Hémostase normale Flashcards
Hémostase normale: Intro
- L’hémostase est la réaction de défense de l’organisme contre une hémorragie en activité ou imminente.
Hémorragie: survient dans quel contexte?
- L’hémorragie survient dès que des vaisseaux sont rupturés, la pression intravasculaire étant supérieure à la pression extravasculaire.
- Le sang, fluide à l’état normal, s’échappe des vaisseaux.
Pourquoi l’hémorragie survient dès que les vaisseaux sont rupturés?
- L’hémorragie survient dès que des vaisseaux sont rupturés, la pression intravasculaire étant supérieure à la pression extravasculaire.
- Le sang, fluide à l’état normal, s’échappe des vaisseaux.
Hémorragie: entraîne quel genre de situation?
- L’hémorragie crée souvent une situation d’urgence, en raison du risque soit d’une perte sanguine considérable, soit d’une compression d’un organe vital par un hématome produit par une hémorragie interne.
- Pour être efficace, l’hémostase doit enrayer rapidement l’hémorragie
Hémorragie: risques associés
- L’hémorragie crée souvent une situation d’urgence, en raison du risque soit d’une perte sanguine considérable, soit d’une compression d’un organe vital par un hématome produit par une hémorragie interne.
- Pour être efficace, l’hémostase doit enrayer rapidement l’hémorragie
Hémorragie: hémostase est efficace si …
- L’hémorragie crée souvent une situation d’urgence, en raison du risque soit d’une perte sanguine considérable, soit d’une compression d’un organe vital par un hématome produit par une hémorragie interne.
- Pour être efficace, l’hémostase doit enrayer rapidement l’hémorragie
Hémostase: Décrire ce qui se passe
- Les réactions d’hémostase ont pour fonction principale de construire des bouchons hémostatiques oblitérant éventuellement les brèches vasculaires.
- Le sang contient tous les éléments nécessaires (cellulaires et plasmatiques) pour constituer le bouchon hémostatique.
Hémostase: Les éléments nécessaires à l’hémostase sont à quel endroit?
- Les réactions d’hémostase ont pour fonction principale de construire des bouchons hémostatiques oblitérant éventuellement les brèches vasculaires.
- Le sang contient tous les éléments nécessaires (cellulaires et plasmatiques) pour constituer le bouchon hémostatique.
Qualités que le bouchon hémostatique doit avoir
Pour remplir pleinement ses fonctions physiologiques, le bouchon hémostatique doit avoir trois qualités :
- Rapidité pour minimiser les pertes sanguines.
- Solidité pour résister à la pression intravasculaire et aux tractions mécaniques et pour adhérer au pourtour de la brèche.
- Durabilité pour empêcher la reprise de l’hémorragie jusqu’à la guérison complète de la plaie.
Qualités que le bouchon hémostatique doit avoir: Nommez-les
Pour remplir pleinement ses fonctions physiologiques, le bouchon hémostatique doit avoir trois qualités :
- 1. Rapidité pour minimiser les pertes sanguines.
- 2. Solidité pour résister à la pression intravasculaire et aux tractions mécaniques et pour adhérer au pourtour de la brèche.
- 3. Durabilité pour empêcher la reprise de l’hémorragie jusqu’à la guérison complète de la plaie.
Qualités que le bouchon hémostatique doit avoir: Rapidité
Pour remplir pleinement ses fonctions physiologiques, le bouchon hémostatique doit avoir trois qualités :
- 1. Rapidité pour minimiser les pertes sanguines.
- Solidité pour résister à la pression intravasculaire et aux tractions mécaniques et pour adhérer au pourtour de la brèche.
- Durabilité pour empêcher la reprise de l’hémorragie jusqu’à la guérison complète de la plaie.
Qualités que le bouchon hémostatique doit avoir: Solidité
Pour remplir pleinement ses fonctions physiologiques, le bouchon hémostatique doit avoir trois qualités :
- Rapidité pour minimiser les pertes sanguines.
- 2. Solidité pour résister à la pression intravasculaire et aux tractions mécaniques et pour adhérer au pourtour de la brèche.
- Durabilité pour empêcher la reprise de l’hémorragie jusqu’à la guérison complète de la plaie.
Qualités que le bouchon hémostatique doit avoir: Durabilité
Pour remplir pleinement ses fonctions physiologiques, le bouchon hémostatique doit avoir trois qualités :
- Rapidité pour minimiser les pertes sanguines.
- Solidité pour résister à la pression intravasculaire et aux tractions mécaniques et pour adhérer au pourtour de la brèche.
- Durabilité pour empêcher la reprise de l’hémorragie jusqu’à la guérison complète de la plaie.
Tissu hémostatique d’urgence: Source
- C’est donc le sang qui constitue le «tissu hémostatique d’urgence» qui comblera les brèches vasculaires.
- Pour ce faire, des réactions des plaquettes sanguines et du plasma doivent être déclenchées.
- C’est le contact du sang avec la paroi des vaisseaux lésés qui amorce les réactions.
Tissu hémostatique d’urgence: ce qui doit être activé
- C’est donc le sang qui constitue le «tissu hémostatique d’urgence» qui comblera les brèches vasculaires.
- Pour ce faire, des réactions des plaquettes sanguines et du plasma doivent être déclenchées.
- C’est le contact du sang avec la paroi des vaisseaux lésés qui amorce les réactions.
Tissu hémostatique d’urgence: ce qui amorce la réaction
- C’est donc le sang qui constitue le «tissu hémostatique d’urgence» qui comblera les brèches vasculaires.
- Pour ce faire, des réactions des plaquettes sanguines et du plasma doivent être déclenchées.
- C’est le contact du sang avec la paroi des vaisseaux lésés qui amorce les réactions.
Décrire le changement qui se produit au niveau du sang lorsqu’il y a réaction d’hémostatse
- Le déclenchement des réactions d’hémostase crée, un changement fondamental de l’état du sang.
- La caractéristique de circulation fluide est abandonnée au profit de la construction rapide d’un bouchon hémostatique.
- Le sang ne circule pas à la même vitesse à l’intérieur du vaisseau. Sa vitesse maximale au centre et minimale en périphérie.
- Dans les petits vaisseaux où la vitesse du sang est plus élevée, il y a une grande différence entre les vitesses du sang des couches situées au centre du vaisseau et celles de la périphérie.
-C’est la force de cisaillement.
Changement de l’état fondamental du sang: Décrire la caractéristique de circulation fluide du sang
- Le déclenchement des réactions d’hémostase crée, un changement fondamental de l’état du sang.
- La caractéristique de circulation fluide est abandonnée au profit de la construction rapide d’un bouchon hémostatique.
- Le sang ne circule pas à la même vitesse à l’intérieur du vaisseau.
- Sa vitesse maximale au centre et minimale en périphérie.
- Dans les petits vaisseaux où la vitesse du sang est plus élevée, il y a une grande différence entre les vitesses du sang des couches situées au centre du vaisseau et celles de la périphérie.
- C’est la force de cisaillement.
Changement de l’état fondamental du sang: Décrire la force de cisaillement
- Le déclenchement des réactions d’hémostase crée, un changement fondamental de l’état du sang.
- La caractéristique de circulation fluide est abandonnée au profit de la construction rapide d’un bouchon hémostatique.
- Le sang ne circule pas à la même vitesse à l’intérieur du vaisseau.
- Sa vitesse maximale au centre et minimale en périphérie.
- Dans les petits vaisseaux où la vitesse du sang est plus élevée, il y a une grande différence entre les vitesses du sang des couches situées au centre du vaisseau et celles de la périphérie.
- C’est la force de cisaillement.
Changement de l’état fondamental du sang: Force de cisaillement
- Le déclenchement des réactions d’hémostase crée, un changement fondamental de l’état du sang.
- La caractéristique de circulation fluide est abandonnée au profit de la construction rapide d’un bouchon hémostatique.
- Le sang ne circule pas à la même vitesse à l’intérieur du vaisseau.
- Sa vitesse maximale au centre et minimale en périphérie.
- Dans les petits vaisseaux où la vitesse du sang est plus élevée, il y a une grande différence entre les vitesses du sang des couches situées au centre du vaisseau et celles de la périphérie.
- C’est la force de cisaillement.
Hémostase primaire
- L’hémostase primaire est centrée sur les plaquettes qui forment le clou plaquettaire.
