Powerpoint 4 exam mi-session Flashcards
Vrai ou faux : Les comportements changent avec l’expérience.
Vrai.
Qu’est-ce que l’apprentissage?
Le processus de changer un comportement en fonction de l’expérience. Cela est essentiel pour les comportementalistes.
Pourquoi est-ce que l’approche comportementaliste est-elle née?
Il y avait une frustration par rapport à la centration de tout ce qui n’est pas observable (à l’intérieur de l’esprit/de la conscience).
Cette approche cherche à se concentrer sur les faits observables.
Qu’est ce que cette approche tente d’expliquer? (Approche comportementaliste)
Comment l’individu est le résultat direct de son environnement.
Au début de cette approche (comportementaliste), il y a une centration sur deux aspects. Lesquels?
- Des causes du comportement à l’extérieur de l’esprit.
- Qui ne sont pas particulières à l’individu.
Vrai ou faux: Pour les comportementalistes (les premiers), il faut considérer les pensées de la personne et ses comportements pour la connaître.
Faux. Il faut seulement regarder les comportements de la personne afin de la connaître. (Observation)
Selon le comportementalisme, qu’est-ce que la personnalité?
La somme de toutes les actions d’une personne. Seulement ça.
Nommez quelques comportementalistes connus.
Skinner, Pavlov (expérience salivation chiens), Watson
Nommez les deux néo-comportementalistes connus
Bandura et Rotter. (C’est quoi ces noms)
Quel est le premier postulat du béhaviorisme?
L’empirisme : Toute connaissance vient de l’expérience. L’expérience est le produit direct de la réalité. Le contenu de notre conscience est créé par le contenu du monde.
Vrai ou Faux : la structure de la réalité détermine la personnalité.
Vrai.
Vrai ou faux : Selon le béhaviorisme, l’esprit/la conscience est quasi vide à la naissance.
Vrai! Les béhavioristes stricts ne croient donc pas au tempérament. Tout découlerait de son environnement.
Qu’est-ce que l’associationnisme?
Le deuxième postulat du béhaviorisme. C’est le postulat que deux choses expérimentées ensemble de façon répétée vont devenir associées mentalement. (Cause à effet)
Quel est le troisième postulat du béhaviorisme?
Alors que les deux idées précédentes sont les idées de base pour comprendre l’apprentissage, l’hédonisme procure la pièce manquante du casse-tête, i.e., la motivation.
L’hédonisme procure une réponse au «pourquoi» les gens font quelque-chose.
Dans le contexte du comportementalisme, l’hédonisme postule que les personnes (les organismes en général) apprennent pour deux raisons
(1) obtenir du plaisir
(2) éviter la souffrance
en résumé, c’est la motivation du comportement.
Qu’est-ce que l’utilitarisme?
shoutout au cours de philo du cégep (ark)
La meilleure société est celle qui créer le plus de plaisir pour le plus grand nombre de personnes
Idée facile à comprendre et somme toute évidente, mais il y a des problèmes
Quels sont les trois grands types d’apprentissage?
Habituation
Conditionnement répondant (ou classique)
Conditionnement opérant (punition/récompense)
Qu’est-ce qu’une punition?
Une conséquence aversive qui suit un comportement dans le but de l’arrêter et de prévenir sa répétition
Quels sont les 3 buts de la punition?
Faire apparaitre des comportements
Maintenir des comportements
Prévenir ou éliminer des comportements
Comment peut-on utiliser le renforcement afin d’éliminer des comportements?
Il suffit de trouver une réponse incompatible avec celle qu’on veut éliminer et la renforcer.
Exemple: Renforcer l’adolescent quand il lit, plutôt que le punir parce qu’il passe trop de temps devant un écran (téléphone, ordinateur)
Comment les entreprises utilisent le renforcement au lieu de la punition?
Plutôt que de superviser étroitement et donner des punitions pour les erreurs (qui mènent à une faible productivité et absentéisme), on offre des bonus en argent, des points échangeables en heures de congé, etc. (qui augmentent la productivité … et réduisent l’épuisement professionnel !)
Nommez les deux premiers principes de base montrant l’utilisation adéquate de la punition?
1) Disponibilité des alternatives
Une réponse alternative au comportement puni doit être disponible – et elle doit être renforcée
2) Spécificité comportementale et situationnelle
Être très clair à propos de ce qui est puni et des circonstances dans lesquelles ce sera ou ne sera pas puni
e.g., ne pas dire «je te puni parce que tu es une méchante fille», être plus précis – les enfants qui sont incertains du pourquoi ils sont punis de façon répétitive peuvent devenir de plus en plus inhibés et craintifs
Qu’est-ce que la spécificité comportementale et situationnelle?
C’est le deuxième principe de base de l’utilisation des punitions. Il faut être claire quant à ce qui est puni et préciser dans quelles circonstances cela sera puni ou non.
L’incertitude peut amener les enfants à être plus craintifs ou inhibés.
Décrivez le troisième principe des punitions adéquates, soit le moment adéquat et la cohérence.
Il faut être cohérent dans nos demandes. Donc, cela doit être appliqué directement après le comportement puni sinon l’individu peut ne pas comprendre pourquoi le comportement est non désiré.
Par exemple, si on se fâche alors que le comportement s’est produit il y a déjà un bon moment, la personne ne va pas directement faire le lien avec le comportement qu’elle a fait.
Qu’est-ce que le conditionnement des stimuli de punitions secondaires?
Par exemple, on peut faire un bruit dérangeant dès que le comportement non désiré se fait. Puis, finalement seulement se préparer à faire le bruit.