Allergies Flashcards
Signes cliniques d’une rhinite
PAREO Prurit nasal Anosmie Rhinorrhée acqueuse ou hydrorrhée Eternuements Obstructions nasale
Signes clinique de la conjonctivite
Larmoiement Rougeur Démangeaison
Quand donner de la vitamine K
Si INR > 6 et hémorragie mineure : faible ou moyenne dose Si syndrome hémorragique majeur : forte dose
Quand arrêter les AVK lors d’un surdosage
Si INR > 6
Prévalence de la rhinite allergique en France
30% chez l’adulte
Prévalence de l’hypersensibilité médicamenteuse en France
7% de la population générale
Prévalence de l’atopie en France
30-40% de la population à >= 1 test cutané positif
Prévalence de l’asthme en France
10-15% des enfants et adolescents 5-7% des adultes
Prévalence de l’allergie alimentaire en France
2% des enfants
Morbidité de l’asthme
1000 décès par an
Facteurs de risque de l’hypersensibilité
Génétique Habitudes alimentaires (consommation dans la petite enfance, non allaitement, obésité) Tabagisme passif Environnement allergénique Pollution atmosphérique Théories hygiénistes
Diagnostic d’une anaphylaxie
Dosage de la tryptase sérique
Age de début moyen de la dermatite atopique
3 mois
Aggravation brutale des lésions d’une dermatite atopique + AEG
Kaposi Juliusberg
Bilan d’un angio-oedème faciaux récidivant
NFS, VS, CRP, Ac antiTPO, EPS recherche de foyer infectieux ORL ou dentaire Si contexte familial (oedeme angioneurotique héréditaire) : dosage du complément, et de l’inhibiteur de la C1 estérase
Bilan d’un urticaire accompagné d’arthralgies
NFS, VS, CRP, Ac antiTPO, EPS Dosage complément, recherche de FAN, protéinurie, bilan immun
Bilan d’un urticaire chronique
NFS, VS, CRP, Ac antiTPO, EPS +/- tests plus complets si points d’appels : prick test, test glacon, d’effort, de pression, etc
Bilan d’un urticaire fixe, peu prurigineux
Suspicion d’urticaire par vasculite NFS, VS, CRP, Ac antiTPO, EPS biopsie cutanée avec IFD
Bilan d’un urticaire fébrile
NFS, VS, CRP, Ac antiTPO, EPS Dosage complément, recherche de FAN, protéinurie, bilan immun
Bilan d’un urticaire hyperéosinophile
NFS, VS, CRP, Ac antiTPO, EPS Recherche de parasitose
Bilan diagnostic d’un oedeme angioneurotique héréditaire
Dosage du complément, et de l’inhibiteur de la C1 estérase
Bilan face à une suspicion de vasculite urticarienne
Suspicion d’urticaire par vasculite NFS, VS, CRP, Ac antiTPO, EPS biopsie cutanée avec IFD
Clinique d’une vasculite urticarienne
Urticaire de petite taille, peu prurigineux, avec halo de vasoconstriction, fixes durant plus de 24h. Hyperthermie, arthralgies, troubles digestifs fréquents. Purpura associé, laissant une pigmentation post-lésionelle transitoire.
Clinique de l’oedeme angioneurotique
Episodes récidivants d’angio-oedeme sans urticaire. Respecte les paupières, prédomine aux extrémités et aux organes génitaux externes. Atteitnes digestives trompeuses : douleurs abdominales ou syndrome pseudo occlusif. Facteurs déclanchants (chirurgie, endoscopie, oestrogènes)
Clinique de la dermatite atopique
Erythème + oedème + vésicules coalescentes, avec érosions, suintement et croutes + prurit et excoriations
Complcations de la dermatite atopique
Surinfections cutanées par impétiginisation (staph doré) ou Kaposi Juliusberg (HSV1). Eczéma de contact des topiques. Retard de croissance rares (chercher autres causes, dont allergie alimentaire) Ophtalmo exceptionelles : kératoconjictivites ou cataracte. Erythrodemie. Troubles psy (hyperactif, insomnie par prurit).
