Prévention-promotion Flashcards

1
Q

Qu’est-ce qu’un facteur de risque? À quels niveaux s’appliquent-ils? (3)

A

Facteurs de risque: « un danger éventuel plus ou moins prévisible qui rend la personne qui en est affectée vulnérable sur le plan de la santé »

Niveaux:

1) Individuels
ex: le bagage génétique, les sentiments personnels dévalorisants

2) relationnels
ex: conflits, rejet, isolement, intimidation

3) environnementaux
ex: la faiblesse du soutien social (certaines communautés qui ont des liens plus serrés), le chômage, manque d’accès aux services, statut socio-économique

Souvent, ces niveaux s’entrecroisent et s’additionnent.

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2
Q

Qu’est-ce qu’un facteur de protection? À quels niveaux s’appliquent-ils? (3)

A

Facteurs de protection (de robustesse): «des facteurs qui outillent les individus et les groupes pour affronter des contextes stressants ou agressants dans leur environnement social.»
Conditions qui diminuent la probabilité que des individus ou un groupe développent des problèmes de santé mentale.

Niveaux:

1) Individuels
ex: estime de soi, compétence de gestion de la colère

2) Relationnels
ex: attachement avec les parents, qualité des amitiés

3) Environnementaux
ex: présence d’organismes d’entraide, parcs et autres lieux de socialisation

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3
Q

Quels sont les 2 concepts centraux dans la prévention-promotion?

A

Facteurs de risque
Facteurs de protection

2 côtés d’une même médaille.

Ce qui est important:
Comment on les utilise pour penser nos programmes de prévention-promotion?

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4
Q

Qu’est-ce que la prévention?

A

La prévention vise la réduction de l’incidence des problèmes de santé mentale en s’attaquant aux facteurs de risque et aux conditions pathogènes.

  • Elle s’adresse à la population en général ou à certains groupes particuliers exposés à de tels facteurs ou conditions. La majorité du temps, on s’adresse à des sous-groupes particuliers qui sont particulièrement exposés à ces facteurs de risques.
  • Directement liée aux facteurs de risques. Les actions mises en place s’adressent à ces facteurs de risques.
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5
Q

Qu’est-ce que la promotion?

A

La promotion vise l’accroissement du bien-être personnel et collectif en développant
des facteurs de robustesse et les conditions favorables à la santé mentale.

On veut augmenter les facteurs de protection.Son action porte sur les facteurs de protection plutôt que sur des facteurs de risque, et vise la population en général (majoritairement) et des sous-groupes particuliers.
exemple : passe-partout. Mais les personnes qui ont plus de déficiences bénéficient plus des programmes de promotions. Mais les reste de la population en bénéficie aussi.

Ne cible pas une maladie ou un problème
Car l’absence de problèmes ne signifie pas qu’il y a la présence du bien-être
Pourquoi?
Conception de la santé mentale et du bien-être sur continuum distinct

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6
Q

Qu’est-ce qui distingue la prévention de la promotion?

A

Pour certains du pareil au même:
En 1983, Bouchard suggérait : « d’abandonner le concept de prévention au profit de celui de promotion qui implique d’agir sur tous les facteurs qui entravent le développement, qu’ils soient sociaux ou individuels. »

Pour d’autres, il s’agit des deux faces d’une même médaille: chaque fois qu’on conçoit un programme de prévention, on peut concevoir un programme de promotion complémentaire (cela dépend sur quoi on met l’emphase)

Le plus souvent, on conçoit la différence entre les deux de la sorte: la prévention implique un groupe à risque par rapport à une situation particulière alors que promotion de la santé s’adresse à population dans son ensemble
Ex. légalisation de la marijuana et conduite automobile
Ex. le partage de la route à Montréal

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7
Q

Pk est-ce difficile de vendre des programme de promotion?

A

Car les programmes s’adressent à des personnes qui, de prime abord, ne semblent pas dans le besoin.

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8
Q

Quels sont les défis des programmes de promotion présentés dans le texte de Lionel Dany? (3)

