Neuropsy fonctionnelle et évaluation neuropsychologique Flashcards

1
Q

Objectif de la neuropsychologie fonctionnelle

A

Mettre en relation un comportement (plus précisément une activité cognitive) et une activité cérébrale

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Q

3 types d’indices utilisés pour mesurer le fonctionnement du cerveau

A

électriques
magnétiques
physio-chimiques

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Q

Ce qu’a permis la neuropsychologie fonctionnelle (4)

A
  • concilier une modélisation cognitive et des explorations dynamiques de plus en plus précises du cerveau humain.
  • fournir des arguments physiopathologiques à la compréhension des maladies neurologiques ou psychiatriques
  • permet de surcroît de mieux comprendre les phénomènes de compensation qui se mettent en place lors d’affections cérébrales.
  • également en passe de modifier certaines procédures de diagnostic: par exemple dans le domaine des maladies neurodégénératives, notamment à leur phase précoce, où elle complète les investigations cliniques.
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4
Q

L’une des originalités de l’approche neuropsy fonctionnelle

A

d’être applicable au sujet sain :
les méthodes d’imagerie fonctionnelle permettent ainsi de visualiser « directement » les structures cérébrales impliquées dans différentes opérations cognitives Ces méthodes de neuroimagerie sont aussi utilisées chez des patients atteints de pathologie neurologique ou psychiatrique, et fournissent dans ce cas des arguments physiopathologiques à la compréhension de ces maladies.

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5
Q

Qu’est-ce que l’EEG

A

L’électroencéphalographie (EEG) est une technique de mesure non invasive qui enregistre les variations électriques de l’activité cérébrale à travers des électrodes placées sur le cuir chevelu. Elle est utilisée pour étudier les fonctions cérébrales, diagnostiquer des troubles neurologiques, et analyser les états mentaux en temps réel.

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6
Q

1 Limites et 2 avantages EEG

A

Faible résolution spatiale : L’EEG mesure l’activité de grandes populations de neurones à la surface du cerveau, mais il est difficile de localiser précisément la source des signaux à l’intérieur des structures cérébrales profondes.
Grande résolution temporelle : L’EEG est capable de capturer des changements d’activité cérébrale en temps réel, à la milliseconde près, ce qui est crucial pour étudier les processus cognitifs dynamiques.
Non-invasif : L’EEG n’implique aucune intervention chirurgicale ou radiation, ce qui le rend sûr pour les patients de tout âge.

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7
Q

Qu’est-ce que la TEP

A

La TEP utilise des substances radioactives appelées tracers ou radiotraceurs, généralement des composés marqués avec un isotope radioactif. Ces tracers sont injectés dans le corps, où ils émettent des positons en se dégradant.Le FDG est une forme de glucose (sucre) marquée avec un isotope radioactif. Le glucose est une source d’énergie essentielle pour les cellules du cerveau. Fluor-18 est un isotope du fluor, un élément chimique. Ce fluor radioactif est utilisé dans le FDG pour créer une substance que l’on peut suivre dans le corps avec une machine TEP. Les positons émis interagissent avec des électrons dans le corps, produisant des photons gamma. Des détecteurs entourant la zone d’intérêt captent ces photons pour créer des images. Le positon est l’antiparticule de l’électron. Alors que l’électron a une charge négative, le positon a une charge positive. En d’autres termes, il est une version “positive” de l’électron. Lorsqu’une particule (comme un positon) rencontre son antiparticule correspondante (comme un électron), elles peuvent interagir et se combiner. L’énergie libérée lors de l’annihilation est souvent sous forme de photons gamma (des particules de lumière de haute énergie). Ces photons peuvent être détectés et mesurés, fournissant des informations sur l’endroit où l’annihilation a eu lieu.

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8
Q

Qu’est-ce que la MEG

A

Les neurones du cerveau communiquent entre eux en générant des impulsions électriques. Ces impulsions créent des champs magnétiques très faibles autour des neurones, appelés champs magnétiques cérébraux. Le MEG utilise des magnétomètres ultra-sensibles, souvent basés sur des supraconducteurs (comme les SQUIDs, Superconducting Quantum Interference Devices), pour détecter ces champs magnétiques très faibles. Ces capteurs sont placés autour de la tête du patient. Les champs magnétiques sont enregistrés par les capteurs. Les signaux captés sont ensuite analysés pour déterminer les régions du cerveau qui produisent ces champs, et à quel moment ces régions sont actives. Les données recueillies sont utilisées pour créer des cartes temporelles et spatiales de l’activité cérébrale. Cela permet de visualiser et de localiser les zones du cerveau impliquées dans différents processus cognitifs ou moteurs.

