenses (spécifiques et non- spécifiques) sont affectées.

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37
Q

système immunitaire inné

A

La défense immédiate de l’organisme. Elle ne tient pas compte du type de maladie qu’elle combat

38
Q

système immunitaire acquis

A

Pas présente à la naissance, elle est apprise. Elle adapte son attaque à une substance exogène spécifique déjà rencontré auparavant

39
Q

Par contre ça devient problématique lorsque le stress dure plus longtemps, surtout lorsqu’il devient chronique :

A

Plus le stress dure longtemps, plus la capacité de réagir du système immunitaire est affectée et par conséquent, entraîne une immuno-suppression généralisé

– En effet, la sécrétion prolongée de glucocorticoïdes (cortisol) en réponse au stress chronique entraîne une inhibition continue du système immunitaire et une diminution de nos défenses contre les agents pathogènes (sert normalement à arrêter la réaction immunitaire suite au stress aigu)

40
Q

Pendant les premières minutes le système immunitaire est donc ( )
Mais c’est important pour le corps de ramener le système immunitaire a un ( ) pour éviter ( )

A

renforcé (il est à un niveau plus élevé)

niveau plus bas (normal)

les attaques du système immunitaire sur le corps sain

41
Q

Les hormones sécrétées essaient alors de ramener le système immunitaire ( ) (en supprimant entre autres, les lymphocytes)
Si le stress perdure alors le système immunitaire ( )

A

à son niveau de base

tombe très bas (sous le niveau de base)

42
Q

résultats de l’étude des chercheurs de Boston qui ont suivi un groupe d’étudiants (médecine dentaire) pendant une année universitaire et groupes les plus affectés

A

On mesurait leur taux d’immunoglobulines. Ce taux, qui était resté à peu près stable tout au long de l’année, chute à l’approche des examens

Cette diminution était particulièrement importante chez les étudiants très anxieux, ou ceux dont les parents étaient particulièrement préoccupés des résultats scolaires de leurs enfants.

43
Q

La réaction d’alarme
La sécrétion d’hormones :

A

Adrénaline, noradrénaline

44
Q

La phase d’adaptation ou de résistance
La sécrétion d’hormones :

A

ACTH, CRH, vasopressine, ocytocine, cortisol, etc

45
Q

La phase d’épuisement (lorsque le stress perdure)

A

Hyperactivité du SNA et hyperstimulation de l’axe corticotrope :

46
Q

dans la phase d’épuisement que ce passe-t-il avec les récepteurs du SNC et ce qu’il provoquent

A

Les récepteurs du SNC deviennent moins sensibles aux glucocorticoïdes et donc ils augmentent constamment dans la circulation. L’organisme est alors submergé d’hormones

47
Q

trop de cortisol produit quoi dans système immunitaire

A

Trop de cortisol supprime (diminue significativement) les réactions du système immunitaire

Au cours d’une période de cortisol augmenté, les cellules du système immunitaire diminuent du sang

À l’inverse, les niveaux plus bas du cortisol permettront à des
cellules du système immunitaire de circuler en excès

48
Q

Les glucocorticoïdes et leurs effets psychologiques. Des taux élevés de cortisol (chroniquement) apportent plusieurs troubles de

A

de l’humeur, de la dépression, des troubles anxieux, des troubles de panique, etc

49
Q

quelles habiletés sont grandement réduites quand trop de cortisol

A

Exposition prolongée: les habiletés mnésiques et attentionnelles (de concentration) sont grandement réduites (endommage l’hippocampe)

Somnolence, insomnie, sommeil perturbé

Irritabilité, euphorie /dépression

50
Q

Des études longitudinales semblent démontrer que plus un stress est sévère et prolongé, plus vulnérables sont les individus aux problèmes de santé.
Stress peut amener à :

A

Rhume ou grippe
Dépression
Plus grande susceptibilité à des infections respiratoire
Vulnérabilité accrue au cancer
Etc… -

51
Q

étude des sujets en santé et exposé à un virus respiratoire pis mesure le stress des sujets

A

Trouve une relation directe entre la quantité de stress et l’infection subséquente. Plus longtemps a été stressé augmente les chances d’attraper le rhume

394 sujets en santé : Cohen, Tyrrell & Smith (1991).
Mesure le stress des sujets
Tous exposés à un virus respiratoire
Ils n’attrapent pas tous le rhume…
Contrôle pour un grand nombre de variables explicatives qui peuvent parfois intervenir dans le lien stress-maladie:
âge, sexe, éducation, poids, saison, etc.
cigarette, alcool, exercice, etc.
variables de personnalité…