A
  1. défi réflexif (Comment penser l’objet et le sujet de la prévention ?) dans le texte de Lionel Dany,
    les comportements de santé comme des comportements sociaux qui sont conçus schématiquement comme étant fonction des attitudes et des croyances des individus et des groupes par rapport à des objets ou des situations: ce qui perçu comme «une menace» pour un groupe n’est pas perçu comme tel par un autre groupe
    À partir de quelle place sociale l’individu est-il amené à évaluer ses comportements de santé et ce qui est risqué ? Le texte parle du «bien fumé»; «bien-boire»
    Manque de donnée probante sur le fais que l’accès à de l’information/criminalisation = diminution ou dissuasion du comportement
  2. défi créatif (Comment mettre en oeuvre la prévention ?) dans le texte de Lionel Dany
    - Autres paradigmes que la répression s’appuyant sur des prémisses novatrices comme la réduction des méfaits: (1) le risque zéro n’existe pas; (2) Contribuer à rendre les individus acteurs de leur santé en s’appuyant sur leur ressources et en privilégiant une approche qui donne toute son importance à la subjectivité des individus.
  3. défi éthique (Comment mettre en oeuvre la prévention dans le respect de chacun ?) dans le texte de Lionel Dany
    - La prévention, quelle que soit son intention, est en mesure de stigmatiser les individus et les groupes sociaux. En pointant les comportements nocifs ou non appropriés, nous pointons (sans le vouloir parfois) des individus et/ou des groupes qui, de fait, se trouvent étiquetés comme étant à risque ou déviants.
  4. Défi évaluatif
    - Une évaluation formative et non pas punitive; tolère l’absence de résultats afin de favoriser l’expérimentation et la prise de risque de la part des acteurs de la prévention.
    - Porte sur le développement de recherche pour étudier les programmes de prévention existants pour en tirer les effets potentiels et pour caractériser lrd critères d’efficiences. Permettrait de pallier au problème d’adaptation culturelle
    - Soucis de transparence (transparence des faits, transparence des liens, transparence des causes)
    - Peut être mené en développant la formation à un niveau général ou à un plus haut niveau de spécialisation
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9
Q

En quoi la prévention-promotion se distingue de l’action thérapeutique?

A

L’action thérapeutique : ce qu’on apprend en psycho clinique. Avoir les outils pour gérer un problème une fois qu’il est présent. Aspect curatif.

La prévention/promotion se distinguent de l’action thérapeutique ou curative par:

1) La précocité de l’action
2) Le caractère proactif de l’intervention (on va chercher les personnes sans qu’elles le demandent nécessairement)
3) La prise en compte de différentes dimensions (individuelles, relationnelles, environnementales)

La prévention/promotion ne peuvent être réduite à une seule méthode ni à une seule stratégie d’intervention. Pour une même cible d’intervention, ce ne sont pas tous les individus qui partagent les mêmes caractéristiques. Il y a une hétérogénéité dans le groupe qui fait en sorte que chaque individu répond à sa façon à l’intervention.

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10
Q

Comment Fréchette propose d’intervenir selon une approche écologique? (3) Quelles sont les cibles vs les niveaux d’intervention?

A

1)
- cible d’intervention: Intervention universelle
- Niveaux d’intervention: Individu et environnement.

2) - Cible d’intervention: Groupes à risques
- Niveaux d’intervention: Individu et environnement

3) - Cible d’intervention: Gens qui vivent des transitions (inclut le chronosystème)
- Niveaux d’interventions: individu et environnement.

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11
Q

Selon l’exemple de la consommation de cannabis et de conduite au Québec, quelles sont les cibles d’interventions et les niveaux d’intervention selon les 3 propositions d’intervenir de Fréchette?

A

1) Cible d’intervention: Intervention universelle (tous les habitants du Québec)

Niveau d’intervention:

  • individus: Campagnes publicitaires sur la consommation responsable
  • Environnement: augmentation des barrages routiers.

2) Cibles d’interventions: Groupes à risques (consommateurs réguliers)

Niveaux d’interventions:

  • Individu: offrir une trousse détectant la capacité à conduire en fonction du niveau de THC dans le sang
  • Environnement: offrir des endroits facilement accessible en transport en commun pour acheter et consommer

3) Cible d’interventions:
Gens qui vivent des transitions (périodes de fêtes, adolescence)

Niveaux d’intervention:

  • Individu: promouvoir le réflexe du «chauffeur désigné»
  • Environnement: offrir un service de raccompagnement à domicile gratuit
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12
Q

Quel est le problème avec la prévention? Selon Fréchette

A

«Le principal problème avec la prévention est qu’il est presque impossible de l’évaluer et que la réussite en prévention participe à la limite de l’utopie de la disparition des problèmes» (Fréchette, 2004, p. 239)

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13
Q

Quels sont les caractéristiques des programmes efficaces selon Fréchette?

A

1) Utilisent une approche globale
- intervenir de façon multiple dans de multiples milieux
(autant individuel qu’environnemental)

2) Procèdent à une analyse en profondeur du contexte d’implantation et des répercussions possibles (exemple des campagnes de prévention du cannabis)
3) Assurent un «Dosage» suffisant; l’action dans la durée. Le message doit être répété.

