chirugie bariatrique Flashcards

1
Q

Critères d’élegibilité

A

Pour etre eligible le patient doit avoir :
Critères
-IMC > = 40 (maximum IMC que patient fait pdt la vie )
- Ou IMC >= 35 -40 faut un facteur de commorbidité
- Ou IMC 30-35 pour les patients diabetiques
- c’est une intention apres échec d’un ttt médical, nutritionnel et psychologique et diététique pdt 6-12 mois
- le parcours préop doit faire au moins 6 moins : IL DOIT FAIRE UN CHECK UP TOTAL avec tout les professionnels
max 60 ans

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Q

Les contre-indications: lire annexe !!!!

A

Les contre-indications:
-troubles cognitifs ou mentales
- Troubles severes de TCA
- incapacité du patient à participer à un suivi medical prolongé
- dependance à l’alcool et aux substances psychoactives -> peut causer dumping syndrome
- absence de prise en charge medicale identifiée
- maladies mettant en jeu le pronostic vital à court et moyen terme
- les contre indication à l’anesthesie generale

Centaines contre indications peuvent etre temporaires
-> l’équipe fait la decision finale si le dossier est accepté ou pas
- la secu choisi le dossier

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3
Q

chirurgie bariatric contre indications >

A

Troubles cognitifs ou mentaux
Impact sur la prise de décision : Les troubles cognitifs ou mentaux peuvent affecter la capacité d’un patient à comprendre les implications de la chirurgie, à suivre les recommandations médicales et à participer activement à son suivi post-opératoire.
Exemples : Cela peut inclure des troubles tels que la démence, des troubles de l’humeur sévères ou des troubles psychotiques.
2. Troubles sévères des troubles du comportement alimentaire (TCA)
Risque de complications : Les patients ayant des antécédents de troubles du comportement alimentaire, tels que l’anorexie ou la boulimie, peuvent avoir des comportements alimentaires qui compliquent la gestion post-opératoire et augmentent le risque de complications.
Importance de la prise en charge : Une évaluation et un traitement appropriés des TCA sont essentiels avant d’envisager une chirurgie bariatrique.
3. Incapacité du patient à participer à un suivi médical prolongé
Suivi essentiel : La chirurgie bariatrique nécessite un suivi médical régulier pour surveiller la perte de poids, la nutrition et la santé mentale. Si un patient n’est pas en mesure de s’engager dans ce suivi, cela peut compromettre les résultats de l’intervention.
Exemples : Cela peut inclure des patients ayant des problèmes de mobilité, des troubles cognitifs ou des problèmes sociaux qui rendent le suivi difficile.
4. Dépendance à l’alcool et aux substances psychoactives
Risque de dumping syndrome : La dépendance à l’alcool ou aux drogues peut entraîner des comportements alimentaires à risque après la chirurgie, comme la consommation excessive de sucre ou d’alcool, ce qui peut provoquer un dumping syndrome (une réaction indésirable après la chirurgie bariatrique).
Importance de la sobriété : Les patients doivent être stables sur le plan de la dépendance avant d’envisager la chirurgie.
5. Absence de prise en charge médicale identifiée
Évaluation préalable : Les patients doivent avoir une évaluation médicale complète et un plan de traitement en place avant de subir une chirurgie bariatrique. Cela inclut des consultations avec des médecins, des nutritionnistes et des psychologues.
Importance de l’équipe multidisciplinaire : Une approche collaborative est essentielle pour assurer la sécurité et le succès de l’intervention.
6. Maladies mettant en jeu le pronostic vital à court et moyen terme
Évaluation des risques : Les patients atteints de maladies graves, telles que des maladies cardiaques avancées, des cancers non traités ou des maladies pulmonaires sévères, peuvent avoir un risque accru de complications pendant ou après la chirurgie.
Priorisation des soins : Dans ces cas, il peut être nécessaire de traiter d’abord les problèmes de santé sous-jacents avant d’envisager la chirurgie bariatrique.
7. Contre-indications à l’anesthésie générale
Évaluation anesthésique : Certaines conditions médicales peuvent rendre l’anesthésie générale risquée, ce qui peut également affecter la décision de procéder à la chirurgie bariatrique.
Exemples : Cela peut inclure des problèmes cardiaques, respiratoires ou des allergies graves.
8. Décision finale de l’équipe médicale
Évaluation globale : L’équipe médicale, composée de chirurgiens, d’anesthésistes, de nutritionnistes et de psychologues, évalue chaque dossier de manière holistique pour déterminer si le patient est un bon candidat pour la chirurgie.
Choix de la sécurité sociale : La sécurité sociale peut également jouer un rôle dans l’approbation des dossiers, en s’assurant que les critères d’éligibilité sont respectés.

