langage du corps Flashcards
généralement langage
associé à l’esprit
fonction de l’esprit
l’expression
appelle dans son effectuation matériel le ocncours du corps
Parler ou écrire
opérations de l’esprit et non du corps
le corps en tant que tel ne dit rien
- chose matérielle
- pure extériorité, présence univoque et visible
- se montre, s’exhibe mais ne dit rien,
- réagit mais n’exprime rien
en tant que chose matérielle
ne renvoie à rien d’autre qu’à sa propre corporéité
- simple objet du monde
on ne peut pas le réduire qu’à sa dimension matrérielle
- intimement lié à la vie intérieure, émotionnelle, affective
- c’est par le moyen du corps que le sujet l’exprime
- toutes les émotions de l’âme peuvent être traduites et saisies dans expressions plastiques du visage
- -> en relation à autre chose que du corporel
en relation à autre chose que du corporel car
doit exprimer du contenu psychique
s’il y a un langage du corps
c’est au corps comme réalité psycho-physiologique
Hegel le langage du corps suppose
“système d’incarnation du spirituel dans un corps vivant”
ce langage est-il naturel, spontanné, inné?
NON :
- l’expression corporelle des sentiments pet varier d’une culture à l’autre
- saisissable que par interprétation : le rapport de l’expression au sens= conventionnel
- langage du corps demande à être appris et itnerpréter
- trouve sa source dans la cutlure
- -> isntitution symbolique qui renvoie à la cutlure codifiée
langage naturel
- sens soit saisissable à même l’expression
- rapport de l’expression au sens demeure invariable, compréhension direct et univoque
Parler d’un langage du corps
- langage dont le corps est lui-même porteur indpeendemment de socntraintes culturelles
- considérer le corps au-delà des messages codifiés
- dispose d’une puissancce d’expression qui lui est propre
Comment rendre au corps la puissance d’expression qui est la sienne?
l’art: danse et scultpure qui exploitent la puissance expressive du corps
Plan
l- le corps est à même d’exprimer l’interiorité du sujet
- fait l(ojet d’une institution symbolique et culturelle
- possibilité d’un langage porpre au corpsavec 2 formes d’art
langage du corps pour le sujet
extériorisation physique de ses porpres états internes
Fonctions du langage du corps
- expressive
- pratique
fonction expressive ne peut être assumée que par
un être disposant d’une vie interne (sentiments émotions) et capable de les extérioriser
expression
- extérioriser, signifier qqchose que l’on a en soi
- implique une dualité entre intérieur et extérieur
pour qu’une apparence interne soit appréhendée comme expression
doit renvoyer à autre chose qu’elle même: un contenu psychique ou effectif= vécu interne d’un sujet
objet physique
inexpressif et muet –> pas de langage
Parler d’un langage du corps c’est reconnaitre
- au corps la capacité d’exprimer qqchose qui est de l’ordre de la vie, sentiments, affectes
- que la vie itnérieure peut être extérieurement traduite dans les expressions
- pour accéder à ce que l’autre ressent, nul besoiin du discours –> le corps parle
le corps parle souvent
de manière plus franche et moins dissimulée que le smots
Freud citation
celui dont les lèvres se taisent bavarde avec le bout desd oigts
Approche strictement intellectualiste du langage
identifie le langage au logos: langage partout ou un sens se laisse appréhender à travers une apparence externe /ou une forme sensible assume une fonction de réprésentation
le corps
premier et plus constant moyen d’expression et de communication
l’enfant
en premier lieu exprime ses sensations, émotions désirs par le corps
comprend comme un langage l’expression du cvisage des autres
Darwin
mouvements expressifs du visage et corps: premiers moyens de communication entre mère et enfant
langage du corps précède nécessairement le langage parlé car
impossible que la communication soit conditionnée à l’acquisition du langage articulé (enfant)
mimique et geste
premier langage
forme sous laquelle nous extériorisons nos états affectifs te nous nous fiasons entendre aux autres
fonction pratique
permet de signifier des valeurs: le bien et le mal
sourire
approbation comme encouragement à persévérer
indique la voie à suivre
froncement de osurcil
r$ole dissuasif
désapprobation
à travers les contenus affectifs le corps
signifie des contenus intentionnels
montaigne dans les essais fait
un inventaire diversifié de tout ce que nous pouvons exprimer par le corps
pour Montaigne les mouvements
ne se réduisent pas à l’aspect méanique qui est le leur
ce qui fait qu’un mouvement exprime = peut êter tenu pour signifiant
c’est qu’il s’articule à un contenu d’une autre nature (pas à une cause motrice)
ce type d’articulation
caractérise le langage
donne à une forme sensible la vlaeur d’un signe
Hegel dans l’Esthétique citation
“la significationse rapporte à quelque chose qui dépasse l’apparence directe”:
- le premier instrument dont nous disposons pour signifier: le corps
si le corps peut signifier
en raison de sa plasticité et mobilité
plasticité
variété des geste et expressions qui épouse la diversité des intentions , sentiments.