52
Q

Les études démontrent qu’il y a des liens entre le stress (les facteurs psychologiques) et plusieurs maladies

A

Hypertension
Les maladies cardio-vasculaires
Cancer
Hémorragie cérébrale
Migraines
Asthme
Arthrite
Allergies
Etc…

53
Q

% hypertension qui serait inexpliquée et serait relié à quoi

A

90% serait inexpliquée. Serait reliée au stress…

54
Q

Syndrome du sarreau blanc :

A

hypertension qui se produit seulement quand la pression sanguine est mesurée dans le bureau du docteur… -

55
Q

Adrénaline et noradrénaline et implication dans hypertension

A

augmente la force de contraction de cœur, la constriction des vaisseaux sanguins périphériques, et d’autres effets qui augmentent la pression sanguine

56
Q

Aldostérone, vasopressine et ocytocine: hypertension

A

le corps augmente le volume de sang en retenant le sodium et en augmentant la perméabilité des reins et en augmentant la constriction des vaisseaux sanguins

57
Q

Maladies cardio-vasculaires

A

Problèmes d’arythmie cardiaque (palpitations) pendant le stress

58
Q

Le stress augmente la libération de cholestérol dans le sang afin de fournir plus d’énergie pour le corps quand il commence à répondre à un stress physique :

A

artériosclérose

59
Q

que se passe t’il s’il n’y a aucune réaction physique au facteur de stress, avec les graisses

A

les graisses libérées (triglycérides) ne sont pas utilisées et ainsi elles restent dans la circulation sanguine, cherchant un endroit pour se déposer (cerveau et cœur)

60
Q

Le cancer

A

Développement de cellules mutantes qui se reproduisent rapidement (de façon anarchique) et en grande quantité, remplaçant les cellules saines

61
Q

comment stress peut favoriser le cancer

A

Le stress amène une suppression du système immunitaire et le système immunitaire n’arrive plus à détecter les cellules défectueuses

Quand le malade est sous l’effet du stress chronique, ses niveaux de cortisol continue à être élevé, diminuant la capacité de l’individu à guérir et diminuant aussi la production des globules blancs, laissant la personne encore plus vulnérable aux cellules cancéreuses

62
Q

Hémorragie cérébrale (AVC)

A

Le stress chronique peut augmenter l’exposition prolongée à une trop grande pression dans le cerveau, ce qui peux amener une fuite ou une rupture dans un vaisseau sanguin – causant une explosion (rupture) ou une accumulation de sang

63
Q

La production d’adrénaline en cas de stress et AVC

A

La production d’adrénaline en cas de stress, peut activer les plaquettes dans le sang et favoriser la coagulation, provoquant parfois un blocage des artères dans le cerveau ou à proximité

64
Q

Migraine, pourcentage

A

Plus de stress= plus de migraines (en quantité)

Serait un facteur déclenchant (plus de 70% des cas)

65
Q

quand est-ce que les migraines semblent survenir

A

Les migraines semblent survenir lorsque le stress est “enlevé” (weekends) : Stress = vaisseaux sanguins en constriction ; Stress “enlever” = vaisseaux sanguins se dilatent trop et engorge la tête de sang, causant la migraine

66
Q

hypothèses d’hormones et autres qui pourrait causer les migraines

A

Tension musculaire ? Augmenterait la pression au cerveau

ACTH ?

Cortisol

67
Q

Réponses allergiques

A

Les allergies sont des réactions immunes excessives aux substances (normalement) inoffensives

68
Q

substances sécréter durant les allergies

A

La réaction allergique entraine la libération d’une substance,
l’histamine, principale responsable des symptômes

69
Q

cortisone et allergies

A

Le cortisol a comme conséquence une plus grande production d’histamine une fois que sa production est déclenchée.

Par conséquent, la réponse à un allergène est moins bonne.

C’est pourquoi les antihistaminiques peuvent être utiles pour le soulagement d’allergie

Pas déclencher par le stress, mais aggravé par le stress parce que stress va produire encore plus d’histamine

70
Q

stress et muscles

A

Le stress augmente la contraction musculaire (muscle squelettique, lisse et cardiaque), ce qui donne des problèmes de santé interne tels que : hypertension, diarrhée et douleur à l’estomac, dos, bruxisme, etc.