- Les plaquettes activées et leurs cofacteurs plasmatiques interagissent avec la paroi vasculaire.
- Cette composante majeure de l’hémostase s’appelle «primaire» car elle est la plus rapide (trois à cinq minutes) à survenir.
- L’hémostase primaire trouve son efficacité physiologique maximale dans les très petits vaisseaux (artérioles, veinules et capillaires).
- Ceci est expliqué par le fait que le taux de cisaillement élevé accélère l’adhésion des plaquettes considérablement.
Hémostase primaire: forme quoi?
- L’hémostase primaire est centrée sur les plaquettes qui forment le clou plaquettaire.
- Les plaquettes activées et leurs cofacteurs plasmatiques interagissent avec la paroi vasculaire.
- Cette composante majeure de l’hémostase s’appelle «primaire» car elle est la plus rapide (trois à cinq minutes) à survenir.
- L’hémostase primaire trouve son efficacité physiologique maximale dans les très petits vaisseaux (artérioles, veinules et capillaires).
- Ceci est expliqué par le fait que le taux de cisaillement élevé accélère l’adhésion des plaquettes considérablement.
Hémostase primaire: C’est quoi?
- L’hémostase primaire est centrée sur les plaquettes qui forment le clou plaquettaire.
- Les plaquettes activées et leurs cofacteurs plasmatiques interagissent avec la paroi vasculaire.
- Cette composante majeure de l’hémostase s’appelle «primaire» car elle est la plus rapide (trois à cinq minutes) à survenir.
- L’hémostase primaire trouve son efficacité physiologique maximale dans les très petits vaisseaux (artérioles, veinules et capillaires).
- Ceci est expliqué par le fait que le taux de cisaillement élevé accélère l’adhésion des plaquettes considérablement.
Hémostase primaire: Pourquoi on l’appelle primaire?
- L’hémostase primaire est centrée sur les plaquettes qui forment le clou plaquettaire.
- Les plaquettes activées et leurs cofacteurs plasmatiques interagissent avec la paroi vasculaire.
- Cette composante majeure de l’hémostase s’appelle «primaire» car elle est la plus rapide (trois à cinq minutes) à survenir.
- L’hémostase primaire trouve son efficacité physiologique maximale dans les très petits vaisseaux (artérioles, veinules et capillaires).
- Ceci est expliqué par le fait que le taux de cisaillement élevé accélère l’adhésion des plaquettes considérablement.
Hémostase primaire: Contexte où elle est le plus efficace
- L’hémostase primaire est centrée sur les plaquettes qui forment le clou plaquettaire.
- Les plaquettes activées et leurs cofacteurs plasmatiques interagissent avec la paroi vasculaire.
- Cette composante majeure de l’hémostase s’appelle «primaire» car elle est la plus rapide (trois à cinq minutes) à survenir.
- L’hémostase primaire trouve son efficacité physiologique maximale dans les très petits vaisseaux (artérioles, veinules et capillaires).
- Ceci est expliqué par le fait que le taux de cisaillement élevé accélère l’adhésion des plaquettes considérablement.
Hémostase primaire: Pourquoi est-elle plus efficace dans les petits vaisseaux?
- L’hémostase primaire est centrée sur les plaquettes qui forment le clou plaquettaire.
- Les plaquettes activées et leurs cofacteurs plasmatiques interagissent avec la paroi vasculaire.
- Cette composante majeure de l’hémostase s’appelle «primaire» car elle est la plus rapide (trois à cinq minutes) à survenir.
- L’hémostase primaire trouve son efficacité physiologique maximale dans les très petits vaisseaux (artérioles, veinules et capillaires).
- Ceci est expliqué par le fait que le taux de cisaillement élevé accélère l’adhésion des plaquettes considérablement.
Coagulation sanguine: Est composée de quoi?
- La coagulation sanguine est composée d’une dizaine de protéines plasmatiques de la coagulation.
- Environ dix minutes après avoir été déclenché, le mécanisme de la coagulation produit le caillot de fibrine.
- À cause de ce délai, certains ont appelé la coagulation l’hémostase «secondaire», par opposition à l’hémostase primaire.
Coagulation sanguine: Le caillot de fibrine se forme après combien de temps?
- La coagulation sanguine est composée d’une dizaine de protéines plasmatiques de la coagulation.
- Environ dix minutes après avoir été déclenché, le mécanisme de la coagulation produit le caillot de fibrine.
- À cause de ce délai, certains ont appelé la coagulation l’hémostase «secondaire», par opposition à l’hémostase primaire.
Coagulation sanguine: Autre nom
- La coagulation sanguine est composée d’une dizaine de protéines plasmatiques de la coagulation.
- Environ dix minutes après avoir été déclenché, le mécanisme de la coagulation produit le caillot de fibrine.
- À cause de ce délai, certains ont appelé la coagulation l’hémostase «secondaire», par opposition à l’hémostase primaire.
Coagulation sanguine: Pourquoi on l’appelle ça l’hémostase secondaire?
- La coagulation sanguine est composée d’une dizaine de protéines plasmatiques de la coagulation.
- Environ dix minutes après avoir été déclenché, le mécanisme de la coagulation produit le caillot de fibrine.
- À cause de ce délai, certains ont appelé la coagulation l’hémostase «secondaire», par opposition à l’hémostase primaire.
Hémostase primaire et coagulation: Relation entre elles
-
L’hémostase primaire et la coagulation travaillent en concertation étroite d’abord pour fabriquer le clou plaquettaire, puis pour le renforcer par la fibrine.
- Ces deux composantes sont activées parallèlement lors de l’initiation des mécanismes d’hémostase.
- Le clou plaquettaire consolidé par le caillot de fibrine constitue le bouchon hémostatique.
- Avec le temps les plaquettes sont détruites et le bouchon est stabilisé par le facteur XIII ce qui augmente sa durabilité.
- On l’appelle alors bouchon fibrineux.
- Le bouchon fibrineux demeure en place jusqu’à la cicatrisation puis sera éventuellement détruit par la fibrinolyse.
- La coagulation est particulièrement efficace et nécessaire dans les vaisseaux de petit et de moyen calibres.
Hémostase primaire et coagulation: Clou plaquettaire –> ?
- L’hémostase primaire et la coagulation travaillent en concertation étroite d’abord pour fabriquer le clou plaquettaire, puis pour le renforcer par la fibrine.
- Ces deux composantes sont activées parallèlement lors de l’initiation des mécanismes d’hémostase.
- Le clou plaquettaire consolidé par le caillot de fibrine constitue le bouchon hémostatique.
- Avec le temps les plaquettes sont détruites et le bouchon est stabilisé par le facteur XIII ce qui augmente sa durabilité.
- On l’appelle alors bouchon fibrineux.
- Le bouchon fibrineux demeure en place jusqu’à la cicatrisation puis sera éventuellement détruit par la fibrinolyse.
- La coagulation est particulièrement efficace et nécessaire dans les vaisseaux de petit et de moyen calibres.
Hémostase primaire et coagulation: Différencie bouchon hémostatique vs bouchon fibrineux
- L’hémostase primaire et la coagulation travaillent en concertation étroite d’abord pour fabriquer le clou plaquettaire, puis pour le renforcer par la fibrine.
- Ces deux composantes sont activées parallèlement lors de l’initiation des mécanismes d’hémostase.
- Le clou plaquettaire consolidé par le caillot de fibrine constitue le bouchon hémostatique.
- Avec le temps les plaquettes sont détruites et le bouchon est stabilisé par le facteur XIII ce qui augmente sa durabilité.
- On l’appelle alors bouchon fibrineux.
- Le bouchon fibrineux demeure en place jusqu’à la cicatrisation puis sera éventuellement détruit par la fibrinolyse.
- La coagulation est particulièrement efficace et nécessaire dans les vaisseaux de petit et de moyen calibres.
Hémostase primaire et coagulation: Le bouchon fibrineux reste en place jusqu’à quand?
- L’hémostase primaire et la coagulation travaillent en concertation étroite d’abord pour fabriquer le clou plaquettaire, puis pour le renforcer par la fibrine.
- Ces deux composantes sont activées parallèlement lors de l’initiation des mécanismes d’hémostase.
- Le clou plaquettaire consolidé par le caillot de fibrine constitue le bouchon hémostatique.
