Sémiologie Flashcards

1
Q

Qu’est ce que la sémiologie?

A

La sémiologie consiste à étudier les signes qui traduisent la présence ou non d’une détresse, d’un traumatisme ou d’une maladie.

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2
Q

les différentes catégories d’âges?

A

Catégories Âges
Adulte à partir de la puberté
Enfant de 1 an à la puberté
Nourrisson de 1 semaine à 1 an
Nouveau né < 1 semaine

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3
Q

Analyse de la plainte
Pour chaque plainte exprimée, et par ticulièrement pour la douleur, le sapeur-pompier doit demander à la victime de préciser :

A

• Provoqué par…: les circonstances de survenue et le ou les facteurs déclenchant ;
• Qualités: ses caractéristiques: brûlures, oppression…;
• Région du corps atteinte: sa localisation précise;
• Sévérité: son intensité qui doit être évaluée au moyen de l’échelle verbale simple (EVS) et son évolution;
• Temps de la plainte (la durée et l’évolution dans le
temps) : depuis combien de temps dure la plainte, en précisant si possible l’heure du début de la plainte ou de la douleur et son évolution (disparition, atténuation), en précisant les facteurs aggravants ou calmants celle-ci.

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4
Q

La douleur est évaluée au moyen de l’échelle verbale simple (EVS)

A
  • 1, si la réponse est « un peu » ;
  • 2, si la réponse est « beaucoup » ;
  • 3, si la réponse est « insupportable ».
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5
Q

Recherche des antécédents

Elle s’effectue à l’aide du « MHTA » :

A
  • Maladies ou malaises :
  • Hospitalisation:
  • Traitement médical :
  • Allergies :
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6
Q

score de Glasgow.

Ouverture des yeux Y

A

4 Spontanée
3 À la demande
2 À la douleur
1 Aucune

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7
Q

score de Glasgow.

Réponse verbale V

A
5 Orientée
4 Confuse
3 nappropriée
2 Grognements
1 Aucune
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8
Q

score de Glasgow.

Réponse motrice M

A
6  À la demande
5  Réponse orientée adaptée
4  Évitement non adapté
3  I Flexion des bras
2  Extension + rotation interne des bras
1 Aucune
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9
Q

score de Glasgow.

Évaluation de la réponse verbale

A

5/ Orientée
La personne se souvient de son nom, de son âge, du jour, de l’endroit où elle se trouve et de ce qui lui est arrivé.

4/ Confuse
La victime commet des erreurs, montre des signes de désorientation, d’amnésie ou se répète régulièrement.

3/ Inappropriée
Les réponses données ne correspondent pas aux
questions posées.

2/ Incompréhensible
Ne parle plus. Grogne ou marmonne soit
spontanément, soit lors de la stimulation douloureuse.

1/ Aucune
Ne parle plus du tout, plus aucun son ne sort de sa bouche.

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10
Q

score de Glasgow.

Évaluation de l’ouverture des yeux

A

4/ Spontanée
Les yeux sont ouverts ou s’ouvrent spontanément,
le regard est normal.

3/ À la demande
Les yeux sont fermés, mais la personne les ouvre lorsqu’on lui demande.

2/ À la douleur
Les yeux sont fermés et ne s’ouvrent que lorsqu’un
stimulus douloureux est réalisé.

1/ Aucune
Aucune ouverture des yeux, même en cas de stimulus douloureux.

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11
Q

score de Glasgow.

Évaluation de la réponse motrice

A

6/ À la demande
Répond aux ordres simples de façon adaptée.

5/ Orientée
La stimulation douloureuse entraîne un mouvement plus ou moins violent de la victime qui essaie de se soustraire à la douleur.

4/ Repoussement non adapté
Le mouvement ne recherche plus avec précision à se soustraire à la douleur, il n’est plus adapté ou à
peine ébauché.

3/ Flexion des avant-bras
Lors de la stimulation douloureuse, les avant-bras ont tendance à se mettre en flexion sur les bras (décortication).

2/ Extension des bras
Lors de la stimulation douloureuse, les bras ont
tendance à se mettre en extension et en rotation interne (poings souvent fermés et paumes tournées vers l’extérieur) (décérébration).

1/ Aucune
Aucune réaction à la stimulation douloureuse.

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12
Q

Une victime doit être mise en PLS systématiquement à partir d’un score de Glasgow inférieur ou égal à ?