toute la gamme des sentiments humains
peut être traduit dans les expressions plastiques du visage
particularité du corps huamin
souplesse comme support d’une expressivité vivante
si le corps veut signifier c’est
- qu’il est animé d’une vie qui excède sa dimension strictement mécanique
- compose avec une âme dont il reflète les états
l’expression atteste de
la soudure en lui du psychique et du physiologique
conditions qui permettent au corps de signifier
plasticité, union avec âme
pour le speintres le corps
miroir de l’âme
révélateur des passions humaines
peindre l’expression d’une visage
- ressaisir à même cette attitude
- expression d’une âme: qualités, vices, passions, tourments
- ->donner chair à l’invisible, à ce qui est insaisissable, que uel le corps peut figurer
comment peindre déespoir, joie, frayeur…?
en les logeant dans un corps dont l’attitude, l’expression seront révélatrices de la passion que l’on veut représenter
exemples peintres
charles le brun
jérôme Bosch
Charles le Brun
Sainte MAdeleine : visage bouleversé, les yeux tournés vers le ciel –> tourments du repentir, supplication
- il ressaisi dans l’expression du visage, la posture du corps un drame intérieur
Jérôme Bosch
le portement de croix: laideur de l’âme humaine qui s’exprime dans ces faces déformées
au Début du MA les corps
- traités de façon plus schématique, stéréotypés, formaslistes
- homme étant à l’image de Dieu: l’humainnté des corps dissimulée derrière des vêtements/visages peu expressifs
Renaissance
- corps humain articulé à une intériorité : accent mis sur l’expressivité des corps, la singulairté des traits
- a^me et passions censées se refléter dans sa physionomie
2 mouvements
- art du portrait
- physiognomonie
art du portrait
- le corps doit exprimer des caractères, singularités
- il s’agit de ressaisir une personnalité, indentité singulière (plus un personnage incarnation d’une fonction)
physiognomonie
- correspondance entre morphologie et identité psychologique supposée invariable
ce que nou sommes intérieurement
se traduirait dans la morphologie du visage et du corps (qualités morales, vices…)
ce que le corps est censé dire
ce n’est plus ce que je sens (début renaissance) mais qui je suis (portrait, physiognomie)
Balzac
théorie de la démarche: révélatrice de ce que nous sommes “galement
pour Balzac le corps
aussi expressif de la personnalité et du carractère que le sont les paroles et actes
description physique des personnages dans les romans de Balzac
peinture d’une âme
Exemple: portrait du Duc d’Hérouville, l’Enfant Maudit
cette idée
- stimule l’imagniation d’un romancier
- scientifiquement douteuse
illusoir et naif de croire que
sa morphologiue est la traduction d’une identité psychologique
–> supposition dévastatrice (nazi)
si le corps est expressif c’est
en tant qu’il traduit ce que ressent et ce que vit intérieurement plutot que ce qu’il est
par le corps s’exprime des émotions, états d’âme affectes qui peuvent se manifester
à l’insu de ce sujet contrairemeent au langage rticulé
langage du corps
échappe à la maitrise de l’intentionnalité du sujet
exemple
rougissement
larmes
pâleur
tremblements
ce que ma conscience veut taire
souvent mon corps me le dévoile
langage verbal
construction délibéreé du sujet parlant
langage du corps
spontanéité, naturel
direct immédiat
langage duc corps pas dénué
d’équivocité :
- le rapport du signfiant au signifié n’a rien d’univoque et transparent
- les formes d’expressions qui sont les siennes reçoivent la marque de la culture
rapport du signfiant au signifié équivoque
- rougissement du visage: honte, colère?
