motricité digestive Flashcards
reflexe péristaltique
distension segment intestinal entraîne contraction en amont et relâchement en aval
régulation de la contraction en amont pour le péristaltisme
- neurone sensitif perçoit distension créée par le bolus => relai info afférente 2. interneurone cholinergique
- motoneurone excitateur
- substance P & Ach stimulent le muscle circulaire: contraction du segment propulsif
régulation de la relaxation en aval pour le péristaltisme
- neurone sensitif perçoit distension
- interneurine cholinergique
- motoneurone inhibiteur
- VIP & NO inhibe muscle circulaire pour se relaxer à la réception du chyme
neurotransmetteurs qui agissent sur le SOI
au repos, le SOI est fermée (tonus myogénique)
4sec après déglutition: NO & VIP inhibe le muscle sphinctérien pour le relâcher, l’ouvrir
v ou f
le péristaltisme et ouverture du SOI sont résultat de l’action de nT et du SN extrinsèque exclusivement
f
nT + SN INTRINSÈQUE exclusivement
contraction en amont dans le réflexe péristaltique intestinal
- distention
- rc à 5HT perçoivent la distension et stimule neurone sensitif IPAN (intrinsec primary afferent neurone)
- CGRP par neurone sensitif stimule interneurone cholinergique
- motoneurone excitateur (cholinergique et tachykinine) stimule le muscle circulaire avec Ach / SP/SK pour contracter en amont
pourquoi prendre des dérivés de la morphine constipe
pcq stimule la voit inhibitrice du péristaltisme
si + d’inhibiteurs que de stimulateurs: cause inhibition du péristaltisme
relaxation en aval dans le péristaltisme intestinal
- rc 5-HT détecte distension: stimule neurone sensitif IPAN
- IPAN stimule interneurone somatostatine
- stimulation interneurones GABA et opioïdes
- stimulation motoneurone inhibiteur
- NO & VIP stimule muscle circulaire à se relâcher en aval
couches de la paroi du tube digestif
muqueuse
sous muqueuse (avec plexus Meissner)
muscle circulaire
plexus d’Auerbach
muscle longitudinal
séreuse
rythme électrique de base (REB)
activité électrique de la ¢ musculaire lisse qui dépend de la fréquence des ondes lentes
il n’est pas le même selon les différents segments du tube digestif: il permet de préparer le segment du tube digestif à des contractions
ondes lentes
ondes faites par le muscle circulaire et longitudinal avec potentiel de repos faible (-60 mV), se dépol partiellement à partir de 10-15 mV et dure qq secondes
REB estomac vs duodénum vs iléon vs oesophage
duo: 12/min
iléon: 8/min
estomac: 3/min
oeso: aucun
comment se forme le REB qui varie à différents segments du tube digestif
grâce aux ¢ de Cajal
v ou f
cellules de Cajal sont des ¢ neuronales pacemaker de l’intestin qui forment un réseau qui interconnecte la musculature GI pour générer les ondes lentes (REB)
f
¢ mésenchymateuses (interstitielles), pas neuronales
mais oui ¢ pacemaker (depol & ouvre les canaux calciques) qui contrôlent la fréquence & propagation des contractions intestinales en formant un réseau qui interconnecte le muscle du GI et génère ondes lentes.
potentiels de pointes (spikes)
dépolarisation des ¢ musculaires de l’intestin par ouverture des canaux calciques
=> passe de -40 (sommet des ondes lentes) à presque 0mV
durée d’un potentiel de pointe
20 mS
qu’est-ce qui stimule les spikes / potentiels de pointes et dépolarisation des ¢ musculaires intestinales
- distension
- Ach
- Para∑
qu’est-ce qui stimule une hyperpolarisation des ¢ musculaires intestinales
- NE
- ∑
(on ne veut pas favoriser le péristaltisme à ce moment)
impact des inhibiteurs de canaux calciques pour une condition cardiaque sur l’intestin
peut causer constipation pcq empêche les spikes
relation ondes lentes, spikes et contractions
spikes se font sur les ondes lentes et les contractions sont le résultat de la somme des spikes (+ spikes = + grande contraction)
donc on peut dire qu’au duodénum (REB = 12/min), il y a plus d’ondes lentes et donc de spikes et donc de grandes contractions
on a des contractions causées par les ¢ cajal (dépolarisation) mais pour avoir une onde péristaltique qui se propage bien, on a besoin de quoi
organisation neuronale:
SN intrinsèque (Meissner, Auerbach)
SN extrinsèque
plexus sous-muqueux de Meissner contrôle quoi
sécrétions et débit sanguin (entre muqueuse et muscle circulaire)
plexus myentérique d’Auerbach contrôle quoi
motricité
v ou f
le SN intrinsèque est organisé comme le système nerveux central avec vésicules synaptiques, cellule gliales et synapses neuromusculaires
f
PAS de synapse neuromuscu (mais oui vésicules synaptiques)
plexus SN intrinsèques sont reliés entre eux par quoi
axones non myélinisés qui cheminent entre les fibres musculaires
relation SN inrtinsèque et extrinsèque
SN intrinsèque émettent des axones efférents vers le système nerveux extrinsèque
neurones des plexus
- excitateurs cholinergiques (Ach)
- inhibiteurs non-adrénergique
rôle des neurones inhibiteurs non-adrénergiques des plexus
– Relaxation des sphincter
– Responsable de l’iléus paralytique
rôle des neurones des plexus (intrinsèque)
formation du péristaltisme (onde = coordination temporelle des contractions)
v ou f
le réflexe péristaltique est entraîné par la sérotonine libérée par le SN extrinsèque
f
par le SN entérique
vitesse péristaltisme
25 cm/minute
déclencheurs du péristaltisme
- étirement de la paroi (physiologique)
- irritation chimique (RGO dans l’oesophage) ou physique de la paroi
2 origines du SN para ∑
Bulbe (nerf vague) et moelle sacrée
rôle GI para∑
- prépare aux repas
- inhibe sphincters (ouvre)
- stimule motricité intestinale