4) Se basent sur la recherche et la théorie (aspect méthodologique)
- Référence à un modèle logique d’action fondé sur des concepts et des connaissances solides et des exemples inspirants

5) Donnent des opportunités de relations positives (important que la prévention soit pairée avec de la promotion) et l’établissement de relais (les personnes faisant partie des communauté qui vont continuer l’action du programme une fois qu’il est fini)
6) Incluent l’évaluation des résultats
7) S’appliquent au bon moment; notion de «timing» et de « fenêtre d’opportunité» Fait référence aux éléments autres dans la société qui poussent vers un certain changement. ex: courant “me too”. C’est surtout vrai lorsqu’au niveau social, on est à l’opposé de ce qu’on veut promouvoir. Important de connaître le contexte actuel et passé.

8) Se veulent pertinents au contexte socioculturel (fait référence au chronosystème)
- Sensibilité aux particularités de la communauté hôte, son histoire, ses expériences antérieures

9) Misent sur l’organisation, la planification et l’accès à des ressources suffisantes

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14
Q

Explique l’exemple de Hamel et Vrakas sur le phénomène des gangs.

A

Porte sur la prise en charge de la délinquance juvénile au Québec.

Contexte passé:

  • À ses débuts (début des années 1900), approche répressive et juridique
  • Vers 1950, changement vers une approche de rééducation
  • Centre Boscoville (1954)
  • Offrir des milieux structurants («internats») favorisant l’apprentissage d’habiletés sociales, morales, cognitives et relatives à la gestion des émotions
  • Mais approche principale centrée sur l’individu
  • N’as pas le résultat espéré sur le taux de récidive puisque retour dans des environnements à risque après une période de «rééducation»
  • Vers 1980, un mouvement de désinstitutionnalisation
  • Objectif: s’adresser à la fois à l’individu, à la famille et à la communauté
  • Action directement dans le milieu du jeune vs mise à l’écart du jeune dans un milieu protégé et contrôlé
  • 2003: déjudiciarisation
  • Mesures non pénales pour la prise en charge
  • Mise sur des projets de travaux communautaires, de conscientisation et de médiation entre victimes et contrevenants
  • «les jeunes ne sont pas considérés comme des clients ou des bénéficiaires, mais bien comme des participants et des acteurs de leur propre développement personnel et collectif»

Intervention:

1) Mise en place d’une stratégie en prévention du phénomène des gangs misant sur l’approche communautaire (voir sections 2.2 à 2.4)
2) Miser sur un agent de liaison provenant de la communauté
- Selon les auteures ces agents de liaison sont «rapidement devenus des intermédiaires entre les milieux et l’équipe de recherche, aidant à comprendre les cultures et les réalités respectives, facilitant de cette manière la communication, de même que l’appropriation du projet par les acteurs de la communauté.»
3) Mettre à jour les conflits potentiels et négocier
- Démarche de collaboration à entreprendre
- Compréhension du phénomène à l’étude
- Définition de la cible d’intervention

«Dans ce contexte, l’organisation et la planification de l’action n’ont pas été les premières étapes de notre projet, mais la communication entre les acteurs»permet une ouverture de la communauté et donne un accès pour le changement.

Retombées du projet:

  • Le développement d’un cadre de référence commun
  • Appropriation du cadre de référence par l’une des localités les plus durement touchées par les gangs
  • Crédibilité aux acteurs travaillant à la prévention des gangs et nouvelles et possibilité de convaincre les décideurs au municipal
  • Implantation d’un nouveau projet «Animation du milieu urbain» s’appuyant sur une mobilisation de l’ensemble des ressources du milieu (policiers, intervenants, formateurs)
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15
Q

En quoi se distingue la recherche en psychologie communautaire par rapport aux niveaux d’analyse, aux valeurs et aux principes?

A

1) Niveaux d’analyse:
L’intérêt particulier pour l’interrelation entre l’individu et son environnement. Ceci encourage l’étude de l’expérience humaine dans une perspective plus large que l’individu seul et en étudiant également les milieux dans lesquels les individus vivent qui ont un rôle à jouer dans le bien-être des individus et les différents systèmes sociaux. Ainsi, on peut mieux comprendre à quels niveaux les changements seraient nécessaires et quels objectifs ces changements devrait viser.

