L'entreprise: Analyse Économique Flashcards
Approche capitaliste marxienne
Sépare radicalement et hiérarchiquement fdp.
Contrats 2 aspects:
- Horizontal (entre deux volontés autonomes juridiquement)
- Vertical (autorité et soumission de l’autre à son profit exclusif)
Pb de relation d’agence= principal veut imposer à l’agent un effort de pté max à son seul bénéfice.
MARX coopération
“Les travailleurs et les moyens de production sont toujours les seuls facteurs”. Pas relation horizontale, seulement rapport d’exploitation.
STIGLITZ (néo-keynésien)
Si effort salarié individualisable et observable alors salaire d’efficience solution.
Approche internaliste
E veut éviter incertitude marché et recours au marché par internalisation des activités.
Pas homogénéité, transparence. Incertitude qualité produits et confiance partenaires.
Analyse neo-institutionnelle E
Instituons mettant en place solutions pr résoudre imperfection contrats
COASE
La nature de la firme (1937)
Firme = refus du marché. Préfère filiale de p• à l’étranger plutôt que d’exporter.
Coûts de transaction COASE
- Ceux qui s’expliquent ar difficulté connaissance marché (coût extension géo, transports, barrières à l’entrée, goûts, législations nationales)
- Ceux qui s’expliquent par incertitudes sur qualité des produits, délais, livrait et prix futurs (confiance partenaires)
WALRAS sur marchés
Les E évoluent sur des marchés de “clientèle” et non des marchés “d’enchères”
Approche propiétariste
E différenciée selon l’exercice du pouvoir. Droits de propriété définissent relations juridiques entre hommes à propos de l’usage des choses.
Ddp comprennent transférabilité et exclusivité/contrôle.
3 types E (selon approche propiétariste)
- E pv (transférabilité et exclusivité complètes)
- E managériale (transférabilité subsiste mais perte de contrôle propriétaires à l’avantage des managers-gestionnaires)
- E actionnariale (transférabilité élevée. Gestionnaires managers contrôlent en imposant obj quantitatifs de rentabilité)
H. SIMON contrats incomplets
Rationalité limitée des agents (ne peuvent prévoir futur)
O. WILLIAMSON contrats incomplets
Comportement agents pê opportuniste et machiavélique
L’entrepreneur est ? (4)
- un 4eme fdp (A. MARSHALL)
- assume incertitude des profits futurs (R. CANTILLON)
- Coordonne les différentes marches (SAY)
- Réduir déséquilibres entre O et D sur marché.
Approche néoclassique entreprise
Combinaison optimale fdp. Produit pr la sté à travers DIT. =lieu où se combinent les fdp.
Pb: réduit E a seule fonction d’offre et contrats censés être parfaits du Pdv de linfo. Suppose aussi entrepreneur-organisateur qui maintient distinction contrats facteurs internes (L) et externes (fournisseurs, distributeurs). Chaque contrat interne est rémunéré à sa Pm
Cycle de vie de l’entrepreneur SCHUMPETER
Jeune avec rendements croissants
Adulte avec rendements constants
Vieux avec rendements décroissants
R. CANTILLON sur incertitude entrepreneurs
Vit à “gages incertains”.
Achete a prix certains sans connaître prix de vente = fonction essentielle pr circuit monetaire.
WALRAS entrepreneur 4eme personnage
A côté de capitalistes, salariés, propriétaires terriens.
Double emploi avec le commissaire priseur (2 coordinateurs équilibre général walrasien)
F. HAYEK & I. KIRNER (sur trois de coordination)
Ecole autrichienne. critiquent équilibre nc.
Marché tjrs en desequ car O & D évoluent constamment. Pas d’info parfaite, connaissance dispersée. Eur réédition écarts entre O & D.
Keynes État
“Entrepreneur de plein-emploi”
Entrepreneur nc rationnel et vit ds univers probabilisable. En réalité pas cet de logique de calcul, sinon jamais d’I.
Il fait place aux entrepreneurS. En période d’incertitude, meilleure manière d’agir est d’imiter les autres et suivre opinion dominante. Explique cycles eco. (“Prophétique auto-réalisatrice)
Schumpeter
Fait de l’entrepreneur personnage charismatique, acteur de l’évolution à LT. “Entreprise, entrepreneur, entreprendre”
Pr comprendre cycles, Schumpeter introduit “destruction créatrice”. Innove pour raisons extra-éco (pas que profit).
Profit rémunération de l’innov et du risque pris. Kisme conduit innov à son + haut degré.
Nuances néo-schumpeteriens
- Il existe rationalité dans processus d’innov (pr restaurer profit et quand débouchés moins assurés). Ainsi, innovateur aussi animé par calcul.
- Institutions sociales ont une importance. Rôle d’impulsion innovation + diffusion innovation.
G. MENSCH
1977
Montre que fréquence innovations fondamentales est + forte pendant récession, alors que SCHUMPETER la situait ds phase reprise.
C. FREEMAN & C. PEREZ
Institutions sociales rôle d’impulsion innovation + diffusion innovation.
Exemple: innov 1920-1930s ont produit effets sur croissance pdt 1950-1960s quand éco socialisée s’est mep.
Crise actuelle pê interprétée comme discordance entre instituions héritées du fordisme (Etat social, formes d’emploi) / Révolution NTIC ds cadre mondialisé.
Efficacité allocative
Capacité de l’entreprise à réaliser une allocation optimale des ressources dans un monde concurrentiel, ce qui conduit, dans la trad nc, paradoxalement à un profil nul.