Critères diagnostics de la dermatite atopique
Enfant qui se gratte + Au moins 3 parmi : - ATCD de dermatite des plis de flexion ou des joues - ATCD d’asthme - ATCD de peau sèche généralisée sur la dernière année - Eczéma des grands plis ou des convexités - Enfant >4 ans ayant des signes apparus avant 2 ans
Dermatite atopique de l’adolescent
Erythème et xérose du visage, rczématides achromiantes,eczéma nummulaire chronique lichénifié, accentuation folliculaire des lésions sur peau noire
Dermatite atopique de l’enfant de 0-2 ans
Atteintes asymétriques de la convexité des membres, du visage (joues++) avec respect de la partie médiane. Respect de la zone des couches
Dermatite atopique de l’enfant de plus de 2 ans
Lésions des plis (cou, coudes, genoux) et des zones bastions (mains, chevilles, mamelon, fissure sous auriculaire)
Diagnostic de l’oedeme angioneurotique
C1 inhibiteur abaissé C2 et C4 abaissés C3 normal
Différences entre anti-histaminiques H1 de 1ère et de 2ème génération
Sédation par les 1ère géné
Eczématides achromiantes
Taches planches par dermatite atopique
ETP de la dermatite atopique
Lutte contre les idées reçues. Eviter les facteurs aggravants (textiles irritants, tabac, transpiration, herpés, bains courts, retarder la diversification des aliments, …)
Evolution de la dermatite atopique
Chronique avec poussées, s’aggravant l’hiver. Autres manifestations allergiques.
Indication du prick test dans la dermatite atopique
Si forme grave échapant au traitement. Si suspicion d’‘allergie alimentaire, respiratoire, eczéma de contact
Indication du traitement prophylactique de l’oedeme angioneurotique
> 1 crise/mois
Mutation génétiques de la dermatites atopiques
Mutation hétérozygote de la filaggrine (25-50%)
Médicaments bloquant la dégranulation des mastocytes
Kétolifène ou anti-leucotriènes (montélukast)
Oedeme angioneurotique
Déficit en inhibiteur de la C1 estérase Episodes récidivants d’angio-oedeme sans urticaire. Respecte les paupières, prédomine aux extrémités et aux organes génitaux externes. Atteitnes digestives trompeuses : douleurs abdominales ou syndrome pseudo occlusif. Facteurs déclanchants (chirurgie, endoscopie, oestrogènes)
PEC d’un urticaire chronique
4-8 semaines d’antihistaminiques H1 Si échec bilan : NFS, VS, CRP, Ac antiTPO, EPS +/- tests plus complets si points d’appels
Physiopathologie de la dermatite atopique
Facteurs immunologiques, génétiques et environnementaux
Place des émollients dans la dermatite atopique
Systématiques, quotidiens, plus en hiver, pour rétablir la barrière cutanée.
Principaux médicaments responsables d’urticaire
B-lactamines Asesthésiques généraux (curares) AINS, aspirine IEC Produits de contraste iodé Sérums et vaccins
Prévalence de la dermatite atopique
10-25% des enfants des pays industrialisés
Retard de croissance dans la dermatite atopique
Rare, dans les dermatite atopiques graves, chercher d’autres causes, dont les allergies alimentaires.
Suivi de la dermatite atopique
Clinique, qté de dermocorticoides, score clinique SCORAD, QUALYS, soutien psy
Traitement d’un oedeme de Quincke avec dyspnée
Adrénaline sous cutanée 0,5mg à répéter toutes les 15 min + réa + O2
Traitement d’un oedeme de Quincke avec gêne laryngée
adrénaline en aérosol
Traitement d’un urticaire superficielle isolé
Anti H1 de 2nd génération pendant 1 semaine
Traitement d’une crise d’oedeme angioneurotique grave
hospit + perf de C1 inhibiteur (ou ocatiban) + corticoides si grave
Traitement d’une forme modérée d’oedeme de Quincke
1-2 ampoules de bétaméthasone ou déxa puis 1 ampoule de polaramine à renouveller si besoin
Traitement de l’oedeme angioneurotique
Prophylactique si >1crise/mois : androgène (danazol) ou acide tranexamique si CI Traitement de crises : acide tranexamique si peu important ou hospit + perf de CA inhibiteur ou ocatiban + corticoides si grave
Traitement de l’urticaire chronique idiopathique
Anti H1 de 2nd génération >3mois arrêtés progressivement après arrêt des poussées. Si persistance après 4 semaines : + anti H1 1ère génération
traitement de la dermatite atopique
Dermocorticoides modérés à très forts 1/jour avec décroissance progressive après amélioration. Emollients quotidients ETP En seconde intention si échec : inhibiteurs de la calcineurine topique (tacrolimus) en ATU, crème 2/j. Anti H1 1èré géné en appoint.
Traitement prophylactique de l’oedeme angioneurotique
Androgène : danazol Acide tranexamique si CI Que si >1 crise/mois
Traitement symptomatique de l’urticaire
Anti-histaminique H1 de 2nde génération ++ +/- associé à 1ère génération / anti H2 / kétotifène Psychotropes si retentissement psy Corticoides 3-5j dans les formes profuses