- Avec le temps les plaquettes sont détruites et le bouchon est stabilisé par le facteur XIII ce qui augmente sa durabilité.
- On l’appelle alors bouchon fibrineux.
- Le bouchon fibrineux demeure en place jusqu’à la cicatrisation puis sera éventuellement détruit par la fibrinolyse.
- La coagulation est particulièrement efficace et nécessaire dans les vaisseaux de petit et de moyen calibres.
Hémostase primaire et coagulation: La coagulation est particulièrement efficace dans quel type de vaisseaux?
- L’hémostase primaire et la coagulation travaillent en concertation étroite d’abord pour fabriquer le clou plaquettaire, puis pour le renforcer par la fibrine.
- Ces deux composantes sont activées parallèlement lors de l’initiation des mécanismes d’hémostase.
- Le clou plaquettaire consolidé par le caillot de fibrine constitue le bouchon hémostatique.
- Avec le temps les plaquettes sont détruites et le bouchon est stabilisé par le facteur XIII ce qui augmente sa durabilité.
- On l’appelle alors bouchon fibrineux.
- Le bouchon fibrineux demeure en place jusqu’à la cicatrisation puis sera éventuellement détruit par la fibrinolyse.
- La coagulation est particulièrement efficace et nécessaire dans les vaisseaux de petit et de moyen calibres.
Étapes de la formation du bouchon hémostatique
La séquence des réactions hémostatiques peut se résumer comme suit :
- Hémostase primaire :
- bris vasculaires
- -+ hémorragie, lésion de l’intima et vasoconstriction
- -+ exposition de substances activatrices
- -+ activation des plaquettes
- -+ séquence de réactions plaquettaires : adhésion et sécrétion plaquettaires
- -+ agrégats plaquettaires
- -+ clou plaquettaire.
- Ce clou constitue le produit final, instable, de l’hémostase primaire. - Coagulation :
- bris vasculaires
- -+ activation de la coagulation sanguine et des surfaces plaquettaires procoagulantes
- -+ production de thrombine et de fibrine
- -+ stabilisation du clou plaquettaire
- -+ formation du bouchon hémostatique
- -+ stabilisation par facteur XIII
- -+ formation du bouchon fibrineux
- -+ destruction par la fibrinolyse.
Étapes de la formation du bouchon hémostatique: Nommez les grandes étapes
La séquence des réactions hémostatiques peut se résumer comme suit :
-
Hémostase primaire :
- bris vasculaires
- -+ hémorragie, lésion de l’intima et vasoconstriction
- -+ exposition de substances activatrices
- -+ activation des plaquettes
- -+ séquence de réactions plaquettaires : adhésion et sécrétion plaquettaires
- -+ agrégats plaquettaires
- -+ clou plaquettaire.
- Ce clou constitue le produit final, instable, de l’hémostase primaire. -
Coagulation :
- bris vasculaires
- -+ activation de la coagulation sanguine et des surfaces plaquettaires procoagulantes
- -+ production de thrombine et de fibrine
- -+ stabilisation du clou plaquettaire
- -+ formation du bouchon hémostatique
- -+ stabilisation par facteur XIII
- -+ formation du bouchon fibrineux
- -+ destruction par la fibrinolyse.
Étapes de la formation du bouchon hémostatique: Nommez les étapes de l’hémostase primaire
La séquence des réactions hémostatiques peut se résumer comme suit :
-
Hémostase primaire :
- bris vasculaires
- -+ hémorragie, lésion de l’intima et vasoconstriction
- -+ exposition de substances activatrices
- -+ activation des plaquettes
- -+ séquence de réactions plaquettaires : adhésion et sécrétion plaquettaires
- -+ agrégats plaquettaires
- -+ clou plaquettaire.
- Ce clou constitue le produit final, instable, de l’hémostase primaire. - Coagulation :
- bris vasculaires
- -+ activation de la coagulation sanguine et des surfaces plaquettaires procoagulantes
- -+ production de thrombine et de fibrine
- -+ stabilisation du clou plaquettaire
- -+ formation du bouchon hémostatique
- -+ stabilisation par facteur XIII
- -+ formation du bouchon fibrineux
- -+ destruction par la fibrinolyse.
Étapes de la formation du bouchon hémostatique: Nommez les étapes de la coagulation
La séquence des réactions hémostatiques peut se résumer comme suit :
- Hémostase primaire :
- bris vasculaires
- -+ hémorragie, lésion de l’intima et vasoconstriction
- -+ exposition de substances activatrices
- -+ activation des plaquettes
- -+ séquence de réactions plaquettaires : adhésion et sécrétion plaquettaires
- -+ agrégats plaquettaires
- -+ clou plaquettaire.
- Ce clou constitue le produit final, instable, de l’hémostase primaire. -
Coagulation :
- bris vasculaires
- -+ activation de la coagulation sanguine et des surfaces plaquettaires procoagulantes
- -+ production de thrombine et de fibrine
- -+ stabilisation du clou plaquettaire
- -+ formation du bouchon hémostatique
- -+ stabilisation par facteur XIII
- -+ formation du bouchon fibrineux
- -+ destruction par la fibrinolyse.
Hémostase: Nommez les 3 bouchons
- Clou plaquettaire
- Bouchon hémostatique
- Bouchon fibrineux
Hémostase: Nommez les différentes étapes
- Composante
- Clou plaquettaire
- Coagulation
- Bouchon hémostatique
- Bouchon fibrineux
Thrombopoïèse: Définition
- Thrombopoïèse : Les plaquettes sont fabriquées dans la moelle osseuse par la lignée des mégacaryocytes, cellules de très grande taille et multinucléées.
Thrombopoïèse: Décrire les mégacaryocytes
- Thrombopoïèse : Les plaquettes sont fabriquées dans la moelle osseuse par la lignée des mégacaryocytes, cellules de très grande taille et multinucléées.
Thrombopoïèse: Régulation
- La régulation de la thrombocytopoïèse est sous le contrôle d’une substance humorale appelée thrombopoïétine.
- La thrombocytopénie amène une augmentation du taux de la thrombopoïétine sérique, laquelle active la différenciation des cellules souches en mégacaryocytes et accélère la maturation du cytoplasme.
Thrombopoïèse: Substance assurant sa régulation
- La régulation de la thrombocytopoïèse est sous le contrôle d’une substance humorale appelée thrombopoïétine.
- La thrombocytopénie amène une augmentation du taux de la thrombopoïétine sérique, laquelle active la différenciation des cellules souches en mégacaryocytes et accélère la maturation du cytoplasme.
Thrombopoïèse: Effet de la thrombopoïétine
- La régulation de la thrombocytopoïèse est sous le contrôle d’une substance humorale appelée thrombopoïétine.
- La thrombocytopénie amène une augmentation du taux de la thrombopoïétine sérique, laquelle active la différenciation des cellules souches en mégacaryocytes et accélère la maturation du cytoplasme.
Description des plaquettes: Décrire les plaquettes (au niveau de leur apparence)
- Description des plaquettes: Ce sont des cellules anucléées de très petite taille, au nombre de 150 à 400 x 109/L de sang en forme d’un disque à surfaces biconvexes. (Figure 1.2).
Description des plaquettes: Description de sa membrane
- La membrane cellulaire est composée d’une double couche de phospholipides.
- Des glycoprotéines sont insérées dans la membrane.
- Elles sont responsables des interactions de la plaquette avec d’autres constituants sanguins ou cellulaires.
- Les plus importantes sont :
- GP Ib : récepteur de surface pour le facteur von Willebrand.
- GP IIb/IIIa : récepteur de surface pour le fibrinogène qui s’exprime suite à l’activation plaquettaire.
Plaquettes: de quoi est composée sa membrane?
- La membrane cellulaire est composée d’une double couche de phospholipides.
- Des glycoprotéines sont insérées dans la membrane.
- Elles sont responsables des interactions de la plaquette avec d’autres constituants sanguins ou cellulaires.
- Les plus importantes sont :
- GP Ib : récepteur de surface pour le facteur von Willebrand.
- GP IIb/IIIa : récepteur de surface pour le fibrinogène qui s’exprime suite à l’activation plaquettaire.
Plaquettes: rôle des glycoprotéines
- La membrane cellulaire est composée d’une double couche de phospholipides.