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9
Q

Avantages et Limites TEP

A
  • permet de visualiser les structures sous-corticales
  • mauvaise résolution temporelle (1min)
  • bon pour cancers, alzheimer, anomalies. aide à localiser des zones d’activité anormale avant que les changements structurels soient visibles
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10
Q

Avantages et limites MEG

A
  • bonne résolution temporelle (milliseconde)
  • pas tant de capacité de détection sous-corticale
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11
Q

Qu’est-ce que l’IRM

A

L’IRM utilise un champ magnétique puissant et des ondes radio pour créer des images détaillées des structures internes du corps, y compris le cerveau. Elle mesure la réponse des protons dans les tissus corporels lorsqu’ils sont soumis à ce champ magnétique.
Les différences dans les propriétés des tissus (comme la densité en eau) créent des contrastes sur l’image. Elle permet d’obtenir des images très détaillées et en haute résolution des tissus mous, ce qui est particulièrement utile pour détecter des anomalies structurelles comme des tumeurs, des lésions cérébrales, des malformations, des hémorragies ou des atrophies.

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12
Q

Qu’est-ce que l’IRMf

A

Lorsque des neurones dans une région spécifique du cerveau sont actifs (par exemple, pendant une tâche cognitive, sensorielle ou motrice), ils consomment plus d’énergie pour fonctionner.
Cette énergie provient du glucose et de l’oxygène transportés par le sang. Ainsi, quand une région cérébrale est plus active, elle nécessite une augmentation du flux sanguin pour lui apporter plus d’oxygène et de nutriments.
Le sang contient deux formes d’hémoglobine :
Oxyhémoglobine : Hémoglobine liée à l’oxygène.
Désoxyhémoglobine : Hémoglobine dépourvue d’oxygène. L’hémoglobine est une protéine complexe présente dans les globules rouges du sang, dont le rôle principal est de transporter l’oxygène des poumons vers les tissus du corps, et de ramener le dioxyde de carbone des tissus vers les poumons pour être éliminé. Chaque sous-unité de l’hémoglobine est liée à un groupe hème, qui contient un atome de fer. cet atome permet à l’hémoglobine de se lier à l’oxygène. L’IRMf détecte la réponse hémodynamique en mesurant les variations du champ magnétique. Ces variations sont dues à l’atome de fer qui exposé des désoxyhémoglobines.

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13
Q

détecte la réponse hémodynamique en mesurant les variations du champ magnétique

A

IRMf

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14
Q

un champ magnétique puissant et des ondes radio pour créer des images détaillées des structures internes du corps

A

IRM

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15
Q

utilise des magnétomètres ultra-sensibles, souvent basés sur des supraconducteurs

A

MEG

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16
Q

détecte des champs magnétiques très faibles

A

MEG

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17
Q

L’énergie libérée lors de l’annihilation est souvent sous forme de photons gamma (des particules de lumière de haute énergie). Ces photons peuvent être détectés et mesurés, fournissant des informations sur l’endroit où l’annihilation a eu lieu.

A

TEP

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18
Q

Quelles sont les qualités qu’un test psychométrique doit posséder

A

fidelité
validité
sensibilité

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19
Q

qu’est-ce que la fidelité

A

reproductibilité des résultats d’un examinateur à l’autre et d’un moment à l’autre

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20
Q

qu’est-ce que la validité

A

mesure spécifique de ce qu’il est censé mesurer

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21
Q

qu’est-ce que la sensibilité

A

capacité à détecter les individus qui s’écartent significativement de la norme

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22
Q

capacité à détecter les individus qui s’écartent significativement de la norme

A

sensibilité

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23
Q

mesure spécifique de ce qu’il est censé mesurer

A

validité

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24
Q

reproductibilité des résultats d’un examinateur à l’autre et d’un moment à l’autre

A

fidelité

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25
Q

le pouvoir discriminant d’un test est

A

la résultante de sa sensibilité et de sa spécificité

26
Q

La ________ sera privilégiée si l’on cherche à repérer tous les individus anormaux et la ________ si l’on cherche à repérer uniquement les individus anormaux.

