Questions patho Flashcards
Lors d’une transfusion sanguine, le culot globulaire survit
A. 6 mois
B. 42j
C. 72j
D. 1j
B
La mortalité à long terme d’une transfusion de sang incompatible est due :
A. Hémolyse aigue
B. Insuffisance rénale
C. Hépatite
C
SIADH :
A. Urines concentrées
B. Na urinaire augmenté
C. VEC légèrement augmenté ou normal
D. Hyponatrémie
ABCD
Quels types de rayons ne peuvent pas être utilisés pour une tumeur profonde ?
A. Beta
B. Gamma
C. Accélérateur linéaire
A
Appendicite chez une femme enceinte :
A. Proposer intervention
B. Surtout ne pas opérer
C. Opération immédiate
C
Risque acceptable d’infection dans une cure de hernie inguinale est de :
A. 2%
B. 4%
C. 6%
D. 30%
E. 10%
A : plaie propre -> max 1,6%
Dans le ttt de l’hyperkaliémie, il ne faut pas :
A. Traiter par du carbonate de Na
B. Donner du sulfate de Mg
C. Donner du gluconate de Ca
B
Dans l insuffisance rénale pré rénale :
A. Ne pas donner de Nacl
B. DOnner du lasix en première mesure
C. Na urinaire <20mEq/l
D. Na urinaire >40mEq/l
E. Il existe des cylindres urinaires
C
L’obstruction post op est le plus souvent due à :
A. Une adhérence
B. Une invagination
C. Une strangulation
D. Un fécalome
A
Une dose de 5000UI d’héparine est donnée avant une intervention élective, il faut :
A. Administrer la même dose de protamine
B. Administer la demi dose de protamine rapidement
C. Ne rien donner et post poser l’opération de 3-4h
D. DOnner de la vitamine K
E. Donner du FFP
C.
A si chir urgente
Lors d’un trauma thoracique :
A. La hernie diaphragmatique gauche se voit toujours à la rx de thorax
B. La lésion de la bronche souche G peut passer inaperçue.
C. Nécessite toujours un drain thoracique
D. La lésion oesophagienne se voit toujours à l’OED
E. L’élévation des CPK et des GOT est spécifique de lésions cardiaques
B
D > dans 70% des cas
Les vitamines :
A. les vitamines A D E K donc hydrosolubles et donc réabsorbées dans l’intestin proximal
B. Les vitamines liposolubles sont stockées au niveau du coeur, des reins et des muscles.
C. Les vitamines liposolubles sont nécessaires à l’inflammation et à la cicatrisation.
C
A > liposolubles
B> foie, tissu adipeux, peau
Une Hb > 10g/dl est suffisante sauf en cas de :
A. Insuffisance rénale
B. Débit cardiaque diminué
C. Maladie hépatique
B
Patient chir pulmonaire est à risque d’immobilité post op immédiate (rép F):
A. La détermination de la FVC (CVF) et de la FEV1 (Forced expiratory volume in 1 sec) est la méthode la plus fiable afin de déterminer la fonction pulmonaire du patient.
B. L’oedème pulmonaire augmente les risques d’infection pulmonaire post op
C. L’arrêt du tabac pendant 6 semaines avant la chir diminue les complications pulmonaires de 50 à 10 %
D. L’utilisation excessive d’O2 n’influence pas la rétention de CO2 chez l’insuffisant respiratoire chronique.
E. L’insuffisante respiratoire post op se manifeste par une tachypnée, une augmentation de la PCO2 et une diminution de la PO2
D
L’atélectasie pulmonaire est présente chez >25% des patients ayant eu une chir abdominale : rép F :
A. L’atélectasie pulmonaire est responsable pour 10% des épisodes fébriles post op immédiats.
B. Elle est habituellement résolutive
C. L’effet immédiat d’une atélectasie pulmonaire est une oxygénation diminuée
D. En cas de persistance d’une atélectasie de plus de 3 j, la pneumonie se développe presque toujours
E. Elle se manifeste par de la fièvre, de la tachypnée et de la tachycardie
A : 90%
La mise en place de cathéter de monitoring peut provoquer plusieurs complications. Rép F :
A. La mise en palce et le retrait d’un cathéter central peuvent être compliquées d’aspiration d air (embolie gazeuse)
B. Une tamponnade aigue peut etre une complication de la mise en place d’un cathé central
C. La perméabilité du système artériel ulnaire peut être élavuée par le test d Allen
D. En cas d’apparition d embolie gazeuse, il est utile de positionner le patient en décubitus latéral G et en Trendelenburg
E. La phlébite suppurative est habituellement causée par un streptocoque
E : staph
L’opération parfaite implique un suivi correct des troubles hydro électrolytiques. Rep F :
A. Les pertes sensibles et insensibles en ml/24h de l’adulte sont environ égales au poids en kg du patient x30
B. Il est nécessaire d ajouter du potassium dans les perf dès la fin de l’intervention
C Un supplément de 20mEq de K+ est nécessaire par litre de liquide gastrique
D. L’intubation naso gastrique de routine est nécessaire après chaque intervention
E. Les pertes excessives de liquide gastrique mènent au développement d’une alcalose hypochlorémique
D
La transplantation d’organes entre individus génétiquement différents appartenant à une même espèce peut être compliquée d’un rejet. Rep F :
A. Rejet hyper aigu lié à la présence d’anticorps cytotoxiques préformés contre les lymphocytes du donneur, se manifeste dès la revascularisation du greffon rénal