- Des glycoprotéines sont insérées dans la membrane.
- Elles sont responsables des interactions de la plaquette avec d’autres constituants sanguins ou cellulaires.
- Les plus importantes sont :
- GP Ib : récepteur de surface pour le facteur von Willebrand.
- GP IIb/IIIa : récepteur de surface pour le fibrinogène qui s’exprime suite à l’activation plaquettaire.
Plaquettes: Avec quels constituants sanguins importants les glycoprotéines interagissent-elles?
- La membrane cellulaire est composée d’une double couche de phospholipides.
- Des glycoprotéines sont insérées dans la membrane.
- Elles sont responsables des interactions de la plaquette avec d’autres constituants sanguins ou cellulaires.
-
Les plus importantes sont :
- GP Ib : récepteur de surface pour le facteur von Willebrand.
- GP IIb/IIIa : récepteur de surface pour le fibrinogène qui s’exprime suite à l’activation plaquettaire.
Plaquettes: constituants sanguins avec lequels les glycoprotéines interagissent
- GP Ib: rôle
- La membrane cellulaire est composée d’une double couche de phospholipides.
- Des glycoprotéines sont insérées dans la membrane.
- Elles sont responsables des interactions de la plaquette avec d’autres constituants sanguins ou cellulaires.
- Les plus importantes sont :
- GP Ib : récepteur de surface pour le facteur von Willebrand.
- GP IIb/IIIa : récepteur de surface pour le fibrinogène qui s’exprime suite à l’activation plaquettaire.
Plaquettes: constituants sanguins avec lequels les glycoprotéines interagissent
- GP IIb/IIIa: rôle
- La membrane cellulaire est composée d’une double couche de phospholipides.
- Des glycoprotéines sont insérées dans la membrane.
- Elles sont responsables des interactions de la plaquette avec d’autres constituants sanguins ou cellulaires.
- Les plus importantes sont :
- GP Ib : récepteur de surface pour le facteur von Willebrand.
- GP IIb/IIIa : récepteur de surface pour le fibrinogène qui s’exprime suite à l’activation plaquettaire.
Plaquettes: constituants sanguins avec lequels les glycoprotéines interagissent
- décrire le GP IIb/IIIa
- La membrane cellulaire est composée d’une double couche de phospholipides.
- Des glycoprotéines sont insérées dans la membrane.
- Elles sont responsables des interactions de la plaquette avec d’autres constituants sanguins ou cellulaires.
- Les plus importantes sont :
- GP Ib : récepteur de surface pour le facteur von Willebrand.
- GP IIb/IIIa : récepteur de surface pour le fibrinogène qui s’exprime suite à l’activation plaquettaire.
Plaquettes: Qu’est-ce qui se trouve sous la membrane dans le cytoplasme?
- Sous la membrane dans le cytoplasme se trouve le cytosquelette de la plaquette, composé de microtubules, qui contribue au maintien de la forme discoïde de la plaquette et à ses changements de forme.
Plaquettes: Quel est le rôle des microtubules?
- Sous la membrane dans le cytoplasme se trouve le cytosquelette de la plaquette, composé de microtubules, qui contribue au maintien de la forme discoïde de la plaquette et à ses changements de forme.
Plaquettes: Organelles
Le cytoplasme contient de nombreuses organelles:
- Organelles universels (mitochondries, lysosomes, appareil de Golgi, particules de glycogène);
- Organelles de sécrétion hémostatique
- granulations alpha (ADP, sérotonine, calcium)
- granulations denses (facteurs de coagulation, facteur von Willebrand, fibronectine, PF4)
Plaquettes: Organelles
- classification des organelles
Le cytoplasme contient de nombreuses organelles:
- Organelles universels (mitochondries, lysosomes, appareil de Golgi, particules de glycogène);
-
Organelles de sécrétion hémostatique
- granulations alpha (ADP, sérotonine, calcium)
- granulations denses (facteurs de coagulation, facteur von Willebrand, fibronectine, PF4)
Plaquettes: Organelles
Le cytoplasme contient de nombreuses organelles:
- Organelles universels (mitochondries, lysosomes, appareil de Golgi, particules de glycogène);
- Organelles de sécrétion hémostatique
- granulations alpha (ADP, sérotonine, calcium)
- granulations denses (facteurs de coagulation, facteur von Willebrand, fibronectine, PF4)
Plaquettes: Organelles
- nommez les organelles universels
Le cytoplasme contient de nombreuses organelles:
- Organelles universels (mitochondries, lysosomes, appareil de Golgi, particules de glycogène);
- Organelles de sécrétion hémostatique
- granulations alpha (ADP, sérotonine, calcium)
- granulations denses (facteurs de coagulation, facteur von Willebrand, fibronectine, PF4)
Plaquettes: Organelles
- nommez les organelles de sécrétion hémostatique
Le cytoplasme contient de nombreuses organelles:
- Organelles universels (mitochondries, lysosomes, appareil de Golgi, particules de glycogène);
-
Organelles de sécrétion hémostatique
- granulations alpha (ADP, sérotonine, calcium)
- granulations denses (facteurs de coagulation, facteur von Willebrand, fibronectine, PF4)
Plaquettes: Organelles
- différenciez les organelles de sécrétion hémostatique: granulations alpha vs denses
Le cytoplasme contient de nombreuses organelles:
- Organelles universels (mitochondries, lysosomes, appareil de Golgi, particules de glycogène);
-
Organelles de sécrétion hémostatique
- granulations alpha (ADP, sérotonine, calcium)
- granulations denses (facteurs de coagulation, facteur von Willebrand, fibronectine, PF4)
Plaquettes: Systèmes canaux
- nommez-les
Dans le cytoplasme on retrouve également 2 systèmes de canaux:
- le système canaliculaire relié à la surface (SCRS), formé d’invaginations de la membrane, et responsable de la sécrétion des substances contenues dans les granules vers l’extérieur de la plaquette.
- le système tubulaire dense où le calcium est stocké.
Plaquettes: Systèmes canaux
- rôle du système canaliculaire relié à la surface (SCRS)
Dans le cytoplasme on retrouve également 2 systèmes de canaux:
- le système canaliculaire relié à la surface (SCRS), formé d’invaginations de la membrane, et responsable de la sécrétion des substances contenues dans les granules vers l’extérieur de la plaquette.
- le système tubulaire dense où le calcium est stocké.
Plaquettes: Systèmes canaux
- rôle du système tubulaire dense
Dans le cytoplasme on retrouve également 2 systèmes de canaux:
- le système canaliculaire relié à la surface (SCRS), formé d’invaginations de la membrane, et responsable de la sécrétion des substances contenues dans les granules vers l’extérieur de la plaquette.
- le système tubulaire dense où le calcium est stocké.
Production plaquettaire: Nombre de plaquettes produites par mégacaryocyte
- Production plaquettaire : chaque mégacaryocyte donne naissance à 1000 à 3000 plaquettes.
- La production plaquettaire globale est d’environ 100 milliards par jour.
Production plaquettaire: Nombre de plaquettes produites par jour
- Production plaquettaire : chaque mégacaryocyte donne naissance à 1000 à 3000 plaquettes.
- La production plaquettaire globale est d’environ 100 milliards par jour.
Comparaison des cellules: Comparez nb de GR vs nb de plaquettes
Comparaison des cellules :
- Il existe 20 à 25 érythrocytes pour une plaquette dans le sang normal.
- Le volume moyen d’une plaquette est dix fois plus petit (9 fL vs 90 fL) que celui du globule rouge.
Comparaison des cellules: Comparez volume GR vs volume plaquette
Comparaison des cellules :
- Il existe 20 à 25 érythrocytes pour une plaquette dans le sang normal.
- Le volume moyen d’une plaquette est dix fois plus petit (9 fL vs 90 fL) que celui du globule rouge.
Séquestration splénique physiologique: Nb de plaquettes séquestrées dans la rate
- Séquestration splénique physiologique : environ 30 % des plaquettes sont séquestrées temporairement dans la rate, dans les conditions normales.
Durée de vie des plaquettes dans le sang
- Durée de vie dans le sang : elle est de sept à dix jours.
- Le volume plaquettaire diminue à mesure qu’elles prennent de l’âge.
- Environ les 2/3 des plaquettes meurent par sénescence dans la rate et les sinus de la moelle osseuse.