A

sensibilité
spécificité

27
Q

La sensibilité sera privilégie si l’on cherche à repérer _____ et la spécificité si l’on cherche à repérer ________

A

tous les individus anormaux
uniquement les individus anormaux

28
Q

qu’est-ce que l’étalonnage

A

données normatives qui permettent de situer un sujet dans une population de référence

29
Q

les étalonnages sont généralement réalisés par ______, plus rarement en fonction du _____ et du ______

A

groupes d’âges
sexe
niveau socioculturel

30
Q

À quoi sert l’étalonnage

A

permet de prendre en compte la variabilité de la population de référence et d’améliorer le pouvoir discriminant de pl’épreuve.

31
Q

Quel décalage existe-t-il en neuropsychologie aujourd’hui avec les évaluations psychométriques?

A

Il existe un certain décalage entre la neuropsychologie d’aujourd’hui, ses modèles, son mode de pensée et les fondements théoriques initiaux de nombreux outils psychométriques utilisés dans la pratique quotidienne.

32
Q

L’inadéquation entre les fondements théoriques de ___________ et ____________ pose quels sortes de problèmes?

A

L’inadéquation entre les fondements théoriques des tests psychométriquesé et les modèlesè de la neuropsychologie pose des problèmes à la fois d’interprétation et de validité de la mesure.

33
Q

Dans toute situation d’évaluation, il convient de distinguer …

A

la performance à une épreuve (ce qui est réellement mesuré) et les processus cognitifs censés être appréhendés. Un test n’est jamais « pur », il met toujours en jeu une diversité de processus cognitifs,, malgré le soin apporté à sa construction.

34
Q

quelles méthodes d’imagerie ont la meilleure résolution spatiale

A

IRM, IRMf (millimètre près), TEP

35
Q

Quelles méthodes ont la pire résolution spatiale

A

EEG (cm près), MEG

36
Q

Quelles méthodes ont la meilleure résolution temporelle

A

EEG, MEG (milliseconde)

37
Q

Quelles méthodes ont la pire résolution temporelle

A

IRMf (quelques secondes), TEP (minutes)

38
Q

Quels sont les 3 types d’évaluation neuropsychologique

A

tests psychométriques, évaluation cognitives, échelles comportementales

39
Q

Que sont les échelles comportementales (3)

A
  • Dans certains cas, un individu peut présenter un fonctionnement cognitif normal ou légèrement altéré, ce qui signifie que ses capacités mentales, comme la mémoire, l’attention, ou le raisonnement, ne montrent pas de déficiences majeures.
    Cependant, des troubles comportementaux peuvent se manifester de manière plus évidente. Ces troubles peuvent inclure des changements dans la personnalité, des comportements inappropriés, de l’agressivité, des difficultés émotionnelles (comme l’anxiété ou la dépression), ou des problèmes dans la gestion des impulsions. Ces manifestations peuvent être le reflet de lésions cérébrales spécifiques ou de pathologies neurodégénératives, comme la démence frontotemporale ou les lésions du cortex préfrontal, qui influencent le comportement.
  • Pour évaluer objectivement ces changements comportementaux ou émotionnels, il est essentiel d’utiliser des outils standardisés et validés. Ces outils offrent une méthode systématique pour mesurer les aspects du comportement qui peuvent être altérés par des troubles neuropsychologiques. Par exemple, des échelles comme la Neuropsychiatric Inventory (NPI) ou le Behavioral Assessment of the Dysexecutive Syndrome (BADS) peuvent être utilisées pour évaluer des aspects comportementaux comme l’impulsivité, la désinhibition ou les troubles émotionnels.
  • Les échelles d’hétéro-évaluation sont des outils qui reposent sur les observations des proches ou des soignants du patient. Ces derniers sont souvent mieux placés pour remarquer des modifications subtiles dans le comportement au quotidien, car ils passent plus de temps avec la personne.
    Ces échelles sont essentielles car le patient lui-même n’est pas toujours conscient de ses troubles comportementaux, surtout dans des pathologies où l’insight (conscience de la maladie) est altéré, comme dans certaines formes de démence ou après des traumatismes crâniens.
40
Q

