Pancréatite Flashcards
causes les plus imp de pancréatite aigue
ALCOOL ET LITHIASES BILIAIRES
biochimie d’une pancréatite aigue
augmentation de la lipse et de l’amylase (pendant 3 jours puis redescendent)
augmentation de la glycémie
AST/ALT/GGT/phosphatase alcaline N
FSC : augmentation des globules blancs
perte liquidienne dans u n 3eme espace
quel est l’exam le plus sensible pour une pancréatite ?
le TDM
quel est le marqueur biochimique le plus spécifique à la pancréatite ?
lipase
investigation
FSC
glycémie
urée /créat
ions
bilan hépatique (bilirubine , ast/alt, ggt, pa, lipase)
ck/troponines
HÉMOCULTURES D’URINES
ECG
rôle de l’échographie dans l’investiguation
Une échographie doit être pratiquée si une pancréatite biliaire est suspectée (et qu’aucune autre étiologie est évidente) pour:
–> détecter les calculs biliaires ou une dilatation de la voie biliaire principale (signe d’une obstruction des voies biliaires).
–> L’œdème du pancréas peut être visualisé, mais les gaz sus-jacents cachent souvent le pancréas.
rôle d’un TDM dans l’investigation
réalisée pour identifier une nécrose, des collections liquidiennes ou des pseudo-kystes,1 fois que la pancréatite a été diagnostiquée
particulièrement recommandé en cas de pancréatite sévère ou de complication (p. ex., leucocytose ou hypotension progressive et élévation de la température). Le produit de contraste IV améliore la visualisation de la nécrose pancréatique; cependant, il peut entraîner une nécrose pancréatique dans les zones peu perfusées (c’est-à-dire, ischémiées). Par conséquent, la TDM avec injection de produit de contraste ne doit être effectuée qu’après une hydratation correcte du patient.
facteurs de mauvais pronostic
Âge > 55 ans
Glycémie > 200 mg/dL (> 11,1 mmol/L)
LDH sérique > 350 UI/L
ASAT > 250 UI/L
Numération des globules blancs > 16 000/μL
complications
formation d’un abcès
rupture du canal pancréatique : ascite
distension abdominale : illéus réflexe / formation d’un 3eme espace
présentation clinique
affection aiguë avec des sueurs profuses
pouls entre 100 et 140
La respiration est superficielle et rapide.
La PA peut être transitoirement abaissée ou élevée, associée à une hypotension orthostatique importante.
La température peut être normale ou même inférieure à la normale au début, mais elle peut s’élever à 37,7 à 38,3° C en quelques heures.
La conscience peut être altérée jusqu’au coma.
ictère conjonctival.
Au niveau pulmonaire, il peut exister une limitation des mouvements diaphragmatiques et une atélectasie.
Imp à savoir sur la pancréatite aiguë
- bénigne et auto-résolutive dans la plupart des cas–> 80% interstitielle (= pas de nécrose et pas de séquelle) 20% nécrosante (complications ; Insu pancréatique endo/exo , mort 20-30%) 2. peut être causée par un calcul, CPRE
nommer les 9 types de pancréatites
- biliaire (à cause d’un calcul)
- éthylique (à cause de l’alcool)
- obstructive ( canal de Wirsung est obstrué une tumeur mucineuse –>bouchon de mucus, ou autre néo)
- rx ( Estrogènes, ATB, IECA) –> pas sévère
- métabolique (hyperTG; >10mmol, hypercalcémie; >3mmol/L–> hyperparathyroïdie, meta os)
- Infectieuse (HAV, HBV, CMV, EBV, herpès, mycoplasma, legionnella)
- Ischémique (souvent 2nd à deuqoi d’autre, peut être légère ou sévère)
- Iatrogénique (CPRE )
- traumatismes abdominaux
physiopatho de la pancréatite
autodigestion de la glande par SES enzymes protéolytiques
1.trop de trypsinogène
- active les autres proenzymes
- digestion des cellules acinaires et du tissus pancréatique
- nécrose du tissu pancréatique
- inflammation locale et systémique –> oedème, collection liquidienne, si vaisseaux imp sont atteint –> pancréatite hémorragique avec hématomes
complications systémiques possibles de la pancréatite
- ARDS (insuf. respi.)
- IR
- IC
- choc
- complications métaboliques ; hyperglycémie et hypocalcémie
- complications septiques tardivement
manifestation clinique / e/p de la pancréatite aiguë ?