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4
Q

differents types

A

Sleeve - pasteque -> banana
Enleve 2/3 de l’estomac de maniere longitudinal
- dim la secretion de ghreline - faim
Complication- reflux oesophagien + inflamation

Bypass- connection entre un bout de estomac et intestin
Complication
- occlusion intestinale
Dumping plus important

Les types de chirurgie:
1. Restrictive pure - efficace en cas d’hyperphagie
Anneau gastrique et gastrectomie longitudinal (sleeve)
2. Mixte - malabsoption et restrictives (efficace en cas de grignotage incontrolable) court circuit gastrique by pass et derivation billio-pancreatique

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5
Q

types de chirurgie

A

Sleeve gastrectomie (Gastrectomie longitudinale)
Procédure : La sleeve gastrectomie consiste à retirer environ 2/3 de l’estomac de manière longitudinale, laissant un tube ou une “sleeve” (manche) qui ressemble à une banane. Cette réduction de la taille de l’estomac limite la quantité de nourriture que le patient peut consommer.
Impact sur la faim : En enlevant une grande partie de l’estomac, la sécrétion de ghréline, l’hormone responsable de la sensation de faim, est diminuée. Cela aide à réduire l’appétit et à favoriser la perte de poids.
Complications possibles :
Reflux œsophagien : Certains patients peuvent éprouver des symptômes de reflux acide après la chirurgie, car la modification de la structure de l’estomac peut affecter le fonctionnement du sphincter œsophagien inférieur.
Inflammation : Il peut également y avoir une inflammation de la muqueuse gastrique, surtout dans les premiers mois suivant la chirurgie.
2. Bypass gastrique
Procédure : Le bypass gastrique crée une connexion entre une petite poche de l’estomac (qui est laissée après la réduction) et une partie de l’intestin grêle. Cela contourne une partie de l’estomac et du duodénum, réduisant ainsi l’absorption des nutriments.
Impact sur la digestion : En contournant une partie de l’estomac et de l’intestin, le bypass gastrique réduit la quantité de nourriture que le patient peut consommer et diminue l’absorption des calories et des nutriments.
Complications possibles :
Occlusion intestinale : Il existe un risque d’occlusion intestinale, qui peut survenir si les intestins se tordent ou si des adhérences se forment après la chirurgie.
Dumping syndrome : Le syndrome de dumping est plus fréquent après un bypass gastrique. Il se produit lorsque les aliments passent trop rapidement dans l’intestin grêle, provoquant des symptômes tels que des nausées, des vomissements, des crampes abdominales et des diarrhées.
3. Types de chirurgie bariatrique
a) Chirurgie restrictive pure
Description : Ces procédures limitent la quantité de nourriture que le patient peut consommer sans affecter significativement l’absorption des nutriments.
Exemples :
Anneau gastrique : Un anneau ajustable est placé autour de la partie supérieure de l’estomac pour créer une petite poche. Cela limite la quantité de nourriture que le patient peut manger et ralentit la digestion.
Sleeve gastrectomie : Comme décrit précédemment, cette procédure réduit la taille de l’estomac et diminue la sécrétion de ghréline.
b) Chirurgie mixte
Description : Ces procédures combinent des éléments de restriction et de malabsorption, ce qui les rend efficaces pour les patients ayant des comportements alimentaires incontrôlables, comme le grignotage.
Exemples :
Bypass gastrique : Cette procédure crée une petite poche d’estomac et contourne une partie de l’intestin, réduisant ainsi l’apport calorique et l’absorption des nutriments.
Dérivation bilio-pancréatique : Cette procédure plus complexe implique une réduction de l’estomac et un contournement d’une grande partie de l’intestin grêle, entraînant une malabsorption plus importante.