- larmes: tristesse, joie intense, mimétisme?
sa signification loin d’être donné à même le corps
appelle à une interprétation –> remet en question l’idée que signififant et signifié liés par lien naturel
la manière dont nous outilisons notre corps
empreinte de l’éducation
expressions et gestes
ont leur originie dans le corps comme rélaité phsycho-physiologique
les significations dont le langage est porteur
varient en fonction des cultures tout comme l’expression physqiue des émotions
Merleau POnty citation
“le jaopnais en colère sourit, l’occidentale rougit et frappe du pied”
la manière dont nous utilisons notre corps en vue de signifier
repose sur l’acquisition de geste et d’exppressions socialement codifiées
le corps dans sa réalité naturelle et organique
n’est pas doté d’un langage
c’est le corps façonné par la culture qui en a un
le rapport entre gestes, expressions et sens
conventionnel
corréalation entre geste, expression et sens
doit fairre l’objet d’un apprentissage
le sens des mots
doit être appris tout comme le sens des gestes
le sens des signes mimiques peut varier du tout au tout selon
les aires géographiques et culturelles
réflexion Russie bulgarie
Roman Jakobson:
- russie signe d’approbation: hochement de tête de bas en haut
- bulgarie: de gauche à droite
pq cette différence?
sens culturel différent:
- système russe: mvmnt de la tête vers le bas: soumission, obéissance, manifestation d’une adhésion au désir de l’autre
- système bulgare: mvmnt haut veers le bas: éloignement, distance, recul –> désapprobation
le corps qui exprime
le fait selon des codes élaborés par la culture
les Techniques ducorps
Marcel Mauss: une sémantique corporelle existe, de toute autre nature que celle par laquelle il exerce ses fonctions vitales
MP langage ducorps saisi dans sa forme la plus élémentaire
n’est ni dérivée de la anture, ni composé de signe naturel : caractère artificel des signes –> impossibilité de faire de l’expression l’effet mécanique de la vie organique du corps
la manière dont les hommes font usage de leur à des fins d’expression
rendue possibl par l’organisation corporelle mais ne s’explique pas pareil
MP citation
“lusage d’un homme fera de son corps est transcendant à l’agard de ce corps comme^^etre simplement biologique”: dépassement
ce dépassement
à mettre sur le compte de la culture
langage du corps d’abord façonné par
les ocnventions porpres à notre cutlure
LC naturel
au sens ou lae naturel se confond ac l’ensemble des habitudes acquises
–> n’existe que sous
opur Aritsote LC
n’existe que sous la forme de seconde nature
le anturel
forme que prend l’artificiel converti en habitude
ce que le corps exprime
langage qui a tout l’apprence de la spontaniétité et qui pourtant relève d’un symbolisme gestuel dt l’appropriation a dû faire l’objet d’un apprentissage
PQ apprentissage?