- durée de la dr = 24h- plusieurs jours –> barre épigastrique avec irradiation dos 2. nausées/vomissement 3. tachycardie , tachypnée, HYPOtension, fièvre 4. signes de grey-turner(flanc) et signe de cullen(péri-omb)
ddx d’une péricardite
- ulcère perforé
- Infarctus du myocarde
- dissection aorte abdo
- iaschémie/infarctus mésentérique
- occlusion intestinale
- cholécystite / colique biliaire
tests pour dx une pancréatite aiguë
- amylase et lipase crm hautes; > 3x la normale (mais amylase peu spécifique ) 2. FSC (formule sanguine complète) 3. enzymes hépatiques 4. fonction rénale 5. calcium et hyperTG7. rx simple de l’abdo 8. rx pulmonaire
nommer les enzyme hépatiques
- AST
- ALT
- GGT
- Palc
imp élément des critères de Ranson qu’on utilise pour évaluer la pancréatite
HÉMATOCRINE –> si en haut de 0.45, le pronostic est changé et on prend ca au srx en criss, si ca chute vite aussi on prend ca au srx
utilité de l’écho abdominale dans le dx de pancréatite aiguë?
- utile pour spoter une dilatation du cholédoque ou cholédolithiase –> pour voir si origine biliaire
- exam peu sensible pour le pancréas par contre
utilité du TDM (scanner) dans le dx de la pancréatite aiguë?
- imagerie de choix pour faire le dx de pancréatite aiguë 2. utile pour éliminer d’autres causes 3. sévérité : critères de Balthazar 4. utile pour les complications
score de Balthazar
A: normal B: oedème C: B+ inflammation péripancréatique D: C+ collection unique de liquide E: C+ 2 ou plusieurs collections liquidiennes
utilité de l’IRM dans le dx de la pancréatite aigüe ?
Sensible pour détecter une cholédocholithiase
utilité de l’ERCP dans le dx de la pancréatite aiguë?
- rôle limité si obstruction biliaire persistante si angiocholite
complications locales de la pancréatite aiguë
- pseudokyste
- abcès
- nécrose stérile ou infectée
- complications spléniques
- complications vasculaires
imp à savoir sur le pseudokyste :
- complication la plus fréquente 2. liquide inflammatoire autour du pancréas –> peut avoir une coque fibro-inflam. si persiste longtemps 3. dx: echo ou TDM 4. tx: si asx; pas de tx , sinon drainage
imp à savoir sur la nécrose stérile ou infectée
- TÔT DANS L’ÉVOLUTION: facteur déterminant dans la sévérité 2. arrive si 30% du tissu est pas perfusé 3. di doute de nécrose infecté après 2 semaines : ponction dx sous guidance 4. tx: ATB à large spectre et si réponse sous-optimale: débridement minimal
imp à savoir sur les complications vasculaires de la pancréatite aiguë
- thrombose v. splénique ou v.porte causée pas l’inflammation
- rupture de structures vasculaires – hémorragies abdo (pancréas, canal de Wirsung, pseudokyste) : embolisation ou chx
Tx de la pancréatite aiguë
- ON PREND RIEN PER OS pendant 4-7 jours : repos pancératique , ensuite alimentation de remplacement 2. hydratation IV ; pour corriger hypovolémie3. corriger hypotension et hématocrite , débit urinaire adéquat 4. analgésie 5. correction des troubles électrolytiques 6. OBVI, ON TX LA CAUSE (ex. ROH, biliaire, HyperTG)
nommer les facteurs de mauvais pronostic de la pancréatite aiguë
- hypovolémie 2. Hématocrine < 0.45
<p>imp a savoir sur la pancréatite alcoolique </p>
- 60-70% des pancréatites chroniques
- RISQUE EST PROPORTIONNEL À LA QTÉ CONSOMMÉE ex. 150g/j pendant 5-10 ans
- cofacteur = tabagisme
- mauvais pronostic, mais arr^t de ROH peut réduire la progression
expliquer les 3 options de pysiopatho de la pancréatite chronique
- ROH chronique –> production de bcp de sécrétions pancréatiques qui finissent par boucher les canaux excréteurs: atrophie/insuf EXO + fibrose 2. ROH ou métabolites toxiques causent directement de la fibrose 3. plusieurs pancréatites aiguës qui causent de la nécrose –> tissu nécrosé remplacé par de la fibrose 4. IMP: aucun modèle explique tout, il y a aussi des facteurs environnementaux et génétiques , études en cours
qu’est ce qu’on peut voir au TDM ?
- calcifications plus précoces que radio
- dilatation des canaux pancréatiques
- masses inflammatoires
- pseudokystes
nommer les 2 grandes classes de pancréatites qui servent à classer les étiologies, et nommer quelques pathologies pour chacune
- pancréatites calcifiantes : alcoolique, tropicale, génétique, métabolique, idiopathique 2. pancréatites non-calcifiantes: obstructive, auto-immune, post-nécrotique, fibrose asx, idiopathique
qu’est ce qu’on peut voir à la radio ?
des calcifications pancréatiques
qu’est ce qu’on peut voir à l’IRM?
changement morpho plus discrets
tx pancréatite chronique
- on tx la phénomène causal/aggravant (ROH et Tabac) 2. on gère la dlr (actmp, AINS, opiacés, endoscopie, chx) 3. suppléments d’enzymes exocrines porcines ou d’insuline si nécessaire