- Les autres meurent en participant au maintien de l’intégrité vasculaire.
Comment l’âge de plaquette impacte sa morphologie?
- Durée de vie dans le sang : elle est de sept à dix jours.
- Le volume plaquettaire diminue à mesure qu’elles prennent de l’âge.
- Environ les 2/3 des plaquettes meurent par sénescence dans la rate et les sinus de la moelle osseuse.
- Les autres meurent en participant au maintien de l’intégrité vasculaire.
De quelles manières meurent les plaquettes?
- Durée de vie dans le sang : elle est de sept à dix jours.
- Le volume plaquettaire diminue à mesure qu’elles prennent de l’âge.
- Environ les 2/3 des plaquettes meurent par sénescence dans la rate et les sinus de la moelle osseuse.
- Les autres meurent en participant au maintien de l’intégrité vasculaire.
Localisation des plaquettes dans la microcirculation
- Localisation dans la microcirculation : les érythrocytes circulent dans le centre de la lumière tandis que les plaquettes sont placées près de l’endothélium.
Localisation des plaquettes vs GR dans la microcirculation
- Localisation dans la microcirculation : les érythrocytes circulent dans le centre de la lumière tandis que les plaquettes sont placées près de l’endothélium.
Figure: Anatomie fonctionnelle de la plaquette
Hémostase primaire: ce qui se passe lorsqu’il y a un bris vasculaire
- À l’état normal, les plaquettes circulent sans adhérer à l’endothélium intact.
- Lorsqu’il y a un bris vasculaire, il y a rapidement une vasoconstriction locale qui a pour but d’atténuer les pertes sanguines.
- Elle est principalement causée par la thromboxane A2 et la sérotonine qui sont sécrétées par les plaquettes activées.
- La vasoconstriction étant de courte durée elle doit être suivie de la formation du clou plaquettaire.
Hémostase primaire: Substance engendrant la vasoconstriction?
- À l’état normal, les plaquettes circulent sans adhérer à l’endothélium intact.
- Lorsqu’il y a un bris vasculaire, il y a rapidement une vasoconstriction locale qui a pour but d’atténuer les pertes sanguines.
- Elle est principalement causée par la thromboxane A2 et la sérotonine qui sont sécrétées par les plaquettes activées.
- La vasoconstriction étant de courte durée elle doit être suivie de la formation du clou plaquettaire.
Hémostase primaire: durée de la vasoconstriction
- À l’état normal, les plaquettes circulent sans adhérer à l’endothélium intact.
- Lorsqu’il y a un bris vasculaire, il y a rapidement une vasoconstriction locale qui a pour but d’atténuer les pertes sanguines.
- Elle est principalement causée par la thromboxane A2 et la sérotonine qui sont sécrétées par les plaquettes activées.
- La vasoconstriction étant de courte durée elle doit être suivie de la formation du clou plaquettaire.
Hémostase primaire: Par quoi est causée l’activation plaquettaire?
- L’activation plaquettaire est provoquée par l’exposition du collagène du vaisseau lésé et la libération de substances agrégantes appelées agonistes (ADP, collagène, thrombine) qui se lient à des récepteurs de la plaquette.
- Suite à l’activation plaquettaire, trois étapes principales soit l’adhésion, l’agrégation et la sécrétion plaquettaire mènent à la formation du clou plaquettaire.
Hémostase primaire: Nommez les différentes étapes suivant l’activation plaquettaire
- L’activation plaquettaire est provoquée par l’exposition du collagène du vaisseau lésé et la libération de substances agrégantes appelées agonistes (ADP, collagène, thrombine) qui se lient à des récepteurs de la plaquette.
- Suite à l’activation plaquettaire, trois étapes principales soit l’adhésion, l’agrégation et la sécrétion plaquettaire mènent à la formation du clou plaquettaire.
Hémostase primaire: Adhésion plaquettaire
- L’adhésion plaquettaire se fait par l’accolement des plaquettes au collagène et autres fibres conjonctives de la brèche vasculaire.
- L’adhésion est accélérée considérablement par le facteur von Willebrand qui lie le collagène au récepteur GP1b de la plaquette.
- Il s’ensuit un changement de forme de la plaquette avec formation de pseudopodes qui permettent une meilleure couverture de la brèche vasculaire.
Hémostase primaire: Adhésion plaquettaire
- ce qui se passe
- L’adhésion plaquettaire se fait par l’accolement des plaquettes au collagène et autres fibres conjonctives de la brèche vasculaire.
- L’adhésion est accélérée considérablement par le facteur von Willebrand qui lie le collagène au récepteur GP1b de la plaquette.
- Il s’ensuit un changement de forme de la plaquette avec formation de pseudopodes qui permettent une meilleure couverture de la brèche vasculaire.
Hémostase primaire: Adhésion plaquettaire
- par quoi est accélérée l’adhésion?
- L’adhésion plaquettaire se fait par l’accolement des plaquettes au collagène et autres fibres conjonctives de la brèche vasculaire.
- L’adhésion est accélérée considérablement par le facteur von Willebrand qui lie le collagène au récepteur GP1b de la plaquette.
- Il s’ensuit un changement de forme de la plaquette avec formation de pseudopodes qui permettent une meilleure couverture de la brèche vasculaire.
Hémostase primaire: Adhésion plaquettaire
- impacts de l’adhésion
- L’adhésion plaquettaire se fait par l’accolement des plaquettes au collagène et autres fibres conjonctives de la brèche vasculaire.
- L’adhésion est accélérée considérablement par le facteur von Willebrand qui lie le collagène au récepteur GP1b de la plaquette.
- Il s’ensuit un changement de forme de la plaquette avec formation de pseudopodes qui permettent une meilleure couverture de la brèche vasculaire.
Hémostase primaire: Sécrétion plaquettaire
- ce qui se passe
- La sécrétion plaquettaire : les agonistes en se liant aux plaquettes activent la voie des prostaglandines.
- Au repos, les plaquettes ne synthétisent pas de prostaglandines.
- Lorsqu’elles sont stimulées, l’acide arachidonique est libéré de certains phospholipides de la membrane plaquettaire, et il s’ensuit une synthèse d’endoperoxydes à l’aide d’une cyclooxygénase.
- Les endoperoxydes PGG2 et PGH2 sont ensuite transformés en thromboxane A2.
- Une deuxième voie des prostaglandines génère l’inositol triphosphate (IP3) et le diacylglyceron (DG).
- Ces deux substances ainsi que la thromboxane A2 constituent des seconds messagers puissants qui augmentent le calcium intraplaquettaire et provoquent la sécrétion plaquettaire.
- La thromboxane A2 est sécrétée par les plaquettes et a des propriétés très puissantes pour provoquer l’agrégation plaquettaire, la sécrétion plaquettaire, et la vasoconstriction des artères.
- La cyclooxygénase plaquettaire est inhibée de façon irréversible par l’acide acétylsalicylique (aspirine).
Hémostase primaire: Sécrétion plaquettaire
- pourquoi la voie des prostaglandines est activée?
- La sécrétion plaquettaire : les agonistes en se liant aux plaquettes activent la voie des prostaglandines.
- Au repos, les plaquettes ne synthétisent pas de prostaglandines.
- Lorsqu’elles sont stimulées, l’acide arachidonique est libéré de certains phospholipides de la membrane plaquettaire, et il s’ensuit une synthèse d’endoperoxydes à l’aide d’une cyclooxygénase.
- Les endoperoxydes PGG2 et PGH2 sont ensuite transformés en thromboxane A2.
- Une deuxième voie des prostaglandines génère l’inositol triphosphate (IP3) et le diacylglyceron (DG).
- Ces deux substances ainsi que la thromboxane A2 constituent des seconds messagers puissants qui augmentent le calcium intraplaquettaire et provoquent la sécrétion plaquettaire.
- La thromboxane A2 est sécrétée par les plaquettes et a des propriétés très puissantes pour provoquer l’agrégation plaquettaire, la sécrétion plaquettaire, et la vasoconstriction des artères.
- La cyclooxygénase plaquettaire est inhibée de façon irréversible par l’acide acétylsalicylique (aspirine).
Hémostase primaire: Sécrétion plaquettaire
- différentes cascades de molécules
- La sécrétion plaquettaire : les agonistes en se liant aux plaquettes activent la voie des prostaglandines.