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6
Q

Suivi dietetique en post-op immediat

A

-le patient reste à jeun jusqu’au TOGD (pas tout les centres
- protocole de realimentation validé par le chirugien
- debut de réaliemntation à J1 - potage yaourt compote ex reali
- dans certains centre la réalimentation va plus lentement ou plus vite
- suivi regulier du patient dans le service jusqu’à sortie
- regime de sortie personnalisé avec la repartition journaliere ainsi que les aliments autorisés ceux à éviter
- suivi telephonique possible après la sortie (si questions)

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7
Q

Conseils generaux : higiene de vie general

A

-évitez les repas trop copieux , fractionnez vos repas 3 repas + collations
- manger lentement dans le calme ( plus contact avec salive mieux sera digeré )mastiquer correctement
- variez votre alimentation (legumes , laitages, compotes avec des gouts differents)
- L’apparition de la sensation de satiété
- buvez peu en mangeant
- eau plate , jus de fruit, the , café
- evitez les boissons gazeuses
- evitez les boissons et les ali trop chauds et trop froids
Eviter preparation grasses

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8
Q

Les 3 premieres jours

A

Les 3 premieres jours (à l’hopital ) texture liquide:PYC
Pas de VPO
- lait - écreme , demi ecreme
- laitage 3 par jour : fromage blanc, yaourt , petit suisse , flan s sucre
- fromage à tartiner
Legume- choissir les legumes pauvres en fibres irritantes tous cuits
Fruits - cuits pour le moment s la peau en compote et s sucre
MG - huiles vegetales , beurre , margarine
Boissons - eau ,minerale , plate , the , café
Prise ali de 200ml max per repas selon tolerance

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9
Q

A partir du 3eme jour

A

La texture doit etre sous forme de purée
Alimenter à ajouter
- viande maigre et degraissés mixée20-30g
- jambon blanc
- poisson maigres de preference - merlan , baudroie , colin, sole
-oeufs
Prise alimentaore de 250ml par repas selon tolerance

A partir de 15 jours :
Ali texture molle - omellete , flan ,
Puis au bout de 3 sem à 1 mois visite chez diet : reintroduction cruidités , pain, viande de texture normale , OH , et gazeux interdit au bout de 3-6 mois selon tolerence - dumping

Suivi tout au long:
Consultation dietetique 1 mois apres la chirugie afin de resoudre les eventuels problemes ( texture , carences)
Consultations de suivi à m+3, m+6, mois +12

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10
Q

liste des aliments à éviter

A
  • ali gras - charcuterie etc
  • le sucre
  • les boisson sucres
    l’alcool
    Les fruits secs
    Les pulpes ou peaux de raisin et pepins
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11
Q

overall schema realimentation

A

Schéma de ré-alimentation post-chirurgicale (1er mois)
Semaine 1 : Phase liquide
Objectif : Hydratation et prévention de la déshydratation.
Aliments autorisés :
Liquides clairs : eau, bouillon, thé, café sans sucre.
Jus de fruits dilués (sans pulpe).
Suppléments protéinés liquides (si recommandé par le médecin).
Consignes :
Prendre de petites gorgées pour éviter les nausées.
Éviter les boissons gazeuses et les boissons contenant de la caféine.
Semaine 2 : Phase purée
Objectif : Introduction de textures plus épaisses tout en maintenant une bonne hydratation.
Aliments autorisés :
Aliments en purée : purées de légumes, compotes de fruits, yaourts nature.
Protéines en purée : viandes ou poissons cuits et réduits en purée, œufs brouillés.
Soupe mixée.
Consignes :
Continuer à boire beaucoup d’eau.
Manger lentement et bien mastiquer les aliments.
Semaine 3 : Phase semi-solide
Objectif : Introduction de textures semi-solides tout en continuant à surveiller la tolérance.
Aliments autorisés :
Aliments semi-solides : légumes cuits et écrasés, fruits bien mûrs (sans peau), fromage frais.
Protéines : viandes hachées, poisson cuit, œufs.
Consignes :
Éviter les aliments riches en graisses et en sucres.
Prendre des repas plus fréquents mais en petites quantités.
Semaine 4 : Phase solide progressive
Objectif : Retour progressif à une alimentation normale, mais avec des choix alimentaires sains.
Aliments autorisés :
Aliments solides : viandes maigres, poissons, légumes cuits, fruits.
Céréales complètes en petites quantités.
Consignes :
Écouter les signaux de faim et de satiété.
Éviter les aliments transformés et riches en sucres ajoutés.
Continuer à prendre des suppléments vitaminiques et minéraux si recommandé.

Phase 1 : Liquides clairs (J1 à J7 environ)
Objectif : protéger l’estomac et éviter toute pression excessive.