Et donne une sensation de tension

71
Q

stress et peau

A

Le stress diminue la température de la peau (due à la constriction des vaisseaux) dans les parties périphériques du corps

La peau n’est pas un “organe” vital en cas de danger, elle ne recevra pas les “nutriments” importants pour se construire

Vasoconstriction périphérique. La peau est alors moins bien “nourrie”, peau moins en santé

72
Q

Maux de dos

A

La tension musculaire mène à la fatigue qui mène à la douleur musculaire, la douleur ou les blessures
Des maux de dos peuvent également être liés à une mauvaise posture, qui peut être lié au stress

73
Q

Arthrite Rhumatismale

A

Le stress semble déclencher des épisodes

Le soulagement du stress semble encourager des périodes de remissions

74
Q

La détresse psychologique entraîne des coûts importants pour les organisations car elle est associée :

A

Au présentéisme

  • La réduction du rendement des employés
  • Aux absences de courte et de longues durées
  • À des démissions d’employés
75
Q

L’OCDE (l’Organisation de Coopération et de Développement Économiques 2012) classe les problèmes de santé mentale en deux grandes catégories:

A

Les troubles mentaux qui relèvent de la psychiatrie (ex.: schizophrénie, troubles psychotiques, troubles bipolaires)

  • La détresse psychologique emphase que très importante dans le travail
76
Q

Labelle (et al) voient la santé mentale par le biais de deux concepts principaux :

A
  • Le bien-être psychologique
  • La détresse psychologique

Ils ajoutent que la présence de détresse psychologique peut avoir une valeur de signal “d’alarme”

77
Q

en générale la détresse psychologique désigne quel type d’état

A

Désigne un «état psychologique perturbé» mais dont la sévérité est souvent mineur

78
Q

la détresse psychologique réfère généralement à quels syndromes

A

Il réfère généralement aux syndromes les plus répandus dans la population générale, soient les syndromes dépressifs et anxieux

79
Q

La détresse psychologique est définie dans le DSM-5 (1) comme étant:

A

La détresse psychologique est définie dans le DSM-5 (1) comme étant un éventail de symptômes et d’expériences de la vie interne d’une personne qui sont communément considérés troublant, déroutant, ou hors de l’ordinaire.

80
Q

comment Perreault (1987) conçoit la détresse psychologique

A

“La détresse psychologique est à l’ensemble de la santé mentale ce que la fièvre est à l’ensemble des maladies infectieuses : un symptôme mesurable, signe évident d’un problème de santé mais qui ne peut à lui seul éclairer sur l’étiologie et la sévérité du problème auquel il se rattache”

Détresse psycho comme la fièvre peut être élevé/faible, mais va pas dire c’est quoi le prb de santé, ni intensité de fièvre va me dire gravité de maladie, mais dit que qqch se passe mal comme détresse psychologique

81
Q

Seuil de détresse psychologique ( )

82
Q

Pas possible de déterminer les individus ayant un niveau ( ) de détresse psychologique

A

«pathologique»

83
Q

On définit généralement la détresse psychologique comme un syndrome non spécifique qui inclut des symptômes reliés à : 7

A
  • la dépression (états dépressifs)
  • l’anxiété (états anxieux) qqch de plus présent/permanent, état anxieux plus élevé

l’irritabilité

l’épuisement

au désengagement social

des problèmes cognitifs

au stress

84
Q

Les signes de la détresse psychologique sont de quatre
ordres :

A

Physiques
Cognitifs
Émotifs
Comportementaux

85
Q

pour que se soit significatif les manifestations doivent correspondre à quel type de changement

A

Pour être significatives, ces manifestations doivent correspondre à un changement dans les habitudes et le comportement  quand commence à affecter les comportement va être considéré comme pathologique

86
Q

est-ce que la détresse psychologique a un lien direct avec une situation ou avec un lieu spécifique

A

N’est pas en lien (direct) avec une situation ou avec un lieu spécifique pour lequel se manifestent les symptômes

87
Q

Peut entraîner des problèmes de santé plus graves

A

Diverses maladies psychosomatiques

Hypertension artérielle

Alcoolisme

Dépression sévère

88
Q

Outils de mesure pour détresse psychologique

89
Q

Outils de mesure : IDPESQ

A

Un questionnaire auto-administré qui permet de mesurer les symptômes de dépression, d’anxiété, d’irritabilité et les problèmes cognitifs

Il mesure une symptomatologie non spécifique (détresse psychologique). Peut pas rattacher avec situation/endroit spécifique

  • Ne permet pas de déterminer la présence de troubles psychiatriques spécifiques