- Au repos, les plaquettes ne synthétisent pas de prostaglandines.
- Lorsqu’elles sont stimulées, l’acide arachidonique est libéré de certains phospholipides de la membrane plaquettaire, et il s’ensuit une synthèse d’endoperoxydes à l’aide d’une cyclooxygénase.
- Les endoperoxydes PGG2 et PGH2 sont ensuite transformés en thromboxane A2.
- Une deuxième voie des prostaglandines génère l’inositol triphosphate (IP3) et le diacylglyceron (DG).
- Ces deux substances ainsi que la thromboxane A2 constituent des seconds messagers puissants qui augmentent le calcium intraplaquettaire et provoquent la sécrétion plaquettaire.
- La thromboxane A2 est sécrétée par les plaquettes et a des propriétés très puissantes pour provoquer l’agrégation plaquettaire, la sécrétion plaquettaire, et la vasoconstriction des artères.
- La cyclooxygénase plaquettaire est inhibée de façon irréversible par l’acide acétylsalicylique (aspirine).
Hémostase primaire: Sécrétion plaquettaire
- nommez les seconds messagers
- La sécrétion plaquettaire : les agonistes en se liant aux plaquettes activent la voie des prostaglandines.
- Au repos, les plaquettes ne synthétisent pas de prostaglandines.
- Lorsqu’elles sont stimulées, l’acide arachidonique est libéré de certains phospholipides de la membrane plaquettaire, et il s’ensuit une synthèse d’endoperoxydes à l’aide d’une cyclooxygénase.
- Les endoperoxydes PGG2 et PGH2 sont ensuite transformés en thromboxane A2.
- Une deuxième voie des prostaglandines génère l’inositol triphosphate (IP3) et le diacylglyceron (DG).
- Ces deux substances ainsi que la thromboxane A2 constituent des seconds messagers puissants qui augmentent le calcium intraplaquettaire et provoquent la sécrétion plaquettaire.
- La thromboxane A2 est sécrétée par les plaquettes et a des propriétés très puissantes pour provoquer l’agrégation plaquettaire, la sécrétion plaquettaire, et la vasoconstriction des artères.
- La cyclooxygénase plaquettaire est inhibée de façon irréversible par l’acide acétylsalicylique (aspirine).
Hémostase primaire: Sécrétion plaquettaire
- rôles des seconds messagers
- La sécrétion plaquettaire : les agonistes en se liant aux plaquettes activent la voie des prostaglandines.
- Au repos, les plaquettes ne synthétisent pas de prostaglandines.
- Lorsqu’elles sont stimulées, l’acide arachidonique est libéré de certains phospholipides de la membrane plaquettaire, et il s’ensuit une synthèse d’endoperoxydes à l’aide d’une cyclooxygénase.
- Les endoperoxydes PGG2 et PGH2 sont ensuite transformés en thromboxane A2.
- Une deuxième voie des prostaglandines génère l’inositol triphosphate (IP3) et le diacylglyceron (DG).
- Ces deux substances ainsi que la thromboxane A2 constituent des seconds messagers puissants qui augmentent le calcium intraplaquettaire et provoquent la sécrétion plaquettaire.
- La thromboxane A2 est sécrétée par les plaquettes et a des propriétés très puissantes pour provoquer l’agrégation plaquettaire, la sécrétion plaquettaire, et la vasoconstriction des artères.
- La cyclooxygénase plaquettaire est inhibée de façon irréversible par l’acide acétylsalicylique (aspirine).
Hémostase primaire: Sécrétion plaquettaire
- thromboxane A2: par quoi est-elle sécrétée? quel est son rôle?
- La sécrétion plaquettaire : les agonistes en se liant aux plaquettes activent la voie des prostaglandines.
- Au repos, les plaquettes ne synthétisent pas de prostaglandines.
- Lorsqu’elles sont stimulées, l’acide arachidonique est libéré de certains phospholipides de la membrane plaquettaire, et il s’ensuit une synthèse d’endoperoxydes à l’aide d’une cyclooxygénase.
- Les endoperoxydes PGG2 et PGH2 sont ensuite transformés en thromboxane A2.
- Une deuxième voie des prostaglandines génère l’inositol triphosphate (IP3) et le diacylglyceron (DG).
- Ces deux substances ainsi que la thromboxane A2 constituent des seconds messagers puissants qui augmentent le calcium intraplaquettaire et provoquent la sécrétion plaquettaire.
- La thromboxane A2 est sécrétée par les plaquettes et a des propriétés très puissantes pour provoquer l’agrégation plaquettaire, la sécrétion plaquettaire, et la vasoconstriction des artères.
- La cyclooxygénase plaquettaire est inhibée de façon irréversible par l’acide acétylsalicylique (aspirine).
Hémostase primaire: Sécrétion plaquettaire
- l’aspirine inhibe quoi?
- La sécrétion plaquettaire : les agonistes en se liant aux plaquettes activent la voie des prostaglandines.
- Au repos, les plaquettes ne synthétisent pas de prostaglandines.
- Lorsqu’elles sont stimulées, l’acide arachidonique est libéré de certains phospholipides de la membrane plaquettaire, et il s’ensuit une synthèse d’endoperoxydes à l’aide d’une cyclooxygénase.
- Les endoperoxydes PGG2 et PGH2 sont ensuite transformés en thromboxane A2.
- Une deuxième voie des prostaglandines génère l’inositol triphosphate (IP3) et le diacylglyceron (DG).
- Ces deux substances ainsi que la thromboxane A2 constituent des seconds messagers puissants qui augmentent le calcium intraplaquettaire et provoquent la sécrétion plaquettaire.
- La thromboxane A2 est sécrétée par les plaquettes et a des propriétés très puissantes pour provoquer l’agrégation plaquettaire, la sécrétion plaquettaire, et la vasoconstriction des artères.
- La cyclooxygénase plaquettaire est inhibée de façon irréversible par l’acide acétylsalicylique (aspirine).
Hémostase primaire: Sécrétion plaquettaire
- aspirine: inhibe de façon réversible ou non la cyclooxygénase plaquettaire?
- La sécrétion plaquettaire : les agonistes en se liant aux plaquettes activent la voie des prostaglandines.
- Au repos, les plaquettes ne synthétisent pas de prostaglandines.
- Lorsqu’elles sont stimulées, l’acide arachidonique est libéré de certains phospholipides de la membrane plaquettaire, et il s’ensuit une synthèse d’endoperoxydes à l’aide d’une cyclooxygénase.
- Les endoperoxydes PGG2 et PGH2 sont ensuite transformés en thromboxane A2.
- Une deuxième voie des prostaglandines génère l’inositol triphosphate (IP3) et le diacylglyceron (DG).
- Ces deux substances ainsi que la thromboxane A2 constituent des seconds messagers puissants qui augmentent le calcium intraplaquettaire et provoquent la sécrétion plaquettaire.
- La thromboxane A2 est sécrétée par les plaquettes et a des propriétés très puissantes pour provoquer l’agrégation plaquettaire, la sécrétion plaquettaire, et la vasoconstriction des artères.
- La cyclooxygénase plaquettaire est inhibée de façon irréversible par l’acide acétylsalicylique (aspirine).
Hémostase primaire: Sécrétion plaquettaire
- les plaquettes activées libèrent quoi?
Les plaquettes activées libèrent :
- A. Des substances agrégantes :
- l’ADP et la sérotonine,
- la thromboxane A2.
- B. Des substances vasoconstrictrices :
- la thromboxane A2,
- la sérotonine.
- C. Des activités procoagulantes :
- Les plaquettes activées remanient à leur surface des phospholipides qui vont capturer les facteurs de coagulation et permettre leurs interactions de façon beaucoup plus efficace que si elles étaient en circulation.
- À l’aide du calcium, ces surfaces absorbent côte à côte les protéines coagulantes qui se trouvent ainsi plus concentrées
- Ces surfaces protègent les facteurs de coagulation des protéines anticoagulantes du plasma qui voudraient les neutraliser
Hémostase primaire: Sécrétion plaquettaire
- nommez les susbtances agrégantes libérées par les plaquettes activées
Les plaquettes activées libèrent :
- A. Des substances agrégantes :
- l’ADP et la sérotonine,
- la thromboxane A2.