Quels sont les 3 types de tests psychométriques

A
  • Les pépreuves d’efficience intellectuelle
  • Les tests « d’aptitude »
  • Les tests de personnalité
41
Q

Les premières évaluations neuropsychologiques vont utiliser les ________________ et ceux d’__________

A

tests d’efficience intelectuelle
aptitude

42
Q

Les tests d’efficience intellectuelle sont censés « mesurer ___________________»

A

les effets de l’intelligence

43
Q

Quels sont les 3 tests d’efficience intelectuelle

A
  • Echelle de Binet fondé sur l’idée qu’il existe un facteur psychologique commun à toutes ces épreuves. Ce facteur général (ou facteur G) a parfois été assimilé à l’« intelligence ».
  • Echelle d’intelligence de Wechsler pour adulte (WAIS)
  • Les matrices progressives de Raven
44
Q

Intelligence fluide

A

L’intelligence fluide concerne la capacité à raisonner de manière logique, à résoudre des problèmes nouveaux, à s’adapter à des situations inédites, et à manipuler des informations abstraites sans s’appuyer sur des connaissances préalables.
Caractéristiques :
Capacité à reconnaître des modèles et des relations.
Résolution de problèmes non verbaux.
Testée à travers des tâches telles que des puzzles ou des matrices.
Développement : Elle est plus forte dans la jeunesse (pic autour de 20 ans), puis tend à décliner avec l’âge.
Exemples : Résoudre des casse-têtes, s’adapter rapidement à un environnement inconnu, raisonner face à des situations imprévues.

45
Q

Intelligence cristallisée

A

L’intelligence cristallisée fait référence à l’ensemble des connaissances et des compétences acquises au fil du temps à travers l’éducation, l’expérience et l’apprentissage. Elle inclut les connaissances factuelles, le vocabulaire, et les règles sociales.
Caractéristiques :
Basée sur des faits et des expériences passées.
Elle augmente généralement avec l’âge.
Évaluée à travers des tests de vocabulaire, de culture générale, ou de connaissances spécifiques.
Développement : Elle continue de croître tout au long de la vie, car elle repose sur l’accumulation de connaissances.
Exemples : Compréhension de mots complexes, connaissance des événements historiques, ou compétences dans un domaine spécifique comme la cuisine ou la comptabilité.

46
Q

Différence intelligence fluide vs intelligence cristallisée

A

L’intelligence fluide est liée à la flexibilité mentale et à la capacité de s’adapter à de nouvelles situations, tandis que l’intelligence cristallisée est associée à l’accumulation de connaissances et à leur application dans des situations familières.

47
Q

Dans le vieillissement, on observe souvent un déclin de l’intelligence ______, alors que l’intelligence ___________ tend à rester stable, voire à s’améliorer dans certains cas.

A

fluide
cristallisée

48
Q

Que sont les évaluations cognitives

A

Résumé : Les tests cognitifs mesurent les capacités mentales en se basant sur des modèles de cognition.

Ce sont des tests ou des batteries de tests conçus pour évaluer les différentes fonctions cognitives d’une personne (par exemple, la mémoire, l’attention, le langage, les fonctions exécutives). Ces tests sont basés sur des modèles du fonctionnement cognitif, c’est-à-dire des théories et des cadres scientifiques qui décrivent comment le cerveau traite l’information et résout des problèmes.

49
Q

Que sont les échelles comportementales

A

Dans certains cas, le fonctionnement cognitif est normal ou subnormal et la pathologie se manifeste surtout par des troubles comportementaux

– Les outils standardisés et validés sont indispensables pour une évaluation objective des modifications du comportement et de l’humeur d’un patient

– Les échelles d’hétéro-évaluation reposent sur l’observation par les proches des modifications du comportement susceptibles d’être présentées par le patientpatient.

50
Q

Qu’est-ce qu’une échelle d’hétéro-évaluation

A

Ce sont des échelles basées sur l’observation des comportements du patient par ses proches (famille, soignants). Ces personnes peuvent mieux percevoir certains changements de comportement que le patient lui-même, et leur témoignage est essentiel pour compléter le diagnostic.