Aliments autorisés :
Eau plate.
Bouillons clairs dégraissés.
Infusions sans sucre.
Lait écrémé ou boissons végétales enrichies en calcium (sans sucre ajouté).
Suppléments protéiques liquides (prescrits par l’équipe médicale).
Quantités :
Prises fractionnées : 50 à 100 ml par prise, toutes les 15-20 minutes.
Objectif : 1,5 à 2 litres de liquides par jour.
Consignes spécifiques :
Introduire les liquides très progressivement, à température ambiante.
Éviter les boissons gazeuses, alcoolisées ou sucrées.
Phase 2 : Texture lisse ou mixée (J7 à J14)
Objectif : réintroduire doucement des aliments nutritifs sous une forme facile à digérer.

Aliments autorisés :
Soupes épaisses, veloutés sans morceaux.
Purées très lisses de légumes bien cuits (sans fibres, peaux ou filaments).
Compotes sans sucres ajoutés.
Yaourts nature, fromage blanc 0% (nature ou enrichi en protéines).
Protéines mixées : poisson blanc, viande blanche mixée, œuf dur mixé avec un peu de liquide.
Suppléments protéiques (prescrits si nécessaire).
Quantités :
5 à 6 petites prises par jour.
Commencer par 1 à 2 cuillères à soupe et augmenter progressivement.
Consignes spécifiques :
Les textures doivent être parfaitement homogènes.
Manger lentement et s’arrêter dès les premiers signes de satiété.

Phase 3 : Aliments tendres et moulinés (Semaine 3 à Semaine 4)
Objectif : tester une mastication douce avec des aliments de consistance molle.

Aliments autorisés :
Légumes bien cuits, écrasés à la fourchette.
Fruits bien mûrs, écrasés ou en compote.
Viandes tendres hachées finement (poulet, dinde, veau).
Poissons tendres (cabillaud, colin, saumon) écrasés.
Œufs en omelette ou mollets.
Féculeux mous (pommes de terre, patates douces, semoule, polenta).
Fromages frais, yaourts nature.
Quantités :
Toujours en petites portions (3-4 cuillères à soupe maximum par repas).
Consignes spécifiques :
Introduire un aliment à la fois pour tester la tolérance.
Mâcher lentement les aliments tendres.
Continuer à éviter les aliments gras, épicés, sucrés ou difficiles à digérer (pain, riz compact, viande rouge filandreuse).

Phase 4 : Alimentation solide et équilibrée (à partir de la 4ᵉ semaine)
Objectif : réintroduire progressivement une alimentation variée et équilibrée.

Aliments autorisés :
Viandes maigres, poissons et œufs (introduits en petites quantités).
Légumes bien cuits, sans peaux ni fibres dures.
Fruits frais pelés et bien mûrs.
Céréales et féculents (en petite quantité et bien cuits).
Produits laitiers faibles en matières grasses.
Matières grasses : en très petites quantités (ex. : 1 c. à c. d’huile végétale).
Quantités :
Repas fractionnés : 5 à 6 prises alimentaires par jour.
Petites portions, en respectant les signaux de satiété.
Consignes spécifiques :
Introduire les aliments solides très progressivement.
Mastication lente et complète avant d’avaler.
Éviter les aliments difficiles à digérer (croûtes, aliments frits, noix, crudités).
Règles générales de la réalimentation :
Hydratation : boire régulièrement entre les repas (1,5 L par jour), sans boire pendant les repas.
Supplémentation : prendre les vitamines et minéraux prescrits (multivitamines, fer, calcium, B12, etc.).
Fractionnement : 5 à 6 petits repas par jour, en respectant la satiété.
Éviter les aliments interdits : boissons gazeuses, sucres rapides, aliments gras ou très fibreux.
Écouter les signaux du corps : s’arrêter dès les premiers signes de satiété.
Suivi post-opératoire :
Rendez-vous réguliers avec le chirurgien, le médecin traitant et le diététicien.
Surveillance des carences nutritionnelles (prise de sang).
Adapter le plan alimentaire en fonction des progrès et de la tolérance individuelle.

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12
Q

Besoins nutritionnels

A

BESOINS :
Apport énergétiques:
30kcal /poids ajusté (formule broca)

En pratique : les apports spontanés sont souvent inferieurs à 500kcal les 1eres semaines
Bypass- supp B12 obligatoire
Sleeve - bilan vitaminique obligatoire

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