Révision examen 2 Flashcards
la douleur est une condition _______
biopsychosociale
douleur chronique est une maladie à part entière
vrai
la douleur est expérience personnelle qui est influencée
facteurs biologiques
psychologiques
sociaux
douleur et nociception sont similaires
faux ce sont des phénomènes différetns
dlr ne peut être déduite uniquement activité des neurones sensoriels
incapacité à communiquer signifie qu’il n’y a pas de dlr
faux
n’exclut pas possibilité éprouver douleur
douleur cancéreuse peut venir de quoi
cancer lui même
métastase
traitement
guidelines en douleur
- dépistage : échelle quantitative ou semi
- évaluation : approche globale
- qualité de vie : confort, fonction, limiter ES, assurer sécurité
4 signes vitaux
FC
débit respiratoire
TA
température
localisation douleur viscérale
tête cou
cavité pelvienne
cavité thoracique
cavité abdo
mécanismes dlr viscérale
distension
inflammation
compression
ischémie
infiltration par une tumeur dlr viscérale
infiltration plèvre viscérale
perforation digestive
occlusion
douleur sus-pubienne
douleur périnéale
syndrome rétropéritonéal médian
pancréas (dlr épigastrique, région thoracique postérieur basse, augmentation dlr couchée)
ganglion
rein
uretère
obstruction urétérale
dlr avec irradiation en inguinale
spastique
sévère
syndrome distension hépatique
dlr région hépatique ou sous-costale/épaule droite
occlusion intestinale chronique
dlr colique ou continue
sx digestif (no/vo)
traitement dlr viscérale
tx symptomatique
lever obstacle/obstruction
chirurgie +++
chimio ou radiothérapie
caractéristiques dlr osseuse
os, articulation, muscle ou tissu conjonctif
vive
très bien localisée
rarement référée (hanche)
douleur persistante
parfois spasme
traitement douleur osseuse
chimiotx
thérapie ciblée
immunotx
radiotx +++
co-analgésie +/- opioïde
prévention complication
compression médullaire
1er sx = douleur
sévère
progressive
aggravé par mvt, toux, éternuement, couchée
trouble sensitif, moteur et sphinctérien
douleur neuropathique localisation
méninge
moelle
racine
plexus
nerf périphérique
névralgie
dlr sévère
unilatérale
paroxystique
coup couteau
dlr cou, gorge, oreille, mastoïde
toux, déglutition, mastication, parole
radiculopathie
espace péridurale
dlr continue ou intermittente
irradiation en ceinture a/n poitrine ou abdomen
avec ou sans déficit neurologique
DN4
brûlure, froid douloureux, décharge électrique
fourmillement, picotement, engourdissement, démangeaison
hypoesthésie tact, piqûre, dlr augmentée frottement
action mastocyte que j’oublie
diminution consommation O2 myocarde
- angine réfractaire nitro
endocrien que j’oublie
peu ou pas effet fonction thyroïdienne
myosis sauf
si hypoxémie sévère
pupilles peuvent être dilatées
mécanisme expliquant dépression respiratoire
- inhibition centre respiration
- diminution sensibilité chémorc centraux aux augmentations CO2
donc diminution drive respi liée augmentation CO2
explique également efficacité dans dyspnée
but avec trouble usage
bonne utilisation de la médication
pas la peur de l’utiliser
facteurs de risque abus
âge
ATCD abus
activité criminelle
tabagisme
entourage à risque
RISQUE (aimer)
DÉPRESSION SÉVÈRE/ANXIÉTÉ
clé dépendance
SUIVI
nom des rx avec interaction tramadol
IMAO
ISRS
anorexigène
ADT
cyclobenzaprine
neuroleptique
opioïde
naloxone
rx abaissent seuil convulsif
ES en début tx
xérostomie
prurit
no/vo
constipation
sédation (3-5 jours)
définition bioD
proportion qui atteint circulation sanguine sous forme inchangée
M6G
2-4x + actif
émétisant
M3G
peu affinité mu
excitabilité neuronale
tolérance et hyperalgésie
intx rc NDM?