51
Q

Différence tests psychométriques et cognitifs

A

Pas encore de fondement théorique ou biologique à ces tests psychométriques, mais c’était quand même un début. On commençait à être plus rigoureux et à mesurer de façon systématique. Puis sont venus les tests cognitifs, maintenant on connaissait la théorie sur les modules et on utilisait cette théorie pour créer des tests et mesurer la performance (ex: module de production du langage, module de compréhension du langage). C’est difficile d’isoler seulement un module à mesurer, mais c’était le but des tests cognitifs. Donc la différence avec la psychométrie, c’est que les tests cognitifs tiennent compte de la façon dont le cerveau fonctionne, tandis que la psychométrie c’était simplement des tests sans base théorique. Mais l’un n’est pas opposé à l’autre, les tests neuropsychologues cognitifs et d’efficience intellectuelle UTILISENT la psychométrie!

52
Q

ce qu’a permis la neuropsy fonctionnelle.
-…
- fournir des arguments physiopathologiques à la compréhension des maladies neurologiques ou psychiatriques
- permet de surcroît de mieux comprendre les phénomènes de compensation qui se mettent en place lors d’affections cérébrales.
- également en passe de modifier certaines procédures de diagnostic: par exemple dans le domaine des maladies neurodégénératives, notamment à leur phase précoce, où elle complète les investigations cliniques.

A

concilier une modélisation cognitive et des explorations dynamiques de plus en plus précises du cerveau humain.

53
Q

ce qu’a permis la neuropsy fonctionnelle.
- concilier une modélisation cognitive et des explorations dynamiques de plus en plus précises du cerveau humain.
- …
- permet de surcroît de mieux comprendre les phénomènes de compensation qui se mettent en place lors d’affections cérébrales.
- également en passe de modifier certaines procédures de diagnostic: par exemple dans le domaine des maladies neurodégénératives, notamment à leur phase précoce, où elle complète les investigations cliniques.

A

fournir des arguments physiopathologiques à la compréhension des maladies neurologiques ou psychiatriques

54
Q

ce qu’a permis la neuropsy fonctionnelle.
- concilier une modélisation cognitive et des explorations dynamiques de plus en plus précises du cerveau humain.
- fournir des arguments physiopathologiques à la compréhension des maladies neurologiques ou psychiatriques
- …
- également en passe de modifier certaines procédures de diagnostic: par exemple dans le domaine des maladies neurodégénératives, notamment à leur phase précoce, où elle complète les investigations cliniques.

A

permet de surcroît de mieux comprendre les phénomènes de compensation qui se mettent en place lors d’affections cérébrales.

55
Q

ce qu’a permis la neuropsy fonctionnelle.
- concilier une modélisation cognitive et des explorations dynamiques de plus en plus précises du cerveau humain.
- fournir des arguments physiopathologiques à la compréhension des maladies neurologiques ou psychiatriques
- permet de surcroît de mieux comprendre les phénomènes de compensation qui se mettent en place lors d’affections cérébrales.
- …

A

également en passe de modifier certaines procédures de diagnostic: par exemple dans le domaine des maladies neurodégénératives, notamment à leur phase précoce, où elle complète les investigations cliniques.

56
Q

l’étalonnage permet de _________ ___ ________ ___ ____________ de la population de référence et d’améliorer le pouvoir discriminant de l’épreuve.

A

prendre en compte la variabilité

57
Q

l’étalonnage permet de prendre en compte la variabilité de __ ___________ ___ ____________- et d’améliorer le pouvoir discriminant de l’épreuve.

A

la population de référence

58
Q

l’étalonnage permet de prendre en compte la variabilité de la population de référence et d’_____________ ___ ___________ ______________ ____ ________.

A

d’améliorer le pouvoir discriminant de l’épreuve

59
Q

L’étalonnage fournit ____ __________ _________-qui permettent de situer un sujet dans une population de référence.

A

des données normatives

60
Q

L’étalonnage fournit des données normatives qui permettent de ________ ___ _________ ______ _____ __________ __ _________.

A

situer un sujet dans une population de référence