A

10

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13
Q

Qu’est ce que l’intervalle libre ?

A

L’intervalle libre est la durée qui sépare la survenue du traumatisme crânien (avec ou sans PCI) de la perte de connaissance secondaire. Il convient d’en apprécier la durée (de quelques minutes à plusieurs heures). Plus l’intervalle libre est court, plus la compression cérébrale est rapide.

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14
Q

Si à l’arrivée des sapeurs-pompiers, la victime est inconsciente depuis plus de 5 minutes, on parle alors de :

A

coma.

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15
Q

La recherche de la sensibilité et de la motricité doit être effectuée lorsque l’on est en présence:

A
  • d’une suspicion d’un traumatisme de membre;
  • d’une suspicion de traumatisme du rachis;
  • d’une atteinte cérébrale (AVC, traumatisme crânien…).
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16
Q

Pour la motricité, on appelle:

A
  • parésie une diminution de la force motrice;

* paralysie une absence de mouvement.

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17
Q

Pour la sensibilité, on recherche:

A
  • des fourmillements ;
  • des sensations de décharge électrique;
  • une diminution ou une abolition de la sensibilité.
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18
Q

Suite à un traumatisme de membre, la recherche de sensibilité et de motricité permet de savoir s’il existe une compression d’un nerf au niveau d’une fracture ou d’une luxation.Pour cela, il convient de rechercher :

A
  • un trouble de la motricité en demandant à la victime de bouger doucement les doigts ou les orteils;
  • un trouble de la sensibilité en lui demandant si elle ressent de façon symétrique un effleurement effectué sur le dos de sa main ou de son pied.
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19
Q

Suspicion de traumatisme du rachis

Pour cela, il convient de rechercher pour chacun des 4 membres:

A

un trouble de la sensibilité

un trouble de la motricité

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20
Q

Suspicion de traumatisme du rachis

Ces troubles peuvent concerner :

A
  • les membres inférieurs, on parle alors de paraparésie ou de paraplégie;
  • les 4 membres, on parle alors de tétraparésie ou de tétraplégie.
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21
Q

Atteinte cérébrale
La recherche de sensibilité et de motricité permet dans ce cas de mettre en évidence l’impor tance de l’atteinte cérébrale et sa localisation.
Pour cela il convient de rechercher :

A

• un trouble de la motricité des membres supérieurs en demandant à la victime:
- de serrer simultanément les mains du sauveteur ;
- de fermer les yeux et d’élever les bras devant elle
pendant 10 secondes;
• un trouble de la motricité des membres inférieurs
• un trouble de la sensibilité
• une réaction normale:
- la pression exercée par les mains de la victime est identique,
- les deux bras tendus restent au même niveau,
- les deux jambes légèrement relevées restent au même niveau ou retombent de façon symétrique;
• une réaction anormale:
- la pression exercée par les mains de la victime est différente,
- un des deux bras ne s’élève pas autant que l’autre, chute progressivement ou ne s’élève pas du tout,
- une des jambes redescend plus vite que l’autre ou
retombe brutalement.

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22
Q

Qu’est ce qu’une monoparésie ou une monoplégie

A

paralysie d’un seul membre

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23
Q

Qu’est ce qu’une hémiparésie ou une hémiplégie,

A

C’est une diminution ou une absence de motricité de la moitié droite ou gauche du corps.

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24
Q

En pratique, une tétraplégie ou une paraplégie sont le plus souvent la conséquence ?

A

d’un traumatisme du rachis

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25
Q

une hémiplégie est probablement liée à une atteinte ?

A

du cerveau (traumatisme crânien, accident vasculaire cérébral…).

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26
Q

Réaction pupillaire
L’étude des pupilles, et par ticulièrement celle du réflexe photomoteur, doit être faite systématiquement au cours du bilan. Elle peut apporter des informations capitales sur l’état
de la victime lorsqu’elle présente:

A
  • un traumatisme crânien;
  • des troubles neurologiques;
  • un coma;
  • un arrêt cardiaque.
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27
Q

Il existe 2 techniques de recherche de l’efficacité du réflexe pupillaire:

A

• technique de recherche au moyen d’une lampe
Cette manoeuvre doit être répétée 3 fois de suite, pour confirmer l’existence d’une anomalie.
• technique de recherche sans lampe
Cette technique ne peut être réalisée que si la luminosité du milieu ambiant est importante.
Cette manoeuvre doit également être répétée 3 fois de suite.