effet M3G et H3G
agitation
hallucination/confusion
myoclonie
convulsion
hyperalgésie
effet M6G
sédation
nausée
dépression respiratoire
coma
analgésie
IH
plus fragile (encéphalopathie)
hypoalbuminémie
particularités oxycodone
pas formulation injectable
IR < 30 = PRUDENCE
2D6 oxymorphone
3A4 noroxycodone
dose départ fentora
toujours initier avec plus faible dose 100 ug
titré façon ascendante
intervalle entre chaque dose = 2h
ES fentora
no/vo
constipation
bouche sèche
somnolence, étourdissement
céphalée
fatigue
essoufflement
avantage fentanyl IV
peu ou pas hypotension
métabolisme mépéridine
hydrolysé
conjugué
N-déméthlyation en normépéridine
naloxone et mépéridine
convulsions ne sont pas renversées par naloxone
même empirées
utilisation spéciale mépéridine
IV pour frisson
fonctionne au bout seringue
répétable aux 10 mins
synthétique = utile si allergie sévère
PO pu dispo au Canada
CYP méthadone
1A2
3A4
2B6
2C19
2C9
2D6
méthadone utile pour
rétablir sensibilité opioïde
éviter/renverser hyperalgésie
avantages PO
de choix
simple, pratique, économique
plusieurs formes dispo
inconvénients PO
attention si problème absorption (vo, obstruction)
avantages SL
pratique
éviter premier passage
inconvénients SL
éviter avaler 1-2 mins
volume < 0.3 ml
fentanyl
avantages rectale
alternative voie PO
seulement courte action
utile si :
- nausée
- dysphagie
- bouche douloureuse
inconvénients rectale
absorption erratique
voie déjà surutilisée
diminution temps contact constipation
défécation interrompt
éviter si fissure ou hémorroïde
avantages transdermique
facile utiliser si dlr STABLE
intéressant nausée
mime perfusion continue
longue durée action
inconvénients transdermique
coût
début lent 12h
effet réservoir 14-25h
absorption variable
ajustement dose difficile
avantages SC
voie parentérale de choix
administration intermittente via papillon ou continue via pompe
inconvénients SC
1 seul rx par papillon
risque induration
volume < 1-4
avantages IM
NON RECOMMANDÉ
inconvénients IM
incommodant
douloureux
souvent cachexique
avantages IV
rapidité action
inconvénients IV
veine difficile à utiliser
tolérance rapide
risque infx
quoi éviter IR
mépéridine
oxycodone
morphine
prudence inhibiteur
méthadone
oxycodone
fentanyl
codéine
début action et pic action
fréquence administration courte action en général q4h
entredose souvent q2h
ED alors qu’une LA vient d’être administrée
- le pic LA est retardé
tolérance croisée
sous-type de rc : mu1, 2 ou 3
affinité de chaque molécule n’est pas égale
effet résiduel timbre
8h en général on dit
effet max et délai action timbre
effet max 16-24h
délai action 12h
augmentation absorption timbre lors :
exercice physique intense
élévation T corporelle : fièvre, bain, canicule
par augmentation flot sangui
quoi faire PO vers transdermique
appliquer timbre + 1 dose LA
ou
continuer dose régulière courte action 0, 4h et 8h
cause émèse
stimulation CTZ
stase gastrique
stimulation vestibulaire
cas réfractaire
stimulation CTZ
antidopaminergique
haldol ou prochlorpérazine
stase gastrique
modulateur motilité GI
métoclopramide ou dompéridone
stimulation vestibulaire
antihistaminique
gravol
cas réfractaire
ondansétron
dose timbre dispo
12
25
37
50
75
100
timbre sandoz
37
taille + petite
contenu supérieur
dx différentiel épilepsie
cause neurocardiogénique
vol sous clabière
syncope origine cardiaque
désordre métabolique
convulsion
psychogène
ATCD personnel
diabète
maladie cardiaque
épilepsie
ATCD familiaux
maladie cardiaque
épilepsie
rx à surveiller
antiHTA
vasoD
antidépresseur
rx allonge QT
crise provoquée + souvent
généralisée
crise symptomatique aigue le plus souvent
focale
EEG évolue
de façon parallèle avec maturation cérébrale
quand survient les récurrences
surtout première année suivant première crise
facteur de risque récidive crise
lésion cérébrale ou insulte antérieure
anomalie épileptiforme (EEG)
anomalie IRM
CRISE SURVENUE AU SOMMEIL
crise épilepsie est
survenue signe ou sx de façon transitoire en lien avec activité cérébrale anormale excessive et/ou hypersynchronie neuronale
facteurs qui contribuent définition syndrome épileptique
âge début
précipitants
variations diurnes
dysfonction intellectuelle et psychiatrique
trouvaille EEG/IRM
histoire familiale et génétique
étiologie
structurelle
génétique
infectieuse
métabolique
auto-immune
inconnue
absence infantile
3-12 ans
fille
absence ou CGTC
hyperventilation
génétique
haut taux rémission
épilepsie myoclonique juvénile
10-25 ans
fille
crise myoclonique, absence ou CGTC
photosensibilité
génétique
tx au long cours, peu rémission
absence
arrêt comportemental
aucune confusion
lobe + fréquent
temporal