2) Les valeurs :
Le positionnement des valeurs qui sous-tend le travail des chercheurs. En recherche, l’objet même des projets est souvent déterminé par l’adhésion à une ou plusieurs de ces valeurs et celles-ci guideront le choix de la méthodologie. Ces valeurs impliquent différents niveaux d’analyse. On peut les voir comme outil qui aident le chercheur à structurer sa recherche afin d’en maximiser les impacts pour les communautés visées. C’est par la reconnaissance des valeurs sous-jacentes aux projets de recherche en psycho comm qu’on travaillera pour atteindre l’objectif. Ex de valeurs proposées par Nelson et Prilleltensky : holisme, santé, compassion et soutien des communautés, autodétermination, participation et justice sociale, respect pour la diversité, responsabilité envers les groupes opprimés.

3) Les principes:
Il y a 5 grands principes que le chercheur en psychologie communautaire doit respecter.

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16
Q

Quels sont les 5 principes que le psychologue communautaire doit respecter?

A

1) l’idée principale du projet est déterminée avant tout par les besoins de la communauté
2) Complémentarité des chercheurs et des membres de la communauté (chacun a ses connaissances, outils, valeurs). Leur collaboration permettra d’enrichir les perspectives mutuelles.
3) La recherche est considérée comme un outil de changement social, selon les règles de rigueur scientifique et comme moyen de développement des connaissances pour influencer les perceptions et ou décisions qui concernent la communauté visée.
4) Le chercheur a le devoir de s’assurer que les résultats soient utiles pour la communauté visée et au-delà. Les résultats doivent donc être diffusés à différentes audiences.
5) Le chercheur est responsable des activités qu’il met en place; il se doit d’en évaluer la valeur et la portée, et d’y apporter les correctifs si nécessaire.

17
Q

Quelles sont les différences entre les approches analytiques et les approches orientées vers l’action?

A

Les approches analytiques sont utilisées pour décrire ou analyser un phénomène et les approches orientées vers l’action visent à produire un changement grâce à l’amélioration des connaissances.

18
Q

Nomme les approches analytiques et les approches orientées vers l’action

A
- Approches analytiques : 
o Approche ethnographique
o Étude de cas
o Observation participante
o Épidémiologie
- Approches orientées vers l'action:
o Protocole de recherche expérimental
o Protocole de recherche quasi expérimental
o Recherche action participative
o Recherche évaluative
19
Q

Quelles sont les 6 étapes de la recherche telles que décrites dans le texte? Définis-les brièvement

A
  1. Question de recherche
    o Émerge des intérêts et besoins du milieu ds lequel le chercheur travaille
    o Les membres de la communauté sont invités à exprimer leurs idées
  2. Protocole de recherche
    o Quelle méthode sera la plus appropriée pour répondre à la question de recherche? Ex. pour évaluer un programme, ce sera un protocole expérimental ou quasi-expérimental
    o La façon de structurer le plan de recherche sera influencée par différents facteurs comme la question initiale, la prise en compte des différents niveaux du modèle écologique, les valeurs du chercheur et des participants, les contraintes de terrain, etc.
  3. Collecte de données
    o Comment les individus seront recrutés et sélectionnés?
    o Le choix du mode de collecte de données découle directement de la question de recherche et du protocole adopté. Ex : si l’objectif est de mesurer un concept et qu’on veut le comparer entre de individus, une grille d’observation ou un questionnaire standardisé est un bon choix de collecte de données.
    o En psycho comm, on utilise souvent de multiples modalités de collectes de données afin de rendre compte la complexité des phénomènes à l’étude.
    o Avant de collecter les données, une approbation éthique doit être obtenue.
  4. Analyse et interprétation des données
    o Permet de donner une forme et un sens aux données, de les organiser ainsi que d’en tirer des conclusions.
    o Selon le type de méthode choisie (quanti-quali), l’analyse de données s’adaptera au matériau recueilli. Ex : dans le cadre de recherche participative, les participants à l’étude ont leur mot à dire.
  5. Diffusion des résultats
    o La diffusion des résultats est un outil puissant dans sa capacité d’avoir un impact sur l’amélioration du bien-être des communautés. Diffuser la recherche à différents niveaux assure que la recherche contribue au changement dans la communauté.
    o Transfert des résultats de recherche dans différents formats et auprès de divers publics. Ex : les résultats peuvent être présentés à la communauté, à des organisations professionnelles, à d’autres chercheurs, etc.
    o Traduire, vulgariser les connaissances scientifiques
  6. Appréciation de l’impact de la recherche
    o Porter un jugement après le projet de recherche permet d’alimenter de nouvelles préoccupations, ce qui découlera sur de nouvelles questions de recherche.
    o Après le projet, on se pose les questions suivantes : Qu’est-ce qui a bien fonctionné? Qu’est-ce qui n’a pas fonctionné? Que reste-t-il à faire?