Efficacité productive
Capacité de l’entreprise à installer des équipements complexes, à assumer des CF élèves et à produire en grandes qtés.
Efficacité innovative
Capacité (selon SCHUMPETER) à mep une nouvelle fdp, de nouvelles formes de gestion, de nouveaux produits, de nouvelles industries de base et sources d’énergie.
Efficacité innovative contradictoire avec l’efficacité allocative du modèle concurrentiel.
Eff alloc suppose hypothèses CPP compatibles avec innovation. Or pas le cas.
Nbrses innov ont lieu ds petites E au départ dc ds situation d’atomicité. Mais mise en œuvre de la p• à grande cb elle suppose apparition structures oligopolistiques ayant les moyens de les financer.
Concu opérée par innov et différenciation pdts.
Libre entrée et absence réglementation empêche monopole temporaire brevet (innov devient bien pb)
L’efficacité productive peut aller à l’encontre de l’efficacité innovative.
SCHUMPETER: Kisme managérial et la grande E conduisent à effacement de l’entrepreneur-innovateur.
Solution école de Harvard: contrôler concu et lutter contre ententes.
Solution école de Chicago: privilégier concu pr forcer E à se conduire en situation de concu et donc innover.
Enquête de Berle et Means
En 1929, les 200 premières firmes américaines ont un K dispersé avec prise de pouvoir effectué par managers.
Galbraith “nouvel état industriel”
Technostructure revient classe dirigeante.
Filière inversée Galbraith
Ampleur CF nécessité une planification LT, le marché doit être programmé.
Obj firme : plus le profit immédiat mais survie organisation et maintien de ses parts de Mé.
Critique nc firme managériale
Dégrade ddp, entraîne perte efficacité allocative appelée “inefficience X”. Managers cherchent leur bê au détriment des propriétaires.
Théoriciens technostructure y voyaient un effet inévitable de maîtrise. MAIS actionnaires imposent obligations de résultats
E. CHIAPELLO
La compta permet de résoudre les diff de def de l’E car présente vision unifiée de tous les flux financiers. Normes comptables => choix de def de l’E et intérêts à pec.
2 normes comptables
- E doit pec intérêts de l’ensemble des groupes qui la constituent = optique parties-prenantes (stakeholder). Recherche profit max remplacée par satisfacing, résultat re compromis entre les groupes (firme managériale)
- E aux seuls intérêts des actionnaires (shareholder)
Nouvelle conception comptabilité qui privilégie Kisme actionnarial
“Fair value”
Conception centrée sur info Isseurs (et ceux qui ont besoin de connaître valeur actuelle E, a des fins spéculatives).
Profit n’est plus constaté ex ante, mais une projection des profits futurs (suppose choisir taux d’actualisation).
2 traditions normes comptables
La continentale européenne publique, E comme “parties prenantes”.
Anglo-saxonne privilégié Pdv des actionnaires.
Réduction aux exigences de l’actionnariat peut-elle affecter l’efficacité à LT de la forme? Débat: urgence du CT ne sacrifie-t-elle pas l’innocent et le LT?
Taille entreprise
Définie par volume production, équipements, MO, capitalisation boursière, nb pays où elle est implantée, filiales délocalisées, sous-traitance.
3 types de tailles Entreprise
- Taille critique (minimale) avec Europe et M• taille critique augmente, ce qui pose limites du “cavalier seul” (passer alliances, partenariats)
- Taille dominante (assure pouvoir de marché, pouvoir de négoc face aux financiers, fournisseurs)
- Taille limite/optimale (au delà de laquelle rdts croissants s’estompent)
A. CHANDLER
“La structure suit la stratégie”
La firme unitaire (en U)
Apparaît aux EU ds CDF et télégraphe après 1870 (augmente fdp éco am). Car pb de coordination et uniformisation sur territoires très étendus.
Pyramide hiérarchisée de métiers.
Introduit ensuite une spécialisation fonctionnelle de l’E: production, vente, comptabilité. Forme rationnelle et consciente d’organisation.
La firme multidimensionnelle M
Apparaît ds 1920s en réponse aux nvlles conditions de p• et marchés.
Marchés segmentés (ex: General Mottors propose modèles différents).
Structure en U inefficace ajd car be permet pas véritable calcul de profit et d’efficacité par types de pdts, de régions.
Firme M = ensemble de filiales reliées à la direction générale qui élabore la stratégie générale. Chaque filiale devient une quasi-firme.
WILLIAMSON
Réseaux de firmes peuvent se constituer par intégration verticale.
W: entreprise confrontée à 2 phénomènes => incertitude liée à spéculation b&s + fréquence des relations contractuelles.
Les réseaux de firmes peuvent se constituer aussi par intégration horizontale
En internalisant +, E se transforme en forme globale ou transnationale (elle devient un microcosme).
Réseaux de firmes peuvent se constituer par intégration oblique
Activité ptive se caractérise par un allongement du processus de p•.
Allongement se fait pas sous traitance trad qui se développe à côté du partenariat industriel.
La concurrence sélectionné les formes d’organisation les + efficaces
Le 20eme a connu 2 formes d’organisation:
- Fordisme
- Taylorisme
J. AOKI
La firme J (japonaise) a supplanté la firme A (américaine) car elle répondait mieux aux nouvelles exigences du Mé mondial dans 1980s: exigence qualité, flexibilité MOI, marchés + segmentés et pas seulement p• de masse.
G. AKERLOF
Analyse contrat de L comme une “poignée de main invisible”. Chaque E à ses propres poignées de main. Ces spécificités sont sifflement transférables ou copiables pr d’autres, d’où les difficultés lors des fusions.