aucun lien naturel ne relit le signifiant gestuel ou sonore à ce quil est censé signifier
aspect conventionnel plus manifeste
à travers les formes hautements ritualisées dans les pratiques cérémonielles
dans les pratiques cérémonielles
gestes et attitudes strictement rélgés afin de reêtir la fonction symbolique qui leur est assimilée
Pierre Bourdieu
mouvements définis, stéréotypés qui comportent une dimension symbolique manifeste
exmeples
- rituel catholique
- rituel des funérailles dans l’antique civilisation grecque
rituel catholique
toute une gestuelle traverse la cérémonie: signe de la croix, bénédiction du pèrêtre –> pas de gestes signifiants dont la forme et le sens ne soit rigouresement fixés
rituel catholique langage du corps
s’inscrit de façon ostensible dans une symbolique qu’il voit clairement exprimée
rituel des funérailles civilisation grecque
- pleureuses ac mise en scène du corps qui participe à la lamentation (peures, cris…)
ce que ce corps doit manifester dans els rituels
expresion culturellement constituée des émotions vécues: pas d’extérioriser un vécu intérieur mais de reproduire des gestes
Conduites du deuil auteur
Durkheim: origine sociale (pas individuelle, subjective): langage du corps conventionnel arttificel, codifié,
tout manquement lors du deuil pour Durkheim
faute –> il y aune grammaire sociale des geste qui gouverne le langage du corps
il n’ya de véritable langage que
pour un corps réglé par la société et l’individu
l’individu ayant intériorisé ses codes:
pli son corps naturel aux conventions qui devient un corps socialisé, policé
corps anturel
impulsif, maladroit/mouvements anarchiques, désordonnés, forme de sauvagerie –> déficit d’humanité
corps socialisé
ctrl les gestes pour répondre à des attentes sociales définies
–> ce que nous exprimons chargé d’un sens social
règles auxquelles obéit le oorps réglé
règles de civilité
condiitions d’une communication réussie
par le langage du corps ce que nou scommuniquons
- consentement à la société
- désir de nouer ou maintenir des relations
- -> politiesse
Alain politesse
maitrise de soi
à travers les geste qui composent notr langage
c’est notre adhésion à la société et à ses codes qui s’exprime
autre possibilité de langage du corps
expression plastique
langage= institution symbolique et culturelle
- varie en focnion des cultures
- symbolique gestuelle déterminée d’origine culturelle
- conventionnel imprègne le langage du corps
- manière dt nous modifions notre apprence externe
artifices
tatouages, maquillage, cosmétique
peuvent modifier directement l’apparence du corps
Marcel Mauss artifices=
décoration corporelle
ornementique directe du corps
le premier objet sur lequel l’homme exerce sona ction
corps car:
- fins utilitaires : corps= à la base seul outil dont nous disposons
- intérêt pratique et vital
si nous ovulons rendre le corps effiace
nous devons le doter d’une technicité porpre à répondre aux contraintes du lieu dans le quel nous vivons
2 manièes de traiter le corps comme un langage
- tatouage et arts du corps
- vêtement
difficile de dégager une signification car
diverses raisons:
- esthétique, déocratif
- apparetnance osciale
- évènements ayant pr le groupe vlaeur sociale et symbolique
- expéditions militaires
Lévi Strauss s’insterroge sur peintures faciales et corporelles
chez les Indiens Caduveo au Brésil
LS peintures de corps
- rapport de distanciation à la nature
- procédé d’appropriation
rapport de distanciation à la nature
à travers le quel l’homme afffirme son idientité humaine = manière d’accomplir symboliquement le passage de la anture à la culture du corps qui reçoit l’empreinte de l’homme
Nicolas Grimaldi derrière les pratiques esthétiques de trasformation du corps
enjeu métaphysique
NG, désir de trnasformer son apparence naturelle
parce qu’il ne se reconnait pas en elle : impossible pour l’h de s’éprouver identique à ce qu’il paraît
- désir qui renvoie à une insatisfaction originelle
pq ne eput-il pas coicinder entièrement avec ce qu’il est
conscience qu’il a de lui-même ne peut pas se réfléchi itnégralement dans le corps qu’il a reçu au point de s’y confondre
Hegel la conscience
implique une scission entre soi sujet et soi objet
installe dualité au coeur de l’h car à la fois sujet et objet de la consceince
grâce à cette réfléxion sur les arts du corps et ses motivations
valeurs ooposées du naturel et artificel changent de sens
artifice
valeur positive
porte les valeurs de l’humain
nature
marque la dépendance à l’animalité
refus de naturalité s’exprime
dans touts les arts du corps
Maquillage
baudelaire: enjeu métaphysique
désir de sur natualité