B. Le rejet hyperaigu est exceptionnel en transplantation hépatique
C. Le diagnostic du rejet se base sur la concordance de données cliniques présents, biochimiques et histologiques
D. Le rejet chronique hépatique se manifeste par une destruction, disparition des canaux biliaires
E. Le rejet hépatique est caractérisé par une modification spécifique des test hépatiques.
E : non spécifique (cytolyse +sd infl)
Problèmes endocrinologiques chez le patient chir. Rep F :
A. La quantité de cortisol endogène pour faire face au stress de l’intervention est de 300mg/j
B. Un coma par myxoedème s’accompagne d’hypothermie et de rétention de CO2
C. Les patients souffrant d’insuffisance pan hypophysaire doivent avant tout être traités avec de l’insuline.
D. Les patients sous corticothérapie chronique peuvent présenter une hypokaliémie importante ainsi qu’une HTA importante.
E. Un coma hyper osmolaire survient rarement avec une glycémie inf à 800mg/dl ainsi qu avec une osmolalité inf à 340mEq/l
C : L thyroxine et cortisol
Concernant les insuffisants cardiaques qui doivent subir une intervention chirurgicale :
A. Il est futile de contrôler la fonction du VG chez des patients qui après un infarctus transmural ne présentent pas de signes de décompensation cardiaque
B. La dilatation de l’OG ne provoque jamais de dysphagie
C. L’angor instable est un facteur de risque aussi important que l’existence d’un atcd récent d’infarctus
D. Une sténose aortique, même prononcée, est mieux supportée qu une IAo
E. Les risques de décompensation cardiaque décroissent après J2 post op au moment de la mobilisation du 3ème secteur
C
E : croissent dans les 72h
Concernant les complication respi éventuelles :
A. La fréquence des complications respi est la même en cas d’intervention chir abdo basse qu en cas d intervention chir sur le membre sup
B. L existence d’une pharyngite et d’une trachéite ne constitue pas une CI pour une intervention élective pour autant qu il n’y ait pas de rétention de sécrétions trachéo bronchiques
C. L’existence d’une pathologie pulmonaire chronique avec des valeurs de PaCO2 quasi normale n augmente pas de façon significative la fréquence des complications respi post op en cas de chir extra thoracique
D. Le patient souffrant d asthme bronchique ne présente plus de problème respi dès qu il est sous narcose
E. Les patients souffrant d’une fibrose pulmonaire, consécutive à la prise de bléomycine ont besoin d’une concentration plus élevée en O2 pendant la ventilation artificielle
C
A> Thoraco>abdo haut>abdo bas>périph
B> trachéite = CI absolue, pharyngite = CI relative
Le patient chirurgical et la transfusion. rép V :
A. Une poussée fébrile, immédiatement consécutive à une transfusion sanguine est en général causée par une réaction du receveur contre les GB du donneur.
B. Au moins 10% des transfusions causent des réactions allergiques qui peuvent être potentiellement fatales.
C. La contamination par le virus HIV est dans les pays occidentaux la contamination virale transfusionnelle la plus fréquente.
D. L’anémie ralentit la guérison des plaies dans la mesure où la formation de collagène est en relation avec la valeur de l’hématocrite.
E. Une réaction hémolytique qui se produit immédiatement après une transfusion est modérée et causée par des anticorps iso immunitaires créés dans les suites d’une transfusion antérieure ou d une grossesse.
A
B>1-3%
D>en fonction PO2
Concernant les intervention chirurgicales pendant la grossesse, rép F :
A. Un examen rx du bas ventre pendant le 2nd trimestre de grossesse comporte moins de risque pour le foetus qu’une scinti de la thyroïde au moyen de radio isotopes
B. Une app non compliquée après la 23°SA n’entraîne un risque d accouchement préma que pendant la 1ere semaine post op
C. La présence d’une hernie inguinale ou ombilicale chez parturiente nécessite la cure de celle ci pendant la 2eme moitié de la grossesse. L intervention ne peut être post posée à après l accouchement.
D. Une cholécystite aiguë survenant durant le 1er trimestre doit par opposition à l app être traitée de façon non opératoire.
E. L’existence d’un signe de Bryan positif n’a pas de relevance dans le diagnostic de l’occlusion intestinale pdt la grossesse.
C
E> signe d app aigue
Un patient de plus de 65 ans présente des problèmes spécifiques en cas d’intervention chir. Rep F
A. Un patient souffrant de troubles ischémiques cardiaques est le plus à risque de présenter une décompensation cardiaque dans les premières heures suivant une intervention chir
B. Le système cardiovasc résiste moins bien au stress opératoire parce que la réponse aux catécholamines est réduites.
C. La réduction habituelle en fonction de l’âge de la fonction pulmonaire ne constitue pas un risque accru chez un patient ne souffrant pas de maladie pulmonaire
D. La cimétidine favorise la circulation hépatique et réduit, par conséquent, la toxicité de la morphine.
E. Les patients présentant une hypo albuminémie sont plus à risque de présenter des complications toxiques en cas d’utilisation de quinidine ou de propanolol.
D > diminue flux sanguin hép et inhibe enzymes hép