28
Q

Au cours de l’observation des pupilles, il est important d’évaluer plusieurs paramètres:

A

• la réactivité à la lumière: on parle de pupilles réactives ou non (aréactives) ;
• la symétrie: les deux pupilles doivent avoir la même taille et doivent réagir de la même manière. On parle alors de pupilles symétriques ou asymétriques;
• le diamètre: les pupilles peuvent être soit :
- de taille intermédiaire,
- dilatées (mydriase),
- resserrées (myosis).

29
Q

Si la victime est inconsciente et que ses 2 pupilles sont en mydriase aréactive, de quoi s’agit il ?

A

il s’agit d’une souffrance aiguë du cerveau voire de sa destruction, ou d’une intoxication par médicaments ou par drogue.

30
Q

Une victime en arrêt cardiaque, sans massage cardiaque, est généralement en mydriase bilatérale. Si l’on constate,
après la mise en oeuvre de la réanimation cardio-pulmonaire, une diminution de diamètre des pupilles ou, mieux, une réaction à la lumière, cela signifie que:

A
  • le cerveau n’est pas mort ;

* la réanimation est efficace.

31
Q

Évaluation de la raideur de la nuque
Cette évaluation se fait en dehors de toute notion de traumatisme du rachis.
Elle correspond à :

A

une atteinte des méninges le plus souvent d’origine infectieuse (méningite), par fois hémorragique.

32
Q

Qu’elles sont Signes accompagnant les atteintes neurologiques ?

A

• La photophobie est une intolérance à la lumière.
• Les céphalées
• Les troubles de l’équilibre et les vertige
• Les troubles de la vigilance ou du comportement :
- la somnolence ou l’agitation
- la désorientation
- l’amnésie
- l’obnubilation
• Les saignements de l’oreille (otorragie)
• Les convulsions
• Les vomissements en jets et répétés

33
Q

les différentes fréquences respiratoires ?

A

Adulte 12 à 20
Enfant 20 à 30
Nourrisson 30 à 40
Nouveau-né 40 à 60

34
Q

Qu’est ce que la dyspnée ?

A

La dyspnée est le signe principal de la détresse

respiratoire.

35
Q

Qu’est ce que la bradypnée

A

la fréquence est plus lente ;

36
Q

Qu’est ce que la tachypnée

A

augmentation de la fréquence avec une conservation du volume courant.

37
Q

Qu’est ce que la polypnée

A

augmentation de la fréquence mais avec une diminution du volume courant. C’est une respiration rapide et superficielle,

38
Q

La dyspnée peut être:

A

• inspiratoire, lorsque la victime présente des
difficultés lors de l’inspiration.(obstruction par un corps étranger, laryngite, épiglottite…) ;
• expiratoire, lorsque la victime présente des difficultés lors de l’expiration;(asthme par exemple);
• aux 2 temps, lors d’une trachéite.

39
Q

Signes d’accompagnement d’une detresse respiratoire ?

A
• Le battement des ailes du nez
• Le tirage
• Les bruits anormaux
     - sifflements
     - ronflements
     - râles
• Le balancement thoraco-abdominal
• La cyanose
• Les sueurs et la moiteur
• Les signes d’épuisement
40
Q

Signes spécifiques d’une detresse respiratoire ?

A
  • La mousse aux lèvres,
  • La présence de sang dans les crachats
  • L’emphysème sous-cutané,
41
Q

Qu’est ce que L’emphysème sous-cutané ?

A

Il se caractérise par la présence d’un gonflement très modéré de la surface de la peau, au niveau de la partie supérieure du thorax et de la face latérale du cou. Il provoque au toucher une sensation de « crépitation neigeuse » (comme si on enfonçait la main dans de la neige un peu gelée).

42
Q

Qu’est ce que le gasp ?

A

Les gasps sont des mouvements réflexes d’apparence respiratoire, inefficaces, que l’on peut par fois observer chez une personne inconsciente, en train d’agoniser (un pouls peut encore être perçu à ce stade).
Les gasps peuvent précéder l’arrêt cardiaque et même persister après. Leur durée est très variable, de quelques minutes à plusieurs dizaines de minutes.