- B. Des substances vasoconstrictrices :
- la thromboxane A2,
- la sérotonine.
- C. Des activités procoagulantes :
- Les plaquettes activées remanient à leur surface des phospholipides qui vont capturer les facteurs de coagulation et permettre leurs interactions de façon beaucoup plus efficace que si elles étaient en circulation.
- À l’aide du calcium, ces surfaces absorbent côte à côte les protéines coagulantes qui se trouvent ainsi plus concentrées
- Ces surfaces protègent les facteurs de coagulation des protéines anticoagulantes du plasma qui voudraient les neutraliser
Hémostase primaire: Sécrétion plaquettaire
- nommez les substances vasoconstrictrices libérées par les plaquettes activées
Les plaquettes activées libèrent :
- A. Des substances agrégantes :
- l’ADP et la sérotonine,
- la thromboxane A2.
- B. Des substances vasoconstrictrices :
- la thromboxane A2,
- la sérotonine.
- C. Des activités procoagulantes :
- Les plaquettes activées remanient à leur surface des phospholipides qui vont capturer les facteurs de coagulation et permettre leurs interactions de façon beaucoup plus efficace que si elles étaient en circulation.
- À l’aide du calcium, ces surfaces absorbent côte à côte les protéines coagulantes qui se trouvent ainsi plus concentrées
- Ces surfaces protègent les facteurs de coagulation des protéines anticoagulantes du plasma qui voudraient les neutraliser
Hémostase primaire: Sécrétion plaquettaire
- nommez les activités procoagulantes activées par les plaquettes activées
Les plaquettes activées libèrent :
- A. Des substances agrégantes :
- l’ADP et la sérotonine,
- la thromboxane A2.
- B. Des substances vasoconstrictrices :
- la thromboxane A2,
- la sérotonine.
- C. Des activités procoagulantes :
- Les plaquettes activées remanient à leur surface des phospholipides qui vont capturer les facteurs de coagulation et permettre leurs interactions de façon beaucoup plus efficace que si elles étaient en circulation.
- À l’aide du calcium, ces surfaces absorbent côte à côte les protéines coagulantes qui se trouvent ainsi plus concentrées
- Ces surfaces protègent les facteurs de coagulation des protéines anticoagulantes du plasma qui voudraient les neutraliser
Hémostase primaire: Sécrétion plaquettaire
- activités procoagulantes activées par les plaquettes activées: PHOSPHOLIPIDES
Les plaquettes activées libèrent :
- A. Des substances agrégantes :
- l’ADP et la sérotonine,
- la thromboxane A2.
- B. Des substances vasoconstrictrices :
- la thromboxane A2,
- la sérotonine.
- C. Des activités procoagulantes :
- Les plaquettes activées remanient à leur surface des phospholipides qui vont capturer les facteurs de coagulation et permettre leurs interactions de façon beaucoup plus efficace que si elles étaient en circulation.
- À l’aide du calcium, ces surfaces absorbent côte à côte les protéines coagulantes qui se trouvent ainsi plus concentrées
- Ces surfaces protègent les facteurs de coagulation des protéines anticoagulantes du plasma qui voudraient les neutraliser
Hémostase primaire: Sécrétion plaquettaire
- activités procoagulantes activées par les plaquettes activées: CALCIUM
Les plaquettes activées libèrent :
- A. Des substances agrégantes :
- l’ADP et la sérotonine,
- la thromboxane A2.
- B. Des substances vasoconstrictrices :
- la thromboxane A2,
- la sérotonine.
- C. Des activités procoagulantes :
- Les plaquettes activées remanient à leur surface des phospholipides qui vont capturer les facteurs de coagulation et permettre leurs interactions de façon beaucoup plus efficace que si elles étaient en circulation.
- À l’aide du calcium, ces surfaces absorbent côte à côte les protéines coagulantes qui se trouvent ainsi plus concentrées
- Ces surfaces protègent les facteurs de coagulation des protéines anticoagulantes du plasma qui voudraient les neutraliser
Hémostase primaire: Sécrétion plaquettaire
- activités procoagulantes activées par les plaquettes activées: FACTEURS DE COAGULATION
Les plaquettes activées libèrent :
- A. Des substances agrégantes :
- l’ADP et la sérotonine,
- la thromboxane A2.
- B. Des substances vasoconstrictrices :
- la thromboxane A2,
- la sérotonine.
- C. Des activités procoagulantes :
- Les plaquettes activées remanient à leur surface des phospholipides qui vont capturer les facteurs de coagulation et permettre leurs interactions de façon beaucoup plus efficace que si elles étaient en circulation.
- À l’aide du calcium, ces surfaces absorbent côte à côte les protéines coagulantes qui se trouvent ainsi plus concentrées
- Ces surfaces protègent les facteurs de coagulation des protéines anticoagulantes du plasma qui voudraient les neutraliser
Hémostase primaire: Agrégation plaquettaire
- L’agrégation plaquettaire : les plaquettes s’accolent les unes aux autres et constituent le clou plaquettaire.
- L’ADP et la thromboxane A2 sont les deux principaux agrégants sécrétés par les plaquettes.
- Ces molécules stimulent l’exposition des récepteurs GP IIb/IIIa qui capturent les molécules de fibrinogène.
- Le fibrinogène aidé du calcium forme des ponts entre deux plaquettes : celles-ci s’accolent les unes aux autres, produisant l’agrégat plaquettaire.
- L’agrégat est initialement instable et a tendance à se désagréger.
- Mais après quelques minutes, il est stabilisé principalement par l’action de la thrombine et de la fibrine : c’est la contribution de la coagulation à l’hémostase.
Hémostase primaire: Agrégation plaquettaire
- ce qui se passe
- L’agrégation plaquettaire : les plaquettes s’accolent les unes aux autres et constituent le clou plaquettaire.
- L’ADP et la thromboxane A2 sont les deux principaux agrégants sécrétés par les plaquettes.
- Ces molécules stimulent l’exposition des récepteurs GP IIb/IIIa qui capturent les molécules de fibrinogène.
- Le fibrinogène aidé du calcium forme des ponts entre deux plaquettes : celles-ci s’accolent les unes aux autres, produisant l’agrégat plaquettaire.
- L’agrégat est initialement instable et a tendance à se désagréger.
- Mais après quelques minutes, il est stabilisé principalement par l’action de la thrombine et de la fibrine : c’est la contribution de la coagulation à l’hémostase.
Hémostase primaire: Agrégation plaquettaire
- ce qui se forme
- L’agrégation plaquettaire : les plaquettes s’accolent les unes aux autres et constituent le clou plaquettaire.
- L’ADP et la thromboxane A2 sont les deux principaux agrégants sécrétés par les plaquettes.
- Ces molécules stimulent l’exposition des récepteurs GP IIb/IIIa qui capturent les molécules de fibrinogène.
- Le fibrinogène aidé du calcium forme des ponts entre deux plaquettes : celles-ci s’accolent les unes aux autres, produisant l’agrégat plaquettaire.
- L’agrégat est initialement instable et a tendance à se désagréger.
- Mais après quelques minutes, il est stabilisé principalement par l’action de la thrombine et de la fibrine : c’est la contribution de la coagulation à l’hémostase.
Hémostase primaire: Agrégation plaquettaire
- nommez les principaux agrégats sécrétés par les plaquettes
- L’agrégation plaquettaire : les plaquettes s’accolent les unes aux autres et constituent le clou plaquettaire.
- L’ADP et la thromboxane A2 sont les deux principaux agrégants sécrétés par les plaquettes.
- Ces molécules stimulent l’exposition des récepteurs GP IIb/IIIa qui capturent les molécules de fibrinogène.
- Le fibrinogène aidé du calcium forme des ponts entre deux plaquettes : celles-ci s’accolent les unes aux autres, produisant l’agrégat plaquettaire.
- L’agrégat est initialement instable et a tendance à se désagréger.
- Mais après quelques minutes, il est stabilisé principalement par l’action de la thrombine et de la fibrine : c’est la contribution de la coagulation à l’hémostase.
Hémostase primaire: Agrégation plaquettaire
- ADP et la thromboxane A2: leur rôle / effet
- L’agrégation plaquettaire : les plaquettes s’accolent les unes aux autres et constituent le clou plaquettaire.
