Les compétences du gestionnaire (partie 3) Flashcards
Définition :
C’est la capacité de s’adapter, d’initier et de mettre en œuvre le changement, de façon à permettre l’ajustement continu de son organisation aux exigences générées par un contexte en perpétuelle mutation.
La gestion du changement
La gestion du changement
Définition :
C’est la capacité de _____, d’initier et de mettre en œuvre le _____, de façon à permettre l’ajustement continu de son organisation aux exigences générées par un contexte en perpétuelle _____.
La gestion du changement
Définition :
C’est la capacité de s’adapter, d’initier et de mettre en œuvre le changement, de façon à permettre l’ajustement continu de son organisation aux exigences générées par un contexte en perpétuelle mutation.
c’est le moule dans lequel on est fait (c’est notre manière de voir le monde). Il guide notre réflexion et nos actions. C’est ancré profondément, c’est difficile à changer.
Un paradigme,
Un paradigme, c’est le _____ dans lequel on est fait (c’est notre manière de voir le monde). Il guide notre réflexion et nos actions. C’est ancré profondément, c’est difficile à changer.
moule
Un paradigme, c’est le moule dans lequel on est fait (c’est notre manière de voir le monde). Il guide notre réflexion et nos actions. C’est ancré profondément, c’est ______ à changer.
C’est ancré profondément, c’est difficile à changer.
Les paradigmes dans le changement
Un paradigme, c’est le moule dans lequel on est fait (c’est notre manière de voir le monde). Il guide notre réflexion et nos actions. C’est ancré profondément, c’est difficile à changer.
On a tendance à ne pas voir les données qui ne sont pas conformes à nos _____.
On a tendance à ne pas voir les données qui ne sont pas conformes à nos paradigmes
Les 4 grandes catégories de paradigmes
Radical humaniste
Radical structuraliste
Interprétatif
Fonctionnaliste
Société objective et concrète, très matérielle mais où le changement est bon (graine de révolution)
Les structures de la société comportent les germes du chaos et du désordre.
Paradigme radical structuraliste
Société très concrète (objectif +++)
Il faut de l’ordre, c’est la société qui fait les règles
La science et la recherche peuvent nous permettre de mieux comprendre notre réalité
Paradigme fonctionnaliste
Société plus ou moins concrète (subjectif +++)
C’est la personne qui fait les règles, pas la société.
Paradigme interprétatif
Se rapproche de l’interprétatif, la conscience nous crée des prisons psychiques (p/r aux paradigmes)
Paradigme radical humaniste
Exemple : Stephen Harper, les cadres étaient beaucoup ici historiquement
Paradigme fonctionnaliste
Des exemples : Robin des Bois, Richard Desjardins, Yves Michaud (banques), etc.
Paradigme radical humaniste
C’est le penseur qui ne veut pas rentrer dans une structure (libre-penseur qui veut qu’on se libère de nos croyances)
Paradigme radical humaniste
Exemples : Michel Chartrand, Martin Luther King, René Lévesque
Paradigme radical structuraliste
On prône le respect des hommes (valeurs), mais on gère à partir du capital qui est concentré entre les mains de quelques uns
Paradigme radical structuraliste
Exemples : Marcel Lebœuf, Bono (U2)
Paradigme interprétatif
La réalité sociale est une invention commune, issue de nos croyances et renforcée par nos actes. La société tend vers de l’ordre en dépit des soubresauts. On peut forger son destin.
Paradigme interprétatif
60 à 70% de la population est ici.
Paradigme fonctionnaliste