status associé risque élevé de
récurrence status
épilepsie subséquente
détérioration épilepsie pré-existante
test phase 1
anamnèse
IRM
EEG
TEP
SPECT
IRM fonctionnelle
bilan neuro
quel type épilepsie plus à risque psychose
temporale
7-14%
quoi éviter :
- pancréatite
- néphrolitiase
- bloc AV
acide valproïque
topiramate
lacosamide
AE possible obtenir Cp
acide valproïque
phénytoïne
CBZ
phénobarbital
éthosuximide
suivi CP le + important
suivi clinique épilepsie
pas juste un chiffre
si ES SNC quoi plus efficace
diminution dose
si intermittent : diviser plusieurs prises ou LP
facteurs de risque trouble cognitif
âge
AE
caractéristique EEG
crise : durée, étiologie, fréquence
localisation foyer
topiramate effet cognitif
dose dépendant
langage, mémoire, concentration
agent diminuant DMO
acide valpro
benzo
CBZ
gabapentin
oxcarbazépine
phénytoïne
phénobarbital - primidone
réaction grave cutanée
2 mois suivant début tx
AE aromatique (phény, CBZ, phéno) et lamotrigine
ES SNC + fréquent
somnolence
étourdissement
ES enfant
acide valproique
hépatotoxicité
surtout < 2 ans et si maladie métabolique
ES enfant
réaction paradoxale
phénobarbital et benzo
ES enfant
lamotrigine
rash
ES enfant ES cognitif
phénobarbital
topiramate
cause aggravation
chg hormonaux
chg métabolique
vomissement
diminution sommeil
diminution adhésion
effet crise généralisée
traumatisme
balance électrolytique
système CV
oxygénation
rupture membrane
hématome
hémorragie intracrânienne
status grossesse
risque élevé décès mère et foetus
taux mortalité
10x + élevé
crise augmente risque
avortement spontané
HTA
prééclampsie
travail pré terme
CGTC à répétition
retard développement cognitif
diminue QI verbal
quand augmente AF à 1 mg
CBZ
phénytoïne
phénob
primidone
acide valproïque
cb de temps on augmente à 1 mg
ad 12eme semaine
peut être diminué à 0.4 mg après 12eme semaine
cause changement PK
diminue absorption
augmente vd
diminue albumine
augmente métabolisme
augmente clairance
CP recommandé en grossesse
CBZ controversé
phénobarbital
phénytoïne
lamotrigine
lévétiracetam
Cp à envisager
oxcarbazépine
topiramate
quoi peut être nécessaire
mesure fraction libre
effet AE sur grossesse
avortement spontané
faible poids naissance
retard développement en bas âge = long terme
PA
25% > 65 ans
maladie cérébro-vasculaire et démence
comorbidité, polypharmacie
diminution absorption, métabolisme et ALBUMINE
sélectif COX2
pas effet plaquettaire
ES rénaux IDEM
ES GI et CV (pire parfois)
choix coanalgésie
type douleur
comorbidité
inhibiteur COX 2 sélectif donnée en dlr cancéreuse
non étudié pour efficacité contrôle douleur cancéreuse
quand donner cytoprotection
65 ans
ATCD ulcère
prise cortico, AAS, AOD
maladie avancée
comorbidité
tabac/alcool
coxib + cytoprotection
75 ans
ATCD ulcère compliqué
AOD
prégabalin douleur osseuse
choix logique et sécuritaire
peut diminuer besoin opioïde
effet bénéfique bisphosphonate et dénosumab
diminue formation métastase osseuse
diminue morbidité et complication
diminue : fracture, douleur, radiotx, compression, hypercalcémie
ES opioïde le plus vu si dose trop élevée avec coanalgésie
somnolence
no/vo
poso prégabalin
début action 1semaine
25-600 mg en entretien
clonazépam
antinociceptif vs anxiolytique
myorelaxant
lamotrigine coanalgésie
bloque canaux sodiques et inhibe glutamate
25-50 ad 600
ajuster IR
rash
topiramate coanalgésie
bloque canaux sodiques, calciques
GABA
50-1600 mg
ajuster IR
intx
dose ADT
10-25 mg
augmenter 10-25 q1-4 sem
50-150 mg entretien
lidocaïne crème aide pour
allodynie
douleur périphérique
voie admin clonidine
intrathécale
épidurale
topique
mécanisme clonidine
inhibe neurotransmission
déplétion substance P
GABA
baclofen
inhibe excitateur
trijumeau, spastique
somnolence, confusion, no/vo
kétamine peut prévenir ou renverse sensibilisation centrale (hyperalgésie)
efficacité rapportée
PO kétamine
métabolite nor-kétamine
indications méthadone
dlr neuropathique
intolérance/allergie opioïde
hyperalgésie
méthadone très utile
hyperalgésie et tolérance
douleur neuropathique
dlr cancéreuse ORL
dlr complexe IR
nabilone agoniste
particularités
CB1
haute bioD
longue demi-vie 20h
sativex indications
spasticité SP
douleur neuropathique SP
cancer avancé dlr modéré ou grave
conditions particulières
cannabis
produit qualité, stable
plus goudron et agent cancérogène que tabac
affaiblit SI
volcano vaporisateur homologué pour fumée
loi fédérale
nozinan indications
dlr réfractaire
ED insuffisante
substitution opioïde
sédation palliative
nozinan avantage
pas développement tolérance
pas renversé par naloxone (agent analgésique)
peu ou pas dépression respi
ne renverse pas sx sevrage morphine