un gout de l’idéal auquel la nature et le naturel impuissants à répondre
seul artifice et artificialité
qui sont la marque distinctive de l’homme peuvent suggérer l’aspiration au surnaturel
Grimaldi arts du corps en relation
à un désir pas à un besoin
besoin
source dans la anture
maintien le corps sous la dépendance de la anture
désir
source dans l’esprit
porte l’être au-delà e la anture
notre seul être ne se réduit pas sa naturalité
mais changer l’apparence du corps =
confier à l’apparence le soin de traduire ou exprimer une identité qui ne peut être fixée –> paradoxe
paradoxe
- paradoxe d’une conscience qui s’objective dans une apparence sans pouvoir s’y confondre
- apparence censée représenter un être, identité qui demeure fondamentalement irreprésentable
ce paraoxe n’a pas à être dépassé
consubstantiel à la ocnscience qui veut nécessairement s’objectiver puisque c’est par là qu’elle est reconnue car ce qu’elle est ne peut s’incarner
grimaldi citation
“mon être est inassignable à nulle apparence parce que mon être est ma liberté “ :
l’art porte témoignage
de cette liberté car étant ce par quoi je peux changer mon apparence
les corps artificalisés montrent pour grimaldi
“notre irréductibilité à la naturalité”
auteurs pour tatouages
LS
Grimaldi
hegel
Baudelaire
le vêtement pour l’homme
pas un moyen de portection (besoin), pas unobjet fonctionnel
ce qu’exprime le corps vêtu
analogue à ce qu’exprime le corps peint : identité dt le sens est construit à travers une différenciation
le vêtement est
un opérateur culturel de différenciation : marque apprence ethnique/classes/genres/profession
–> participe à la catégorisation socio-culturelle des corps individuels
André Leroi-Gourhan fonction vêtements
reflète organisation et ses classes, hiérarchie,s status –> élément de distinction et de reconnaissance sociale
par le vêtement les corps
insérés dans un dispositif symbolique qui traduit l’organisation sociale et la palce des individus
nudté (contrainte ou volontaire)
censée effacer tous le sisgnes d’apprtenance sociale
corps mis à nu dans l’idéologie naturiste
corps libéré des normes sociales
débarrassé des contraintes factices imposées par le vêtement
–> distinction sociale censées disparaitre au profit d’une égalité que fonde le seul rapport à la nature
corps dénudés ds violence concentrationaire
rejetés du côté de la nature
impersonnels, anonymes, renvoyés à l’état d’indifférenciation entre hommes et animaux
le corps exprime
l’identité sociale de la personne
symbolisme catégoriell moins amrqué
- développement de l’individualisme
- uniformisation des moyens de comunication , des styles vestimentaires
A.LG citation
“ce qui triomphe c’est l’uniforme humain standardisé”
différenciation
moins en réf à une orga sociale, une classe, une ethnie : référentiel temporel
le vêtement nouvelle fonction
inscirre les corps dans une temporalité évolutive dt la scansion est fournie par la mode
se vêtir c’est
marquer son apparetnance au temps commun des hommes = le rpésent
mode
usage commun aux hommes partageant une même temporalité
art de la discrétion (pudeur)
assurance d’une liberté
suivre la mode –>
faire communauté avec les autres corps
faire prévaloir le commun
–> politesse d’Alin
celui qui rejette la mode
se met en scène
cherche à capter le regard des autres
porovocation
mode= pudeur
par la mode le moi, l’égo peut se retrancher en soi-même
assurance de la liberté
le consentement à la mode libère l’esprit tandis que l’extravagance vestimentaire l’enchaine
extravagance vestimentaire
absorbe la pensée
apsect aliénant –> paradoxe
paradoxe mode
désir de ne pas être comme les autres rend le moi captif de sa prorpe image
être comme tout le monde: seule manière d’être soi
conformisme du corps dans sonrappport au vêtement
manière d’habiter la temporalité vivante du présent
expression d’un consentement salutaire
Bergson conformisme
conformisme de convention qui n’engage à rien de plus que de se plier aux normes de leiu et de temps
vêtement est de fait
artefact culturel qui façonne l’apparence externe des h
appartenance à un temps donné
opérateur d’unification voie uniformisaiton
opérateur de différenciation
s’il y a un langage du corps peut être associé à
- mouvements significatives, gestuelels, mimiques
- apparence externe sublimée
- tjrs sa source dans la culture –> pas un langage porpre au corps
significations que lelangage duc orps véhicule
obejt d’une élaboration sociale et culturelle
codifié
conventionnel et commun
en lui d’exprime l’emprise que le social exerce surles corps
obejtcitf de la danse et sculpture
libérer la puissance expressive du corps
corps