43
Q

• Le pouls central est facilement perceptible sur le trajet des grosses artères:

A
  • pouls carotidien, au niveau du cou;

- pouls fémoral, au pli de l’aine.

44
Q

• Le pouls périphérique est perceptible sur le trajet des artères plus petites:

A
  • chez l’adulte:
    • pouls radial, au poignet, dans l’axe du pouce,
    • pouls pédieux, sur le dos du pied;
  • chez le nouveau-né et le nourrisson:
    • pouls huméral, sur la face interne du bras.
45
Q

Une victime, sera considérée en arrêt cardiaque si :

A
  • aucun battement n’est perçu sur une durée de 10 secondes lors d’une prise de pouls carotidien;
  • le rythme est inférieur à 60 battements par minute chez le nouveau-né à la naissance.
46
Q

En présence d’une détresse circulatoire, le rythme

cardiaque va se modifier. On parle alors de :

A
  • tachycardie s’il y a augmentation de la fréquence;

* bradycardie, s’il y a une diminution de la fréquence. C’est un signe de gravité qui souvent précède l’arrêt cardiaque.

47
Q

Tableau de valeurs normales de la fréquence circulatoire

A

Adulte 60 à 100
Enfant 70 à 140
Nourrisson 100 à 140
Nouveau-né 120 à 160

48
Q

La pression artérielle est la résultante:

A
  • de la contraction des ventricules;
  • du calibre des vaisseaux sanguins;
  • du volume de sang éjecté.
49
Q

La pression artérielle

On note deux chiffres:

A
  • la pression systolique (ou maxima) qui est la pression qui règne dans les artères au moment de la contraction des ventricules;
  • la pression diastolique (ou minima) qui est la pression qui règne dans les ar tères au moment ou le coeur est au repos (elle n’est jamais nulle).
50
Q

La différence entre la diastolique et la systolique s’appelle ?

A

la pression différentielle.

51
Q

Hormis chez la femme enceinte on parlera d’hypertension artérielle, lorsque la pression artérielle systolique est supérieure ?

A

à 160 mm Hg au repos;

52
Q

Hormis chez la femme enceinte on parlera d’hypotension artérielle, lorsqu’elle est inférieure ou égale ?

A

à 100 mm Hg.

53
Q

Les signes d’accompagnement d’une détresse circulatoire ?

A
Coloration de la peau et des muqueuses
Le temps de recoloration cutanée
La sensation de soif
Les extrémités froides des membres
Les sueurs abondantes et persistantes,
Les marbrures
Évaluation de la circulation
54
Q

La palpation de l’abdomen doit être systématiquement réalisée:

A

• en cas de douleur spontanée;
• en l’absence de douleur spontanée s’il y a :
- une suspicion de traumatisme abdominal,
- une détresse circulatoire sans origine évidente.

55
Q

La palpation de l’abdomen permettra:

A
  • de préciser la localisation;
  • d’évaluer l’intensité de la douleur ;
  • d’apprécier la souplesse et son évolution dans le temps, par des examens répétés
56
Q

L’abdomen peut :

A
  • être indolore ou non;
  • être souple;
  • se défendre: contraction musculaire à l’endroit palpé;
  • présenter une contracture généralisée: c’est le « ventre de bois » qui ne se laisse pas déprimer.
57
Q

Les zones de l’abdomen

A

Hypocondre droit / Épigastre / Hypocondre gauche

flanc droit / région ombilicale / flanc gauche

Fosse iliaque droite / Hypogastre / Fosse iliaque gauche

58
Q

Température

Un individu est en hyperthermie

A

• lorsque sa température est supérieure à

37,5 °C;

59
Q

Température

Un individu est en hypothermie

A

• lorsqu’elle est inférieure à 35 °C.

60
Q

Hypothermie sévère

A

< 32

61
Q

Hypothermie modérée

A

32 - 35

62
Q

Température moyenne

A

35 - 37,5

63
Q

Hyperthermie modérée ou fièvre

A

37,5 - 41

64
Q

Hyperthermie sévère

A

> 41

65
Q

que nous permet d’évaluer la sémiologie ?

A
Évaluation du trouble, de la douleur  et recherche des antécédents
Évaluation des signes neurologiques
Évaluation des signes respiratoires
Évaluation des signes circulatoires
Évaluation d’une douleur abdominale
La température