- L’ADP et la thromboxane A2 sont les deux principaux agrégants sécrétés par les plaquettes.
- Ces molécules stimulent l’exposition des récepteurs GP IIb/IIIa qui capturent les molécules de fibrinogène.
- Le fibrinogène aidé du calcium forme des ponts entre deux plaquettes : celles-ci s’accolent les unes aux autres, produisant l’agrégat plaquettaire.
- L’agrégat est initialement instable et a tendance à se désagréger.
- Mais après quelques minutes, il est stabilisé principalement par l’action de la thrombine et de la fibrine : c’est la contribution de la coagulation à l’hémostase.
Hémostase primaire: Agrégation plaquettaire
- rôle de la fibrinogène
- L’agrégation plaquettaire : les plaquettes s’accolent les unes aux autres et constituent le clou plaquettaire.
- L’ADP et la thromboxane A2 sont les deux principaux agrégants sécrétés par les plaquettes.
- Ces molécules stimulent l’exposition des récepteurs GP IIb/IIIa qui capturent les molécules de fibrinogène.
- Le fibrinogène aidé du calcium forme des ponts entre deux plaquettes : celles-ci s’accolent les unes aux autres, produisant l’agrégat plaquettaire.
- L’agrégat est initialement instable et a tendance à se désagréger.
- Mais après quelques minutes, il est stabilisé principalement par l’action de la thrombine et de la fibrine : c’est la contribution de la coagulation à l’hémostase.
Hémostase primaire: Agrégation plaquettaire
- stabilité de l’agrégat
- L’agrégation plaquettaire : les plaquettes s’accolent les unes aux autres et constituent le clou plaquettaire.
- L’ADP et la thromboxane A2 sont les deux principaux agrégants sécrétés par les plaquettes.
- Ces molécules stimulent l’exposition des récepteurs GP IIb/IIIa qui capturent les molécules de fibrinogène.
- Le fibrinogène aidé du calcium forme des ponts entre deux plaquettes : celles-ci s’accolent les unes aux autres, produisant l’agrégat plaquettaire.
-
L’agrégat est initialement instable et a tendance à se désagréger.
- Mais après quelques minutes, il est stabilisé principalement par l’action de la thrombine et de la fibrine : c’est la contribution de la coagulation à l’hémostase.
Hémostase primaire: Agrégation plaquettaire
- par quoi est stabilisé l’agrégat?
- L’agrégation plaquettaire : les plaquettes s’accolent les unes aux autres et constituent le clou plaquettaire.
- L’ADP et la thromboxane A2 sont les deux principaux agrégants sécrétés par les plaquettes.
- Ces molécules stimulent l’exposition des récepteurs GP IIb/IIIa qui capturent les molécules de fibrinogène.
- Le fibrinogène aidé du calcium forme des ponts entre deux plaquettes : celles-ci s’accolent les unes aux autres, produisant l’agrégat plaquettaire.
- L’agrégat est initialement instable et a tendance à se désagréger.
- Mais après quelques minutes, il est stabilisé principalement par l’action de la thrombine et de la fibrine : c’est la contribution de la coagulation à l’hémostase.
Hémostase primaire: Agrégation plaquettaire
- rétraction de l’agrégat
- La rétraction de l’agrégat et du caillot de fibrine complète cette séquence.
- Les plaquettes possèdent en abondance une protéine contractile qui se contracte une fois l’agrégat formé.
- Comme les plaquettes adhèrent fermement les unes aux autres et au collagène du pourtour de la brèche vasculaire, la contraction rapetisse l’agrégat plaquettaire et la brèche vasculaire et rend plus compact, plus étanche et plus résistant le clou plaquettaire.
- La thrombine et la fibrine sont nécessaires à la rétraction de l’agrégat et du caillot de fibrine qui sont enchevêtrés l’un dans l’autre.
Hémostase primaire: Agrégation plaquettaire
- rétraction de l’agrégat: ce qui se passe
- La rétraction de l’agrégat et du caillot de fibrine complète cette séquence.
- Les plaquettes possèdent en abondance une protéine contractile qui se contracte une fois l’agrégat formé.
- Comme les plaquettes adhèrent fermement les unes aux autres et au collagène du pourtour de la brèche vasculaire, la contraction rapetisse l’agrégat plaquettaire et la brèche vasculaire et rend plus compact, plus étanche et plus résistant le clou plaquettaire.
- La thrombine et la fibrine sont nécessaires à la rétraction de l’agrégat et du caillot de fibrine qui sont enchevêtrés l’un dans l’autre.
Hémostase primaire: Agrégation plaquettaire
- rétraction de l’agrégat: ce qui se passe avec le clou plaquettaire
- La rétraction de l’agrégat et du caillot de fibrine complète cette séquence.
- Les plaquettes possèdent en abondance une protéine contractile qui se contracte une fois l’agrégat formé.
- Comme les plaquettes adhèrent fermement les unes aux autres et au collagène du pourtour de la brèche vasculaire, la contraction rapetisse l’agrégat plaquettaire et la brèche vasculaire et rend plus compact, plus étanche et plus résistant le clou plaquettaire.
- La thrombine et la fibrine sont nécessaires à la rétraction de l’agrégat et du caillot de fibrine qui sont enchevêtrés l’un dans l’autre.
Hémostase primaire: Agrégation plaquettaire
- rétraction de l’agrégat: substances nécessaires à la rétraction de l’agrégat
- La rétraction de l’agrégat et du caillot de fibrine complète cette séquence.
- Les plaquettes possèdent en abondance une protéine contractile qui se contracte une fois l’agrégat formé.
- Comme les plaquettes adhèrent fermement les unes aux autres et au collagène du pourtour de la brèche vasculaire, la contraction rapetisse l’agrégat plaquettaire et la brèche vasculaire et rend plus compact, plus étanche et plus résistant le clou plaquettaire.
- La thrombine et la fibrine sont nécessaires à la rétraction de l’agrégat et du caillot de fibrine qui sont enchevêtrés l’un dans l’autre.
Interactions entre plaquettes, vaisseaux et coagulation
Les réactions vasculaires, plaquettaires et plasmatiques (coagulation) se déroulent en relations très étroites. Ainsi,
- les plaquettes libèrent des substances vaso-actives qui provoquent la vasoconstriction du vaisseau : ce sont la thromboxane A2 et la sérotonine.
- les plaquettes démasquent à leur surface des phospholipides qui catalysent plusieurs des réactions enzymatiques de la coagulation plasmatique, accélérant considérablement cette dernière (activité procoagulante).
- la thrombine, générée par la coagulation, est un activateur puissant de la sécrétion et de l’agrégation plaquettaire.
- le bris de l’endothélium expose le facteur tissulaire, qui déclenche l’activation de la voie extrinsèque.
Interactions entre plaquettes, vaisseaux et coagulation: Substances vasoactives
Les réactions vasculaires, plaquettaires et plasmatiques (coagulation) se déroulent en relations très étroites. Ainsi,
- 1. les plaquettes libèrent des substances vaso-actives qui provoquent la vasoconstriction du vaisseau : ce sont la thromboxane A2 et la sérotonine.
- les plaquettes démasquent à leur surface des phospholipides qui catalysent plusieurs des réactions enzymatiques de la coagulation plasmatique, accélérant considérablement cette dernière (activité procoagulante).
- la thrombine, générée par la coagulation, est un activateur puissant de la sécrétion et de l’agrégation plaquettaire.
- le bris de l’endothélium expose le facteur tissulaire, qui déclenche l’activation de la voie extrinsèque.
Interactions entre plaquettes, vaisseaux et coagulation: Nommez les substances vasoactives
Les réactions vasculaires, plaquettaires et plasmatiques (coagulation) se déroulent en relations très étroites. Ainsi,
- les plaquettes libèrent des substances vaso-actives qui provoquent la vasoconstriction du vaisseau : ce sont la thromboxane A2 et la sérotonine.
- les plaquettes démasquent à leur surface des phospholipides qui catalysent plusieurs des réactions enzymatiques de la coagulation plasmatique, accélérant considérablement cette dernière (activité procoagulante).
- la thrombine, générée par la coagulation, est un activateur puissant de la sécrétion et de l’agrégation plaquettaire.
- le bris de l’endothélium expose le facteur tissulaire, qui déclenche l’activation de la voie extrinsèque.