mouvement + matière
pris dans un tension entre 2 pôles antagoniques : inertie/apesenteur; lourd,léger
inertie
ce qui fixe le corps à terre dans la scultpure
dans la danse: ce dt le corps cherche à s’émanciper
ce qui est en jeu dans les 2 arts
rapport entre 2 forces antagoniques que sont l’inertie et l’apesenteur
mouvement et liberté
- ds la scultpure: captifs d’une matériel ce qui lui confèreune épaisseur et une densité charnelle
- ds la danse: conquis comme is apr la grâcel e corps pouvait s’affranchir de sa matérialité et réaliser unrêve d’envol et d’élévation
avant de rêver et de pouvoir rêver il faut
être
être pour le corps
suppose d’être formé d’une matière et de dessiner sa porpre figure en extrayant sa forme de la matière même
la forme
ce que révèle le ciseau de la scultpure
extraite de cette amtière dt elle est captive
L’escalve s’éveillant
Michel Ange: on voit émerge untorse, visage, cuisse tandis que la tête, mains, pieds invisibles restent captifs de cettea mtière –> dualité de la matière et forme qui agit de l’intérieur de la matière
ce qu’exprime ce corps à demi-visible controionné qui s’extrait du marbre
- processus de son émergence
- arranchement progressif et laborieux à une M1 indifférenciée
ce que révèle la scultpure
- émegences es formes à aprtir de la amtière
- matérailité des formes
- le substantiel
- perfection
- vitalité des formes / rendre l’expressivité des formes corporelles
émergence des formes à prtir de la matière
corps révèle le secret de sa genèse (mythes, cosmogonies)
- la scultpure confie au corps qu’elle Y le soin d’en fournir l’expression plastique
matérialité des formes
exprime l’épaisseur charnelle des corps
se traduit ds le volume et densité du matériau
la forme matérielle
capte une essence pour la fixer durablement dans une matière pérenne
substantiel bonne illustration
statuaire grecque: les corps représetnés st portés au plus haut degré de la perfection plastique : Apollon de Phidias
la forme du corps humain ressaisit par la sculpture classique grecque incarne
idéal de beauté et de perfection
la beauté comme manifestation de ce que le corps est dans sa vérité
à travers la beauté des corps ce qu’exprie le corps
c’est sa vérité
sa forme essentielle
vérité du corps
dans sa perfection plastique
lorsuq’on parle d’un défaut
toujours en réf à une perfection tenue pour première et fondamentale
défaut
dégradation qui afecte une forme dt l’essence est dans la perfection
cette perfection confère aux formes qu’elle représente
valeur d’un modèle universel qui n’en doit pas moins s’incarner dans une individualité
vitalité des formes
il faut q’une vie antérieure anime l’expression plastique du corps
hegel
hegel le corps humain vit
d’une vie organique, naturelle, spirituelle
vie spirituelle
imprègne son apparence externe pour être authentiquement l’apparence externe d’un corps humain
rendre l’expressivité des formes corporelles
doit le spiritualiser en les vivifiant
recréer la forme intérieure quia brite les corps, les passions, pensées… –> dégager de la matière ellemême les forces qu’elle prote virtuellemet
grâce à la scultprure le corps
exprime et signifie l’origine matérielle de ses formes
l’ientité fondamentale de son être
la vie qui l’anime et la spiritualise
cepdnant le corps que la scultpure révèle
reste pris dans l’épaisseur de la amtière qui le constitue : ne peut s’affranchir totalement de sa pesanteur matérielle
Goethe le corps dans la scultpure citation
” à la manière d’une vague pétrifiée au moment ou elle afflue vers le rivage”
dans la sculpture c’est
la polarité terrestre qui domine attestant ainsi de l’autochtonie des corps
le corps peut se libérer de sa pesanteur matérielle par
le mouvement pur, sans but ficé ds lequel le corps s’éprouve lui-même comme liberté
ce corps est révélé par la danse
corps dans la danse
- corps animé, corps mouvement par lequel le mouv se confond avec son être propre
- affinité du corps avec élément aérien
Baudelaire le corp que révéèle la danse et qui se révèle à lui-même
corps de l’albatros rendu à son élément aérien
fluidité par opposition aà son corps lorsqu’il est cloué au sol
Paul valéry la danse
- défi pour la pensée
- gracieux fait
pensée
essaie toujours d’insérer les faits qu’elle interroge dans un ordre de riason suceptible de les expliquer –> rationnalise
danse défi pour la pensée
car fait sans raison comme la rose
apaprait comme singularité insolite
l’exsitence est à elle-même sa propre raison
Graceixu fait
gratuité de ce qui se donne en dehors de toute raison
il faut décrire ce gracieux fait, en cerner le mystère
comment caractériser le mouvement de ce corps?
- échappe aux lois du choc tel que les expose le rationalisme mécaniste
- mouvement sui generis
le choc dans la science mécaniste
générateur de mouvement: effet qu’un corps produit sur un autre corps lorsqu’ils entrent en collision
dans le choc le mouv
est communiqué à un corps par un autre corps
source nécessairement externe
notion de choc interne
aucun sens dans le cadre de la science mécaniste du mouv
dans la danse
choc intérieur: déconnecté de l’action des autres corps
mouvement sui generis
d’un corps libéré des rapports d’interaction qui le régit
le corps qui danse
ce n’est plus ce corps patie dun tout: rendu à une souveraine indépendance par laquelle il devient la source, le moteur de son mouv
–>le mouv semble naître en lui d’un choc intérieur qui le déclenche
ce choc intérieur entraine le corps
dans une sorte de vie qui caractérise 2 types d’oppositions:
- opposition isntable réglée
- opposition spontannée savante
la vie du corps qui danse
- étrangement instable
- étrangement réglée
- étrangement spontannée
- étrangement savante
étrangement isntable
ce corps reste en équilibre dans sa porpre instabilité
étrangement rélgée
les mouvements s’artiulent d’une façon harmonieuse comme si objet d’un réglage mécanisme
–> mouv qui a tous le sdehors de la liberté et la parfaite assurance nait d’une règle matrisée
étrangement spontanée
tous les mouv semblent na$itre et jaillir librement du corps sans préméditation
étrangement savante
le corps qui danse manifeste une sureté ds l’execution
– suppose l’incorporation d’un savoir mais savoir anturel
ces cotnrastes donnent au corps qui danse
une allure singulière :
- semble s’méanciper des conditions qui s’imposent au corps (pôle de matérialité)
dans la danse le sol
- point de ocntact furtif permettant au corps de s’en libérer
- assise offrant au corps sa stabilité
- seul objet ac lequel il demeure en relation
le corps ne se rapporte au sol
que pour ‘(y soustraire : tire parti de la force qui le ramène au sol pour s’en éloigner = princie aérien triomphe des forces de pesanteur
tout se passe comme si ces mouvements
s’alimentaient eux mêmes conférant au corps un régime épriodique
comme si corps autonome, vie propre/mouv devient la source des autres mouv
le choc apparait moins comme
une condition que comme un facteur de perturbation
le mouv du corps qui danse
à lui-même sa porpre fin
ce à travers quoi le corps éprouve sa liberté
yeux de la danseuse pour Valéry
comme des joyaux qui ne lui servent à rien
s’affranchir de sa matérialité PV
comme si le corps changeait d’état et passait dans lâme et la danse = comme une flamme
comme une flamme
- corps qui danse: corps pur car détaché de tout ce qui l’environne (feu vertu purificatrice)
- la substance est mouv, corps qui s’en arrêt s’en échappe, se soustrait à sa porpre pesanteur, tire son énergie de ses porpre mouv comme une flamme qui s’autoalimente
feu Héraclite
substance primordiale
protéiforme
ne se conserve qu’en se consumant en permanence
Valéry danse
l’acte pur des métamorphoses”
comme l efeu le corps qui danse
mobile, changeant, multiple; dévoré de figures innombrables
ce qui semble s’opérer dans la danse
dématérialisation du corps qui se traduit par une liberté conquise contre sa matérialité
- changement de nature
un corps qu idanse est un corps
qui se spiritualise : uqui s’échapep de lui-même
l’ame découvre à travers la danse
que le corps est autre chose que ce qu’elel croit
désappointée devant ce qcorps quié chappe à sa porrep amtérialité
–> qqchose de divin dans le corps